Pr Meïssa Diakhaté est le directeur de cabinet du ministre de l’Énergie, des Mines et du Pétrole. De l’avis de Bés Bi, qui donne l’information, Birame Soulèye Diop a choisi «un juriste de haute facture, Thièssois comme lui». Par ailleurs, souligne le journal, Pr Diakhaté n’est pas en terrain inconnu puisqu’il a eu à occuper le même poste «lors du premier passage de Ismaïla Madior Fall au ministère de la Justice».
Auteur: Seneweb News
Comments
Ils n'ont pas le choix, ils ne savent pas comment gouverner.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
C'est donc l'ancien régime qui a fait doubler le chômage,créé des milliers d'emplois fictifs dans l'administration et ainsi contourner le budget de celui- ci, fait usage démesurer de ka force, manipuler la juste qui savait gouverner peut être???
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Kiekiekie. Des mbaam sans expérience et trop prétentieux. Ils commencent à comprendre.
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non mais je lis certain commentaires des apéristes mais vous êtes vraiment drôle il faut changer vraiment votre maniere de s'opposer vous tirez sur tous ce qui bouge
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Un directeur de cabinet ne fait que suivre les directives de son ministre. Ou est le problème. Il a été choisi en fonction de ses compétences c'est tout. Kou diangoul nak sa affaire la
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DONC un aperiste est un pestifere à bannir encore qu'il n'est pas même sur que.ce gars soit aperiste
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Il a bien choisi. Le professeur Diakhaté, un homme pétri de valeur, connaissant l’Etat et l’avoir servi de multiples façons. Il a écrit et tranché aux moments de troubles au nom de l’intérêt supérieur de la nation sénégalaise au point que certains pensent qu’il était en connivence avec l’opposition d’alors. C’est le symbole de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Jub Jubbal Jubanti, a sa raison d’être ici.
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Il a bien choisi. Le professeur Diakhaté, un homme pétri de valeur, connaissant l’Etat et l’avoir servi de multiples façons. Il a écrit et tranché aux moments de troubles au nom de l’intérêt supérieur de la nation sénégalaise au point que certains pensent qu’il était en connivence avec l’opposition d’alors. C’est le symbole de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Jub Jubbal Jubanti, a sa raison d’être ici.
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Il a bien choisi. Le professeur Diakhaté, un homme pétri de valeur, connaissant l’Etat et l’avoir servi de multiples façons. Il a écrit et tranché aux moments de troubles au nom de l’intérêt supérieur de la nation sénégalaise au point que certains pensent qu’il était en connivence avec l’opposition d’alors. C’est le symbole de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Jub Jubbal Jubanti, a sa raison d’être ici.
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Pr. Meissa Diakhaté, agrégé de Droit public : De la craie à la toge Pour quelqu’un qui a failli ne jamais mettre les pieds à l’école française, son parcours émerveille. A force de sacrifices, Meïssa Diakhaté, a relevé les nombreux défis pour devenir instituteur puis professeur agrégé en droit public. Aujourd’hui, cet homme multidimensionnel, juriste-lettré-praticien, est un modèle pour les générations actuelles et futures. Par SAMBA OUMAR FALL L’enseignement est un sacerdoce pour lui. Et pourtant, Meïssa Diakhaté a failli ne jamais mettre les pieds à l’école. Né en 1968, à Thiès, d’une famille très conservatrice des valeurs traditionnelles sénégalaises, ce n’est que par un coup de destin qu’il fut inscrit à l’école primaire. Tardivement. A l’âge de 9 ans. Son père s’était opposé à toute procédure de « jugement » visant à « retailler » son âge. Fervent musulman, pétri des valeurs du mouridisme, il ne pensait pas que l’offre éducative de l’école française soit la meilleure pour l’accomplissement social, moral et spirituel d’une lignée familiale qu’il se devait de perpétuer. Ainsi, le jeune Meïssa a été amené à séjourner dans son village natal, pour s’approprier des valeurs ancestrales. « Comme il s’était définitivement installé dans la ville de Thiès, depuis les années 60, mon père a finalement agréé mon retour minutieusement arrangé par ma mère. Il était un père très attentif aussi bien au parcours scolaire qu’à l’éducation religieuse », renseigne-t-il. Dans ces conditions, l’adolescent a été amené à comprimer, audacieusement, le cycle primaire. Il est passé directement au collège après n’avoir fréquenté que le Cours d’initiation (Ci), le Cours préparatoire (Cp) et le Cours moyen 2e année (Cm2). Sa réussite professionnelle est le fruit d’une succession d’efforts et de sacrifices. En 1986, il est admis à l’Ecole normale régionale de Saint-Louis. Après quatre années de formation, il obtient le Brevet supérieur d’études normales (Bsen) et le Certificat d’aptitude pédagogique (Cap). Successivement muté à Boki et à Mboumba, dans le département de Podor, puis à Mbampana (Commune de Touba Toul), il réussit au redoutable concours d’inspectorat adjoint de l’enseignement élémentaire. Puis, en 2002, après sa formation d’inspecteur titulaire de l’enseignement, il servira successivement, de 2002 à 2008, à l’Inspection de Thiès-Ville, à l’Ecole de formation d’Instituteurs (Efi, Germaine Legoff), à la Direction des Ressources humains du ministère de l’Eduction et à la Division de l’Enseignement privé dudit Ministère. Un parcours professionnel atypique Après sa carrière d’instituteur et d’inspecteur de l’enseignement, Meïssa a éprouvé un vif besoin de diversifier ses compétences. Il s’inscrit à l’Ucad et devient titulaire d’un grade de capacitaire en droit et d’un titre de maitre-es science juridique, (option Administration publique). Meïssa Diakhaté fait la connaissance du Professeur Ismaïla Madior Fall. « Son admirable générosité d’esprit et les remarquables traits de personnalité ont imprimé une nouvelle orientation à ma professionnelle », témoigne-t-il. Sous la direction et la rigueur scientifique du Pr Fall, Meïssa Diakhaté a présenté sa thèse de doctorat en droit constitutionnel au Cames. Il garde encore dans sa mémoire le message écrit du Pr Ismaïla Madior après l’admission à l’agrégation devant un jury dont il était membre sans voix délibérative : « Cher Meissa, Dieu est le meilleur programmateur ; il avait décidé que je sois témoin de votre réussite. Au cours de vos prestations, vous me rendez davantage fier». Bien des années plus tard, Meïssa Diakhaté a eu à inviter le Professeur Fall, en 2005, à Thiès, pour deux communications : « le système politique sénégalais » et « la dissertation juridique ». Depuis, leurs relations se sont renforcées et cette confiance lui a valu d’être son Directeur de cabinet au ministère de la Justice. Le Pr Meïssa Diakhaté est connu pour son goût pour les études, sa rigueur et son sens élevé du travail bien fait. Ceux qui l’ont côtoyé ne diront pas le contraire. Conseiller en organisation au Bureau organisation et méthodes (Bom), Saïdou Diaw s’est lié d’amitié avec le Pr Diakhaté pour avoir fréquenté avec lui, d’octobre 1986 à 1990, la 10e promotion de l’Ecole normale régionale (Enr) Durand Barthélémy Valentin de Saint-Louis. « Après quelques années de service en qualité d’instituteur, Meïssa Diakhaté fut le premier de notre promotion à réussir au concours professionnel des Inspecteurs de l’enseignement élémentaire », témoigne-t-il. Recruté en novembre 2011 comme Conseillers en organisation du Bom, le chemin de Saïdou