Au cours de son intervention lors du Conseil des ministres de ce mercredi, le Premier ministre, Ousmane Sonko, "a demandé au ministre, Secrétaire général du Gouvernement, de coordonner les travaux de finalisation de sa Déclaration de politique générale (Dgp) qu’il compte effectuer dans les plus brefs délais devant la nouvelle Assemblée nationale".
Cette question avait suscité de vives polémiques au Sénégal. M. Sonko avait décidé de ne pas se rendre devant l'Assemblée nationale alors dominée par la nouvelle opposition.
Par ailleurs, le chef du gouvernement a exhorté les ministres à engager l’année budgétaire 2025, en accordant une priorité aux dossiers les plus urgents.
À cet effet, chaque ministère est instruit d’élaborer un plan d’actions pour le premier semestre 2025, d'après le communiqué du Conseil des ministres.
Auteur: Aminata SARR
Comments
Trop tard. Cette dpg on en veut plus.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
bravo, devant une assemblée plus responsable représentant le choix de la majorité des sénégalais, toutes les petites personnes de macky sall ont été dégagées de là-bas, les débats seront désormais plus intellectuels et sains, il ne reste qu'une dizaine de bodio bodio qui ne font même pas du bruit quand ils applaudissent, ndeyssane, thiateu guaaw dé, thieyy sougniou borome hhhh
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lol qui t'a demandé ton avis, la majorité des sénégalais qui ont voté pour la nouvelle majorité en veulent, tu n'as qu'à aller voir ailleurs, on s'en fout de çaa
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Dans son courrier réponse a Guy Marius Sagna le 15 juillet 2024. Sonko avait déclaré que Son DPG est prête . Le 03 Décembre 2024 , il attend la finalisation des services pour faire sa DPG. Donc en juillet il faisait du bluff, un État c'est sérieux surtout la parole publique.
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une DPG tient compte des évolutions et mises a jour.
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Devant les moutons qui vont l’applaudir, il est courageux. Dpg safatoul dara franchement.
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Devant des motos oui
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La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion et la liberté d'expression. Fin 2022, 533 journalistes sont emprisonnés dans le monde, ils étaient 488 à la même date en 2021. Les cinq pays détenant en prison le plus de journalistes en 2022 sont la Chine (110), la Birmanie (62), l'Iran (47), le Vietnam (39) et la Biélorussie (31). La liberté de la presse est considérée par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) comme une composante de la liberté d'expression (article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme). La protection des sources d'information des journalistes, sans exceptions ni restrictions, est considérée comme « l'une des pierres angulaires de la liberté de la presse »1. Souvent confondue avec le secret professionnel, qui était son appellation initiale dans les chartes de déontologie, elle s'en distingue pourtant fondamentalement et n'est pas assurée de manière uniforme dans tous les pays industrialisés. Nature des atteintes à la liberté de la presse Les atteintes à la liberté de la presse se manifestent : d'une part, l'entrave au pluralisme et l'indépendance des rédactions, notamment : la concentration des médias par de grands groupes industriels, les pressions fiscales, les pressions financières, les pressions politiques, d'autre part, l'entrave au métier de journaliste, notamment : l'assassinat de journalistes, l'emprisonnement de journalistes, l'enlèvement de journalistes, l'agression de journalistes, les menaces de journalistes. En novembre 2015, Can Dündar éditorialiste du quotidien Cumhuriyet et lauréat du Prix Reporters sans frontières3 est emprisonné dans les geôles turques pour des révélations sur des livraisons d’armes aux rebelles syriens4. Fin décembre 2015 Can Dündar rédige le texte intitulé À l’Humanité5 dans lequel il expose les principales raisons d'atteinte à la liberté de la presse dans le monde. Chaque année, l'ONG Reporters sans frontières établit une liste des pays du point de vue de leur liberté de la presse. Le classement mondial de la liberté de la presse est fondé sur les réponses aux enquêtes envoyées aux journalistes membres d'organisations partenaires de RSF, aussi bien qu'aux spécialistes de la question : les chercheurs, les juristes et les activistes des droits de l'homme. L'enquête porte sur des attaques directes faites aux journalistes et aux mass-média aussi bien que d'autres sources indirectes de pression contre la presse libre, comme la pression sur les journalistes par des lobbies. RSF note que le classement se préoccupe seulement de la liberté de presse et ne mesure pas la qualité du journalisme ni l'autocensure. Le classement de RSF varie chaque année, en 2010 il établit les pays où la presse est la plus libre comme étant la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et la Norvège, et range l'Iran, le Turkménistan, la Corée du Nord, et l'Érythrée aux dernières places. Les États-Unis et la France gravitent autour de la 40e place en 20146. D'après le classement mondial de la liberté de la presse de RSF de 2014, l'Asie orientale, le Moyen-Orient et le nord-ouest de l'Afrique seraient les pires régions du monde pour la liberté de la presse et d'après le rapport, le facteur aggravant est la présence d'un conflit, comme l'attestent la chute de l'Égypte, de la Syrie, du Mali et de la République centrafricaine. Par ailleurs, les violences internes et les actes terroristes minent certains pays comme le Mexique, l'Irak, l'Iran, la Somalie, la République démocratique du Congo ou le Nigeria6. La recrudescence des violences pousse l'Assemblée générale des Nations unies à adopter en novembre 2013 la première résolution sur la sécurité des journalistes et sur la création de la Journée internationale contre l'impunité des crimes contre les journalistes (célébrée le 2 novembre)7. « Prédateurs de liberté de la presse » L'association établit également une liste des « prédateurs de liberté de la presse », qu'elle met au point chaque année8. En 2006 ce sont cinq nouveaux noms qui augmentent la liste, cette année : le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les groupes armés tamouls du Sri Lanka, le chef des paramilitaires colombiens Diego Fernando Murillo Bejarano, et le chef de guérilla colombien Raul Reyes. Mollah Mohammad Omar - Afghanistan et Pakistan - chef taliban Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud - Arabie saoudite - Roi Ilham Aliev - Azerbaïdjan Président de la République Alexandre Loukachenko - Bélarus Than Shwe - Birmanie - Chef de la Junte Hu Jintao - Chine - Président de la République FARC - Colombie - Forces armées révolutionnaires de Colombie Águilas Negras (Aigles noirs), groupe paramilitaire - Colombie Kim Jong Un - Corée du Nord Raúl Castro - Cuba - Président du Conseil d’État et du Conseil des ministres Issayas Afeworki - Érythrée - Président de la République ETA - Espagne - Organisation terroriste Yahya Jammeh - Gambie - Président de la République Teodoro Obiang Nguema Mbasogo - Guinée équatoriale - Président de la République Ali Khamenei - Iran - Guide suprême de la République Mahmoud Ahmadinejad - Iran - Président de la République Forces de défense israéliennes, Tsahal - Israël Organisations criminelles mafieuses - Italie Noursoultan Nazarbaïev - Kazakhstan - Président de la République Choummaly Sayasone - Laos - Chef de l’État Cartels de Sinaloa, du Golfe et de Juárez - Mexique Groupes armés népalais - Népal Ogbonna Okechukwu Onovo (en)- Nigeria - Inspecteur général de la police nationale Islam Karimov - Ouzbékistan - Président de la République Milices privées - Philippines Ramzan Kadyrov - République de la Tchétchénie en Russie - Président de la République Vladimir Poutine - Russie - Président Paul Kagame - Rwanda - Président de la République Milices islamistes armées - Somalie - Harakat Al-Shabaab al-Moudjahidin, Hizb-Al-Islam Gotabaya Rajapakse - Sri Lanka - Secrétaire d’État à la Défense Mswati III - Swaziland - Roi du Swaziland Bachar el-Assad - Syrie - Président de la République Force exécutive, branche armée du Hamas - Territoires palestiniens Forces de sécurité palestiniennes, Autorité palestinienne - Territoires palestiniens Gurbanguly Berdimuhamedov - Turkménistan - Président de la République Robert Mugabe - Zimbabwe - Président de la République
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La plupart des sénégalais n’attendent pas la dpg. Ça ne les intéresse pas en fait. Deuk bi dohoul c’est ça le soucis du goorgolu sénégalais
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Tu n'en veux pas toi seul. Il faut attendre la DPG de Macky Sall par WhatsApp
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Un vrai tapet qui va sa DPG devant ses députés et ministres moutons. Il va encore passer son temps à accuser l'ancien régime. Un régime d'incompétents et de nullards qui va mener le Sénégal au mur.
