Calendar icon
Wednesday 30 April, 2025
Weather icon
á Dakar
Close icon
Se connecter

Il y a 50 ans, la loi historique sur l'IVG de Simone Veil était adoptée

image

Le 29 novembre 1974, la loi Veil, visant à dépénaliser l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été votée à l’Assemblée nationale. Cinquante ans plus tard, la loi s’est étoffée et les modalités pour accéder à l’IVG ont quelque peu changé.
Il est de ces anniversaires que l’on n’oublie pas. Ceux qui changent le cours de l’Histoire pour la marquer à tout jamais. Le 26 novembre 1974, Simone Veil, ministre de la Santé de Valéry Giscard d’Estaing, défendait devant l’Assemblée nationale son projet de loi visant à dépénaliser l’IVG. Plusieurs jours plus tard, le 29 novembre 1974, la loi Veil était votée et l’IVG autorisée temporairement en 1975 en France. Avant d’être totalement légalisée en décembre 1979.
Mais depuis, la loi a évolué et quelques modifications sont venues l’étoffer. 
le délai maximum légal réhaussé
Parmi les modifications apportées à la loi Veil, il y a tout d’abord le délai légal pour avoir recours à l’IVG. En 1979, le délai maximum légal était la dixième semaine de grossesse. Puis, il avait été étendu à douze, et est, aujourd’hui, fixé à quatorze semaines. L’IVG est aussi désormais prise en charge intégralement et sa pratique étendue aux sage-femmes. 
Autre changement, la période de réflexion a été supprimée et l’entretien en amont est devenu facultatif, depuis 2001, pour les plus de 18 ans. En ce qui concerne les personnes mineures, l’autorisation parentale a par ailleurs été supprimée, mais l’accompagnement par une personne majeure reste obligatoire. 
Malgré ces avancées, le choix de la méthode pour effectuer une interruption volontaire de grosses reste, aujourd’hui, inégal en fonction des territoires, selon l’Institut national d’études démographiques (Ined). 
Inégalité d'accès à la méthode médicamenteuse
 
En un demi-siècle, évidemment, les modalités de recours à l’IVG ont changé. Selon L’Ined, «la méthode médicamenteuse est devenue largement majoritaire, ainsi que la prise en charge des IVG hors établissement de santé, qui a particulièrement crû depuis la crise sanitaire». Mais ce dernier ajoute que cette pluralité de l’offre «est hétérogène sur le territoire, contraignant les modalités, les conditions et, par extension, la possibilité de choisir la manière d’interrompre une grossesse». Et que les modalités d’accès peuvent «être contraintes par d’autres facteurs comme les difficultés d’approvisionnement en comprimés abortifs, la clause de conscience des praticiens, etc». Ainsi, le recours à une opération chirurgicale est, dans certaines régions, encore favorisé par rapport à une prise en charge médicamenteuse. 
 
Selon la Direction de la Recherche, des Études, de l'Évaluation et des Statistiques, 243.623 interruptions volontaires de grossesse ont été enregistrées en France en 2023, soit 8.600 de plus qu'en 2022.  
Auteur: cnews.fr
ESABAT banner

Comments

  • image
    il y a 5 mois

    Arrêtez de nous parler de la France. Vous êtes des vrais compléxés.

  • image
    Toubab français il y a 5 mois

    C'est bon vous l'avez votre indépendance ou alors répondez en Wolf !

  • image
    reply_author il y a 5 mois

    La langue est un outil de communication, ça n'a avoir avec parler quotidiennement de ce qui se passe en France.

  • image
    Xeme il y a 5 mois

    Le génocide l'Occident, fausse vengeance sioniste, venait d'être lancée. Les cons, et leurs perroquets, mettront 100 ans à le comprendre. Surtout qu'il y a le service après vente assuré par les médias.

  • image
    il y a 5 mois

    dites plutot la loi sur le sacrifice humain de millions de bébés ;yawmal hiyam déy dineu yemé lole

  • image
    il y a 5 mois

    dites plutot la loi sur le sacrifice humain de millions de bébés ;yawmal hiyam déy dineu yemé lole

  • image
    reply_author il y a 5 mois

    Loi IVG = loi du massacre des êtres naissants

  • image
    il y a 5 mois

    C'est pour quand au Sénégal où alors vaut dire au koye marche arrière

  • image
    il y a 5 mois

    C'est pour quand au Sénégal où alors vaut dire au koye marche arrière

  • image
    Le Témoin il y a 5 mois

    J'espère que des lois pareilles ne seront jamais voté dans mon cher pays, si jamais ça arrive ce jour là je déchirerai mon passport et ma carte d'identité. Un pays qui tue des innoncents dans le ventre de leur mere c'est un pays qui va vers la décadence et la ruine

  • image
    reply_author il y a 5 mois

    Yow toubab francais waa fann nga?

  • image
    reply_author il y a 5 mois

    Yow toubab francais waa fann nga?

  • image
    reply_author il y a 5 mois

    Un pays avec des pères, des oncles, des marabouts violeurs et qui ne prennent jamais leur responsabilité. Des jeune filles violées et obligées de garder des grossesse dont elles veulent et à coté on applique le soutoura au violeur. So wakhé famille bi tasse ou derr yakou Un pays adepte de la fornication mais qui hurle comme des vierges effarouchées face à l'IVG. Un pays où c'est la plus part du temps les femmes qui courent matin et soir pour s'occuper de leurs enfants, pendant que les pères se la coule douce avec plus jeune que leur 1er nés. Un pays qui pense avoir le monopole et le contrôle total sur le corps des femmes. Biro len, weussino lenn, boto lenn di merder les gens Doul iox

Participer à la Discussion