Le président russe Vladimir Poutine a salué jeudi la mémoire d'un "homme d'Etat sage et visionnaire", après le décès de l'ancien diplomate américain Henry Kissinger, qui s'est éteint la veille à l'âge de 100 ans.
"Le nom d'Henry Kissinger est étroitement lié à une politique pragmatique qui a permis à aboutir à une détente des tensions internationales et à des accords très importants américano-soviétiques ayant contribué au renforcement de la sécurité mondiale", a rappelé M. Poutine, selon un communiqué du Kremlin, dans un message de condoléances adressé à l'épouse de l'ancien diplomate.
Auteur: AFP
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Élégant hommage !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Triste nouvelle. On se souvient bien de M Henri Kissinger qui a marqué pendant près de 60 ans la diplomatie américaine, lui qui a été succesivement le sécrétaire d'état - Ministre des Affaires Étrangères - des États-Unis son pays sous les présidents Richard Nixon et Gerald Ford. Henri Kissinger et son homologue soviétique Andreï Gromyko - ce dernier est resté plus de 40 ans d'affilés à la tête de la diplomatie soviétique - ont marqué la diplomatie internationale pendant toute la "guerre froide" ("cold war"). Pour revenir à M Henri Kissinger, qualifié par beaucoup comme un génie - il l'était effectivement mais était aussi un grand visionnaire - il est celui qui a défini quasiment toute la politique étrangère américaine dans un cadrage, une limite connus qui sont restés les mêmes et qu'aucun chef d'état des États-Unis de Richard Nixon, Gerald Ford, Georges Bush père et fils, Jimmy Carter à Barack Obama n'ont vraiment pas remis en question ni tenté de changer ni même le Congrès américain. À chaque changement au pouvoir aux États-Unis, plusieurs à l'étranger, notamment en Afrique noire, espèrent, s'attendent à voir un profond changement, de grands bouleversements de la politique étrangère américaine vis à vis du continent ou même dans le monde, mais au fil du temps, on se rend bien vite compte qu'il n'en est rien, qu'il n'y aura aucun changement significatif ou majeur. Il n'y a franchement pas de grandes différences dans la politique étrangère des États-Unis que celle-ci soit menée, conduite par un gouvernement démocrate ou républicain. Juste de petits changements ou modifications qui passent le plus souvent inapperçus. Juste deux exemples : Le Président Bush fils a eu son fameux programmes sur le VIH/SIDA et le MCA (Millenium Challenge Account) qui ont continué avec le Président Barack Obama qui a maintenu jusqu'au bout ce MCA. Lui Obama, au pouvoir, a ouvert chantier, lui et son administration visant à faire la promotion des jeunes partout à travers un programme sur le leadership appellé YALI et un autre sur le renforcement de la démocratie et de l'état droit en Afrique. La "doctrine Kissinger" est connue qui définit la politique étrangère des États-Unis dans le monde. Toute autre personne qui croit que cette doctrine peut changer se trompe. Elle date près de plus de 50 ans.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Triste nouvelle. On se souvient bien de M Henri Kissinger qui a marqué pendant près de 60 ans la diplomatie américaine, lui qui a été succesivement le sécrétaire d'état - Ministre des Affaires Étrangères - des États-Unis son pays sous les présidents Richard Nixon et Gerald Ford. Henri Kissinger et son homologue soviétique Andreï Gromyko - ce dernier est resté plus de 40 ans d'affilés à la tête de la diplomatie soviétique - ont marqué la diplomatie internationale pendant toute la "guerre froide" ("cold war"). Pour revenir à M Henri Kissinger, qualifié par beaucoup comme un génie - il l'était effectivement mais était aussi un grand visionnaire - il est celui qui a défini quasiment toute la politique étrangère américaine dans un cadrage, une limite connus qui sont restés les mêmes et qu'aucun chef d'état des États-Unis de Richard Nixon, Gerald Ford, Georges Bush père et fils, Jimmy Carter à Barack Obama n'ont vraiment pas remis en question ni tenté de changer ni même le Congrès américain. À chaque changement au pouvoir aux États-Unis, plusieurs à l'étranger, notamment en Afrique noire, espèrent, s'attendent à voir un profond changement, de grands bouleversements de la politique étrangère américaine vis à vis du continent ou même dans le monde, mais au fil du temps, on se rend bien vite compte qu'il n'en est rien, qu'il n'y aura aucun changement significatif ou majeur. Il n'y a franchement pas de grandes différences dans la politique étrangère des États-Unis que celle-ci soit menée, conduite par un gouvernement démocrate ou républicain. Juste de petits changements ou modifications qui passent le plus souvent inapperçus. Juste deux exemples : Le Président Bush fils a eu son fameux programmes sur le VIH/SIDA et le MCA (Millenium Challenge Account) qui ont continué avec le Président Barack Obama qui a maintenu jusqu'au bout ce MCA. Lui Obama, au pouvoir, a ouvert chantier, lui et son administration visant à faire la promotion des jeunes partout à travers un programme sur le leadership appellé YALI et un autre sur le renforcement de la démocratie et de l'état droit en Afrique. La "doctrine Kissinger" est connue qui définit la politique étrangère des États-Unis dans le monde. Toute autre personne qui croit que cette doctrine peut changer se trompe. Elle date près de plus de 50 ans.
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Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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