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La DPG ne dira pas plus que ce qui a été annoncé durant la campagne électorale, les déclarations à la nation de Diomaye etc. Ce sera une éternelle répétition mais comme elle est pédagogique il peut toujours répéter la creation des pôles, l’autoroute de l’eau, la negociation des contrats, la reddition des comptes.
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Une DPG à presque un an de pouvoir??? De qui se moque t'on? Résolvez le problème des Sénégalais on souffre en silence....
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Quelle honte ! 10 mois pour une DPG ! SONKO , il vous reste 4 ans pour disparaitre définitivement de la scène politique car ce n'est pas en inaugurant les chantiers laissés par Macky que les sénégalais vous accorderont leur confiance pour un second mandat .
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Quelle DPG mdrrr !!!
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Les chaux cœurs payés pour dénigrer, vous n’avez pas encore compris ? On s’en fout de vos commérages, Macky , votre mentor voulait réduire l’opposition à sa plus simple expression finalement c’est lui qui a été réduit à sa plus simple expression finalement: campagne électorale par WhatsApp, quelle honte, quelle dégradation. Vous et vos collègues payés par Amadou Ba, vous perdez votre temps. Mais si cela vous fait plaisir… eh bien allez y.
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CHECK MATE
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La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion et la liberté d'expression. Fin 2022, 533 journalistes sont emprisonnés dans le monde, ils étaient 488 à la même date en 2021. Les cinq pays détenant en prison le plus de journalistes en 2022 sont la Chine (110), la Birmanie (62), l'Iran (47), le Vietnam (39) et la Biélorussie (31). La liberté de la presse est considérée par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) comme une composante de la liberté d'expression (article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme). La protection des sources d'information des journalistes, sans exceptions ni restrictions, est considérée comme « l'une des pierres angulaires de la liberté de la presse »1. 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En novembre 2015, Can Dündar éditorialiste du quotidien Cumhuriyet et lauréat du Prix Reporters sans frontières3 est emprisonné dans les geôles turques pour des révélations sur des livraisons d’armes aux rebelles syriens4. Fin décembre 2015 Can Dündar rédige le texte intitulé À l’Humanité5 dans lequel il expose les principales raisons d'atteinte à la liberté de la presse dans le monde. Chaque année, l'ONG Reporters sans frontières établit une liste des pays du point de vue de leur liberté de la presse. Le classement mondial de la liberté de la presse est fondé sur les réponses aux enquêtes envoyées aux journalistes membres d'organisations partenaires de RSF, aussi bien qu'aux spécialistes de la question : les chercheurs, les juristes et les activistes des droits de l'homme. L'enquête porte sur des attaques directes faites aux journalistes et aux mass-média aussi bien que d'autres sources indirectes de pression contre la presse libre, comme la pression sur les journalistes par des lobbies. RSF note que le classement se préoccupe seulement de la liberté de presse et ne mesure pas la qualité du journalisme ni l'autocensure. Le classement de RSF varie chaque année, en 2010 il établit les pays où la presse est la plus libre comme étant la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et la Norvège, et range l'Iran, le Turkménistan, la Corée du Nord, et l'Érythrée aux dernières places. Les États-Unis et la France gravitent autour de la 40e place en 20146. D'après le classement mondial de la liberté de la presse de RSF de 2014, l'Asie orientale, le Moyen-Orient et le nord-ouest de l'Afrique seraient les pires régions du monde pour la liberté de la presse et d'après le rapport, le facteur aggravant est la présence d'un conflit, comme l'attestent la chute de l'Égypte, de la Syrie, du Mali et de la République centrafricaine. Par ailleurs, les violences internes et les actes terroristes minent certains pays comme le Mexique, l'Irak, l'Iran, la Somalie, la République démocratique du Congo ou le Nigeria6. La recrudescence des violences pousse l'Assemblée générale des Nations unies à adopter en novembre 2013 la première résolution sur la sécurité des journalistes et sur la création de la Journée internationale contre l'impunité des crimes contre les journalistes (célébrée le 2 novembre)7. « Prédateurs de liberté de la presse » L'association établit également une liste des « prédateurs de liberté de la presse », qu'elle met au point chaque année8. En 2006 ce sont cinq nouveaux noms qui augmentent la liste, cette année : le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les groupes armés tamouls du Sri Lanka, le chef des paramilitaires colombiens Diego Fernando Murillo Bejarano, et le chef de guérilla colombien Raul Reyes. 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L'enquête porte sur des attaques directes faites aux journalistes et aux mass-média aussi bien que d'autres sources indirectes de pression contre la presse libre, comme la pression sur les journalistes par des lobbies. RSF note que le classement se préoccupe seulement de la liberté de presse et ne mesure pas la qualité du journalisme ni l'autocensure. Le classement de RSF varie chaque année, en 2010 il établit les pays où la presse est la plus libre comme étant la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et la Norvège, et range l'Iran, le Turkménistan, la Corée du Nord, et l'Érythrée aux dernières places. Les États-Unis et la France gravitent autour de la 40e place en 20146. D'après le classement mondial de la liberté de la presse de RSF de 2014, l'Asie orientale, le Moyen-Orient et le nord-ouest de l'Afrique seraient les pires régions du monde pour la liberté de la presse et d'après le rapport, le facteur aggravant est la présence d'un conflit, comme l'attestent la chute de l'Égypte, de la Syrie, du Mali et de la République centrafricaine. Par ailleurs, les violences internes et les actes terroristes minent certains pays comme le Mexique, l'Irak, l'Iran, la Somalie, la République démocratique du Congo ou le Nigeria6. La recrudescence des violences pousse l'Assemblée générale des Nations unies à adopter en novembre 2013 la première résolution sur la sécurité des journalistes et sur la création de la Journée internationale contre l'impunité des crimes contre les journalistes (célébrée le 2 novembre)7. « Prédateurs de liberté de la presse » L'association établit également une liste des « prédateurs de liberté de la presse », qu'elle met au point chaque année8. En 2006 ce sont cinq nouveaux noms qui augmentent la liste, cette année : le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les groupes armés tamouls du Sri Lanka, le chef des paramilitaires colombiens Diego Fernando Murillo Bejarano, et le chef de guérilla colombien Raul Reyes. 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Après avoir laisser tous ces jeunes pleins d'espoir mourrir de désespoir en empruntant la mer maintenant le roi du Gatsa- Gatsa veut faire sa DPG
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D'après le classement mondial de la liberté de la presse de RSF de 2014, l'Asie orientale, le Moyen-Orient et le nord-ouest de l'Afrique seraient les pires régions du monde pour la liberté de la presse et d'après le rapport, le facteur aggravant est la présence d'un conflit, comme l'attestent la chute de l'Égypte, de la Syrie, du Mali et de la République centrafricaine. Par ailleurs, les violences internes et les actes terroristes minent certains pays comme le Mexique, l'Irak, l'Iran, la Somalie, la République démocratique du Congo ou le Nigeria6. La recrudescence des violences pousse l'Assemblée générale des Nations unies à adopter en novembre 2013 la première résolution sur la sécurité des journalistes et sur la création de la Journée internationale contre l'impunité des crimes contre les journalistes (célébrée le 2 novembre)7. « Prédateurs de liberté de la presse » L'association établit également une liste des « prédateurs de liberté de la presse », qu'elle met au point chaque année8. En 2006 ce sont cinq nouveaux noms qui augmentent la liste, cette année : le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les groupes armés tamouls du Sri Lanka, le chef des paramilitaires colombiens Diego Fernando Murillo Bejarano, et le chef de guérilla colombien Raul Reyes. Mollah Mohammad Omar - Afghanistan et Pakistan - chef taliban Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud - Arabie saoudite - Roi Ilham Aliev - Azerbaïdjan Président de la République Alexandre Loukachenko - Bélarus Than Shwe - Birmanie - Chef de la Junte Hu Jintao - Chine - Président de la République FARC - Colombie - Forces armées révolutionnaires de Colombie Águilas Negras (Aigles noirs), groupe paramilitaire - Colombie Kim Jong Un - Corée du Nord Raúl Castro - Cuba - Président du Conseil d’État et du Conseil des ministres Issayas Afeworki - Érythrée - Président de la République ETA - Espagne - Organisation terroriste Yahya Jammeh - Gambie - Président de la République Teodoro Obiang Nguema Mbasogo - Guinée équatoriale - Président de la République Ali Khamenei - Iran - Guide suprême de la République Mahmoud Ahmadinejad - Iran - Président de la République Forces de défense israéliennes, Tsahal - Israël Organisations criminelles mafieuses - Italie Noursoultan Nazarbaïev - Kazakhstan - Président de la République Choummaly Sayasone - Laos - Chef de l’État Cartels de Sinaloa, du Golfe et de Juárez - Mexique Groupes armés népalais - Népal Ogbonna Okechukwu Onovo (en)- Nigeria - Inspecteur général de la police nationale Islam Karimov - Ouzbékistan - Président de la République Milices privées - Philippines Ramzan Kadyrov - République de la Tchétchénie en Russie - Président de la République Vladimir Poutine - Russie - Président Paul Kagame - Rwanda - Président de la République Milices islamistes armées - Somalie - Harakat Al-Shabaab al-Moudjahidin, Hizb-Al-Islam Gotabaya Rajapakse - Sri Lanka - Secrétaire d’État à la Défense Mswati III - Swaziland - Roi du Swaziland Bachar el-Assad - Syrie - Président de la République Force exécutive, branche armée du Hamas - Territoires palestiniens Forces de sécurité palestiniennes, Autorité palestinienne - Territoires palestiniens Gurbanguly Berdimuhamedov - Turkménistan - Président de la République Robert Mugabe - Zimbabwe - Président de la République
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Le procès de Adji Sarr pour que la vérité jaillisse c’est prévu pour quand quand ? Nous réclamons la vérité ? Ct un complot ou pas ?
