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Visite officielle en Mauritanie : Macky Sall attendu à Nouakchott

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Le chef de l’État, Macky Sall, a quitté la capitale sénégalaise ce jeudi 11 janvier 2024 à destination de Nouakchott. À la suite d’une invitation de son homologue mauritanien Mouhamed Ould Cheikh El Ghazouani, le président de la République va effectuer une visite officielle en Mauritanie.
Son retour à Dakar est prévu demain vendredi, selon la présidence.
 
Auteur: Absa DIONGUE
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Comments

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    CITOYEN il y a 1 an

    Il devrait y rester et ne plus remettre les pieds au pays. Une fois qu'il aura fini son mandat, il faudra l'éloigner de nos institutions, il ne devra plus toucher à l'Etat. Ce mec est un fossoyeur, un véritable poison pour la République

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    nation-alitée il y a 1 an

    tu vas nous rendre notre avion sous peu. politicien de merde  

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    reply_author il y a 1 an

    il est encore là notre président et vous allez encore en souffrir!!!! Nopalikoulen.

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    Lynx Camara il y a 1 an

    Qu'il s'abime, que le moteur de l'avion soit en panne.

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    il y a 1 an

    Il fait du forcing avec les voyages touristiques inutiles, qu'il se dépêche, encore un petit mois, basta le shopping de madame et les dépenses au dépend des contribuables. Qu'ont-t-ils ces 2 zogotos d'important à se dire ....comment ils vont s'y prendre pour détourner l'argent déjà acquis avec le pétrole, le gaz ou du moins les pots de vin liés aux contrats d'exploitation.

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    reply_author il y a 1 an

    Il faut plutot reprendre les regnes de reubeuss. C'est la-bas sa palce.

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    Abdullah il y a 1 an

    @ Citoyen et Lynx camara, Ne vous laissez pas envahir par la méchancté jusqu'à souhaiter la mort. Rappelez vous que seul Allah swt est intemporel et dont la puissance n'a d'égal. Il décide de tout, partout, pour tous.  

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    reply_author il y a 1 an

    Que nos amis de la mauritanie le garde là bas Nous on en veut plus Please garder le la bas

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    reply_author il y a 1 an

    Macky Sall le president qui donne l'ordre de tirer sur des manifestants Macky sall le president qui achete des armes avec nos impots pour les faire livrer au sein du palais de la république, du jamais vu Macky Sall qui emprisonne des innonts depuis près de 1 an  - Cheikh Oumar Diagne - Karim Kruw Xakh - Fadilou Keita - Amy Dia etc.. pendant ce temps lui et sa famille, ses soeurs, ses tantes, nieces neuveux sont libres Un vrai assassin macky sall

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    il y a 1 an

    Attention! Il voyage toujours avant que quelque chose se passe.

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    il y a 1 an

    Vraiment Macky est fort. Maintenant, il ne reste aux pestiferés de l'ex PASTEF, que de lui souhaiter la mort. Donc le mortal kombat, les concerts de casseroles, les meetings, méga meetings et gega meetings, les nemakatour, le gasta gasta, le thioki fin...n'ont rien donné .ha le calme plat règne au Sénégal depuis que le gourou de la secte satanique et maléfique est en prison. Alhamdoulillahi 

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    décalage..... il y a 1 an

