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Les mots crus de Me Ciré Clédor Ly au Juge : “Psychologiquement, je ne pourrais pas…”

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Me Ciré Clédor Ly, avocat de Ousmane Sonko, a visiblement été marqué par les incidents de ce jeudi matin, lorsque son client a été extrait manu militari de son véhicule par les forces de l’ordre. Il a demandé au juge de  simples constatations matérielles :  "Examinez les habits de notre client. Les tâches et autres parlent.  Si j'avais  enlevé ma robe, vous verriez aussi mes tâches. Ils nous ont attaqué et ont tenté de nuire à notre vie. Nous avions, à un moment donné, décidé de retourner à la maison, quitte à ce qu'il soit jugé par défaut”. 
L’avocat semble avoir été particulièrement ébranlé par le traitement que lui ont infligé les forces de l'ordre : "J'ai été gazé au nez. Je devais organiser les débats avec les avocats. Nous nous sommes organisés comme ça. Mais psychologiquement, je ne pourrai pas.  Ousmane  Sonko ne pourra pas répondre aux questions correctement compte tenu de ce qu'il a vécu".
Me Ciré Clédor Ly plaide le renvoi du procès : "Nous avons encore le droit de demander un renvoi  pour être dans les dispositions de plaider correctement le dossier. Le code vous autorise même de dispenser Ousmane Sonko à ne pas comparaître et laisser les avocats plaider pendant la prochaine audience".
 Juste après cette déclaration, il a quitté la salle d'audience soutenu par un jeune.
Auteur: Yandé Diop
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Comments

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    ndiabot il y a 2 ans

    Les ordres de personnes laches cachés derrieres des bureaux  climatisé vont conduire ce pays a la derive. Ce president n'en vaut pas la peine.

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    Mbeur Dof il y a 2 ans

    Hey Dracula joue sa partition dans la scène de théâtre! 

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    Mbeur Dof il y a 2 ans

    Hey Dracula joue sa partition dans la scène de théâtre! 

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    reply_author il y a 2 ans

    walahi ! et seneweb est tout content ndeye sane ! quel site internet

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    il y a 2 ans

    je suis en classe avec mes etudiants tous indignes par le manque de respect des droits de l'homme en general au Senegal. Shame on you! Vous etes la honte du monde Macky Sall et sa horde

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    Vrai de vrai il y a 2 ans

    Vas te refaire le visage Sauvage ...il sera jugé ton client  Il se sucre sur le malheur du peuple cet abruti !??

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    reply_author il y a 2 ans

    faut que l'ordre ds avocvats le sanctione, il se comporte comme un militant et n,on un avocat. il st lui aussi dans l'entreprise des manipulateurs.

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    reply_author il y a 2 ans

    faut que l'ordre ds avocvats le sanctione, il se comporte comme un militant et n,on un avocat. il st lui aussi dans l'entreprise des manipulateurs.

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    reply_author il y a 2 ans

    Seule la lutte libère.  Battons nous contre ce DICTATEUR de Macky. Attaquons ! 

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    il y a 2 ans

    Avocat ou garde du corps ?

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    reply_author il y a 2 ans

    Votre leader a accusé,qu'il fournisse les preuves..ne déplaçons pas le problème..il n'a qu'à répondre,un point c tout !!!!⅔

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    reply_author il y a 2 ans

    Votre leader a accusé,qu'il fournisse les preuves..ne déplaçons pas le problème..il n'a qu'à répondre,un point c tout !!!!⅔

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    il y a 2 ans

    La comédie continue mais rira bien qui rira le dernier.  Le peuple ne demande qu'une seule chose à Ousmane SONKO c'est de déposer sur la table le rapport épinglant Mbaye Niang. Tout le reste c'est du blabla de politiciens et d'avocats acculés au pied du mur. 

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    reply_author il y a 2 ans

    C'est plutôt les ordres illégaux et criminel du dictateur qui vont détruire ce pays.