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Les moutons et chèvres répondeurs automatiques de yolome guegnon mouseladimi koor adji mouselmi sont en action vous êtes financés par Madame NARIRARIRE honte à vous le troupeau du gourou yolome guegno mouseladimi
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Quand est-ce qu'il va commencer à travailler ?
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Il avait peur de Coura Macky qui allait sans doute parler Adji Sarr à la dpg .
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Je pense aaye door la car RTS es telè national Comment peut il ne pas etre sur la list reconnu par le government. Senegal il faut se eduquer Les dirigeant le monde a changè le media c pas un telè mais reseau social
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Que vaudrait cette DPG devant une assemblée acquise à sa cause ? Quand on est sûr de la qualité de son programme on doit pouvoir le défendre aisément devant une assemblée critique. Mais connaissant l’homme OS, il est allergique à la critique car trop vulnérable avec ses multiples VAR Gagnons du temps et envoyer une lettre qui sera lu simplement !!!!
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La pluie en saison froide, comme en décembre au Sénégal, est un phénomène rare et s'explique par des conditions climatiques spécifiques, souvent atypiques. Voici les principales raisons : 1. Déplacement anormal des systèmes météorologiques : Normalement, en décembre, le Sénégal est sous l'influence de l'alizé continental, un vent sec venant du nord-est, qui provoque la saison sèche (hivernage terminé). Cependant, des perturbations atmosphériques, comme des dépressions ou des fronts froids venant de l'Atlantique, peuvent apporter de l'humidité et des précipitations inhabituelles. 2. Changements climatiques globaux : Le réchauffement climatique perturbe les schémas météorologiques traditionnels. Des anomalies comme des pluies hors saison peuvent devenir plus fréquentes, car les températures modifient les mouvements des vents, l'évaporation et la formation des nuages. 3. Harmattan et humidité résiduelle : Pendant la saison froide, l’Harmattan souffle généralement et assèche l’atmosphère. Toutefois, si des vents maritimes chargés d'humidité remontent de l'Atlantique, ils peuvent entrer en collision avec l’air sec de l’Harmattan, provoquant parfois des pluies. 4. Phénomènes locaux ou régionaux : Des facteurs locaux, comme une hausse temporaire de la température de surface de l'océan ou des perturbations dans les courants marins, peuvent favoriser la formation de nuages de pluie. Ces pluies restent toutefois exceptionnelles pour la saison et sont souvent légères ou de courte durée. Elles témoignent des variations climatiques imprévisibles que connaît la région.
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Ce pays avance en reculons
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Grande annonce de notre merde sweety: réduction des taxes sur la graisse de boa...
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A reculons ou En reculant...
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Tu as fui pendant des mois l'Assemblée juste parce qule tu avais peur des Députés qui y siégeaient. Maintenant que tu as des gens qui soit n'oseront pas te poser les bonnes questions, soit qu'ils sont sont carents et incapables d'assumer leur rôle de députés, tu veux aller faire ton show.
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Sonko le visionnaire pastef est là pour 20 ans 🇸🇳
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On la ferme donc, jusqu'à ce que tous les éléments soient réunis.
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Au ministre de l'environnement!!! Les chinois exploitent, presque dans la "clandestinité" une grande unité de transformation des déchets plastiques à Keur Mor Ndiaye, à côté de l'usine Métal sn. Une unité industrielle sans nom, ni cheminée, avec une très forte chaleur et une très forte odeur de plastique fondu que l'on peut sentir à plus de 500 M à la ronde. Durant toute la journée et même durant la nuit, les ouvriers et les populations respirent en permanence ces odeurs cancérigène. Une véritable tueuse silencieuse!!! Car ne produisant pas de fumée visible mais dégage une très très forte chaleur et odeur Comment l'Etat peut il laisser les chinois tuer les sénégalais sans réagir??? Nous interpellons les autorités, en particulier le ministre de l'environnement, le PM et le PR de nous venir en aide. Une véritable bombe écologique est en croissance à Keur Mor Ndiaye de Thiès, entre le village Keur Matar, le village Keur Mor Ndiaye et Dadji. Le JUB JUBBAL JUBBANTI est demandé.
