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Sans Trump, "je ne suis pas sûr que je me présenterais" en 2024, dit Biden

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Sans Trump, "je ne suis pas sûr que je me présenterais" en 2024, dit Biden

"Si Trump n'était pas candidat, je ne suis pas sûr que je me présenterais", a dit mardi le président américain Joe Biden, qui briguera un second mandat lors de la présidentielle de 2024.
"Mais nous ne pouvons pas le laisser gagner", a ajouté le démocrate de 81 ans lors d'une rencontre avec des donateurs démocrates près de Boston (nord-est), à propos de l'ancien président républicain.
Joe Biden, dont la campagne a du mal à décoller, affirme depuis longtemps qu'il est le mieux placé pour battre à nouveau Donald Trump.
Le démocrate, dont l'âge inquiète les électeurs et qui peine à vendre son bilan économique, répète régulièrement que la démocratie elle-même est en jeu dans cette nouvelle confrontation annoncée avec l'ancien homme d'affaires.
Malgré son impopularité, et sauf grande surprise ou grave problème de santé l'obligeant à se retirer, le président américain est presque assuré de remporter la nomination de son parti pour l'élection de novembre 2024.
Donald Trump, de son côté, est pour l'heure le grand favori de la primaire républicaine.
Auteur: AFP
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Comments

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    Ios il y a 1 an

    N'est ce pas ce que disait un certain Ouattara ?

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    reply_author il y a 1 an

    En tout cas on a la preuve que la folie du pouvoir n'est pas seulement africain! Paul Biya peut respirer tranquillement lui qui est la depuis 60 ans Au moins il pourra dire " je ne suis pas le seul vieux au pouvoir". Biden ne tient plus sur ses jambes et il veut se présenter encore! On dirait qu'ils lui mettent des garrots aux genoux pour qu'il tienne debout.  

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    Sénégal il y a 1 an

    Aucune chance devant Trump, il sera battu à plate couture. Trop vieux. Il aurait dû se mettre à l'écart et laisser les plus jeunes démocrates se présenter. 

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    il y a 1 an

    Biden est Bien Mais il doit laisser tomber. Il a fait du bon travail

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    reply_author il y a 1 an

    Biden mal barré pour 2024. Déjà un affreux échec que Trump puisse revenir en sérieux gagnant possible malgré tout ce qu'on lui a reproché hier et aujourd'hui. Sûr de gagner ses primaires républicaines, pure formalité.

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    il y a 1 an

    Biden sait mieux que tout le monde qu'il est vieux et de moins en moins  populaire pour le moment aux yeux des américains mais il pense qu'il est le meilleur profil  pour barrer la route au fasciste Trump. Y arrivera- t- il ?  J'en doute mais que ce soit au Sénégal ou  ailleurs  barrer la route aux fascistes est une nécessité. Espérons que Macky laissera le pouvoir à un démocrate,un homme du système qu'il soit de son camp ou de l'opposition mais pas à un marchand d'illusions. Wa Salam. PS: nous voulons un Président qui suivra les pas de Senghor, Diouf , Wade et Macky mais pas un aventurier.

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    Un passant il y a 1 an

    De toutes les façons, tu es trop vieux.  Tu as déjà perdu une bonne partie de ta mémoire. Malheureusement la vice-présidente manque de charisme et de tonus, en plus d'être noire et d'une part d'origine asiatique. C'est là la vraie raison pour laquelle Biden se présente encore en 2024. Si c'était Hillary Clinton la vice-présidente, Biden lui aurait laissé la place.

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    reply_author il y a 1 an

    De toutes les façons, tu es trop vieux. Tu as déjà perdu une bonne partie de ta mémoire. Malheureusement la vice-présidente manque de charisme et de tonus, en plus d'être noire et d'une part d'origine asiatique. C'est là la vraie raison pour laquelle Biden se présente encore en 2024. Si c'était Hillary Clinton la vice-présidente, Biden lui aurait laissé la place.

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    reply_author il y a 1 an

    Ah bon; quel bon travail? Les usa sont mal barrés à l'intérieur et à l'extérieur et son dollar est en train de se découdre à travers le monde. Biden ne va pas se presenter avec ou sans Trump. Il est fini mentalement et même physiquement.

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    Un passant il y a 1 an

    De toutes les façons, tu es trop vieux. Tu as déjà perdu une bonne partie de ta mémoire. Malheureusement la vice-présidente manque de charisme et de tonus, en plus d'être noire et d'une part d'origine asiatique. C'est là la vraie raison pour laquelle Biden se présente encore en 2024. Si c'était Hillary Clinton la vice-présidente, Biden lui aurait laissé la place.