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    reply_author il y a 2 ans

    Les voitures de polices sont entrain de bruler dans Dakar et seneweb n'en parle pas  

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    g il y a 2 ans

    TANT QUE LES MINISTRES DE MACKY NE SERONT PAS VIOLENTER ET LEURS MAISONS BRULER MACKY SALE NE VAS PAS RECULER. DIVULGUER L EADRESSE DES DOMICILES DE CES CAFARDS.

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    reply_author il y a 2 ans

    Le dictateur c'est votre leader rebelle qui viole et accusé impunément !!! E politisons pa le choses.il n'a qu'à s'en prendre à sa queue et a sa langue !

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    Poseidon il y a 2 ans

    Macky confirme encore  ce que sonko pense de lui c'est à dire qu'il ne connaît que le rapport de force. A l'avenir, il faudrait penser à sanction sévèrement les policier qui se permettent de telles bavures en commençant par leur radiation. Très peu de régulateur social ne dénonceront cette violence et quand sonko riposte on nous dira Sénégal deuk diam leu...  

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    il y a 2 ans

    Cledor ciré lLy sa vache à lait c'est les pestiférés 

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    reply_author il y a 2 ans

    "Il se sucre sur le malheur du peuple" Lapsus ô combien révélateur! oui, effectivement, le peuple est trompé et volé  

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    il y a 2 ans

    Je ne comprends pas cet acharnement. Il a fait de même contre Khalifa. Résultat : la mairie de Dakar n'est toujours pas APR. Macky gueumeul Yalla !!!!

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    Sad il y a 2 ans

    Tout ça pour un massage, c triste 

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    reply_author il y a 2 ans

    Derrière ton clavier et lutter pour qui? Lutte pour toi-même et ton père et ta mère c'est mieux pour w

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    il y a 2 ans

    Dans un jaccuzzi

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    reply_author il y a 2 ans

    Quel Président ???? Ne déplaçons pas le problème..votre leader a accusé quelqu'un,qu'il sorte le rapport,un point c'est tout..le reste c'est du contre feu

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    reply_author il y a 2 ans

    Quel Président ???? Ne déplaçons pas le problème..votre leader a accusé quelqu'un,qu'il sorte le rapport,un point c'est tout..le reste c'est du contre feu

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    il y a 2 ans

    On savait que ça allait dégénérer. Avec toutes les femmes victimes au Sénégal, pourquoi cette affaire Adji Sarr s'étire en longueur ? Si ce Sonko l'a violée, il doit être jugé, condamné et doit  indemniser la victime. Mais cela fait 2 ans que l'on parle et la miss est devenu une célébrité  qui se pavane en robe rouge moulant. Même son père qui l'a abandonnée revient faire des selfies ... L'Africain avec son sourire et son accent chantant quand il faut garder le pouvoir  devient cannibale

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    reply_author il y a 2 ans

    Quel Président ???? Ne déplaçons pas le problème..votre leader a accusé quelqu'un,qu'il sorte le rapport,un point c'est tout..le reste c'est du contre feu

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    reply_author il y a 2 ans

    Quel Président ???? Ne déplaçons pas le problème..votre leader a accusé quelqu'un,qu'il sorte le rapport,un point c'est tout..le reste c'est du contre feu

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    reply_author il y a 2 ans

    Dommage les sénégalais n aiment pas le pays

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    SeNeGal il y a 2 ans

    Mfdc vient d'attaquer DAKAR.  