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Une DPG , pourquoi faire après les dérobades honteuses.?mais la Meute des insurgés pourront toujours applaudir. J’ai des doutes sur l’intelligence tant prônée de nos concitoyens qui sont comme au cinéma pour voir croire au rôles joués par des Rambo et Tarzan
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"Jubbanti" tous-azimuts ! Oui, nos hommes politiques et intellectuels, d’une manière générale, formés à l’école laïque de Jules Ferry, ont été configurés pour être, consciemment ou non, les continuateurs du colonisateur ; il leur a inculqués de façon indélébile que la religion doit être une affaire strictement privée qu’il convient donc de séparer de la gestion de la cité ; et véritablement, c’est là une erreur gravissime, voire fatale, qui, plus de cinquante ans après notre accession à l’indépendance, continue de compromettre toutes nos velléités d’émergence ou de développement. Oui, du fait de notre option laïque, nous sommes condamnés à un échec infernal (désillusion sur désillusion, et génération après génération) – rançon de notre incrédulité ou de notre hypocrisie ; nous devons donc assumer notre choix qu’aucune espèce de sagesse ne pourrait justifier. Il est donc grand temps que nos honorables députés comprennent que la solution que nous cherchons depuis l'accession de notre pays à l'indépendance ne peut découler que d'une réforme constitutionnelle majeure ! A vrai dire, le seul combat qui vaille pour les croyants (toutes obédiences confondues), c'est de conformer notre république à nos convictions religieuses et culturelles ; et c'est donc rompre avec la laïcité qui est directement ou indirectement à l'origine de tous nos maux. En effet, en cautionnant une Constitution qui exclut totalement Dieu dans la gestion de notre pays, nous avons délibérément choisi la voie de la perdition. Oui, dans l'article 1er de notre Constitution, il est mentionné que notre République est laïque - c'est à dire qu'elle respecte toutes les religions - ce qui est une bonne chose -, mais s'interdit de s'en inspirer - quel gâchis ! Pour ces républicains (laïcs), le Coran et les autres Livres Sacrés (Thora et Évangile) n'ont aucune espèce d'importance ; bref, pour eux, Dieu n'a pas sa place dans la République - Une véritable catastrophe !!! Et c'est dire qu'un débat sur la laïcité s’impose - un préalable incontournable pour réorienter notre pays sur la véritable voie de l'émergence ; en somme, un Sénégal souverain, juste et prospère ! … Et pour en savoir plus (en wolof), suivre ces liens : Un éclairage décisif sur la laïcité _ la voie obligée pour changer le système _ Une véritable révolution sociopolitique en marche !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi) [Audio (en wolof)] Suivre ce lien : https://www.facebook.com/share/v/XKxME5TJUUQvL9o7/?mibextid=qi2Omg Ce sont les nouveaux enjeux religieux qui déterminent véritablement le contexte politique actuel - Le "miracle sénégalais" en téléchargement !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi) [Audio (En Wolof)] Suivre ce lien : https://www.facebook.com/share/v/X3ZrxLASJXgu8Vrb/?mibextid=qi2Omg Au-delà de la commémoration du massacre des tirailleurs sénégalais à Thiaroye - Un redoutable “djihad idéologique” pour le parachèvement de notre indépendance nationale - Un gigantesque tsunami politico-religieux (chaos salvateur) !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi) [Audio (En Wolof)] Suivre ce lien : https://www.facebook.com/share/v/MEjrU8937SmroLqJ/ Zoom sur votre serviteur, l’”Africain aux jambes frêles” (Zhu As-Suway Qataïn), le “démolisseur de la Ka’ba”, la “Preuve des preuves” et l’ultime “Sauveur de la fin des temps” - Un gigantesque tsunami politico-religieux (chaos salvateur) !!! Par Docteur Mouhamadou Bamba NDIAYE (le Rétro confirmateur du Mahdi) [Audio (En Wolof)] Suivre ce lien : https://www.facebook.com/share/v/f1QNBShYirjs5tDb/
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Il serait temps MDR
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La DPG conformément a la loi était due dans les 3 mois après votre nomination Monsieur le 1er Ministre. Là nous sommes à plus de 8 mois après. Le temps n’est plus aux discours. Dokhalal rek.
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il avait peur de faire face à COURA MACKY, rires! sacré PM. a quoi bon maintenant de nous faire une DPG sachant que nous vivons déjà la galère vers laquelle vous allez mener ce pays.
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Ce nouveau régime a un problème avec la gestion du temps. Soit ils sont en retard, soit ils remettent au lendemain. Le temps presse ! Les Sénégalais sont fatigués.
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si vous voulez assister a un DPG serieux et honnete il faut inviter la celebre masseuse adji sarr dans les tribunes et se met en face d l imam ratib de cogne sweet beauty
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1 an de perdu !!!
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1 an de perdu !!!
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1 an de perdu !!!
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Lolou c'est ton blem , nioun on s'en fout de la dpg , wadji rekk lagni topeu , borom ndel bi kessé
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il peut même pisser dans un tama il est foncièrement médiocre et votre zoo ne cesse de reculer !!
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Monsieur Le Président de la République du Sénégal, Son excellence monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Je tenais, en tant que Citoyen LAMNDA, à vous faire part d’une situation qui me parait être d’une importance capitale pour bon nombres de nos concitoyens désireux de jouer leur partition dans la bonne marche des affaires publiques. L'égalité, en général, est une valeur fondamentale d’une démocratie. Nous avons construit notre société sur l'égalité entre tous les individus. Ce principe fondamental, l’Etat doit y veiller dans la vie de tous les jours. Le préambule de la Constitution du Sénégal proclame, en effet, l'égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux. Et aux termes de son article 1er: « La République du Sénégal est une démocratie politique, économique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens, sans discrimination d'origine, de race, de sexe, de religion ». Le principe a été proclamé pour la première fois par l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 aux termes duquel « tous les citoyens étant égaux, aux yeux de la loi, sont également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics selon leur capacité, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents ». L’on observe aussi que la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 prévoit en son article 21 alinéa 2 que : « toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Cette proclamation du principe coïncide avec l’apparition dans le monde, de l’idéal démocratique et de l’essor du principe d’égalité, ainsi les distinctions sociales ne devraient être fondées que sur l'utilité commune. Aussi, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples du 27 juin 1981 consacre le principe en déclarant « tous les citoyens ont également le droit d’accéder aux fonctions publiques de leurs pays ». Ainsi, la Constitution sénégalaise du 07 janvier 2001, affirme dans son préambule l’adhésion du peuple sénégalais à ces instruments internationaux qui sont ainsi intégrés dans le bloc de constitutionalité. Le principe d’égale admissibilité aux emplois publics a une valeur constitutionnelle. Le préambule de la Constitution proclame, en effet, l’égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux. Sa mise en œuvre s’inscrit dans la perspective d’un renforcement des garanties aussi bien du respect de conditions statutaires que de l’interdiction de toute forme de discrimination. A côté des dispositions du bloc de constitutionalité consacrant le principe d’égale admissibilité aux emplois publics, d’autres dispositions infra constitutionnelles, notamment des conventions internationales ratifiées par le Sénégal et des textes législatifs, en garantissent l’application. Le Sénégal a en effet ratifié, par la loi n°64-13 du 24 janvier 1964, la Convention n°111 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) du 25 juin 1958, relative à la non-discrimination en matière d’emploi et de profession. Cette convention engage les Etats parties à formuler et à appliquer une politique nationale visant à promouvoir l’égalité de chances et de traitement en matière d’emploi et de profession. De même, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 19 décembre 1966, ratifié par notre pays le 13 février 1978, prévoit « tout citoyen a le droit d’accéder, sans aucune discrimination, dans des conditions générales d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Au Sénégal, l’article 8 de la loi n°61-33 du 15 juin 1961 relative au statut général des fonctionnaires interdit toutes discriminations…, pour son application. Plusieurs autres textes, notamment les statuts spéciaux régissant certains corps de fonctionnaires (magistrature, douane, police, gendarmerie, armée, les eaux et forêts…) ainsi que la loi d’orientation de l’éducation nationale n° 91-22 du 30 janvier 1991, prévoient le principe d’égale admissibilité aux emplois publics. Cette abondante source législative qui consacre le principe d’égale admissibilité aux emplois publics est la preuve de l’importance que le législateur sénégalais attache au respect de ce principe pour l’accès à la fonction publique. Cependant, malgré tout ce qui précède, il est totalement paradoxal de constater qu’il y’a une catégories d’agents de l’Etat qui sont exclus du système (si je peux m’exprimer ainsi), il s’agit entre autre des agents de l’Etat membres des Collectivités territoriales, des agents des forces armées et des agents qui sont dans le secteur parapublic. Le prétexte de cette contribution est sans conteste : L’INTERDICTION A CES AGENTS DE FAIRE LE CONCOURS PROFESSIONNEL DE L’ENA AU MEME TITRE QUE LEUR COLLEGUE DE L’ETAT CENTRAL. Nul ne peut contester aujourd'hui que la situation de ces agents est regrettable car très déséquilibrée