Réaménagement gouvernemental : L’APR dénonce une dérive autoritaire et appelle à l’unité de l’opposition
In the wake of the government reshuffle announced on September 6, the Alliance for the Republic (APR) reacted vigorously. In a statement released by its National Executive Secretariat, the party of former President Macky Sall believes that the changes made to the government team constitute "a deepening of the establishment of a dictatorship" in Senegal.
The APR sees the adjustments at the level of the Ministries of Justice and the Interior as a "clear" desire to control sovereign institutions. For the political party, this approach reflects the temptation of a "party-state," a practice deemed "unacceptable and from another era."
According to the APR, this government reshuffle is also a "backfire" intended to mask the executive's difficulties in its relations with the IMF, flood management, the agricultural campaign, and employment policy. The party believes that the "Sonko 2" government cannot provide concrete answers to the current economic crisis, despite the Economic and Social Recovery Plan put forward by the Prime Minister.
The statement denounces what it calls "fussy governance" marked by "a culture of resentment, the spread of hatred, and partisan justice." The APR is concerned about the consequences of this approach on the daily lives of Senegalese people, who are already facing high costs, unemployment, and flooding.
The National Executive Secretariat also denounces what it calls a "political kidnapping" of several officials and mayors of major cities, who are being prosecuted as part of accountability procedures. The APR deplores these arrests at a time when, according to it, numerous scandals – such as "Asergate" and "Onasgate" – are shaking the governance of the new authorities.
The party says it places its trust in the magistrates "who remain the bulwarks of the rule of law" as well as in the actors of the electoral system. It also calls on the "vital forces of the Nation" to stand up against what it considers a desire for destabilization, and urges the opposition to "vigilance and unity" to build a credible alternative.
Commentaires (15)
Les sénégalais veulent LA JUSTICE.
C'est une demande NATIONALE. Plus que le boire et le manger.
Les sénégalais s'en fichent éperdument de vos martyrs morts pour une cause destructrice, honteuse et ignoble. On s'en fout de ce que vous appelez justice. Les sénégalais ont des problèmes au quotidien et attendent que le gouvernement les résolve. En quoi la justice peut elle réglée le quotidien des habitants de matam, touba, kaolack, bakel qui vivent actuellement sous les eaux? En quoi une justice de vos martyrs peut permettre de reduire le prix du carburant? Vous avez quoi à la place du cerveau dans votre tete vous les pasftefiens?
Pas encore en prison - ces voleurs de nos plus de 12 000 milles Milliards en 12 ans
Quelle alternative crédible vous pouvez donner âpre avoir pillé,saccagé,détourné,tué nombre de sénégalais ?
Ils sont chanceux d'etre au senegal car au Nepal a Kathmandu, tous ces Kupunas seraient castres ou clitoridectomisees.
Je me demande même si c'est vraiment l'apr qui à réagi ou c"est encore la presse sénégalaise
Apr yeine mom xar leine yagoul dara di ngeine xam louy dérive autoritaire.
Apr la justice arrive , elle va vous botter le cul , bandes de criminels .
De quoi a peur L'APR ?PAPE MALICK NDOUR a reconnu devant le khalife général des niassenes la dette cachée donc tenez vous pret .Avec ce génocide financier et ces 80 morts vous serez traqués et foutus en prisons
Il est pour le moins indécent que l’APR ose aujourd’hui se draper dans les habits de la démocratie et de l’État de droit. Durant les 12 années de règne de Macky Sall, ce parti a incarné l’extrême opposé de ce qu’il prétend défendre : massacres de jeunes, disparitions jamais élucidées, arrestations arbitraires, musellement de l’opposition, et surtout un système de prédation généralisée des deniers publics d’un pays déjà fragile comme le Sénégal.
Comment ceux qui ont institutionnalisé le vol, la corruption et l’injustice peuvent-ils aujourd’hui parler de dictature ? Comment ceux qui ont foulé aux pieds la Constitution et les droits élémentaires des citoyens peuvent-ils prétendre donner des leçons de démocratie ?
Les Sénégalais n’ont pas la mémoire courte : c’est bien sous Macky Sall que des familles ont été endeuillées par des répressions sanglantes, que des milliards se sont évaporés dans des scandales étouffés, que la pauvreté et le chômage se sont aggravés malgré des milliards de dettes contractées au nom du peuple.
Aujourd’hui, l’APR crie au « kidnapping politique » alors que ses propres dirigeants ont bâti un système où l’impunité et le clientélisme étaient la règle. Ceux qui parlent de justice partisane devraient d’abord rendre compte de leurs 12 ans de pillage et de trahison.
Le peuple sénégalais ne se laissera pas berner : les vrais fossoyeurs de la démocratie et de l’État de droit, ce sont bien Macky Sall et son régime. Leur tentative de réécrire l’histoire pour se blanchir ne passera pas.
Ils ont dû beaucoup rigoler, en rédigeant et en publiant ce texte !!! Il n'y a meme pas lieu de commenter.........
Laissez nous dérouler messieurs les prédateurs financiers, 12 ans qu pouvoir, voleurs de deniers publics.
Si l'opposition veut prendre ce pays, il faut être ferme, constant, droit dans ses bottes, refuser tout dialogue, refuser tout compromissions, s'unir sans tricher.
Les gens du pastef ne craignent que ceux qui font comme eux.
Il faut arrêter les points de presse qui ne peuvent rien apporter de positif.
Tous ces cris d'orfraie sont normaux et légitimes, puisque la plupart de ceux qui étaient aux commandes n'ont pas la conscience tranquille, donc c'est normal qu'ils se rebiffent, En effet, l'appel à la réconciliation nationale et à la paix sociale" n'a pas eu les résultats escomptés et, pire, les chosent se précisent : LE PASTEF EST DECIDE A FAIRE JUGER TRES VITE TOUS CEUX QUI SONT MELES A DES HISTOIRES DE DETOURNEMENT OU DE MEURTRE, sans préjuger du résultat des procès.
APR est amnésique :
* En 2019 le Ministre de l’intérieur était un allié de Macky et il avait déclaré publiquement que sa mission c’est la réélection de son candidat.
* De 2023 à 2024 le Ministre de l’intérieur était un avocat, passé 1er ministre au dernier moment, quand Macky a voulu saborder son camp en mettant une personnalité neutre. Aujourd'hui c'est cet ancien ministre de l'intérieur qui gère leur part.
* Leur homme Diome était à l'Intérieur.
* Sans oublier le PDS avec l'avocat Ousmane Ngom au ministère de l'Intérieur.
* Quand à la Justice, on se souvient bien des titulaires du Département sous Macky ....
L'APR doit être dissoute et ses managers poursuivis pour association de malfaiteurs et complicité de crimes
APR Vraiment Niak Khen DIOM . Vous devriez raser les murs etre le dernier parti à parler.
APR, vous aussi, un peu de gêne quand même! Vous avez vraiment osé écrire ça? Quelle indignité! En 12 ans au pouvoir, vous avez fait énormément de remaniements avec des ministres de l'intérieur, des forces armées, de la justice purement, exclusivement et radicalement politiques alors que personne ne disait rien, pas même cette presse politique à deux balles, corrompue jusqu'à la moelle, revancharde et fondamentalement nulle, qui aujourd'hui, se permet de mettre à leurs unes des titres pompeux comme si choisir des ministres est un crime ou comme si le Président et le Premier ministre doivent les consulter d'abord avant de choisir leurs collaborateurs. Vraiment il est temps de mettre de l'ordre dans ce pays et j'espère que, justement, ces nouveaux ministres vont s'y atteler.
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