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    Mbeur il y a 2 ans

    L’avocat Juan Branco mis en examen pour viol Une femme, âgée de 20 ans au moment des faits, avait déposé une main courante au commissariat du 14e arrondissement de Paris, à la fin d’avril, le lendemain de sa rencontre avec M. Branco. L’avocat Juan Branco a été mis en examen pour « viol » par un juge d’instruction parisien, selon une information du Point confirmée à l’Agence France-Presse (AFP), mardi 24 novembre. « Il a été placé sous contrôle judiciaire », a affirmé une source judiciaire à l’AFP. Une femme, âgée de 20 ans au moment des faits, avait déposé une main courante au commissariat du 14e arrondissement de Paris, le 29 avril, après avoir rencontré M. Branco à la suite d’échanges sur le réseau Instagram. Ses déclarations avaient « incité le parquet de Paris à confier une enquête pour des faits de viol à la 1re DPJ [direction régionale de la police judiciaire] », avait rapporté Le Parisien.   Placé en garde à vue un mois plus tard, l’avocat avait évoqué une relation consentie. L’avocat de M. Branco, Yassine Bouzrou, avait alors dénoncé des accusations « dépourvu[es] de fondement » et une « garde à vue (…) abusive », demandant le « classement sans suite immédiat » de cette enquête. Selon lui, la plaignante « affirme elle-même qu’il n’y a eu ni violence, ni menace, ni manifestation de son opposition à la pénétration », « indique s’être deshabillée elle-même » et est « restée dormir avec Juan Branco après la relation sexuelle ». L’avocat nie toute relation contrainte Dans un long post Facebook, M. Branco avait nié toute relation contrainte avec la jeune femme. Après une balade dans Paris, ils se seraient rendus au domicile de M. Branco, selon la version de celui-ci, puis auraient regardé un film avant d’avoir une relation sexuelle consentie. Le lendemain matin, la jeune femme l’aurait « embrassé » avant de partir, assurait encore l’avocat. Elle serait revenue le soir « froide et troublée », en lui annonçant qu’elle avait déposé une « main courante » sur les conseils de deux amies. Après la révélation des accusations, l’avocat et essayiste avait assuré, dans un message à la presse, que la plaignante entendait « retirer » sa main courante au plus tôt. Dans cette main courante, selon Le Point, la jeune femme assurait avoir pris un opiacé, de la lamaline, avec M. Branco. Celui-ci avait confirmé dans l’émission « Touche pas à mon poste » (C8), en comparant ce médicament à du doliprane. M. Branco est notamment connu pour un succès de librairie, le pamphlet anti-Emmanuel Macron Crépuscule, paru en ligne à la fin de 2018, puis publié par les éditions Au diable vauvert et Massot en 2019. Il est devenu l’avocat de l’artiste russe Piotr Pavlenski dans l’affaire de la diffusion, en 2020, de la vidéo à caractère sexuel de Benjamin Griveaux, alors porte-parole du gouvernement et candidat à la Mairie de Paris. A la fin de janvier, M. Branco a été placé sous le statut de témoin assisté dans cette enquête. Il fait également l’objet de poursuites disciplinaires du conseil de l’ordre des avocats dans le dossier Griveaux. Le Monde avec AFP  

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    il y a 2 ans

    Mais sauf le respect que je te dois, tu es dans le théâtre. Si on suit ta logique y aura jamais de procès 

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    il y a 2 ans

    progresser vers le centre ville

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    BAMBOUWEB il y a 2 ans

    Bac ivoirien...........................MOTS CRUS : Parole grossière, injurieuse et obscène.  