par rapport à leurs collègues de l’Etat central. Face à ce constat, j’attire l’attention des autorités à plus d’engagement en faveur de l'égalité entre agents à tous les niveaux. Le contexte économique et politique actuel l'exige plus que jamais. L’interdiction à ces agents de pouvoir faire les concours professionnels de l’administration est anticonstitutionnelle, illégale, inopportune et insensée. Cette interdiction est non seulement préjudiciable pour les agents eux même car les met dans une situation de démotivation extrême du manque de perspective de carrière mais elle l’est d’autant pour l’Etat qui court le risque de perdre de bon profils qui pouvaient participer à la redynamisation et à la modernisation de l’administration. Il faut oser le dire, les profils dans ces secteurs ont largement évolué, la jeune génération est dotée de capacités intellectuelles et managériales avérées et ces compétences devraient pouvoir leur permettre de concourir à tous les niveaux. Ce que je considère comme une disposition archaïque, à défaut de tomber en désuétude doit tout simplement être retirée du décret pour réparation légitime. D’ailleurs cela ne serait pas une première, déjà en 2015 par décret n°2015-388 du 20 mars 2015 abrogeant et remplaçant l’article 45 du décret 2011-1704 portant création de l’Ecole nationale d’Administration (ENA), l’administration a modifié une disposition qu’elle jugeait préjudiciable pour certains. Et dans l’exposé des motifs dudit décret on peut lire : « A l’évidence, ce critère qui exclut une partie très importante des bacheliers du fait de l’année d’obtention du diplôme, manque de pertinence et constitue une mesure discriminatoire introduite récemment ». Ou encore : « Il convient donc de reconsidérer cette situation qui prive certains jeunes candidats, remplissant tous les critères exigés pour l’entrée dans la Fonction publique, d’un de leurs droits fondamentaux. ». Votre Excellence, permettez-moi de vous rappeler que les agents municipaux, des forces armées et du secteur parapublic sont en train de vivre cette même mesure discriminatoire. Pour rappel, l’article 48 du Décret n° 2011-1704 du 6 octobre 2011 portant création de l'Ecole nationale d'Administration (ENA) et fixant ses règles d'organisation et de fonctionnement dispose : « Les concours professionnels du cycle A sont ouverts aux agents de l’Etat âgés de 53 ans au plus à la date d’ouverture du concours sans préjudice de la condition d’âge prévue par le décret n 0 69-179 du 18 février 1969, modifié et avoir, ès qualité, au moins cinq années de services effectifs dans les hiérarchies considérées au moment de leur candidature. Ils ne peuvent se présenter aux concours professionnels qu’avec l’autorisation de l’autorité compétente. L’admission, en formation initiale, des agents de l’Etat membres des Forces armées, les agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie B par le Ministère chargé de la Fonction publique, est établie sur la base d’un accord spécifique avec l’ENA, approuvé par le Conseil d’Administration, après avis du Conseil d’Orientation scientifique et scientifique de l’établissement. Les intéressés sont sélectionnés par une commission interne mise en place par décision du Directeur général de l’ENA, après examen de leur dossier transmis par l’employeur ou par l’autorité compétente. Cette dernière formule une demande expresse assortie d’un engagement à réintégrer et à reclasser ses agents en cas de succès au terme de leur formation. » Une admission en formation initiale, qui n’est d’ailleurs toujours pas effective, allant même jusqu’à la comparer à celle des auditeurs étrangers, est l’unique alternative réservée à ces agents de l’Etat. Cette mesure injuste manque profondément de pertinence avant d’être hautement discriminatoire. Dans un tel projet, la dénomination d’agent de l’Etat telle qu’utilisé dans l’article 48 in fine devrait faire référence il n’y avait pas à distinguer car s’agissant d’une disposition d’ordre public et d’autant plus que l’alinéa 1er du même l’article dispose en premier lieu que : Les concours professionnels du cycle A (et B) sont ouverts : - aux agents de l’Etat et des collectivités locales appartenant à la hiérarchie B au moins ; - aux agents de l’Etat membres des Forces armées, titulaires d’un diplôme classé au moins à la hiérarchie B par le ministre chargé de la Fonction publique ; - aux agents du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie par le ministre chargé de la Fonction publique. Votre Excellence, Je voudrais pour terminer avec les dispositions légales rappeler un extrait du rapport de présentation du Décret n°2018-1907 du 09 octobre 2018 portant modifiant de l’article 45 du décret 2011-1704 du 06 Octobre 2011 qui dit : « Au cours de son évolution, l’Ecole nationale d’Administration (ENA) du Sénégal a connu plusieurs réformes dont celle de 2011 qui a érigé l’ENA en établissement public à caractère administratif. Avec le décret 2011-1704 portant création de l’ENA et fixant ses règles d’organisation et de fonctionnement, les critères pour l’accès au concours de même que les épreuves ont été modifiés. S’agissant des critères à remplir, outre les agents de l’Etat, le concours professionnel est désormais ouvert aux agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic qui sont confondus dans le même quota de recrutement. » Si la motivation ultime de toute législation est de satisfaire les besoins et les nécessités du moment tout en préservant les aspirations des générations futures alors le décret de 2011, qui a ouvert le concours aux agents municipaux, des forces armées et des agents du secteur parapublic en modifiant le décret d’origine n°92-1614 du 20 novembre 1992 portant organisation et fonctionnement de l’Ecole nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM), doit à son tour être révisé pour parachever l’intention du législateur. Il faut aller jusqu’au bout de la logique et permettre à ces catégories d’agents de faire les concours professionnels comme le ferait n’importe quel autre agent de l’Etat. Sachant que Réformer un tel décret n’engage aucune dépense à gérer, monsieur le Président de la République, je vous prie de bien vouloir prendre en considération cette requête pour une éventuelle révision du décret portant création de l’ENA. Même s’il sera statiquement difficile de faire de tous ces travailleurs des agents de l'État à part entière (ce n’est d’ailleurs pas le but de l'exercice), il ne faut pas non plus en faire des agents de l'État entièrement à part. Bien sûr cette attente ne doit nullement cacher les nombreux efforts faits pour assurer l’effectivité du principe d’égal accès aux emplois publics. La volonté politique affirmée, dans ce cadre, et les nombreux textes de lois adoptés en la matière sont à saluer. Il est souhaitable que les avancées significatives ainsi obtenues soient maintenues et renforcées. Pour précision, cette demande n’est, en aucun cas, en contradiction avec la politique de décentralisation initié par l’Etat du Sénégal. Mais les évolutions actuelles et à venir appellent nécessairement à reconsidérer l’approche en matière de management public initiée dans les grandes écoles d’administration car la gestion publique actuelle requière de plus en plus de nouvelles compétences, pour une meilleure prise en charge des enjeux du moment. Et la nouvelle approche doit débuter par forger une excellente réputation de l’administration centrale et territoriale en ratissant large lors des périodes de concours. C’est ce qui est normal et c’est qui est juste en vertus du JUBB JUBBAL ET JUBBANTI. J'ai voulu renforcer la sensibilisation du public Sénégalais à cette situation et apporter ma modeste contribution sur une question centrale tout en espérant attirer au moins ne serait-ce que l’attention des autorités compétentes. Telle est l’économie du présent article. En vous remerciant à l’avance, Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute et respectueuse considération. AMPLIATIONS : Monsieur le Premier Ministre de la République du Sénégal Ousmane SONKO ; Monsieur le Ministre des Collectivités Territoriales du Sénégal ; Monsieur le Ministre de la Fonction Publique ; Monsieur le Directeur général de l’Ecole Nationale d’Administration ; Mesdames et Messieurs les Députés de la 15eme législature ; Mesdames et Messieurs les élus locaux ; UN AGENT MUNICIPAL SOUCIEUX DES NORMES
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
ETAT FORT..... L'Etat ne doit pas rester faible , faiblard, face à ces manipulateurs, imposteurs, complices des agissements ignobles du pouvoir de Macky . Lors que le pouvoir maléfique de Macky à combattus, complotés, exilés, emprisonnés, torturés, amputés, tués ... les militants et sympathisants , ces gens-là ,étaient là present, complices du pouvoir sanguinaire de Macky. ils ont encouragé cette répression mortelle et veulent aujourd'hui se poser en victime.... vaine tentative. En toute démocratie, le Sénégalais vous ont accordé leur confiance pour redresser ce pays . Pour vous mettre au pouvoir, des Sénégalais se sont sacrifiés jusqu'à la mort.... face au machiavélique Macky et ses affidés. Si l'Eat faibli face à ces énergumènes, opportunistes, suceurs de sang du peuple, qui ne se battent que pour leur propre intérêt, sinon ils allaient être du côté peuple quand Macky et son pouvoir massacraient des jeunes et honnêtes citoyens. Au contraire, ils ont encouragé ou étaient même complices , ils payeront tôt ou tard car ce sont des êtres maléfiques , vous recevrez votre part de supplices pour avoir extrêmement mal agit envers une population qui aspirait seulement au changement. Ne soyez pas faible , mais soyez fort, non à l'injustice, l'impunité, l'insécurité... Vous avez la confiance du peuple pour exercer le pouvoir, donc vous n'avez plus aucune excuse. En faisant preuve de faiblesse, vous allez perdre cette confiance, et sachez que ça sera l'amorce du début de la fin de votre pouvoir. LES SENEGALAIS NE VOUS ONT PAS ELUS PARCE QU'ILS ONT FAIM OU N'ONT PAS D'INFRASTRUCTURES ...Si c'était cela, même Wade n'allait pas perdre le pouvoir, à fortiori Macky , ils ont fait des réalisations que vous passerez votre temps à finir et inaugurer durant ce premier mandat . DONC FAITES ATTENTION À VOUS ! .