croisera à nouveau celui de son ami. Meïssa avait, en 1995, intégré le Bom en qualité de Conseiller en organisation. Plus tard, il s’est inscrit à la Faculté des sciences juridiques de l’Ucad et devient professeur agrégé en droit public. « Le parcours professionnel de M. Diakhaté, d’instituteur à professeur agrégé en droit public est atypique. A ma connaissance, il est et demeure, de nos jours, le premier et l’unique enseignant au profil pareil », assure-t-il non sans préciser que le Pr Diakhaté est un modèle pour les générations actuelles et futures. « C’est un homme multidimensionnel de par sa compétence, sa disponibilité son engagement, sa générosité et sa piété », fait-il savoir. « Agrégé » en psalmodie du Coran Imam et Professeur de philosophie, Moussa Ndiaye qualifie le Professeur Meïssa Diakhaté d’un « bel exemple » à suivre pour la nouvelle génération et même pour les générations futures. S’il est agrégé de Droit Public sur le plan temporel, Meïssa Diakhaté est aussi considéré comme un « Agrégé » en psalmodie du Coran. Selon l’Imam Ndiaye, « il ne cesse de s’inscrire sur cette merveilleuse lancée ». Ainsi rappelle-t-il, « quand j’étais à la Fastef comme normalien-instituteur, élève professeur en philosophie, Pr. Diakhaté a courageusement et brillamment terminé la psalmodie complète du Coran de Fatiha et Al Baqara, les premières sourates, à Nass, la dernière. Il a aussi convaincu deux de ses collègues universitaires très engagés à faire de même. Ces derniers ont eu à réaliser les mêmes prouesses ». De l’avis de l’Imam Ndiaye, le professeur Diakhaté a très tôt compris que le monde de l’humain n’est pas uniquement un monde d’objectivité matérielle, mais celui d’une objectivité spirituelle. En ce sens, il a eu à mettre à la disposition de son quartier « Route de Dakar 2 », à Thiès, un daara (école coranique) qu’il a construit et équipé à coût de millions. « Actuellement, sous la direction de l’Imam Sarr, les enfants dudit quartier y reçoivent un enseignement coranique et une éducation islamique de qualité ». Le daara Oumoulkhourâ, Meïssa Diakhaté dit l’avoir construit en souvenir à ses parents. « C’est parti d’une volonté de construire un modèle adossé à un environnement sain d’apprentissage du Coran. Cela permet aux enfants du voisinage, fils de hauts cadres de l’Administration publique ou personnalités universitaires, généralement inscrits dans les écoles française de référence de la Ville de Thiès, de suivre un enseignement religieux tous les jours non ouvrés et les grandes vacances sous la guidance de Imam Oumar Sarr », explique-t-il. Ce faisant, ajoute-t-il, « ces enfants cumuleront le meilleur du curriculum de l’école française et du curriculum de l’école coranique, dans l’espoir et la conviction qu’ils seront demain des citoyens intellectuellement épanouis, spirituellement accomplis et socialement utiles ». Son amour insatiable pour la recherche est sanctionné par de nombreux ouvrages : L’Education au Sénégal : Historique et Actualité des Réformes pédagogiques (avril 2005), La méthodologie de la Rédaction administrative (édition revue, corrigée et augmentée, 2017), Les lois au Sénégal en deux volumes : Volume 1 : La procédure législative ; Volume 2 : Le répertoire législatif de 1960 à 2020. Cette année, il a publié « Organisation et performance de l’administration publique », un ouvrage co-écrit avec Abdou Karim Lo, expert international en Management public. Le Pr Diakhaté a aussi produit plusieurs articles scientifiques. Pour l’écrivain, Juriste-chercheur-publiciste en Master II, Mouhamed Boye, le Pr Meïssa Diakhaté excelle par son sens administratif. « Doté d’une finesse et d’une dextérité rédactionnelle, il est ce chevronné en matière administrative qui, au-delà d’une expérience gagnée après avoir travaillé au Bureau organisation et méthode et de son statut d’ancien assistant parlementaire, a fait un grand sacrifice pour l’école sénégalaise en qualité d’instituteur et l’Université en tant que professeur, sans oublier son apport pour l’administration sénégalaise notamment avec son ouvrage pratique intitulé « la rédaction administrative au Sénégal » », indique-t-il. Aujourd’hui, les défis du Pr Diakhaté est de toujours et mieux servir l’Etat, la société, de publier, à court terme, deux ouvrages majeurs, mais aussi de rendre fonctionnel le Centre de Recherche, d’Expertise et de Formation sur les Institutions constitutionnelles, les Administrations publiques, la Gouvernance financière et la Logistique en Afrique (Ceracle). Source: le soleil 🌞
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pr. Meissa Diakhaté, agrégé de Droit public : De la craie à la toge Pour quelqu’un qui a failli ne jamais mettre les pieds à l’école française, son parcours émerveille. A force de sacrifices, Meïssa Diakhaté, a relevé les nombreux défis pour devenir instituteur puis professeur agrégé en droit public. Aujourd’hui, cet homme multidimensionnel, juriste-lettré-praticien, est un modèle pour les générations actuelles et futures. Par SAMBA OUMAR FALL L’enseignement est un sacerdoce pour lui. Et pourtant, Meïssa Diakhaté a failli ne jamais mettre les pieds à l’école. Né en 1968, à Thiès, d’une famille très conservatrice des valeurs traditionnelles sénégalaises, ce n’est que par un coup de destin qu’il fut inscrit à l’école primaire. Tardivement. A l’âge de 9 ans. Son père s’était opposé à toute procédure de « jugement » visant à « retailler » son âge. Fervent musulman, pétri des valeurs du mouridisme, il ne pensait pas que l’offre éducative de l’école française soit la meilleure pour l’accomplissement social, moral et spirituel d’une lignée familiale qu’il se devait de perpétuer. Ainsi, le jeune Meïssa a été amené à séjourner dans son village natal, pour s’approprier des valeurs ancestrales. « Comme il s’était définitivement installé dans la ville de Thiès, depuis les années 60, mon père a finalement agréé mon retour minutieusement arrangé par ma mère. Il était un père très attentif aussi bien au parcours scolaire qu’à l’éducation religieuse », renseigne-t-il. Dans ces conditions, l’adolescent a été amené à comprimer, audacieusement, le cycle primaire. Il est passé directement au collège après n’avoir fréquenté que le Cours d’initiation (Ci), le Cours préparatoire (Cp) et le Cours moyen 2e année (Cm2). Sa réussite professionnelle est le fruit d’une succession d’efforts et de sacrifices. En 1986, il est admis à l’Ecole normale régionale de Saint-Louis. Après quatre années de formation, il obtient le Brevet supérieur d’études normales (Bsen) et le Certificat d’aptitude pédagogique (Cap). Successivement muté à Boki et à Mboumba, dans le département de Podor, puis à Mbampana (Commune de Touba Toul), il réussit au redoutable concours d’inspectorat adjoint de l’enseignement élémentaire. Puis, en 2002, après sa formation d’inspecteur titulaire de l’enseignement, il servira successivement, de 2002 à 2008, à l’Inspection de Thiès-Ville, à l’Ecole de formation d’Instituteurs (Efi, Germaine Legoff), à la Direction des Ressources humains du ministère de l’Eduction et à la Division de l’Enseignement privé dudit Ministère. Un parcours professionnel atypique Après sa carrière d’instituteur et d’inspecteur de l’enseignement, Meïssa a éprouvé un vif besoin de diversifier ses compétences. Il s’inscrit à l’Ucad et devient titulaire d’un grade de capacitaire en droit et d’un titre de maitre-es science juridique, (option Administration publique). Meïssa Diakhaté fait la connaissance du Professeur Ismaïla Madior Fall. « Son admirable générosité d’esprit et les remarquables traits de personnalité ont imprimé une nouvelle orientation à ma professionnelle », témoigne-t-il. Sous la direction et la rigueur scientifique du Pr Fall, Meïssa Diakhaté a présenté sa thèse de doctorat en droit constitutionnel au Cames. Il garde encore dans sa mémoire le message écrit du Pr Ismaïla Madior après l’admission à l’agrégation devant un jury dont il était membre sans voix délibérative : « Cher Meissa, Dieu est le meilleur programmateur ; il avait décidé que je sois témoin de votre réussite. Au cours de vos prestations, vous me rendez davantage fier». Bien des années plus tard, Meïssa Diakhaté a eu à inviter le Professeur Fall, en 2005, à Thiès, pour deux communications : « le système politique sénégalais » et « la dissertation juridique ». Depuis, leurs relations se sont renforcées et cette confiance lui a valu d’être son Directeur de cabinet au ministère de la Justice. Le Pr Meïssa Diakhaté est connu pour son goût pour les études, sa rigueur et son sens élevé du travail bien fait. Ceux qui l’ont côtoyé ne diront pas le contraire. Conseiller en organisation au Bureau organisation et méthodes (Bom), Saïdou Diaw s’est lié d’amitié avec le Pr Diakhaté pour avoir fréquenté avec lui, d’octobre 1986 à 1990, la 10e promotion de l’Ecole normale régionale (Enr) Durand Barthélémy Valentin de Saint-Louis. « Après quelques années de service en qualité d’instituteur, Meïssa Diakhaté fut le premier de notre promotion à réussir au concours professionnel des Inspecteurs de l’enseignement élémentaire », témoigne-t-il. Recruté en novembre 2011 comme Conseillers en organisation du Bom, le chemin de Saïdou croisera à nouveau celui de son ami. Meïssa avait, en 1995, intégré le Bom en qualité de Conseiller en organisation. Plus tard, il s’est inscrit à la Faculté des sciences juridiques de l’Ucad et devient professeur agrégé en droit public. « Le parcours professionnel de M. Diakhaté, d’instituteur à professeur agrégé en droit public est atypique. A ma connaissance, il est et demeure, de nos jours, le premier et l’unique enseignant au profil pareil », assure-t-il non sans préciser que le Pr Diakhaté est un modèle pour les générations actuelles et futures. « C’est un homme multidimensionnel de par sa compétence, sa disponibilité son engagement, sa générosité et sa piété », fait-il savoir. « Agrégé » en psalmodie du Coran Imam et Professeur de philosophie, Moussa Ndiaye qualifie le Professeur Meïssa Diakhaté d’un « bel exemple » à suivre pour la nouvelle génération et même pour les générations futures. S’il est agrégé de Droit Public sur le plan temporel, Meïssa Diakhaté est aussi considéré comme un « Agrégé » en psalmodie du Coran. Selon l’Imam Ndiaye, « il ne cesse de s’inscrire sur cette merveilleuse lancée ». Ainsi rappelle-t-il, « quand j’étais à la Fastef comme normalien-instituteur, élève professeur en philosophie, Pr. Diakhaté a courageusement et brillamment terminé la psalmodie complète du Coran de Fatiha et Al Baqara, les premières sourates, à Nass, la dernière. Il a aussi convaincu deux de ses collègues universitaires très engagés à faire de même. Ces derniers ont eu à réaliser les mêmes prouesses ». De l’avis de l’Imam Ndiaye, le professeur Diakhaté a très tôt compris que le monde de l’humain n’est pas uniquement un monde d’objectivité matérielle, mais celui d’une objectivité spirituelle. En ce sens, il a eu à mettre à la disposition de son quartier « Route de Dakar 2 », à Thiès, un daara (école coranique) qu’il a construit et équipé à coût de millions. « Actuellement, sous la direction de l’Imam Sarr, les enfants dudit quartier y reçoivent un enseignement coranique et une éducation islamique de qualité ». Le daara Oumoulkhourâ, Meïssa Diakhaté dit l’avoir construit en souvenir à ses parents. « C’est parti d’une volonté de construire un modèle adossé à un environnement sain d’apprentissage du Coran. Cela permet aux enfants du voisinage, fils de hauts cadres de l’Administration publique ou personnalités universitaires, généralement inscrits dans les écoles française de référence de la Ville de Thiès, de suivre un enseignement religieux tous les jours non ouvrés et les grandes vacances sous la guidance de Imam Oumar Sarr », explique-t-il. Ce faisant, ajoute-t-il, « ces enfants cumuleront le meilleur du curriculum de l’école française et du curriculum de l’école coranique, dans l’espoir et la conviction qu’ils seront demain des citoyens intellectuellement épanouis, spirituellement accomplis et socialement utiles ». Son amour insatiable pour la recherche est sanctionné par de nombreux ouvrages : L’Education au Sénégal : Historique et Actualité des Réformes pédagogiques (avril 2005), La méthodologie de la Rédaction administrative (édition revue, corrigée et augmentée, 2017), Les lois au Sénégal en deux volumes : Volume 1 : La procédure législative ; Volume 2 : Le répertoire législatif de 1960 à 2020. Cette année, il a publié « Organisation et performance de l’administration publique », un ouvrage co-écrit avec Abdou Karim Lo, expert international en Management public. Le Pr Diakhaté a aussi produit plusieurs articles scientifiques. Pour l’écrivain, Juriste-chercheur-publiciste en Master II, Mouhamed Boye, le Pr Meïssa Diakhaté excelle par son sens administratif. « Doté d’une finesse et d’une dextérité rédactionnelle, il est ce chevronné en matière administrative qui, au-delà d’une expérience gagnée après avoir travaillé au Bureau organisation et méthode et de son statut d’ancien assistant parlementaire, a fait un grand sacrifice pour l’école sénégalaise en qualité d’instituteur et l’Université en tant que professeur, sans oublier son apport pour l’administration sénégalaise notamment avec son ouvrage pratique intitulé « la rédaction administrative au Sénégal » », indique-t-il. Aujourd’hui, les défis du Pr Diakhaté est de toujours et mieux servir l’Etat, la société, de publier, à court terme, deux ouvrages majeurs, mais aussi de rendre fonctionnel le Centre de Recherche, d’Expertise et de Formation sur les Institutions constitutionnelles, les Administrations publiques, la Gouvernance financière et la Logistique en Afrique (Ceracle). Source: le soleil 🌞
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Pr. Meissa Diakhaté, agrégé de Droit public : De la craie à la toge Pour quelqu’un qui a failli ne jamais mettre les pieds à l’école française, son parcours émerveille. A force de sacrifices, Meïssa Diakhaté, a relevé les nombreux défis pour devenir instituteur puis professeur agrégé en droit public. Aujourd’hui, cet homme multidimensionnel, juriste-lettré-praticien, est un modèle pour les générations actuelles et futures. Par SAMBA OUMAR FALL L’enseignement est un sacerdoce pour lui. Et pourtant, Meïssa Diakhaté a failli ne jamais mettre les pieds à l’école. Né en 1968, à Thiès, d’une famille très conservatrice des valeurs traditionnelles sénégalaises, ce n’est que par un coup de destin qu’il fut inscrit à l’école primaire. Tardivement. A l’âge de 9 ans. Son père s’était opposé à toute procédure de « jugement » visant à « retailler » son âge. Fervent musulman, pétri des valeurs du mouridisme, il ne pensait pas que l’offre éducative de l’école française soit la meilleure pour l’accomplissement social, moral et spirituel d’une lignée familiale qu’il se devait de perpétuer. Ainsi, le jeune Meïssa a été amené à séjourner dans son village natal, pour s’approprier des valeurs ancestrales. « Comme il s’était définitivement installé dans la ville de Thiès, depuis les années 60, mon père a finalement agréé mon retour minutieusement arrangé par ma mère. Il était un père très attentif aussi bien au parcours scolaire qu’à l’éducation religieuse », renseigne-t-il. Dans ces conditions, l’adolescent a été amené à