De jeunes membres d’organisations paysannes étaient ce samedi à Kaolack, dans le cadre d’une campagne de plaidoyer pour une révision de la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale prenant en compte leurs préoccupations. Ils réclament aussi un audit des programmes publics d’insertion des jeunes ruraux.
En conférence de presse, ces jeunes, membres du Conseil national de concertation nationale et de coopération des ruraux (CNCR) se sont engagés pour une meilleure prise en compte de leurs préoccupations dans la révision de la loi agro-sylvo-pastorale. Cet appel a été lancé le samedi dernier à Kaolack, dans le cadre d’une campagne de plaidoyer. Alioune Badara Diongue, président du collège des jeunes de ladite plateforme est revenu sur les défis auxquels leurs camarades sont confrontés.
« Les jeunes qui vivent en milieu rural ont besoin d’un accès à la terre, à la production et au crédit pour leurs projets agricoles. Cela doit passer par une révision de la loi susévoquée en prévoyant des dispositions spécifiques aux jeunes ruraux. Nous saluons à ce propos la volonté affichée du président Bassirou Diomaye Faye et de son gouvernement de réviser la loi agro-sylvo-pastorale conformément au plaidoyer du CNCR et des acteurs du secteur agricole », a-t-il expliqué.
Sincèrement dans ce pays tout est sens dessus sens dessous. En milieu rural, vous ne verrez que des enfants de moins de 15 ans dans les champs. Les gros gaillards sont sous l'arbre à palabre à boire du thé matin jusqu'au coucher et le reste à dakar comme marchands ambulants. Ils ont vraiment le complexe de travailler la terre. Je suis dakarois et j'ai des champs que je cultive mais difficile de les faire travailler.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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Sincèrement dans ce pays tout est sens dessus sens dessous. En milieu rural, vous ne verrez que des enfants de moins de 15 ans dans les champs. Les gros gaillards sont sous l'arbre à palabre à boire du thé matin jusqu'au coucher et le reste à dakar comme marchands ambulants. Ils ont vraiment le complexe de travailler la terre. Je suis dakarois et j'ai des champs que je cultive mais difficile de les faire travailler.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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