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Monsieur Le Président de la République du Sénégal, Son excellence monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, Je tenais, en tant que Citoyen LAMNDA, à vous faire part d’une situation qui me parait être d’une importance capitale pour bon nombres de nos concitoyens désireux de jouer leur partition dans la bonne marche des affaires publiques. L'égalité, en général, est une valeur fondamentale d’une démocratie. Nous avons construit notre société sur l'égalité entre tous les individus. Ce principe fondamental, l’Etat doit y veiller dans la vie de tous les jours. Le préambule de la Constitution du Sénégal proclame, en effet, l'égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux. Et aux termes de son article 1er: « La République du Sénégal est une démocratie politique, économique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens, sans discrimination d'origine, de race, de sexe, de religion ». Le principe a été proclamé pour la première fois par l’article 6 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 aux termes duquel « tous les citoyens étant égaux, aux yeux de la loi, sont également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics selon leur capacité, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents ». L’on observe aussi que la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 prévoit en son article 21 alinéa 2 que : « toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Cette proclamation du principe coïncide avec l’apparition dans le monde, de l’idéal démocratique et de l’essor du principe d’égalité, ainsi les distinctions sociales ne devraient être fondées que sur l'utilité commune. Aussi, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples du 27 juin 1981 consacre le principe en déclarant « tous les citoyens ont également le droit d’accéder aux fonctions publiques de leurs pays ». Ainsi, la Constitution sénégalaise du 07 janvier 2001, affirme dans son préambule l’adhésion du peuple sénégalais à ces instruments internationaux qui sont ainsi intégrés dans le bloc de constitutionalité. Le principe d’égale admissibilité aux emplois publics a une valeur constitutionnelle. Le préambule de la Constitution proclame, en effet, l’égal accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l’exercice du pouvoir à tous les niveaux. Sa mise en œuvre s’inscrit dans la perspective d’un renforcement des garanties aussi bien du respect de conditions statutaires que de l’interdiction de toute forme de discrimination. A côté des dispositions du bloc de constitutionalité consacrant le principe d’égale admissibilité aux emplois publics, d’autres dispositions infra constitutionnelles, notamment des conventions internationales ratifiées par le Sénégal et des textes législatifs, en garantissent l’application. Le Sénégal a en effet ratifié, par la loi n°64-13 du 24 janvier 1964, la Convention n°111 de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) du 25 juin 1958, relative à la non-discrimination en matière d’emploi et de profession. Cette convention engage les Etats parties à formuler et à appliquer une politique nationale visant à promouvoir l’égalité de chances et de traitement en matière d’emploi et de profession. De même, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 19 décembre 1966, ratifié par notre pays le 13 février 1978, prévoit « tout citoyen a le droit d’accéder, sans aucune discrimination, dans des conditions générales d’égalité, aux fonctions publiques de son pays ». Au Sénégal, l’article 8 de la loi n°61-33 du 15 juin 1961 relative au statut général des fonctionnaires interdit toutes discriminations…, pour son application. Plusieurs autres textes, notamment les statuts spéciaux régissant certains corps de fonctionnaires (magistrature, douane, police, gendarmerie, armée, les eaux et forêts…) ainsi que la loi d’orientation de l’éducation nationale n° 91-22 du 30 janvier 1991, prévoient le principe d’égale admissibilité aux emplois publics. Cette abondante source législative qui consacre le principe d’égale admissibilité aux emplois publics est la preuve de l’importance que le législateur sénégalais attache au respect de ce principe pour l’accès à la fonction publique. Cependant, malgré tout ce qui précède, il est totalement paradoxal de constater qu’il y’a une catégories d’agents de l’Etat qui sont exclus du système (si je peux m’exprimer ainsi), il s’agit entre autre des agents de l’Etat membres des Collectivités territoriales, des agents des forces armées et des agents qui sont dans le secteur parapublic. Le prétexte de cette contribution est sans conteste : L’INTERDICTION A CES AGENTS DE FAIRE LE CONCOURS PROFESSIONNEL DE L’ENA AU MEME TITRE QUE LEUR COLLEGUE DE L’ETAT CENTRAL. Nul ne peut contester aujourd'hui que la situation de ces agents est regrettable car très déséquilibrée par rapport à leurs collègues de l’Etat central. Face à ce constat, j’attire l’attention des autorités à plus d’engagement en faveur de l'égalité entre agents à tous les niveaux. Le contexte économique et politique actuel l'exige plus que jamais. L’interdiction à ces agents de pouvoir faire les concours professionnels de l’administration est anticonstitutionnelle, illégale, inopportune et insensée. Cette interdiction est non seulement préjudiciable pour les agents eux même car les met dans une situation de démotivation extrême du manque de perspective de carrière mais elle l’est d’autant pour l’Etat qui court le risque de perdre de bon profils qui pouvaient participer à la redynamisation et à la modernisation de l’administration. Il faut oser le dire, les profils dans ces secteurs ont largement évolué, la jeune génération est dotée de capacités intellectuelles et managériales avérées et ces compétences devraient pouvoir leur permettre de concourir à tous les niveaux. Ce que je considère comme une disposition archaïque, à défaut de tomber en désuétude doit tout simplement être retirée du décret pour réparation légitime. D’ailleurs cela ne serait pas une première, déjà en 2015 par décret n°2015-388 du 20 mars 2015 abrogeant et remplaçant l’article 45 du décret 2011-1704 portant création de l’Ecole nationale d’Administration (ENA), l’administration a modifié une disposition qu’elle jugeait préjudiciable pour certains. Et dans l’exposé des motifs dudit décret on peut lire : « A l’évidence, ce critère qui exclut une partie très importante des bacheliers du fait de l’année d’obtention du diplôme, manque de pertinence et constitue une mesure discriminatoire introduite récemment ». Ou encore : « Il convient donc de reconsidérer cette situation qui prive certains jeunes candidats, remplissant tous les critères exigés pour l’entrée dans la Fonction publique, d’un de leurs droits fondamentaux. ». Votre Excellence, permettez-moi de vous rappeler que les agents municipaux, des forces armées et du secteur parapublic sont en train de vivre cette même mesure discriminatoire. Pour rappel, l’article 48 du Décret n° 2011-1704 du 6 octobre 2011 portant création de l'Ecole nationale d'Administration (ENA) et fixant ses règles d'organisation et de fonctionnement dispose : « Les concours professionnels du cycle A sont ouverts aux agents de l’Etat âgés de 53 ans au plus à la date d’ouverture du concours sans préjudice de la condition d’âge prévue par le décret n 0 69-179 du 18 février 1969, modifié et avoir, ès qualité, au moins cinq années de services effectifs dans les hiérarchies considérées au moment de leur candidature. Ils ne peuvent se présenter aux concours professionnels qu’avec l’autorisation de l’autorité compétente. L’admission, en formation initiale, des agents de l’Etat membres des Forces armées, les agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie B par le Ministère chargé de la Fonction publique, est établie sur la base d’un accord spécifique avec l’ENA, approuvé par le Conseil d’Administration, après avis du Conseil d’Orientation scientifique et scientifique de l’établissement. Les intéressés sont sélectionnés par une commission interne mise en place par décision du Directeur général de l’ENA, après examen de leur dossier transmis par l’employeur ou par l’autorité