comprimer, audacieusement, le cycle primaire. Il est passé directement au collège après n’avoir fréquenté que le Cours d’initiation (Ci), le Cours préparatoire (Cp) et le Cours moyen 2e année (Cm2). Sa réussite professionnelle est le fruit d’une succession d’efforts et de sacrifices. En 1986, il est admis à l’Ecole normale régionale de Saint-Louis. Après quatre années de formation, il obtient le Brevet supérieur d’études normales (Bsen) et le Certificat d’aptitude pédagogique (Cap). Successivement muté à Boki et à Mboumba, dans le département de Podor, puis à Mbampana (Commune de Touba Toul), il réussit au redoutable concours d’inspectorat adjoint de l’enseignement élémentaire. Puis, en 2002, après sa formation d’inspecteur titulaire de l’enseignement, il servira successivement, de 2002 à 2008, à l’Inspection de Thiès-Ville, à l’Ecole de formation d’Instituteurs (Efi, Germaine Legoff), à la Direction des Ressources humains du ministère de l’Eduction et à la Division de l’Enseignement privé dudit Ministère. Un parcours professionnel atypique Après sa carrière d’instituteur et d’inspecteur de l’enseignement, Meïssa a éprouvé un vif besoin de diversifier ses compétences. Il s’inscrit à l’Ucad et devient titulaire d’un grade de capacitaire en droit et d’un titre de maitre-es science juridique, (option Administration publique). Meïssa Diakhaté fait la connaissance du Professeur Ismaïla Madior Fall. « Son admirable générosité d’esprit et les remarquables traits de personnalité ont imprimé une nouvelle orientation à ma professionnelle », témoigne-t-il. Sous la direction et la rigueur scientifique du Pr Fall, Meïssa Diakhaté a présenté sa thèse de doctorat en droit constitutionnel au Cames. Il garde encore dans sa mémoire le message écrit du Pr Ismaïla Madior après l’admission à l’agrégation devant un jury dont il était membre sans voix délibérative : « Cher Meissa, Dieu est le meilleur programmateur ; il avait décidé que je sois témoin de votre réussite. Au cours de vos prestations, vous me rendez davantage fier». Bien des années plus tard, Meïssa Diakhaté a eu à inviter le Professeur Fall, en 2005, à Thiès, pour deux communications : « le système politique sénégalais » et « la dissertation juridique ». Depuis, leurs relations se sont renforcées et cette confiance lui a valu d’être son Directeur de cabinet au ministère de la Justice. Le Pr Meïssa Diakhaté est connu pour son goût pour les études, sa rigueur et son sens élevé du travail bien fait. Ceux qui l’ont côtoyé ne diront pas le contraire. Conseiller en organisation au Bureau organisation et méthodes (Bom), Saïdou Diaw s’est lié d’amitié avec le Pr Diakhaté pour avoir fréquenté avec lui, d’octobre 1986 à 1990, la 10e promotion de l’Ecole normale régionale (Enr) Durand Barthélémy Valentin de Saint-Louis. « Après quelques années de service en qualité d’instituteur, Meïssa Diakhaté fut le premier de notre promotion à réussir au concours professionnel des Inspecteurs de l’enseignement élémentaire », témoigne-t-il. Recruté en novembre 2011 comme Conseillers en organisation du Bom, le chemin de Saïdou croisera à nouveau celui de son ami. Meïssa avait, en 1995, intégré le Bom en qualité de Conseiller en organisation. Plus tard, il s’est inscrit à la Faculté des sciences juridiques de l’Ucad et devient professeur agrégé en droit public. « Le parcours professionnel de M. Diakhaté, d’instituteur à professeur agrégé en droit public est atypique. A ma connaissance, il est et demeure, de nos jours, le premier et l’unique enseignant au profil pareil », assure-t-il non sans préciser que le Pr Diakhaté est un modèle pour les générations actuelles et futures. « C’est un homme multidimensionnel de par sa compétence, sa disponibilité son engagement, sa générosité et sa piété », fait-il savoir. « Agrégé » en psalmodie du Coran Imam et Professeur de philosophie, Moussa Ndiaye qualifie le Professeur Meïssa Diakhaté d’un « bel exemple » à suivre pour la nouvelle génération et même pour les générations futures. S’il est agrégé de Droit Public sur le plan temporel, Meïssa Diakhaté est aussi considéré comme un « Agrégé » en psalmodie du Coran. Selon l’Imam Ndiaye, « il ne cesse de s’inscrire sur cette merveilleuse lancée ». Ainsi rappelle-t-il, « quand j’étais à la Fastef comme normalien-instituteur, élève professeur en philosophie, Pr. Diakhaté a courageusement et brillamment terminé la psalmodie complète du Coran de Fatiha et Al Baqara, les premières sourates, à Nass, la dernière. Il a aussi convaincu deux de ses collègues universitaires très engagés à faire de même. Ces derniers ont eu à réaliser les mêmes prouesses ». De l’avis de l’Imam Ndiaye, le professeur Diakhaté a très tôt compris que le monde de l’humain n’est pas uniquement un monde d’objectivité matérielle, mais celui d’une objectivité spirituelle. En ce sens, il a eu à mettre à la disposition de son quartier « Route de Dakar 2 », à Thiès, un daara (école coranique) qu’il a construit et équipé à coût de millions. « Actuellement, sous la direction de l’Imam Sarr, les enfants dudit quartier y reçoivent un enseignement coranique et une éducation islamique de qualité ». Le daara Oumoulkhourâ, Meïssa Diakhaté dit l’avoir construit en souvenir à ses parents. « C’est parti d’une volonté de construire un modèle adossé à un environnement sain d’apprentissage du Coran. Cela permet aux enfants du voisinage, fils de hauts cadres de l’Administration publique ou personnalités universitaires, généralement inscrits dans les écoles française de référence de la Ville de Thiès, de suivre un enseignement religieux tous les jours non ouvrés et les grandes vacances sous la guidance de Imam Oumar Sarr », explique-t-il. Ce faisant, ajoute-t-il, « ces enfants cumuleront le meilleur du curriculum de l’école française et du curriculum de l’école coranique, dans l’espoir et la conviction qu’ils seront demain des citoyens intellectuellement épanouis, spirituellement accomplis et socialement utiles ». Son amour insatiable pour la recherche est sanctionné par de nombreux ouvrages : L’Education au Sénégal : Historique et Actualité des Réformes pédagogiques (avril 2005), La méthodologie de la Rédaction administrative (édition revue, corrigée et augmentée, 2017), Les lois au Sénégal en deux volumes : Volume 1 : La procédure législative ; Volume 2 : Le répertoire législatif de 1960 à 2020. Cette année, il a publié « Organisation et performance de l’administration publique », un ouvrage co-écrit avec Abdou Karim Lo, expert international en Management public. Le Pr Diakhaté a aussi produit plusieurs articles scientifiques. Pour l’écrivain, Juriste-chercheur-publiciste en Master II, Mouhamed Boye, le Pr Meïssa Diakhaté excelle par son sens administratif. « Doté d’une finesse et d’une dextérité rédactionnelle, il est ce chevronné en matière administrative qui, au-delà d’une expérience gagnée après avoir travaillé au Bureau organisation et méthode et de son statut d’ancien assistant parlementaire, a fait un grand sacrifice pour l’école sénégalaise en qualité d’instituteur et l’Université en tant que professeur, sans oublier son apport pour l’administration sénégalaise notamment avec son ouvrage pratique intitulé « la rédaction administrative au Sénégal » », indique-t-il. Aujourd’hui, les défis du Pr Diakhaté est de toujours et mieux servir l’Etat, la société, de publier, à court terme, deux ouvrages majeurs, mais aussi de rendre fonctionnel le Centre de Recherche, d’Expertise et de Formation sur les Institutions constitutionnelles, les Administrations publiques, la Gouvernance financière et la Logistique en Afrique (Ceracle). Source: le soleil 🌞