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    il y a 2 ans

    Du président Macky Sall ou de l’opposant Ousmane Sonko, on ne sait qui avait le plus de craintes ces dernières heures à Dakar. Alors que devait s’ouvrir le procès du second, jeudi 16 mars dans la matinée, les deux camps étaient à cran. Chacun se prépare à débuter un face-à-face décisif en vue de la présidentielle prévue dans moins d’un an, le 25 février 2024. Jusque tard dans la soirée de mercredi, les déflagrations des grenades de désencerclement et des tirs de gaz lacrymogènes ont résonné Cité Keur Gorgui, le quartier de Dakar où vit Ousmane Sonko. Des heurts entre manifestants et forces de l’ordre ont eu lieu dans plusieurs banlieues de la capitale, comme à Keur Massar, et en province, dont la ville sainte de Touba. La coalition de la majorité présidentielle, Benno Bokk Yakaar, a accusé l’opposition d’être « irresponsable » et de chercher à « déstabiliser les institutions ». Les forces de l’ordre étaient décidées à empêcher tout rassemblement des sympathisants d’Ousmane Sonko, qui a fait de la mobilisation de la rue sa principale arme. Dès le début de la journée de mercredi, c’est autour du domicile de l’opposant que se cristallisaient les tensions, alors que des policiers lourdement équipés s’étaient déployés dès la matinée, empêchant quiconque d’entrer ou de sortir. Pas question pour les forces de l’ordre de permettre une nouvelle démonstration de force. La veille, Ousmane Sonko était encore parvenu à réunir des dizaines de milliers de militants qui, malgré l’attente, l’avaient accueilli comme une « idole » lorsqu’il était monté sur la scène d’un « giga meeting » de l’opposition aux Parcelles Assainies, l’un des quartiers les plus peuplés de la capitale sénégalaise. Devant une foule largement composée de jeunes urbains, qui constituent sa base électorale, il avait mis en garde les magistrats « instrumentalisés par Macky Sall », les invitant à « respecter la loi du peuple » et à ne pas participer à une stratégie qu’il qualifie de tentative de « liquidation politique ». Sonko, un martyr aux yeux de ses partisans Jeudi, le candidat à la présidentielle de 2024 joue son avenir politique. Il est attendu devant le tribunal correctionnel de Dakar dans un procès pour diffamation intenté par Mame Mbaye Niang, le ministre du tourisme, qu’il a accusé de détournement de fonds. L’audience s’est ouverte une première fois il y a un mois avant d’être reportée. Déjà, Dakar avait été le théâtre d’une forte mobilisation et d’une vive tension. L’opposant avait été ramené chez lui par des policiers qui avaient brisé la vitre de sa voiture, une scène diffusée en direct sur les réseaux sociaux. Une autre affaire pèse sur Ousmane Sonko, par ailleurs maire de Ziguinchor, la grande ville de Casamance. Celui-ci est accusé de « viols et menaces de mort » par Adji Sarr, l’employée du salon de massage Sweet Beauty qu’il avait l’habitude de fréquenter pour ses maux de dos. S’il est condamné à plus de trois mois d’emprisonnement ferme ou à plus de six mois avec sursis dans l’un de ces dossiers, le code électoral prévoit l’inéligibilité. Ousmane Sonko sera alors définitivement écarté de la course à la présidentielle. Loin de l’avoir handicapé, ces multiples affaires judiciaires ont fait du principal opposant au camp du chef de l’Etat un martyr aux yeux de ses partisans. « C’est un complot, une affaire strictement politique, instrumentalisée par le pouvoir de Macky Sall dans le dessein exclusif d’écarter un candidat qui, de loin, semble être un des mieux placés pour remporter la prochaine élection présidentielle », a déclaré M. Sonko lui-même. Il a pour argument la mise hors-jeu par le passé d’anciens adversaires du président Macky Sall. Karim Wade, le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, a été disqualifié après avoir été condamné, en 2015, à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite. Khalifa Sall (aucun lien de parenté avec le président) a été condamné à cinq ans de prison en 2018 pour détournements de fonds lorsqu’il était maire de Dakar, et son incarcération a mis fin à ses rêves de candidature à la présidentielle de 2019. Verbe direct et idéologie souverainiste « Ousmane Sonko ne doit pas être la troisième victime de Macky Sall, a martelé M. Sonko lors du meeting du 14 mars. Je suis candidat et mon “frère” Khalifa Sall, que Macky Sall a empêché d’être candidat en 2019, sera candidat lui aussi parce que nous ne permettrons plus à Macky Sall de choisir les candidats à l’élection présidentielle », a-t-il averti. Il souhaite imposer « la candidature de tous les leaders de l’opposition ». Quasiment inconnu du grand public il y a sept ans, cet ancien inspecteur des impôts a eu la trajectoire d’une comète politique depuis sa radiation de la fonction publique en 2016. Le décret présidentiel reprochait alors à l’ex-brillant élève sorti major de l’Ecole nationale d’administration sénégalaise d’avoir manqué à « l’obligation de discrétion professionnelle » en ayant créé le premier syndicat au sein de son institution. Cette signature de Macky Sall s’est révélée être un accélérateur de carrière politique. D’abord élu député, le président des Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef) arrive troisième lors de la présidentielle de 2019. Il poursuit son ascension en prenant la mairie de Ziguinchor lors des municipales de janvier 2022. Même s’il n’occupe aucun poste de direction officielle au sein de la coalition Yewwi Askan Wi, il s’impose alors comme le leader de l’opposition. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Avec son verbe direct et son idéologie souverainiste, Ousmane Sonko détonne et séduit dans un paysage politique qui a du mal à se renouveler. Il revendique son panafricanisme et son patriotisme. Il prône une sortie progressive du franc CFA et tourne le dos aux Occidentaux, France en tête, suscitant l’inquiétude de certaines chancelleries. « Cette opposition n’espère trouver son salut que dans l’invective, les injures, la fuite en avant et la manipulation », dénonçait ces derniers jours la coalition présidentielle. Macky Sall suspecté de vouloir briguer un troisième mandat Une rupture de style et de fond qui déstabilise au sommet de l’Etat sénégalais, mais aussi au sein d’une opposition habituée à un plus grand classicisme. Parmi les détracteurs de Macky Sall, tous s’affichent désormais unis face à un président suspecté de vouloir briguer un troisième mandat. Une initiative « inconstitutionnelle » selon l’opposition, mais légale aux yeux de la majorité, qui souligne que la révision constitutionnelle de 2016 permet à son chef de se représenter. Macky Sall pourrait-il être tenté de suivre la voie tracée par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en 2020 ? Pour l’instant, le chef de l’Etat refuse de dévoiler ses intentions, alimentant les fantasmes, les crispations et les diatribes de son meilleur ennemi, qui lui promet « un combat mortel ».     😎