compétente. Cette dernière formule une demande expresse assortie d’un engagement à réintégrer et à reclasser ses agents en cas de succès au terme de leur formation. » Une admission en formation initiale, qui n’est d’ailleurs toujours pas effective, allant même jusqu’à la comparer à celle des auditeurs étrangers, est l’unique alternative réservée à ces agents de l’Etat. Cette mesure injuste manque profondément de pertinence avant d’être hautement discriminatoire. Dans un tel projet, la dénomination d’agent de l’Etat telle qu’utilisé dans l’article 48 in fine devrait faire référence il n’y avait pas à distinguer car s’agissant d’une disposition d’ordre public et d’autant plus que l’alinéa 1er du même l’article dispose en premier lieu que : Les concours professionnels du cycle A (et B) sont ouverts : - aux agents de l’Etat et des collectivités locales appartenant à la hiérarchie B au moins ; - aux agents de l’Etat membres des Forces armées, titulaires d’un diplôme classé au moins à la hiérarchie B par le ministre chargé de la Fonction publique ; - aux agents du secteur parapublic exerçant un emploi dont le diplôme requis pour y accéder est reconnu et classé au moins à la hiérarchie par le ministre chargé de la Fonction publique. Votre Excellence, Je voudrais pour terminer avec les dispositions légales rappeler un extrait du rapport de présentation du Décret n°2018-1907 du 09 octobre 2018 portant modifiant de l’article 45 du décret 2011-1704 du 06 Octobre 2011 qui dit : « Au cours de son évolution, l’Ecole nationale d’Administration (ENA) du Sénégal a connu plusieurs réformes dont celle de 2011 qui a érigé l’ENA en établissement public à caractère administratif. Avec le décret 2011-1704 portant création de l’ENA et fixant ses règles d’organisation et de fonctionnement, les critères pour l’accès au concours de même que les épreuves ont été modifiés. S’agissant des critères à remplir, outre les agents de l’Etat, le concours professionnel est désormais ouvert aux agents des collectivités territoriales et du secteur parapublic qui sont confondus dans le même quota de recrutement. » Si la motivation ultime de toute législation est de satisfaire les besoins et les nécessités du moment tout en préservant les aspirations des générations futures alors le décret de 2011, qui a ouvert le concours aux agents municipaux, des forces armées et des agents du secteur parapublic en modifiant le décret d’origine n°92-1614 du 20 novembre 1992 portant organisation et fonctionnement de l’Ecole nationale d’Administration et de Magistrature (ENAM), doit à son tour être révisé pour parachever l’intention du législateur. Il faut aller jusqu’au bout de la logique et permettre à ces catégories d’agents de faire les concours professionnels comme le ferait n’importe quel autre agent de l’Etat. Sachant que Réformer un tel décret n’engage aucune dépense à gérer, monsieur le Président de la République, je vous prie de bien vouloir prendre en considération cette requête pour une éventuelle révision du décret portant création de l’ENA. Même s’il sera statiquement difficile de faire de tous ces travailleurs des agents de l'État à part entière (ce n’est d’ailleurs pas le but de l'exercice), il ne faut pas non plus en faire des agents de l'État entièrement à part. Bien sûr cette attente ne doit nullement cacher les nombreux efforts faits pour assurer l’effectivité du principe d’égal accès aux emplois publics. La volonté politique affirmée, dans ce cadre, et les nombreux textes de lois adoptés en la matière sont à saluer. Il est souhaitable que les avancées significatives ainsi obtenues soient maintenues et renforcées. Pour précision, cette demande n’est, en aucun cas, en contradiction avec la politique de décentralisation initié par l’Etat du Sénégal. Mais les évolutions actuelles et à venir appellent nécessairement à reconsidérer l’approche en matière de management public initiée dans les grandes écoles d’administration car la gestion publique actuelle requière de plus en plus de nouvelles compétences, pour une meilleure prise en charge des enjeux du moment. Et la nouvelle approche doit débuter par forger une excellente réputation de l’administration centrale et territoriale en ratissant large lors des périodes de concours. C’est ce qui est normal et c’est qui est juste en vertus du JUBB JUBBAL ET JUBBANTI. J'ai voulu renforcer la sensibilisation du public Sénégalais à cette situation et apporter ma modeste contribution sur une question centrale tout en espérant attirer au moins ne serait-ce que l’attention des autorités compétentes. Telle est l’économie du présent article. En vous remerciant à l’avance, Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute et respectueuse considération. AMPLIATIONS : Monsieur le Premier Ministre de la République du Sénégal Ousmane SONKO ; Monsieur le Ministre des Collectivités Territoriales du Sénégal ; Monsieur le Ministre de la Fonction Publique ; Monsieur le Directeur général de l’Ecole Nationale d’Administration ; Mesdames et Messieurs les Députés de la 15eme législature ; Mesdames et Messieurs les élus locaux ; UN AGENT MUNICIPAL SOUCIEUX DES NORMES
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Vous auriez dû la faire comme vos prédécesseur à la primature 3mois après votre nomination Safatoul khorome....
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
le gars attend d`avoir la majorite parlementaire pour programmer sa DPG et les moutons qui lui servent de partisans veulent nous faire croire que abb guerrier la mdrrr
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bof
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bof Bal nagn la ko Faut regler les problèmes des Senegalais au quotidien Nous n'allons pas suivre votre one man show devant vos doupoutés applaudisseurs
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bof Bal nagn la ko Faut regler les problèmes des Senegalais au quotidien Nous n'allons pas suivre votre one man show devant vos doupoutés applaudisseurs
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bof Bal nagn la ko Faut regler les problèmes des Senegalais au quotidien Nous n'allons pas suivre votre one man show devant vos doupoutés applaudisseurs
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bougouniou
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
votre dpg de moutons de panurge le SENEGAL n'en veut pas . Vous n'interessez personne , faites vos 5 ans et dégager. Le senegal est devenu une RÉPUBLIQUE BANANIERE dirigee par des PALFRENIERS .affligeant.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Réddition des comptes: Le cas BOCAR MAMADOU DAFF l'un des plus gros magouilleurs de l'histoire récente du Sénégal, DG de l'Agence Nationale de la Couverture Maladie Universelle (CMU) de 2017 à Février 2024 (démis et envoyé à la retraite par le PR Macky Sall juste avant les élections présidentielles), épinglé dans tous les rapports d'audit interne depuis 2017. Il a fait affecter l'auditeur interne de l'agence à Kaffrine (pour le punir car ses rapports étaient sincères...), et il a licencié le porte parole de l'intersyndicale des travailleurs de l'agence car il dénonçait ses pratiques douteuses ! Afin d'en arriver à ce niveau de mauvaise gestion, le DG DAFF a utilisé son propre fils (AHMED TIDIANE DAFF) qu'il avait nommé Chef de Division du Marketing Social (en raison du fait que d'importantes ressources financières transitaient par ce niveau de responsabilité), il s'est également appuyé sur sa Chargée de Mission très Spéciale (Mme DIOP AMINATA CISSÉ) et sur d'autres individualités clairement identifiées. Sentant le parfum d'un scandale éventuel à venir, il a fait quitter son fameux fils adoré de l'agence et lui a négocié un poste très doux au niveau du BOS à la Présidence, à travers le système du "transfert mercato" comme dans le monde du football, car le DG du BOS lui a également fait recruter sa femme à la CMU. Le DG DAFF a également négocié avec Biram Faye qui était DG de l'Agence pour la sécurité de Proximité (ASP) afin qu'il lui nomme un autre de ses fils comme Chef de Division des Systèmes d'information, et Biram Faye lui a lui aussi placé un poulain nommé Chef de Division. Par ailleurs et toujours dans la logique de "placement" de ses enfants, sa fille a bénéficié d'un poste taillé sur mesure au niveau de la cellule Communication de l'ARP (Agence Sénégalaise de la Réglementation Pharmaceutique) en acceptant bien entendu de recruter un poulain de la Directrice de l'ARP à l'agence de la CMU. En outre, son beau-fils (fils d'une de ses épouses dont il n'est pas le père), après un passage au service comptable de la CMU a été lui placé à la PNA (Pharmacie Nationale d'approvisionnement)...bref...des magouilles à n'en plus finir...et pendant ce temps, son jeu favori était de charcuter d'honnêtes travailleurs de l'agence de la CMU. La gestion des subventions accordées aux mutuelles de santé ne s'est pas toujours faite dans une transparence aboutie. Des jeux de rétro-commissions après versement de sommes indues sur la base de demandes de subventions objet de deals....et tant d'autres éléments à charge. Lors des dernières législatives, pour peut être bénéficier de l'immunité parlementaire et espérer échapper à la justice, il a essayé de se réfugier dans une liste du Candidat Amadou Ba, comme suppléant dans le département de KANEL. Qu'il rende compte de sa GESTION !!! JUB JUBAL JUBANTI