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pr. Meissa Diakhaté, agrégé de Droit public : De la craie à la toge Pour quelqu’un qui a failli ne jamais mettre les pieds à l’école française, son parcours émerveille. A force de sacrifices, Meïssa Diakhaté, a relevé les nombreux défis pour devenir instituteur puis professeur agrégé en droit public. Aujourd’hui, cet homme multidimensionnel, juriste-lettré-praticien, est un modèle pour les générations actuelles et futures. Par SAMBA OUMAR FALL L’enseignement est un sacerdoce pour lui. Et pourtant, Meïssa Diakhaté a failli ne jamais mettre les pieds à l’école. Né en 1968, à Thiès, d’une famille très conservatrice des valeurs traditionnelles sénégalaises, ce n’est que par un coup de destin qu’il fut inscrit à l’école primaire. Tardivement. A l’âge de 9 ans. Son père s’était opposé à toute procédure de « jugement » visant à « retailler » son âge. Fervent musulman, pétri des valeurs du mouridisme, il ne pensait pas que l’offre éducative de l’école française soit la meilleure pour l’accomplissement social, moral et spirituel d’une lignée familiale qu’il se devait de perpétuer. Ainsi, le jeune Meïssa a été amené à séjourner dans son village natal, pour s’approprier des valeurs ancestrales. « Comme il s’était définitivement installé dans la ville de Thiès, depuis les années 60, mon père a finalement agréé mon retour minutieusement arrangé par ma mère. Il était un père très attentif aussi bien au parcours scolaire qu’à l’éducation religieuse », renseigne-t-il. Dans ces conditions, l’adolescent a été amené à comprimer, audacieusement, le cycle primaire. Il est passé directement au collège après n’avoir fréquenté que le Cours d’initiation (Ci), le Cours préparatoire (Cp) et le Cours moyen 2e année (Cm2). Sa réussite professionnelle est le fruit d’une succession d’efforts et de sacrifices. En 1986, il est admis à l’Ecole normale régionale de Saint-Louis. Après quatre années de formation, il obtient le Brevet supérieur d’études normales (Bsen) et le Certificat d’aptitude pédagogique (Cap). Successivement muté à Boki et à Mboumba, dans le département de Podor, puis à Mbampana (Commune de Touba Toul), il réussit au redoutable concours d’inspectorat adjoint de l’enseignement élémentaire. Puis, en 2002, après sa formation d’inspecteur titulaire de l’enseignement, il servira successivement, de 2002 à 2008, à l’Inspection de Thiès-Ville, à l’Ecole de formation d’Instituteurs (Efi, Germaine Legoff), à la Direction des Ressources humains du ministère de l’Eduction et à la Division de l’Enseignement privé dudit Ministère. Un parcours professionnel atypique Après sa carrière d’instituteur et d’inspecteur de l’enseignement, Meïssa a éprouvé un vif besoin de diversifier ses compétences. Il s’inscrit à l’Ucad et devient titulaire d’un grade de capacitaire en droit et d’un titre de maitre-es science juridique, (option Administration publique). Meïssa Diakhaté fait la connaissance du Professeur Ismaïla Madior Fall. « Son admirable générosité d’esprit et les remarquables traits de personnalité ont imprimé une nouvelle orientation à ma professionnelle », témoigne-t-il. Sous la direction et la rigueur scientifique du Pr Fall, Meïssa Diakhaté a présenté sa thèse de doctorat en droit constitutionnel au Cames. Il garde encore dans sa mémoire le message écrit du Pr Ismaïla Madior après l’admission à l’agrégation devant un jury dont il était membre sans voix délibérative : « Cher Meissa, Dieu est le meilleur programmateur ; il avait décidé que je sois témoin de votre réussite. Au cours de vos prestations, vous me rendez davantage fier». Bien des années plus tard, Meïssa Diakhaté a eu à inviter le Professeur Fall, en 2005, à Thiès, pour deux communications : « le système politique sénégalais » et « la dissertation juridique ». Depuis, leurs relations se sont renforcées et cette confiance lui a valu d’être son Directeur de cabinet au ministère de la Justice. Le Pr Meïssa Diakhaté est connu pour son goût pour les études, sa rigueur et son sens élevé du travail bien fait. Ceux qui l’ont côtoyé ne diront pas le contraire. Conseiller en organisation au Bureau organisation et méthodes (Bom), Saïdou Diaw s’est lié d’amitié avec le Pr Diakhaté pour avoir fréquenté avec lui, d’octobre 1986 à 1990, la 10e promotion de l’Ecole normale régionale (Enr) Durand Barthélémy Valentin de Saint-Louis. « Après quelques années de service en qualité d’instituteur, Meïssa Diakhaté fut le premier de notre promotion à réussir au concours professionnel des Inspecteurs de l’enseignement élémentaire », témoigne-t-il. Recruté en novembre 2011 comme Conseillers en organisation du Bom, le chemin de Saïdou croisera à nouveau celui de son ami. Meïssa avait, en 1995, intégré le Bom en qualité de Conseiller en organisation. Plus tard, il s’est inscrit à la Faculté des sciences juridiques de l’Ucad et devient professeur agrégé en droit public. « Le parcours professionnel de M. Diakhaté, d’instituteur à professeur agrégé en droit public est atypique. A ma connaissance, il est et demeure, de nos jours, le premier et l’unique enseignant au profil pareil », assure-t-il non sans préciser que le Pr Diakhaté est un modèle pour les générations actuelles et futures. « C’est un homme multidimensionnel de par sa compétence, sa disponibilité son engagement, sa générosité et sa piété », fait-il savoir. « Agrégé » en psalmodie du Coran Imam et Professeur de philosophie, Moussa Ndiaye qualifie le Professeur Meïssa Diakhaté d’un « bel exemple » à suivre pour la nouvelle génération et même pour les générations futures. S’il est agrégé de Droit Public sur le plan temporel, Meïssa Diakhaté est aussi considéré comme un « Agrégé » en psalmodie du Coran. Selon l’Imam Ndiaye, « il ne cesse de s’inscrire sur cette merveilleuse lancée ». Ainsi rappelle-t-il, « quand j’étais à la Fastef comme normalien-instituteur, élève professeur en philosophie, Pr. Diakhaté a courageusement et brillamment terminé la psalmodie complète du Coran de Fatiha et Al Baqara, les premières sourates, à Nass, la dernière. Il a aussi convaincu deux de ses collègues universitaires très engagés à faire de même. Ces derniers ont eu à réaliser les mêmes prouesses ». De l’avis de l’Imam Ndiaye, le professeur Diakhaté a très tôt compris que le monde de l’humain n’est pas uniquement un monde d’objectivité matérielle, mais celui d’une objectivité spirituelle. En ce sens, il a eu à mettre à la disposition de son quartier « Route de Dakar 2 », à Thiès, un daara (école coranique) qu’il a construit et équipé à coût de millions. « Actuellement, sous la direction de l’Imam Sarr, les enfants dudit quartier y reçoivent un enseignement coranique et une éducation islamique de qualité ». Le daara Oumoulkhourâ, Meïssa Diakhaté dit l’avoir construit en souvenir à ses parents. « C’est parti d’une volonté de construire un modèle adossé à un environnement sain d’apprentissage du Coran. Cela permet aux enfants du voisinage, fils de hauts cadres de l’Administration publique ou personnalités universitaires, généralement inscrits dans les écoles française de référence de la Ville de Thiès, de suivre un enseignement religieux tous les jours non ouvrés et les grandes vacances sous la guidance de Imam Oumar Sarr », explique-t-il. Ce faisant, ajoute-t-il, « ces enfants cumuleront le meilleur du curriculum de l’école française et du curriculum de l’école coranique, dans l’espoir et la conviction qu’ils seront demain des citoyens intellectuellement épanouis, spirituellement accomplis et socialement utiles ». Son amour insatiable pour la recherche est sanctionné par de nombreux ouvrages : L’Education au Sénégal : Historique et Actualité des Réformes pédagogiques (avril 