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    JeuneFilleSénégalaise il y a 1 an

    Merci de lire; l'oubli est la ruse du diable. Source : https://pastef.org/appel-aux-patriotes/ Pourquoi le Sénégal, qui avait le même niveau de développement que la Corée du Sud en 1960, est actuellement classé au 155e rang mondial de l’indice de développement humain, au moment où le « Pays du Matin calme » (dont les marques Samsung, LG et autres Hyundai font le bonheur des Sénégalais) occupe le 15e rang ? Pourquoi le Sénégal, pays qui, malgré les ravages de la colonisation, est sorti de cette période avec davantage d’acquis (port, université, chemin de fer, cadastre urbain…) que les autres colonies françaises de l’ouest africain, se voit aujourd’hui supplanter dans bien des domaines par ses voisins ? Pourquoi le Sénégal, malgré sa tradition intellectuelle aussi ancienne que forte, malgré qu’il n’ait jamais connu de coup d’Etat militaire, malgré qu’il ait longtemps été choyé par l’aide publique au développement, malgré qu’il se targue de cultiver une cohésion sociale solide et de posséder une administration publique correcte, pourquoi le Sénégal n’a pas su se hisser, au minimum, au même niveau que la Malaisie, un pays qui, il y’a 50 ans, ne partait pas sur de meilleures bases que nous alors qu’il nous fait aujourd’hui rêver ? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-ce le nom du pays de l’argent facile admis comme ascenseur social, du verbe facile au détriment de l’action concrète, du paraître au détriment de l’être, du népotisme au mépris de la compétence, de l’hypocrisie déguisée en pudeur et érigée en valeur sociale ? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-ce le nom d’une nation où l’argent-roi structure les rapports sociaux, où l’argent vaut mieux que l’intégrité, où la politique constitue un métier comme un autre, permettant de s’enrichir tout en s’achetant un brevet de bonne conduite sociale à coups de largesses? De quoi SENEGAL est-il le nom ? Est-il synonyme d’occasions manquées, d’espérances gâchées, d’ambitions ravalées, de potentialités étouffées, de labeur sans cesse recommencé, de l’échec qui, inévitablement, couronne nos malheureuses tentatives de réussir quelque chose de bien, quelque chose de grand, quelque chose de durable ? Il est temps que cela change. Le monde d’aujourd’hui est impitoyable, plus que d’habitude devrait-on dire car le monde n’a jamais été un havre de bonheur tranquille… La mondialisation de l’économie a fait de la planète un immense terrain de jeu où les règles peuvent se résumer en un mot : compétitivité. Seuls les meilleurs au jeu auront une chance d’acquérir et de conserver un niveau de vie élevé. Les autres ne disparaîtront pas mais ils seront condamnés à survivre à la périphérie, en sous produits du système capitaliste. La mondialisation du droit a unifié les règles du jeu ; aucun Etat ne peut imposer les siennes propres qui lui seraient a priori favorables. La mondialisation est une chance si l’on sait en exploiter les immenses possibilités, car elle peut raccourcir le temps de l’émergence. Elle sera un tombeau si l’on n’est pas capable de s’adapter à ses immenses défis, car elle peut accélérer le temps du déclin. Il faut donc mettre le Sénégal en position de remporter cette bataille. C’est à la fois facile et difficile. Facile, car le chemin est connu, difficile car emprunter le chemin et s’y maintenir nécessitent énormément d’efforts, de volonté et de patience. Ce chemin, on peut presque le décrire en deux mots : 1. Travail : ayons la lucidité de reconnaître que la valeur travail n’est pas suffisamment enracinée dans nos modes de vie, à de rares exceptions près. Pour trop de Sénégalais, particulièrement au sein de cette frange censée représenter l’« élite », le travail est une souffrance à laquelle on cherche à échapper en louvoyant, en trichant, en faisant semblant (car, en même temps, on aime l’argent que procure le travail). Mais lorsque le travail est érigé au rang de valeur, lorsque cette valeur est incarnée par des dirigeants de qualité, le travail se révèle source d’épanouissement, au-delà de la rémunération matérielle qu’il procure. 2. Éthique : ayons le courage de reconnaître que l’intégrité constitue chez nous davantage une posture qu’une conviction. Nous aimons parler des valeurs, de ce qui doit être, de la morale et de la religion, mais cela se limite à la rhétorique… Or, sans ces interdits que chacun doit se fixer pour éviter de nuire aux autres, jamais les comportements du plus grand nombre ne sécrèteront le bonheur collectif. Les bases éthiques du comportement individuel, chacun peut les puiser dans la religion s’il en pratique, dans la tradition s’il y est attaché, ou, en l’absence même de référentiel axiologique, dans la simple conscience que certains actes nuisent à l’intérêt collectif et donc, dans le long terme, à soi-même. Prendre conscience des autres, toujours tenter de concilier son intérêt propre avec l’intérêt des autres, il y’a un sentiment qui permet d’y parvenir et que chacun doit s’efforcer de cultiver : c’est la fraternité. C’est pour insuffler une nouvelle dynamique sociale, reposant sur le travail et sur la fraternité, que nous proposons une nouvelle offre politique.  