Une vingtaine de journalistes, représentant plus d’une dizaine de médias (presse écrite, radio site en ligne et Tv) ont participé à un atelier de formation sur les violences basées sur le genre à Dakar.
L’objectif de l’atelier est d’impliquer les acteurs de la presse dans la vulgarisation des connaissances sur le nexus des violences basées sur le genre (VBG/SSR) et les défis du dispositif d’accompagnement.
Organisé par HIRA , cet atelier a réuni des journalistes membres du Réseau des journalistes en santé, population et de développement.
Une occasion saisie par les organisateurs pour discuter du traitement des VBG et de leurs effets sur la santé reproductive des victimes afin d’engager les acteurs de la presse à un traitement plus pointu de ces questions.
Selon Leyti Fary Ndiaye, membre de l’équipe de recherche qui pilote le projet HIRA appuyé par le centre de recherche en développement international( CRDI) et porté par le Laboratoire de recherche à l’université Gaston Berger de Saint Louis ,« cet atelier avec les journalistes rentre dans le cadre du partage des rapports sur les quatre volets de recherche sur la perception des violences basées sur le genre et santé reproductive sur les bonnes pratiques des centres prise en charge, monographie et une enquête sur la cartographie qui permet de montrer un monde crucial des centres hébergements au Sénégal la non implication de l’Etat”. “Sur 75% des centres , 25% seulement sont créés ,pris en charge par les pouvoirs publics, c’est pour cela que nous voulons associer les journalistes au travail de sensibilisation ,et de plaidoyer et voir comment faciliter le recours des femmes et des filles vers les personnes ressources compétentes”, a-t-elle ajouté.
Cette initiative fait partie du cohorte de projets appuyés par le programme “amélioration de la santé des adolescents au Sénégal Ados “cofinancé par le CRDI et Affaires mondiales Canada.
L’atelier s’est conclu avec l’engagement des participants à renforcer leurs actions en faveur de la lutte contre les violences basées sur le genre.
Auteur: Seynabou DIAGNE (Kaolack)
Comments
A quoi servent la tete des intellectuels africains? D'autres avec leurs programes souvent de destruiction de la cellule familliale traditionelle, viennent en Afrique et les africains comme des enfants eleves, prennent tout. Aucune dignite ni de conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Faut beaucoup se méfier des tout ce qui est qualifié de GENRE. En effet , le projet de déconstruction de notre SOCIETE se cache ,en partie,dans ce vocable.En pratique,ceux qui veulent s attaquer à nos valeurs pour les remplacer par les leurs,partent de certaines injustices pour prétendre les combattre.En vérité,ils veulent instaurer une autre forme d injustice qui profite à leurs cibles. Nous,au Sénégal,OUI aux Droits pour chacun ; mais aussi OUI aux DEVOIRS pour chacun. Autrement dit,nous disons absolument NON à l occroi de DROITS simplement et non de DEVOIRS aux personnes que vous ciblez. DROITS ET DEVOIRS VONT DE PAIRE. Si vous dénonvcer les discriminations négatives touchant certains,dénoncez aussi les discrimionations positives qui les favorisent injustement,souvent sans qualifications ni aptitudes. Y EN A MARRE DE CEUX QUI ENCOURAGENT DES INJUSTICES ALORS QU ILS PRETENDENT LES COMBATTRE. Cette hypocrisie devient insoutenable , ainsi que ce projet de déconstruction de nos sociétés africaines.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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