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Fonds d'appui à la presse : L’APEPS exige un traitement équitable

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L’Association des patrons et éditeurs de presse du Sénégal (APEPS) appelle « à un traitement équitable, juste et équilibré dans la distribution des fonds d'appui de   l'État à la presse ». 
En effet, suite à l’annonce du Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) informant la suspension de parution des quotidiens "Stades" et "Sunu Lamb", l’APEPS dit être «très sensible  à l'annonce » de Mamadou Ibra Kane, mais dénonce dans la foulée « toute forme de discrimination au sein de la corporation qui est une et indivisible ».
Auteur: Léna THIOUNE
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Comments

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    Ngouri il y a 10 mois

    La mauvaise gestion est une des causes de la disparition de ces 2 journaux., l'économie d'échelle voudrait qu'on ai un journal qui traite du sport et non deux journaux pour la même chose. Certains me diront que la lutte et le football sont différents cela est vrai. Les grands journaux qui traitent du sport ont un seul et unique journal qui traite de tous les sport. En plus, plusieurs journaux traitent le même sujet pour une clientèle au pouvoir d'achat limité. Le mur n'est pas loin Qu'est ce qui explique cette prolifération de ces journaux, l'argent facile dont l'origine est à chercher dans la compromission. Il ne faut pas jouer avec les mots, il n'y a pas 20 personnes qui sont inscrit à IPRES et CSS. Les impôts devraient aussi revoir les déclarations des retraits sur salaires versés. Quand à la gestion équitable du fond d'appui à la presse le premier critère doit être: écarter ceux qui ne sont pas en règle avec le fisc, La priorité de l'appui à ceux qui respectent leurs devoirs. Cet appui doit se faire plutôt dans les équipements qu'ils auront choisi à hauteur de leur quotte part. et très peu de cash.

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    il y a 10 mois

    Je n'ai jamais ntendu ou lu quelue part dans le monde, une association des "patrons de presse", le mot patron étant trop chargé, c'est à se demander si ceux qui ont créé cette association savent le sens de ce mot. C'est à ne rien comprendre: il y a trop d'associations de presse dans ce pays. Tout ça pour l'aide de la presse!!!!

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    reply_author il y a 10 mois

    le problème de la presse c'est qu'ils veulent continuer comme leurs aînés. or ce n'est plus possible. les gens au lieu d'acheter des journaux papier suivre des journaux parlés regardes le jt etc.. ils préfèrent de plus en plus suivre les infos avec les chaînes YouTube. la plupart des journalistes disons populaires humoristes activistes politiciens… ont leur propre chaîne YouTube. cette donne tant que les journalistes qui sont encore dans les médias traditionnels ne l'ont pas bien assimilés, ils vont rester au fond du gouffre. les informations circulent à une vitesse trop rapide et personne ne veut être le dernier à savoir. malheureusement il y a énormément de déchets, de fausses infos etc... mais c'est normal pour un nouveau mode d'information. la régulation va permettre de la normaliser. le support papier est quasiment condamné même ailleurs dans les pays développés des journaux parfois centenaires ont été obligés d'arrêter de paraître en papier au profit du digital. par exemple pour la lutte; la plupart des amateurs ne savent même pas lire. même pour ceux qui savent lire pour des debriefs post-combats ils ne se feront pas prier pour se connecter et suivre les commentaires d'un ou de plusieurs sites sur le net au lieu de patienter jusqu'au lendemain pour acheter un journal, pareil pour le foot. il urge que la presse puisse faire ses états et établir de nouveaux business plans.

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    il y a 10 mois

    Messieurs les journalistes donneurs de leçons, payez d’abord vos impôts au lieu de pleurnicher et de crier à la dictature quand on vous le rappelle

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    Doff bi il y a 10 mois

    On ne peut pas se lever un beau matin et décider de fermer son entreprise. Il existe une procédure et les droits des travailleurs doivent être payés de même que les dettes (impôts, fournisseurs) J’interpelle l’état à travers l’inspection du travail et autre organes

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    Doff bi il y a 10 mois

    On ne peut pas se lever un beau matin et décider de fermer son entreprise. Il existe une procédure et les droits des travailleurs doivent être payés de même que les dettes (impôts, fournisseurs) J’interpelle l’état à travers l’inspection du travail et autre organes

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    def il y a 10 mois

    Une bonne partie de la presse était perfusée par le Macky. 50 millions par ici, 70 par là en fonction de la tension politico-sociale du pays. Aujourd'hui, le régime a changé, et on sait pourquoi les nouveaux maitres des lieux étaient diabolisés. La presse est l'un des secteurs les plus corrompus de ce pays... Payez vos impôts

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