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Taxawu Sénégal : Khalifa Sall réapparaît

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Khalifa Sall, candidat malheureux à la Présidentielle du 24 mars dernier, était aphone depuis lors. Les Échos rapporte dans son édition de ce mardi 23 juillet que le leader de Taxawu Sénégal a refait surface le week-end dernier. La même source précise en ce sens « qu’il a été aperçu samedi dernier en train de présider une réunion de certaines des structures de son parti ». Il s’agissait, poursuit le journal, « de faire l’évaluation de l’élection présidentielle ».
L’ancien maire de Dakar est arrivé à la quatrième place avec 1,56% des suffrages exprimés, loin derrière le tandem Diomaye Faye-Ousmane Sonko (54,28%), et l’ancien Premier ministre Amadou Bâ (35,79%).
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    il y a 9 mois

    Khalifa franchement kou am yare kha.waye politique mome demal nopoulou

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    il y a 9 mois

    Ce pays a besoin d’hommes courageux. Pas des hésitants et des compromis

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    am diome il y a 9 mois

    na bok rek

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    il y a 9 mois

    Qu’il re disparaisse

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    BAMBA il y a 9 mois

    Son avenir politique est derrière lui..................lolllllllllllllllllll

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    il y a 9 mois

    Je souffre d'hépatite B chronique depuis plus de 10 ans, ce qui a entraîné une cirrhose du foie. Je cherchais un remède naturel que j'ai obtenu grâce aux herbes du docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses publicités sur ce blog avec une série de témoignages de ses précédents patients guéris d'un cancer du côlon. J'ai décidé d'essayer le spécialiste des plantes médicinales et j'ai passé une commande de ses suppléments à base de plantes pour l'hépatite B et la cirrhose du foie, que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. . Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives de l'herboriste, j'ai fait un test d'hépatite et mon résultat était négatif sans aucune trace de virus dans mon sang avec une charge virale complètement réduite à 40 et mon scanner du foie a montré de bonnes fonctions et fonctionne parfaitement. Je le recommande à toute personne ayant ; Diabète, cancers, désintoxication complète du corps, VPH, EBV, fibromes, gale, arthrite, coagulation sanguine, prostate, virus de l'herpès et épidémie, dysfonction érectile, cholestérol, BPCO, maladie de Lyme, asthme, psoriasis, infection à levures. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com

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    il y a 9 mois

    Bonne retraite politique !

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    azele il y a 9 mois

    Les campagnes électorales peuvent être périlleuses, chaque mot prononcé ayant le potentiel de changer radicalement le cours des événements. Khalifa Sall, avec sa phrase fatidique "Na bokk rek", en est un exemple emblématique. En prononçant ces mots, il a révélé de manière implicite que son intérêt premier n’était pas le bien-être du peuple, mais son propre sort personnel. Cette déclaration a été perçue comme un aveu de ses intentions égoïstes, montrant qu'il était prêt à abandonner ses convictions pour participer à l'élection présidentielle. En utilisant cette phrase, Khalifa Sall a laissé entendre qu'il était disposé à faire des compromis, voire à "dealer" avec Macky Sall, un dirigeant perçu par beaucoup comme un tyran. Cette perception a gravement endommagé sa crédibilité et son intégrité aux yeux du public. Ses partisans, qui avaient confiance en son engagement envers la démocratie et le bien-être du peuple, se sont sentis trahis. Ce genre de situation n'est pas unique dans le monde politique. Les électeurs attendent de leurs leaders qu’ils soient sincères et qu’ils défendent leurs valeurs sans compromis. Lorsqu’un candidat montre qu’il est prêt à sacrifier ses convictions pour des gains personnels, la confiance se brise, et les conséquences électorales peuvent être désastreuses. Dans l’histoire politique contemporaine, on trouve plusieurs exemples où des propos malheureux ont mis fin aux ambitions politiques de certains candidats. En 2014, l’ex-compagne de François Hollande, Valérie Trieweiler, a publié un livre intitulé Merci pour ce moment. Dans cet ouvrage, elle rapporte que Hollande se serait moqué des pauvres en les appelant "les sans-dents". Cette révélation a choqué l'opinion publique et a contribué à l'impopularité croissante du président, même si Hollande a nié avoir tenu ces propos. Lors du Salon de l'Agriculture en 2008, Nicolas Sarkozy, alors président de la République, a répondu à un homme qui refusait de lui serrer la main par "Casse-toi, pauvre con". Cette phrase, filmée et largement diffusée, a été perçue comme un signe d'arrogance et de mépris de la part du président, et a sérieusement entaché son image. Dans un contexte différent mais tout aussi révélateur, Amadou Ba, confronté à des rumeurs concernant une seconde épouse, a refusé d’admettre clairement cette relation, répondant de manière ambiguë et obscure. Cette absence de transparence a miné la confiance de ses partisans et a porté un coup dur à son image publique. Ces exemples illustrent à quel point la communication est cruciale en politique. Les candidats doivent mesurer chaque mot, car une seule phrase malheureuse peut transformer une campagne prometteuse en un désastre électoral. Ndongo Leye Zone B Ballon Dakar le 23 juillet 2024

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