2005), La méthodologie de la Rédaction administrative (édition revue, corrigée et augmentée, 2017), Les lois au Sénégal en deux volumes : Volume 1 : La procédure législative ; Volume 2 : Le répertoire législatif de 1960 à 2020. Cette année, il a publié « Organisation et performance de l’administration publique », un ouvrage co-écrit avec Abdou Karim Lo, expert international en Management public. Le Pr Diakhaté a aussi produit plusieurs articles scientifiques. Pour l’écrivain, Juriste-chercheur-publiciste en Master II, Mouhamed Boye, le Pr Meïssa Diakhaté excelle par son sens administratif. « Doté d’une finesse et d’une dextérité rédactionnelle, il est ce chevronné en matière administrative qui, au-delà d’une expérience gagnée après avoir travaillé au Bureau organisation et méthode et de son statut d’ancien assistant parlementaire, a fait un grand sacrifice pour l’école sénégalaise en qualité d’instituteur et l’Université en tant que professeur, sans oublier son apport pour l’administration sénégalaise notamment avec son ouvrage pratique intitulé « la rédaction administrative au Sénégal » », indique-t-il. Aujourd’hui, les défis du Pr Diakhaté est de toujours et mieux servir l’Etat, la société, de publier, à court terme, deux ouvrages majeurs, mais aussi de rendre fonctionnel le Centre de Recherche, d’Expertise et de Formation sur les Institutions constitutionnelles, les Administrations publiques, la Gouvernance financière et la Logistique en Afrique (Ceracle). Source: le soleil 🌞
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pauvre crétins vous ne savez pas que dans l'administration y'a en qui ne sont intéressés par leur travail et les autorités coptent à cause de leurs compétences bande d'ignares foutez la paix aux travailleurs
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
C bien comme ça wadji diangalko, au moins il est intelligent, Reuyoule comme son premier ministre le faiseur de malin.
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Wa ngoure gui gni mousse si ministre yi gningui dieule gagni sissouff.
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Mr meissa diakhate est une personne digne il n'appartient a aucun parti politique Ismailla Madior Fall lui a nommé par ces compétences et il est parti quitté ismaila madior pour ne pas participer au manoeuvre de l'ancien regime merci
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Mr meissa diakhate est une personne digne il n'appartient a aucun parti politique Ismailla Madior Fall lui a nommé par ces compétences et il est parti quitté ismaila madior pour ne pas participer au manoeuvre de l'ancien regime merci
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Si c’est bien ce prof que IMF actionnait pour nous débiter des arguties juridiques à chaque fois que le très respectable Pr Kader BOYE battait en brèche les arguments avancés par le régime de Macky pour violer la constitution, c’est juste inacceptable. Il ne m’a jamais inspiré confiance ce BSD. Continuez ainsi, vous allez perdre énormément de sympathisants.
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Le gars est sénégalais et propre sans aucune casserole. Si j'ai bien compris tu as démissionné depuis, soit cohérent avec toi même.
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"Le premier passage de IMF...", khana avant de vomir vos commentaires, au moins faites preuve de luciditE. Wa APR sof nguene trop way
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On se fout de la sympathie juste le travail avec des Patriotes compte, le reste n'est que de la masturbation intellectuelle de personnes qui n'ont pas grand chose a faire de leur vie
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Assalamoualeyekoum. Ce directeur de cabinet est senegalais. Où est le problème ?
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ET aprés ce directeur de cabinet c'est un roumais ou japonais peut étre c est un gambien? Hé bayi léne si ligéne néké té accompagné ce nouveau gouvernement
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Bouko defoulwone ngani seni nitt ak wa PASTEF rek lagnouy diel. Bayyilene fenn ak hypocrisie
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BSD Wadji iil est toujours le Maire de Thiès Nord wala Sonko moko wakhone dé Pas de cumul de fonction!!!
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CERTES, IL EST DIPLPOME ET COMPETENT MAIS C'EST UN POULAIN DU PROFESSEUR ISMAILA MADIOR FALL. IL DEFENDAIT l4NDEFNDABLE AVEC BECS ET ONGLES LE PRESIDENT MACKY SALL, LE REPORT DES ELECTIONS . C'ETAIT LUI LA BOUCHE DU PROFESSEUR ISMAILA MADIOR. NEANMOINS, ON LUI RECONNAIT SON STATUT DE PROFESSEUR AGREGE MAIS IL N'EST PAS DIGNE. IL SERA OBLIGE DE DEFENDRE LA POLITIQUE DE PASTEF
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Il faut dégager de toute urgence le prétentieux qui se trouve au COS PETROGAS ! Il a payé un public reportage à la RTS pour vendre son image de premier de la classe. c'est un imposteur, agent double, myto et suffisant. qu'il degasse
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Il y’a pas de sénégalais propre mec
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Non monsieur ils savent ce qu'ils font.rs ce que vous pouvez nous dire comment on gouverne? et cela plus de moi qu'ils vous gouvernent si vous n'êtes content changez de pays. Les Sénégalais n'ont plus le temps de lire des enfantillages pareils. c'est le temps du travail pour tout le monde gouvernants et gouvernés .
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Un DC ça se choisit par la confiance. C'est très personnel. Il est le seul à en connaître les raisons personnelles. Thies est trop petit. Ce sont les thiessois qui sauront les vrais raisons de cette nomination On applaudit des deux mains. Et on les attent sur les résultats
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Un DC ça se choisit par la confiance. C'est très personnel. Il est le seul à en connaître les raisons personnelles. Thies est trop petit. Ce sont les thiessois qui sauront les vrais raisons de cette nomination On applaudit des deux mains. Et on les attent sur les résultats
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Ce cretin de ndiago ( le premier commentaire) ne sait pas qu’il n’y a pas d’école pour apprendre a gouverné. Gouverner , c’est juste être honnête , et être travailleur le reste c’est de la routine . Mais je pense très franchement que si le Sénégal devenez le pays le plus riche et le plus nanti au monde un imbecile comme ce cretin de ndiago continuerez à critique par partisanneries stupide
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Certes, il est diplomé et agrégé en droit mais il défendait l'indéfendable. Il est le poulain de iSMAILA MADIOR FALL. C'était lui la bouche de madior fall. Il n'est pas politicien mais défendait macky Sall sans arguments juridiques valables. Où est la dignité? Aprés avoir défendu APR et Macky SALL et contredire Professeur Kader FALL, Serigne DIOP, il sera obligé de défendre maintenant PASTEF? PM et PR. Des intellectuels qui ne sont là que pour leurs poches,
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en plus avec la photo offcielle de lancien president sur le mur
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Ce que les petits esprits aigris de l'APR ne captent pas, c'est qu'énorméments de fonctionnaires en poste sous Wade puis Macky etaient des patriotes dans l'âme. Ils font partie de cette masse de patriotes de l'ombre au Senegal ou à l'étranger qui oeuvraient comme ils pouvaient. Pour la majorité, invisibles. Donc normal que certains remontent en surface et continuent ou commencent à servir leur patrie. Punt!