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    MM il y a 2 ans

    que Sonko rapporte juste les preuves et l'affaire sera close 

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    il y a 2 ans

    Hey ben

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    reply_author il y a 2 ans

    Attention. Les gens aussi savent ou habitent vos leaders.

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    reply_author il y a 2 ans

    CES POLICIERS NE FONT QUE EXECUTE DES ORDRES C'EST LEURS TRAVAIL SI SONKO ETAIT PRESIDENT AUSSI ILS ALLAIENT SUIVRE LES ORDRES DE CE DERNIERS ILS N'ONT PAS LEURS MOT A DIRE IL NE FONT QUE EXECUTE 

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    il y a 2 ans

    les policiers sont fatigués c'est l'heure de la reléve il faut accelerer ils ont faim

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    il y a 2 ans

    les policiers sont fatigués c'est l'heure de la reléve il faut accelerer ils ont faim

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    il y a 2 ans

    les policiers sont fatigués c'est l'heure de la reléve il faut accelerer ils ont faim

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    il y a 2 ans

    les policiers sont fatigués c'est l'heure de la reléve il faut accelerer ils ont faim

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    reply_author il y a 2 ans

    cf sketch de Dieudonné sur le chef d'Etat africain

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    reply_author il y a 2 ans

    Honte à vous 

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    reply_author il y a 2 ans

    Soyez un peu intelligent. Le pouvoir n en vaut pas la peine. Seule la vérité triomphe  .Macky à fait son temps il n a qu'à quitter de façon belle .Maintenant vous laissez Adji pour parlez de Mbaye .si caxaan rek ngen ne

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    MANU il y a 2 ans

    Vraiment c'est triste notre Sénégal. Apr et BBY sont des associations de malfaiteurs. Nos forces de sécurité sont accompagnés des milices, nervis, jusqu'à aller  impoissonné des individus. La Politique sous Macky est une hone. Votre intention aujourd'hui est de liquider Sonko. Allah vous  a braqué ses projecteurs. Cette vie est très éphémère.

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    reply_author il y a 2 ans

    en tout cas macky sall risque gros s'il se croit tout permis  il se trompe, il doit se resaisir c'est par ce que tu as   un maitre qui assure tes arriéres que tu  dois tout  te permettre

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    reply_author il y a 2 ans

    en tout cas macky sall risque gros s'il se croit tout permis  il se trompe, il doit se resaisir c'est par ce que tu as   un maitre qui assure tes arriéres que tu  dois tout  te permettre

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