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Enquête sur les conditions de travail des reporters : Le président de la CJRS dévoile des résultats médiocres

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«Fidèle à sa vocation, la Convention a commandité récemment un important sondage pour essayer de documenter la condition des reporters dans les différents médias. Sans surprise, les résultats sont loin d’être fameux ». Ces mots sont du président de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS). Migui Marame Ndiaye s’exprimait ainsi, ce samedi 20 mai, à l’occasion de la 11ème édition du Gala national de la presse.
Selon lui, la structure est plus que jamais convaincue de la nécessité de retrousser davantage les manches pour surmonter les montagnes de difficultés qui assaillent les jeunes reporters. « Qu’elles soient internes ou externes et parmi ces difficultés, la première résulte des conditions de travail difficiles des jeunes reporters », a-t-il précisé.
De ce fait, le journaliste à la Radio Sénégal international (RSI) a dévoilé quelques résultats de l’enquête faite par la CJRS. Ce, en attendant la publication officielle du document dans les semaines à venir. « Sur 216 reporters qui ont répondus à notre enquête, environ 44% seulement ont soit un contrat à durée indéterminée (21,1%) soit un contrat à durée déterminée (11,1%)… », a dévoilé Migui Marame Ndiaye. Il ajoute que « tout le reste sont des prestations (22,2%) ; stage (17,1%) et 26,4% des reporters ne sont liés à leurs employeurs par aucun de ces différents types de contrats ».
Le président de la CJRS de souligner que l’étude montre également que près de 70% des personnes ayant répondu ne disposent pas d’exemplaires de leurs contrats. « Sur 181 réponses, on apprend également que moins de 20% ont confirmé que leurs contrats sont enregistrés à l’Inspection du travail ; tandis que 22,3% ont des bulletins de salaires ; 14% seulement ont une couverture maladie ; 14% un numéro IPRES. Et j’en passe… », poursuit-il.
Il annonce que ce rapport sera partagé avec les différentes parties prenantes, notamment notre Ministère de tutelle et son homologue en charge du Travail, mais aussi et surtout le Patronat, «qui est leur partenaire naturel et qui est aussi confronté à des limites objectives, qu’il conviendra de prendre en charge ».
Auteur: Awa FAYE
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Comments

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    Bruno il y a 1 an

    Un pays sans foi ni loi. Depuis le temps de Madia Diop Rien nest fait pour Les travailleurs

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    Sénégal il y a 1 an

    Votre site m'inspire de plus en plus du dégoût, je ne manquerai à personne certes mais entre nous franchement vous ne valez plus rien aux yeux de nombreux citoyens  Wassalam  

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    il y a 1 an

    kiii reporter la? soyons serieux!!!! il ressemble a un talibé du daara de coki. mais rien ne m'étonne au sénégal

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    Bababé il y a 1 an

    Dauminique Strauss-Kahn est un grand homme. Piège ou pas piège, il ne devait pas faire. Il a fait, il est pris, il s'est effacé.

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    reply_author il y a 1 an

    parce que seneweb dit maintenant la verité sur sonko, pourquoi vous l'insultez. heureusement pour seneweb, il n'est jamais trop tart quand tu es comptable des 14 morts il y a 2 ans a cause de votre parparlo et de la desinformation de l'époque 

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    reply_author il y a 1 an

    POURQUOI LA CJRS NE OARLE PAS DES JOURNALISTES PERSECUTES ET EMPRISONNES PAR LE POUVOIR ? CEST SIMPLE. PARECE QUILS SONT DES VENDUS SANS MORALE NI ETHIQUE DES PIQUE ASSIETTES AFFAMES ET PRETS A SE DONNER AU PLUS OFFRANT; HONTE A VOUS CJRS DES JEUNES SANS COURAGE ET PUIS SALES COMME DES POUX. DOMMAGE

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    il y a 1 an

    Strauss kahn SK = SonKo quel nirowalé mdr  pour les reporters vous envoyez des membres de pastef sur le terrain key il faut les matés mou diekh 

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