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ce cadre de haut vol n est pas un politicien je le connais depuis presque 30 ans
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yaw ya con, ces gens sont des fonctionnaires, même Sonko à la primature travaille avec des commis de l'Etat qui était là sous Diouf et sous Wade
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Arrête de s’arroger le nom d’une communauté à tes fins propres. Met ton nom ou ton pseudo. C’est pas responsable de ta part du fait que tu met toute une communauté à risque à cause de tes opinions qui ne reflètent celles de cette communauté
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Aucune ecole pour apprendre a gouverner ? Mais vous etes vraiment ignorants ! Gouverner cela s apprend parfaitement ! Mais le gars choisi est un sénégalais bon teint !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Time to teach The partner of Macky’s economic crimes, the neaningless Mamoudou Ibra Kane. Je lui sur les infos que ce client de Nacky Mann my adouna Ibra Kane a dépose une demande d’audience auprès du président à Propos de la sortie de Sonko . Si vous jouez au political correct ces salopards vont nous emnerder - il ne faut pas que ce gamin fabriqué par la corruption ethicists de Nacky réussisse la mission que Macky lui a confié - celle de perturber votre gouvernement par in groupe média que Macky lui a financé sur l’argent des Sénégalais. Remettez ce petit mbidou toucouleurs à sa place - en quoi peut- il être si spécial - pour se permettre de vous dire j’arrive et je viens vous éclabousser - mais pour qui ce salopard se prend - il - No Djomay moo dheekkhal khol billaahi: Vous avez peur de la mission que vous revendiquez porter au nom des Sénégalais - a savoir recouvrer nos biens volés et vous n’arrivez même pas à récupérer les 100 véhicules volés à la présidence surtout après avoir découvert les récipiendaires , NarBiuts, ex ministre généraux et autres ) - vous voulez dialoguez - renoncer - chercher la paix - mais c’est votre paix au pouvoir contre l misère du peuple - c’est de l’opportunisme Pure mon cher président Diomay - Billahi walkahi Tallahi Si Diomay qui devrait mettre se Mamadou Ibra Kane en investigation pour l’origine de son groupe média spontané - de voyageur en ndiag ndiaye car rapide des parcelles assainis chez tes logeurs parents toucouleurs pour aller tous les matin à ton travail chez ton patron employeur Bouba Ndour - tu t’es vue du jour au lendemain propriétaire d’un groupe média et employeur - corruption ethniciste bombe à retardement que Macky a loser contre vous - et vous voulez donner une audience à ce complice de corruption d’Etat . This Ibra Kane has partaken in a state wide corruption under Macky’s ruling - a man who should keep Low key in a normal country - No - Mr Kane instead Is free and so free to the point where he is positioning himself as your terror - undermining your president and Sonko prime mi infer both of you the choice of the majority of Senegalese - si Ibra Kane vous abuse ou vous minimise par votre cowardise - c’est le peuple du Sénégal que Mr Kane manque de respect. Vous êtes entrain de perdre crédibilité partout du fait de votre artiste placide - totalement aux antipodes de vos discours de campagne et pré-campagne. Ibra Kane n’a qu’une mission. - celle de perturber le choix des Senegslais Il publié sur les media et réseaux sociaux sa demande d’audience auprès de Diomay president - pour mettre Diomay en position de faiblesse: ? Peur de refuser puisque la demande d’audience est publiée partout - non et non Il faut demander au ministre conseiller de le recevoir - et en dehor du palais. bon Djomay yow loyy raggaal - Royal tchi Macky touti. Khana geumoulo Yallah - tu laisses des délinquants qui devaient pourrir en prison nous insulter en refusant de rendre les butins volés de nos ressources - et maintenant tu permets à cet ex chômeur employer de Bouba Ndour arrive à Dakar en adolescent mbidou - finance sur nos milliards volés - tu le laisses te faire du chantage : Laisse le ministre conseiller prof Cheikh Omar Diagne Islamologue le recevoir. Il cherche à te séparer de Sonko - Kane cherche aussi à en bercer Sonko pour qu’il le tape dessus ou qu’il l’insulte ou l’abuse afin que l’évènement se fasse virale avec les media bashing. Say no to a partager of a state criminal looting of public finances — No audience -No meeting with a crocked neddo ko bandium.. Djomay boulgniou yaa Lou - avec ce petit arriviste de Kane. - nous t’avons élu nous autres Sénégalais - a travers toi c’est nous que cet proxy de Macky manque de respect.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Time to teach The partner of Macky’s economic crimes, the neaningless Mamoudou Ibra Kane. Je lui sur les infos que ce client de Nacky Mann my adouna Ibra Kane a dépose une demande d’audience auprès du président à Propos de la sortie de Sonko . Si vous jouez au political correct ces salopards vont nous emnerder - il ne faut pas que ce gamin fabriqué par la corruption ethicists de Nacky réussisse la mission que Macky lui a confié - celle de perturber votre gouvernement par in groupe média que Macky lui a financé sur l’argent des Sénégalais. Remettez ce petit mbidou toucouleurs à sa place - en quoi peut- il être si spécial - pour se permettre de vous dire j’arrive et je viens vous éclabousser - mais pour qui ce salopard se prend - il - No Djomay moo dheekkhal khol billaahi: Vous avez peur de la mission que vous revendiquez porter au nom des Sénégalais - a savoir recouvrer nos biens volés et vous n’arrivez même pas à récupérer les 100 véhicules volés à la présidence surtout après avoir découvert les récipiendaires , NarBiuts, ex ministre généraux et autres ) - vous voulez dialoguez - renoncer - chercher la paix - mais c’est votre paix au pouvoir contre l misère du peuple - c’est de l’opportunisme Pure mon cher président Diomay - Billahi walkahi Tallahi Si Diomay qui devrait mettre se Mamadou Ibra Kane en investigation pour l’origine de son groupe média spontané - de voyageur en ndiag ndiaye car rapide des parcelles assainis chez tes logeurs parents toucouleurs pour aller tous les matin à ton travail chez ton patron employeur Bouba Ndour - tu t’es vue du jour au lendemain propriétaire d’un groupe média et employeur - corruption ethniciste bombe à retardement que Macky a loser contre vous - et vous voulez donner une audience à ce complice de corruption d’Etat . This Ibra Kane has partaken in a state wide corruption under Macky’s ruling - a man who should keep Low key in a normal country - No - Mr Kane instead Is free and so free to the point where he is positioning himself as your terror - undermining your president and Sonko prime mi infer both of you the choice of the majority of Senegalese - si Ibra Kane vous abuse ou vous minimise par votre cowardise - c’est le peuple du Sénégal que Mr Kane manque de respect. Vous êtes entrain de perdre crédibilité partout du fait de votre artiste placide - totalement aux antipodes de vos discours de campagne et pré-campagne. Ibra Kane n’a qu’une mission. - celle de perturber le choix des Senegslais Il publié sur les media et réseaux sociaux sa demande d’audience auprès de Diomay president - pour mettre Diomay en position de faiblesse: ? Peur de refuser puisque la demande d’audience est publiée partout - non et non Il faut demander au ministre conseiller de le recevoir - et en dehor du palais. bon Djomay yow loyy raggaal - Royal tchi Macky touti. Khana geumoulo Yallah - tu laisses des délinquants qui devaient pourrir en prison nous insulter en refusant de rendre les butins volés de nos ressources - et maintenant tu permets à cet ex chômeur employer de Bouba Ndour arrive à Dakar en adolescent mbidou - finance sur nos milliards volés - tu le laisses te faire du chantage : Laisse le ministre conseiller prof Cheikh Omar Diagne Islamologue le recevoir. Il cherche à te séparer de Sonko - Kane cherche aussi à en bercer Sonko pour qu’il le tape dessus ou qu’il l’insulte ou l’abuse afin que l’évènement se fasse virale avec les media bashing. Say no to a partager of a state criminal looting of public finances — No audience -No meeting with a crocked neddo ko bandium.. Djomay boulgniou yaa Lou - avec ce petit arriviste de Kane. - nous t’avons élu nous autres Sénégalais - a travers toi c’est nous que cet proxy de Macky manque de respect.