    Dans le sud du Sénégal, le retour en terrain miné des déplacés de Casamance Les villages désertés dans les années 1990 par la rébellion casamançaise se sont repeuplés ces dernières années. Mais les conditions de vie restent précaires, voire périlleuses. Par Moussa Ngom (Boutoupa Camaracounda, envoyé spécial) Publié le 05 janvier 2024 à 19h07 L’explosion qui a fauché, le 14 décembre, quatre soldats sénégalais en patrouille près de la frontière avec la Gambie a réveillé de mauvais souvenirs dans le sud du Sénégal. Disséminées dans la région au plus fort du conflit qui oppose, depuis 1982, l’Etat du Sénégal et le mouvement séparatiste des forces démocratiques de Casamance (MFDC), de nombreuses mines se trouvent encore dans les zones frontalières, alors que les villages, désertés au début des années 1990 à cause des combats, voient progressivement revenir leurs habitants. Dans la localité de Boutoupa Camaracounda, à une trentaine de kilomètres au sud de Ziguinchor, près de la frontière bissau-guinéenne, le maire, Ousmane Sanding, réclame depuis deux ans un déminage « à titre préventif » d’une partie de sa commune rurale de 340 km2. Mais la sécurité n’est pas la principale priorité de l’édile. Seuls deux villages, sur les vingt-quatre que compte sa commune, ont accès à l’électricité. « On manque d’infrastructures de base, de points d’eau, d’écoles, de centres de santé, d’activités génératrices de revenus… », énumère Ousmane Sanding. Terres extrêmement fertiles Lui-même est un ancien réfugié. Sa famille s’est exilée en Guinée-Bissau en octobre 1990. A l’époque, les combats entre l’armée sénégalaise et les rebelles font rage. D’après le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), plus de 23 000 Sénégalais avaient fui en Guinée-Bissau en 1994. Ils n’étaient plus que 2 000 en 2021, grâce aux opérations de sécurisation entreprises par l’armée sénégalaise qui ont affaibli la rébellion. Plusieurs cantonnements militaires sont désormais établis dans d’anciens bastions des séparatistes. Avec environ 8 000 habitants en 2015, le repeuplement de Boutoupa Camaracounda est en bonne voie. Chaussé de grandes bottes tachées de boue, Mamadou Biaye est revenu de Guinée-Bissau « sans rien en poche », pour retrouver les champs de sa terre natale. Il ne reste plus rien de son ancienne maison, incendiée le 11 février 1991 par les rebelles. Il a longtemps servi de base arrière à l’une des factions du MFDC. Les terres locales, réputées extrêmement fertiles, sont propices à la culture de l’anacarde, un des principaux produits d’exportation de la région, faisant du bourg une position stratégique pour les insurgés. « Ils avaient aussi transformé certains champs en cultures de chanvre indien », souffle un habitant, corroborant les dires des autorités, qui accusent les rebelles de se livrer au trafic de bois et de cannabis. Après une énième opération de ratissage de l’armée, Bilass est le 23e et dernier village de Boutoupa Camaracounda à se repeupler. Abdou Diamé, le doyen, y est revenu en 2021 avec le feu vert des militaires après avoir passé trente ans à Dakar, la capitale sénégalaise. Sa famille, nombreuse, s’y trouve toujours. Car tout est encore à reconstruire dans le bourg, à commencer par les habitations. « Un ou deux bols de riz » Quelques piquets à peine visibles au milieu des arbustes laissent deviner un lotissement de fortune, mais très peu de maisons ont pour le moment vu le jour. La faute au manque d’eau nécessaire à la construction, explique Cherif Diamé, le chef du village. Le miniforage est en panne et les quelques puits se vident malgré leur grande profondeur alors que la saison des pluies vient à peine de s’achever.  

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    il y a 1 an

    il na qu'a aller se presenter en Mauritanie... ce rigolo la 

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    reply_author il y a 1 an

    Bande de dépressifs heureux va 

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    il y a 1 an

    On peut le vendre aux maures ? Celui qui dit que Maky est fort, on lui répond : s'il était fort il serait allé jusqu'au bout de son projet de troisième mandat 

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    il y a 1 an

    Qu'il reste la bas, au zoo de Nouakchot !

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    reply_author il y a 1 an

    Ah ah les sonkolait l avenir be tourne pas en vous avec vôtre gourou et  système à la con 

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    Aissatou il y a 1 an

    Au lieu d'un court voyage de 7 heures avec son bolide de luxe, le président, qui parcourt le monde entier pour prêcher les dangers du changement climatique et les valeurs vertes, il prend le jet privé pour se rendre dans le pays voisin la Mauritanie?  "Practise what you preach", Il faut mettre en pratique ce que l'on préconise!

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    reply_author il y a 1 an

    La racaille pense toujours qu'une foule folle furieuse représente le peuple.

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    Yacoub il y a 1 an

    President le plus nulle et mauvais de l'histoire du Sénégal il est très méchant arrogant un cœur sombre 👎👎👎👎👎👊👊👊👊👊👊

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