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Tubas raison,les alkous ont voté pour.lui Ils n'ont qu'à assumé les conséquences de cette bande d'amateur
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Tubas raison,les alkous ont voté pour.lui Ils n'ont qu'à assumé les conséquences de cette bande d'amateur
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Tubas raison,les alkous ont voté pour.lui Ils n'ont qu'à assumé les conséquences de cette bande d'amateur
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La liberté de la presse est l'un des principes fondamentaux des systèmes démocratiques qui repose sur la liberté d'opinion et la liberté d'expression. Fin 2022, 533 journalistes sont emprisonnés dans le monde, ils étaient 488 à la même date en 2021. Les cinq pays détenant en prison le plus de journalistes en 2022 sont la Chine (110), la Birmanie (62), l'Iran (47), le Vietnam (39) et la Biélorussie (31). La liberté de la presse est considérée par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) comme une composante de la liberté d'expression (article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme). La protection des sources d'information des journalistes, sans exceptions ni restrictions, est considérée comme « l'une des pierres angulaires de la liberté de la presse »1. Souvent confondue avec le secret professionnel, qui était son appellation initiale dans les chartes de déontologie, elle s'en distingue pourtant fondamentalement et n'est pas assurée de manière uniforme dans tous les pays industrialisés. Nature des atteintes à la liberté de la presse Les atteintes à la liberté de la presse se manifestent : d'une part, l'entrave au pluralisme et l'indépendance des rédactions, notamment : la concentration des médias par de grands groupes industriels, les pressions fiscales, les pressions financières, les pressions politiques, d'autre part, l'entrave au métier de journaliste, notamment : l'assassinat de journalistes, l'emprisonnement de journalistes, l'enlèvement de journalistes, l'agression de journalistes, les menaces de journalistes. En novembre 2015, Can Dündar éditorialiste du quotidien Cumhuriyet et lauréat du Prix Reporters sans frontières3 est emprisonné dans les geôles turques pour des révélations sur des livraisons d’armes aux rebelles syriens4. Fin décembre 2015 Can Dündar rédige le texte intitulé À l’Humanité5 dans lequel il expose les principales raisons d'atteinte à la liberté de la presse dans le monde. Chaque année, l'ONG Reporters sans frontières établit une liste des pays du point de vue de leur liberté de la presse. Le classement mondial de la liberté de la presse est fondé sur les réponses aux enquêtes envoyées aux journalistes membres d'organisations partenaires de RSF, aussi bien qu'aux spécialistes de la question : les chercheurs, les juristes et les activistes des droits de l'homme. L'enquête porte sur des attaques directes faites aux journalistes et aux mass-média aussi bien que d'autres sources indirectes de pression contre la presse libre, comme la pression sur les journalistes par des lobbies. RSF note que le classement se préoccupe seulement de la liberté de presse et ne mesure pas la qualité du journalisme ni l'autocensure. Le classement de RSF varie chaque année, en 2010 il établit les pays où la presse est la plus libre comme étant la Suède, la Finlande, les Pays-Bas et la Norvège, et range l'Iran, le Turkménistan, la Corée du Nord, et l'Érythrée aux dernières places. Les États-Unis et la France gravitent autour de la 40e place en 20146. D'après le classement mondial de la liberté de la presse de RSF de 2014, l'Asie orientale, le Moyen-Orient et le nord-ouest de l'Afrique seraient les pires régions du monde pour la liberté de la presse et d'après le rapport, le facteur aggravant est la présence d'un conflit, comme l'attestent la chute de l'Égypte, de la Syrie, du Mali et de la République centrafricaine. Par ailleurs, les violences internes et les actes terroristes minent certains pays comme le Mexique, l'Irak, l'Iran, la Somalie, la République démocratique du Congo ou le Nigeria6. La recrudescence des violences pousse l'Assemblée générale des Nations unies à adopter en novembre 2013 la première résolution sur la sécurité des journalistes et sur la création de la Journée internationale contre l'impunité des crimes contre les journalistes (célébrée le 2 novembre)7. « Prédateurs de liberté de la presse » L'association établit également une liste des « prédateurs de liberté de la presse », qu'elle met au point chaque année8. En 2006 ce sont cinq nouveaux noms qui augmentent la liste, cette année : le Premier ministre éthiopien Meles Zenawi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, les groupes armés tamouls du Sri Lanka, le chef des paramilitaires colombiens Diego Fernando Murillo Bejarano, et le chef de guérilla colombien Raul Reyes. Mollah Mohammad Omar - Afghanistan et Pakistan - chef taliban Abdallah ben Abdelaziz Al Saoud - Arabie saoudite - Roi Ilham Aliev - Azerbaïdjan Président de la République Alexandre Loukachenko - Bélarus Than Shwe - Birmanie - Chef de la Junte Hu Jintao - Chine - Président de la République FARC - Colombie - Forces armées révolutionnaires de Colombie Águilas Negras (Aigles noirs), groupe paramilitaire - Colombie Kim Jong Un - Corée du Nord Raúl Castro - Cuba - Président du Conseil d’État et du Conseil des ministres Issayas Afeworki - Érythrée - Président de la République ETA - Espagne - Organisation terroriste Yahya Jammeh - Gambie - Président de la République Teodoro Obiang Nguema Mbasogo - Guinée équatoriale - Président de la République Ali Khamenei - Iran - Guide suprême de la République Mahmoud Ahmadinejad - Iran - Président de la République Forces de défense israéliennes, Tsahal - Israël Organisations criminelles mafieuses - Italie Noursoultan Nazarbaïev - Kazakhstan - Président de la République Choummaly Sayasone - Laos - Chef de l’État Cartels de Sinaloa, du Golfe et de Juárez - Mexique Groupes armés népalais - Népal Ogbonna Okechukwu Onovo (en)- Nigeria - Inspecteur général de la police nationale Islam Karimov - Ouzbékistan - Président de la République Milices privées - Philippines Ramzan Kadyrov - République de la Tchétchénie en Russie - Président de la République Vladimir Poutine - Russie - Président Paul Kagame - Rwanda - Président de la République Milices islamistes armées - Somalie - Harakat Al-Shabaab al-Moudjahidin, Hizb-Al-Islam Gotabaya Rajapakse - Sri Lanka - Secrétaire d’État à la Défense Mswati III - Swaziland - Roi du Swaziland Bachar el-Assad - Syrie - Président de la République Force exécutive, branche armée du Hamas - Territoires palestiniens Forces de sécurité palestiniennes, Autorité palestinienne - Territoires palestiniens Gurbanguly Berdimuhamedov - Turkménistan - Président de la République Robert Mugabe - Zimbabwe - Président de la République
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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