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Mais que voulez vous le Directeur de cabinet de Sonko ibrahima gueye était le SG du Ministère de l'enseignement supérieur
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Merde le troupeau découvre que les masseuses ne sont pas des kinésithérapeutes ..un cirque de pitre !!
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On veut nos gueunons comme le gourou de merde
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Qu'est-ce qu'il y'a de mal à nommer un ancien collaborateur de ismaila madior?Franchement, en matière de cretinerie ces crétins d'idiots poussent le bouchon très loin avec un tel titre. Ils veulent certainement faire croire que tous ceux qui ont eu à travailler avec madior sont des pestiférés, des connards de merde qu'on doit enterrer vivant.
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Maissa diakhate est un conseiller en organisation au Bureau Organisation et Méthodes (BOM). il est de la Haute Administration il a donné des cours d'administration un peu partout même à l'ENA. Sortez cette étiquette et non celle de sa collaboration avec ismaila madior FALL
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Maissa diakhate est un conseiller en organisation au Bureau Organisation et Méthodes (BOM). il est de la Haute Administration il a donné des cours d'administration un peu partout même à l'ENA. Sortez cette étiquette et non celle de sa collaboration avec ismaila madior FALL
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Je souffre d'hépatite B chronique avec une charge virale de 200 depuis plus de 5 ans et on m'a recommandé d'utiliser un médicament à base de lamivudine, ce qui a conduit à une cirrhose du foie. Je cherchais un remède naturel que j'ai obtenu grâce à l'aide des herbes du docteur Nelson Salim. Je suis tombé sur ses publicités sur ce blog avec une série de témoignages de ses précédents patients guéris d'un cancer du côlon. J'ai décidé d'essayer le spécialiste des plantes médicinales et j'ai passé une commande de ses suppléments à base de plantes pour l'hépatite B et la cirrhose du foie, que j'ai reçus à mon adresse via DHL - service dans les 4 jours, et avec ses instructions, j'ai utilisé le produit pendant 21 jours. . Après avoir terminé les traitements à base de plantes selon les directives de l'herboriste, j'ai fait un test d'hépatite et mon résultat était négatif sans aucune trace de virus dans mon sang avec une charge virale complètement réduite à 40 et mon scanner du foie a montré de bonnes fonctions et fonctionne parfaitement. Je le recommande à toute personne ayant ; Diabète, cancers, désintoxication complète du corps, VPH, EBV, fibromes, gale, arthrite, coagulation sanguine, prostate, virus de l'herpès et épidémie, dysfonction érectile, cholestérol, BPCO, maladie de Lyme, asthme, psoriasis, infection à levures. Ses infos. E-mail; drnelsonsalim10@gmail.com
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Je me demande comment peut on autant démontrer l'idiotie. Je comprends que les gens soit décu d'avoir perdu le pouvoir mais prier pour que le Senegal echoue pour revenir au pouvoir c'est juste de la connerie et il faut oser le dire ce qui prone cette philosophie sont cons. A celui qui fait ce post je lui dis simplement que Ngagne Demba Toure était un collaborateur de Ismaila Madior Fall et que Birame Souleye, Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye étaient des collaborateurs de Amadou BA, je comprends maintenant pourquoi certains disent que le francais est difficile. Aller apprendre à travailler c'est mieux. Au passage ils gouvernent bien
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Arretez vos foutaises! le seul critére qui vaille dans les nommination doit etre la compétence et l'intégrité morale! Nous sommes tous des sénégalais. Les Journalistes commerciaux et nuls seuls font ce genre de relévement. Evelevez le sens du débat please.
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PR MEISSA DIAKHATE EST UN JURISTE DE HAUTE QUALITÉ,IL M'A ENSEIGNÉ À LA FAC DROIT,KOU DIOUB LA TA AM XAM XAM.
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Et toi tu ne sais pas qui tu es. Restons sérieux. Le Sénégal en vaut le coût
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Un monsieur qui bien connu et apprécié par les thiessois. Il a encadré avec brio beaucoup de candidats à l'ENA entre autres.
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Quelqu'un qui ne t'aime pas ne t'aimera jamais whatever ce que tu feras. Ils ont la rage dans leurs cœurs. Alors, mourrez de votre rage.
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Ils sont dans la logique de ce qu'ils disaient c'est à dire travailler avec tous les honnêtes gens de APR..Y'a aussi au sein de APR des hommes pas couchés....Doff nga rekkk....
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Hahahaha 😂 Le premier commentaire, tu as vraiment raison. Ils sont obligés d'aller fouiller dans le bac a recyclage pour reprendre du Macky Sall. Ils se sont empressés de nettoyer tout ce qui était attaché a Macky Sall en mettant des directeurs Master 2 mais c'est pas le diplôme qui fait le travailleur compétent mais l'expérience. C'est des tonneaux vides, du bruit rien que du bruit et des insultes mais rien dans le ventre. Vous allez voir qu'ils vont maquiller ou plutôt Mackyller tous leur POROZÉ avec des gars se l'ancien régime. Saga yoroul réwmi. Tchim!
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Cette façon de faire du journalisme dans le net, que fait le nom du tailleur constitutionnel dans ce texte,on aurait dit le nom du ministère et on sait que c'est un Sénégalais comme tout autre qui fait bien son travail
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Vous auriez pu prendre le jeune mais Super expérimenté Mohamadou Kane Fall, secrétaire exécutif de Cos-Petrogaz qui a une vue transversale nationale et internationale des enjeux pétroliers de l'heure. DC c'est pas affaire de Thiessois, surtout ni d'ancien collaborateur du très tailleur de haute couture de Macky Sall : respect moral aux morts et aux centaines et centaines de prisonniers injustement embastillés au Nom de la défense pour la démocratie.
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Ou est le problème? Un sénégalais comme toi, s'il a la confiance du ministre et il est propre OK. Il n'est pas dit tout ce qui ne sont du PASTEF n'ont pas droit à travailler dans l'état. Soyons tolérant, visons l'avenir du pays et souhaitons leur bonne chance. N'est ce pas?
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Ce n'est pas un collaborateur qui a été nommé mais un fonctionnaire de l'État du Sénégal qui mérite se poste. À surtout avant IMF, il devait ailleur.
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Pourquoi Dénigrer le SENEGAL cherche la compétence et les gens clean si même macky peut conseiller DIOMAYE et sonko le senegal est preneur et ont avance
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Ce n'est pas pour autant qu'on doit virer tous ce qui travaillaient au ministère de la justice ou autre sous prétextant que leur supérieur était incompétent. Les commentaires c'est à mdr. S'opposer ne sera pas facile ça demande de la matière grise et surtout de l'honnêteté.
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Petit à petit on reconnaît les taupes qui étaient dans l'ancien régime et qui travaillaient pour le gourou.
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Il serait bon avant d'avancer des propos sur une personne au moins de prendre le temps de connaître la personne. Si vous pensez que tous ce qui ont travaillé avec le gouvernement son APRISTES c'est parce que vous avez un mémoire très court. Nous qui avons eu la chance de côtoyer M. Maïssa Diakhaté savons très bien l'homme qu'il est.
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