Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
En Guinée, le référendum constitutionnel est prévu pour cette fin d’année 2024.
La presse malienne le disait depuis quelques années. Le Premier ministre Choguel Maiga et les généraux au pouvoir à Bamako ne filent pas vraiment le parfait amour.
Un Français, employé d'une compagnie de sécurité privée, a été arrêté au Niger et son dossier est étroitement suivi par le ministère français des Affaires étrangères, alors que Niamey accuse la France de déstabilisation et se rapproche de Moscou.
La Russie a empêché lundi le Conseil de sécurité de l'ONU d'appeler à un cessez-le-feu et à la protection des civils au Soudan, un veto fustigé par plusieurs Etats membres qui espéraient mettre la pression sur les deux généraux rivaux.
Le Mali, plongé dans une crise politique et sécuritaire depuis 2012, vit une période de transition complexe, marquée par les coups d'État successifs de 2020 et 2021.
Cinq soldats nigérians ont été tués et dix blessés lors d'un raid de jihadistes de l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (ISWAP) sur une base militaire du nord-est du Nigeria, ont indiqué lundi à l’AFP deux officiers.
Au Gabon, le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguéma, peut se frotter les mains. La nouvelle Constitution du pays a été adoptée par référendum samedi dernier. Le « Oui» l'a largement emporté.
Cela fait dix ans que Khadidjatou Taher vit à Tarhil, un quartier en périphérie de la capitale mauritanienne Nouakchott, et elle attend toujours d’avoir un robinet chez elle.
Les Gabonais ont massivement validé avec 91,8°% de "oui" la nouvelle constitution rédigée par le régime militaire du général Brice Oligui Nguema, présentée comme un "tournant majeur" pour le pays après la chute de la dynastie Bongo.
La société minière australienne Resolute a annoncé lundi avoir conclu un accord de 160 millions de dollars pour régler ses litiges avec le gouvernement du Mali, après l'arrestation de son directeur général et de deux autres cadres à Bamako au début du mois.
Le Premier ministre civil du Mali, Choguel Kokalla Maiga, a appelé samedi les chefs militaires du pays à discuter de la fin de la période dite de "transition", dans une rare critique de la junte au pouvoir.
Le couvre-feu mis en place au Gabon depuis le putsch qui a porté au pouvoir le général Brice Oligui Nguema, a été renforcé samedi pour que le référendum sur la nouvelle Constitution...
Le chanteur Salif Keita soutient pleinement les actions et surtout les décisions prises par les généraux au pouvoir à Bamako
En Gambie, le chef de file de l’opposition, Ousainou Darboe, a exhorté le président Barrow à révéler la source de financement de son manoir de Mangkamang Kunda.
L'intoxication mortelle de 23 enfants depuis le début de l'année autour de Johannesburg a nourri une énième vague antimigrants en Afrique du Sud.
Arrêté dans la nuit du mercredi à jeudi, l’ancien directeur général de la Police nationale béninoise, Louis Philippe Houndégnon, a été placé sous mandat de dépôt après sa présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet). Le général est poursuivi pour incitation à la rébellion et harcèlement par le biais de moyens électroniques.
Salif Keïta est sans conteste, l’une des plus belles voix d’Afrique. Sa musique a bercé depuis plus de 40 ans les mélomanes du continent. La virtuose malienne a à son actif une vingtaine d'albums.
Arrêté dans la matinée d’hier mercredi 13 novembre 2024, l’ancien vice-président du Conseil national de transition (CNT) Issa Kaou Djim a été placé sous mandat de dépôt, après sa présentation au procureur du tribunal chargé de l’assainissement du cyberespace.
Le moins qu’on puisse dire c’est qu’il s’y attendait.
Lors du forum international à Sotchi, en Russie, le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a soulevé des questions épineuses qui résonnent profondément dans les débats géopolitiques contemporains : la question du terrorisme au Sahel, les ingérences étrangères et la souveraineté des États africains. Selon Diop, le terrorisme dans la région ne doit pas être interprété comme une simple insurrection locale, mais comme une stratégie complexe manipulée par des puissances extérieures dans le but de déstabiliser les États africains et maintenir un contrôle politique sur eux. Il a particulièrement mis en cause les anciennes puissances coloniales, accusées de « fabriquer » et soutenir le terrorisme pour affaiblir les régimes africains et maintenir une domination néocoloniale.