La Journée de lutte contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes a été célébrée hier dans le monde, ainsi qu’au Sénégal.
Une occasion, pour l’Association des éditeurs et professionnels de la presse en ligne (Appel), en collaboration avec la Coordination des associations de presse (Cap), de se rapprocher de l’Association des journalistes correspondants en banlieue (Ajcb) pour échanger sur la sécurité des journalistes qui évoluent dans cette zone.
A en croire Ibrahima Lissa Faye, Président de l’Appel, «il est important qu’au Sénégal, les journalistes se retrouvent pour discuter des problèmes d’impunité et de sécurité notés dans la banlieue, qui est une zone sensible. Nous nous sommes rendu compte que les reporters de la banlieue sont aussi agressés, brutalisés et, très souvent, ce sont des actes qui restent impunis. C’est des choses qui doivent cesser. Aujourd’hui, quand un journaliste est brutalisé, agressé ou même tué, c’est une démocratie qui est balafrée».
Et d’ajouter : «C’est une bonne partie de la population qui reste sans information, parce que les journalistes restent un maillon important de la société et sans eux, l’information ne peut pas circuler normalement. C’est pourquoi cette journée est célébrée à travers le monde pour la protection des journalistes, pour la sécurité des journalistes, mais surtout pour que les Etats mettent en place un environnement sain dans lequel les journalistes pourront se mouvoir et faire leur travail correctement. Un Etat doit se donner les moyens de protéger ses journalistes», a-t-il défendu.
Dans cette même perspective, le président de l’Association des journalistes correspondant en banlieue (Ajcb), Alassane Hanne, de dire qu’il est difficile d’exercer le métier de journaliste en banlieue, à condition de soutenir davantage les journalistes qui sont dans cette zone, lit-on dans le quotidien «Libération».
Auteur: Aminata Dione (Stagiaire)
Comments (5)
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Ce gars profiter bien du régime de Wade comme chaque régime a ses journalistes à engraisser Macky lui a couper les marchés.Maitenant il tire le diable par la queue il faut lui donner des marchés mais cela n’enlève en rien que les opposants comme les journalistes fopiveny être protégés
DISEZ AUSSI QUE CERTAINS JOURNALISTES SONT DANS LA MANIPULATION ET COMPLOT
Dans un État démocratique, les journalistes n'ont pas de parti pris ou se mettent à mentir du matin au soir ,pour le grand plaisir de leur mari opposant. Je veux cuter6 pape alé niang , Ahmed aidara ,babacar touré et moustapha diop.
ceux que tu cites ici n'arrivent pas la cheville , Latif coulibaly, Madiambal diagne, soro diop, mamoudou ibra kane, alassane samba diop etc....du temps de wade Ils ont inventés n'importe quels mensonges pour faire tomber wade . Alors ceux que tu cites ici peut etre à part babacar touré font correctement leur job , ameth aidara ne fait que repeter ce que la presse écrit, moustapha diop lui fait des analyses objectives.
Vous passez la journée à mentir sur les gens et vous voulez être protégés.
On ne protège pas des menteurs
Partis d'opposition ou coalitions reconnus devraient être protègés par les forces pubiques. Ce sont des Senegalais !
Pas seulement ses journalistes mais ses citoyens.
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