Pourquoi faire de la politique, dans un pays où la politique a aussi mauvaise presse, où elle a été tant discréditée par les comportements des hommes politiques ? Parce que la politique reste la moins mauvaise manière de se mettre au service de l’intérêt collectif. Le Sénégal est un Etat démocratique et les outils et procédures qui permettent de toucher le plus grand nombre de citoyens pour, si l’on est investi de leur confiance, tenter d’améliorer leurs conditions de vie, ces outils et procédures relèvent du champ politique.  Quitte à faire de la politique, pourquoi créer un nouveau parti dans un pays qui en regorge déjà ? Parce que l’inflation des partis (il en existerait actuellement plus de deux cents…) est justement la preuve que ce pays est encore à la recherche d’une offre politique crédible, sincère et capable de porter les aspirations de la majorité des Sénégalais. Qu’est-ce que la nouvelle offre politique prétend avoir de différent par rapport aux innombrables l’ayant précédée ? Elle a cette différence d’être portée par des citoyens qui sont réunis autour de trois principes :  1- la nécessité de « démarchandiser » la politique : l’argent a pris une place inconsidérée dans la pratique politique au Sénégal, or ces citoyens n’ont aucunement l’intention de faire de l’argent leur arme de guerre. Ils ne souhaitent pas acheter des convictions, ce qu’ils souhaitent c’est convaincre par les idées, par des comportements vérifiables au quotidien, par un amour profond pour le Sénégal et par l’intime conviction que, malgré l’immensité de la tâche, il est encore possible de redresser ce pays ;  2- la nécessité de trouver de nouvelles voies de développement économique et social : depuis 50 ans, quels que soient les gouvernements en place, les politiques publiques empruntent les mêmes schémas, avec la même forte dépendance à l’aide extérieure. Ces schémas ont largement prouvé leur inefficacité, voire leur caractère nuisible, et il faudra du courage politique pour rompre avec eux et inventer une nouvelle gouvernance économique et sociale ; 3- la nécessité de redéfinir le contrat sociétal qui lie les Sénégalais : depuis plusieurs années, sous l’effet de la crise économique et sociale mais aussi des manipulations politiciennes, la société sénégalaise est entrain de se déliter lentement mais sûrement. Les communautarismes (à base religieuse, confrérique, ethnique, régionaliste, etc.) augmentent, le repli sur soi grandit et l’action publique devient de plus en plus le reflet d’influences dominantes qui se succèdent, au lieu de traduire un projet national fédérateur, stable, projeté vers le futur, tout en étant respectueux des identités spécifiques.  C’est à cette nouvelle offre politique que nous vous proposons, non pas nécessairement d’adhérer, mais de prêter une oreille attentive, pour juger par vous mêmes les femmes et les hommes qui l’animent, pour entendre le diagnostic qu’ils font des maux dont souffre notre pays ainsi que les solutions qu’ils proposent, pour évaluer et critiquer la qualité de leur action, pour apprécier leur sincérité et, à l’heure des choix importants pour le devenir du Sénégal, pour en tirer toutes les conséquences en vous laissant guider par une seule chose : la recherche du meilleur intérêt de ce pays que nous avons en commun.  Ceci est donc un appel. Cet appel repose sur la conviction que, dans l’âme de la majorité des Sénégalais, malgré le découragement, en dépit de la tentation égoïste, au-delà de la crainte que peuvent inspirer des forces hostiles, il survit une flamme qui refuse de s’éteindre : c’est la flamme du patriotisme.  De cette flamme, nous voulons faire un feu qui chassera les ténèbres du repli sur soi, du pillage des ressources publiques, du clientélisme, de la gabegie, de l’incompétence, bref, des nombreux maux qui gangrènent ce pays que nous refusons de contempler à l’abandon.  Oui, nous voulons mériter le beau nom de patriotes car nous avons une dette envers notre pays et nous entendons la payer. Sans naïveté aucune ! Nous sommes conscients de l’ampleur de la tâche et nous entendons déjà les ricanements des sceptiques : le patriotisme, cette vieillerie, cette idée démodée, cet idéal poussiéreux… Mais nous n’avons pas peur de paraître démodés car nous mesurons trop l’état de délabrement économique, social et moral dans lequel baigne notre pays ; nous souffrons trop des mensonges et des actes qui perpétuent cet état ; nous croyons trop dans le triomphe de la volonté, lorsqu’elle est ardente et sincère, lorsqu’elle s’incarne dans cette valeur traditionnelle que certains nomment «PASTËF». C’est pour cela que nous nous engageons dans l’action politique qui, pour nous, signifie l’Action au service de la Cité. Nous vous y invitons, chers Patriotes Sénégalais qui croyez dans le Travail et la Fraternité. Nous ne vous promettons ni richesse ni confort mais beaucoup de labeur et de difficultés à surmonter, avec toutefois au final la plus belle des récompenses : le sentiment d’avoir été utile à son pays.

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