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Nomination du directeur des Affaires religieuses : Serigne Mountakha exprime son satisfecit

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Promu directeur des Affaires religieuses et de l’Insertion des diplômés en langue arabe à la présidence de la République, Djim Dramé a rendu visite à Serigne Mountakha Mbacké pour décliner sa feuille de route.
Le Dr Dramé a confié au khalife général des mourides que le président Bassirou Diomaye Faye lui a confié cette lourde responsabilité sans le connaître ni le voir. Il a ainsi sollicité des prières pour la réussite de sa mission. 
En réponse, le khalife a exprimé son satisfecit à l'endroit du président de la République Bassirou Diomaye Faye. Le patriarche de Darou Miname a bon espoir pour ce nouveau challenge, dit-il.
Auteur: Mor Mbaye CISSE et Cheikh GUEYE
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Comments

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    il y a 6 mois

    Je cite: "Le Dr Dramé a confié au khalife général des mourides que le président Bassirou Diomaye Faye lui a confié cette lourde responsabilité sans le connaître ni le voir." Les bras m'en tombent. Qui pilote donc ce pays?

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    il y a 6 mois

    UN PROJET MORT-NÉ PAR MANQUE DE SINCÉRITÉ Je ne parle que du projet autour d'une nouvelle école sénégalaise et je ne suis d'aucun bord politique. Je ne veux défendre qu'une cause, celle des enfants du Sénégal, à travers leur école et rien d'autre. Dans son récent discours sur l'état de l'école sénégalaise, le ministre l'éducation a tenu un langage qui, pour moi, relève de la langue de bois et d'un manque de sincérité absolu. Il a bien raison de dire que l'école doit être repensée, c'est d'une évidence biblique. Il aurait même pu dire qu'elle doit être ressuscitée car ce que nous avons actuellement est quasi cadavérique comme école. Une école qui n'est pas capable d'emmener plus de 33 % d'une cohorte au baccalauréat est une école moribonde qui n'est pas au clair par rapport à ses objectifs. Je suis donc totalement d'accord qu'il faille revoir les fondements mais aussi les fondations de notre école. Comment peut-on être convaincu de la nécessité absolue d'une nouvelle école repensée, parce que l'actuelle est en panne, est faire croire que les Inspecteurs Généraux ont fait un travail génial ? Là, la sincérité n'y est absolument pas. On peut peut passer la pommade sans mentir à ce point. Quand le projet commence dans le mensonge, cela n'augure rien de bon pour la suite. Des politiciens qui fixent les directives aux techniciens de l'école qui pilotent et encadrent le pédago-éducatif, personne ne peut se targuer d'avoir été bon, au regard de l'état de notre école. Notre échec est collectif et nous devons le reconnaître collectivement, avec courage et honnêteté, avant d'engager de nouveau chantier de refondation. L'école, c'est à la fois un cadre et un contenu. Quand un des deux est défaillant, l'autre bat de l'ail. Quand les deux sont défaillants, c'est un champ de ruines que nous récupérons comme c'est le cas actuellement. Sur le contenu, je n'irai pas jusqu'à manquer d'égard envers les IG, mais leur pilotage du pédagogique est la première étage de la fusée et force est de constater qu'il y a énormément à faire. Si moins de 33 % d'une cohorte ne décrochent pas le bac aujourd'hui, c'est que les contenus pédagogiques ne sont pas adaptés. À moins que l'on ne pose comme postulat que les enfants sénégalais sont des cancres ! Alors, Messieurs les IG, vous passer la pommade comme votre ministre l'a fait, c'est insulter votre intelligence et votre professionnalisme, que cela ne vous endormisse pas, vous avez une tâche énorme qui vous attend. Quant au cadre qui relève des politiques nationales ou locales, nous sommes au fond du sous-sol des standard pour avoir une école digne de ce nom. Un lieu où les enfants affrontent la soif, les difficultés de satisfaire les besoins naturels élémentaires tels qu'aller aux toilettes, les risques d'effondrement de bâtiments… il sera illusoire d'y faire réussir une quelconque pédagogie. Des enseignants pas forcément bien formés et qui maintenant affichent ouvertement leur appartenance politique à l'intérieur de l'école, cela ne contribue pas à un cadre de réussite d'une école. Je peux encore disserter sur l'état de l'école de nos enfants mais je veux surtout insister sur un constat basé sur plus de cinquante ans d'observation : visiblement, on peut gouverner par le mensonge (l'espace d'un moment plus ou moins long) mais on ne construit pas un projet de réussite basé sur le manque de sincérité. L'école, si elle n'est pas sanctuarisée, ne servira pas aux enfants et encore moins à la nation que ces enfants doivent constituer. Les fautes et oublis, je vous prie de les mettre sur le compte de la non-relecture de la part d'un amoureux de l'école qui en veut énormément à sa nation d'avoir saccagé ce qui mérite énorme attention : les enfants de la nation.

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    reply_author il y a 6 mois

    Qu'es ce qui est anormal, qu'un directeur des Affaires religieuses aille rendre visite à des chefs religieux? Arrêtez vos Hallucinations

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    reply_author il y a 6 mois

    @16;46 qui parle de la visite? S'agissant d'hallucinations, vous semblez imbattable!

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    reply_author il y a 6 mois

    Il faut un Mufti au Sénégal, quelqu'un qui va parler juste du Coran et de la Sounna.

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    il y a 6 mois

    Pourquoi accompagner un membre d'un parti politique pastef C'est ca qui dérange mais le reste je valide

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    il y a 6 mois

    affaire religieuses wo, dramé wo etc.. franchement les tarikha s’en foutent et n’ont pas besoin de ces personnes. les tarikhas sont plus organisés et mieux instruits que cet espece de gouvernement d'ibadous. faléwouniou sakh séne maame, dara guéne meunaloule tarikha yi. danguéne di sonneu rék. ils etaient la avant vous et seront la apres vous

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    il y a 6 mois

    Affaires religieuses? Dites affaires musulmanes et point barre. Le Sénégal est d'abord et surtout CEDDO. Viennent ensuite les religions Abrahmiques. Cette appellation est illégales d'un point de vue de la constitution qui est laïque!! Les autres religions et spiritualité y sont exclues! Le Sénégal aurait gagné à identifier toutes les religions et spiritualités traditionnelles et leur sonner des moyens d'expressions valables et dans la cohésion et la laïcité la plus totale. Aujourd'hui,les cérémonies dans le Sine et en Casamance continuent d'être faites selon la tradition, malgré la présence des religions Abrahmiques....

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