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Au-delà de la panne de Facebook et cie : « Il faut Promouvoir les plateformes locales africaines » (expert)

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La panne des plateformes, Facebook, Whatsapp, Messenger et Instagram constatée hier, dans l’après-midi, à travers le monde,  est l’occasion pour les acteurs de Tics de poser le débat sur la souveraineté numérique. Approché par Seneweb, le journaliste-blogueur, Basile Niane donne des explications sur une "dépendance"  et appelle à une souveraineté numérique. « Nous sommes des esclaves numériques des Gafas (surnom donné aux quatre géants qui dominent le monde contemporain, Google, Apple, Facebook, Amazon), ça c’est un premier constat. L’autre constat, c’est qu’il est temps aujourd’hui de débattre sur la souveraineté numérique. Ce que l’on appelle souveraineté numérique : c’est le fait que nous, Africains, il est temps qu’on se retourne vers des plateformes locales qui sont vraiment pertinentes et souveraines pour pouvoir en cas de pannes et autres, que l’on puisse, nous autres, utiliser nos propres plateformes adaptées aux Africains.Promouvoir les réseaux sociaux africains…Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, les Africains doivent profiter de ses failles pour davantage promouvoir leurs propres plateformes qui sont mises en veilleuse du fait de la présence des géants. Ainsi, poursuit M. Niane, « cela nous a permis de voir qu’il y a bel et bien des réseaux sociaux qui existent qui ont été créés par de jeunes  africains, malheureusement qui n’ont pas de force, ni  la puissance d’émerger parce que phagocytés par ses géants des réseaux sociaux.De l’avis du communicant, spécialiste des Tics, « Il est temps pour nous Africains de penser à autre chose. Maintenant, s’il y a Facebook, Whatsapp, Instagram qui sont en panne, il y a d’autres réseaux qui existent et ça tourne autour des Gafas, Telegram, Signal … Il est temps que le débat se pose sur comment, nous, Africains, on peut avoir des réseaux sociaux utiles, africains, adaptés, et nous couper de cette dépendance qui nous coûte notre quotidien ».Hormis une perte financière, Basile Niane s’interroge sur une éventuelle perte de données au niveau des institutions africaines. « La panne a duré plus de 7 h de temps, une panne de Facebook, ce sont des milliards de pertes. Ce sont les réseaux sociaux qui contrôlent le monde, c’est Mark Zuckerberg qui contrôle le monde. Il suffit qu'il y ait une panne pour que tout le monde soit inquiet. Ils ont toutes nos données. Est-ce que cette  panne n’a pas affecté les données. Est-ce qu’il n’y a pas de perte au niveau des institutions africaines, au niveau des Etats.  Ce sont des questions qu’on doit se poser», soutient M. Niane. 
Auteur: Ndeye Maty Diagne
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Comments

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    Bonne idée il y a 3 ans

    Les jeunes ki cherchent du travail allez y. Vous pouvez être plus riche que Marc Zucherberg

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    il y a 3 ans

    Les Africains ne créeront rien tant que ces soi disants experts racontent leursvie sur vie SENEWEB ,hier seulement au moment de la panne l'un d'eux disait qu'il avait alerté les nénégalais depuis Septembre et que pour nous pousser à acheter des telephones de dernieres génération Whatsapp va bloquer son acces à certains telephones ki koumou yapp expert '' mon oeil ''

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    il y a 3 ans

    Expert de pacotille. Quelles sont ces plateformes ? Ont-ils des infrastructures permettant de connecter en temps réel un milliard d'Africain ? T'as trois serveurs dans un cybercafé, avec une application web conçue avec une template, et tu te prends pour Google... Bravo les experts  

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    il y a 3 ans

    Pour ça il faut créer de la qualité et cesser la jalousie; deux choses que les africains n'auront malheureusement jamais 

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    reply_author il y a 3 ans

    LOL 

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    Nihao il y a 3 ans

    Dans ce cas, faudrait s'inspirer de ce que les chinois ont fait chez eux.  

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    il y a 3 ans

    Réseaux sociaux africains ? Moi je n'y souscrirait jamais.  Pour voir des jeunes filles et hommes bouger leurs Q , des insulteurs, des idiots qui ne peuvent rien m'apprendre ou apporter. Ou des couillons de politiciens aux joues luisantes d'argent volé au Trésor. Jamais.  Sans compter les pannes 20 heures sur 24. Jamais.  Restons entre nous à danser, baiser et prier nos dieux d'ailleurs.  L'africain est maudit depuis la Création. 

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    il y a 3 ans

    Réseaux sociaux africains ? Moi je n'y souscrirait jamais.  Pour voir des jeunes filles et hommes bouger leurs Q , des insulteurs, des idiots qui ne peuvent rien m'apprendre ou apporter. Ou des couillons de politiciens aux joues luisantes d'argent volé au Trésor. Jamais.  Sans compter les pannes 20 heures sur 24. Jamais.  Restons entre nous à danser, baiser et prier nos dieux d'ailleurs.  L'africain est maudit depuis la Création. 

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    il y a 3 ans

    Réseaux sociaux africains ? Moi je n'y souscrirait jamais.  Pour voir des jeunes filles et hommes bouger leurs Q , des insulteurs, des idiots qui ne peuvent rien m'apprendre ou apporter. Ou des couillons de politiciens aux joues luisantes d'argent volé au Trésor. Jamais.  Sans compter les pannes 20 heures sur 24. Jamais.  Restons entre nous à danser, baiser et prier nos dieux d'ailleurs.  L'africain est maudit depuis la Création. 

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    reply_author il y a 3 ans

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    il y a 3 ans

    Ce billet me fait sourire on a des gars qui parlent beaucoup dans ce pays au point d'être des spécialistes de choses qu'ils ne comprennent même pas. Il faudrait peut être qu'il se renseigne sur les causes de l'incident qui peut arriver à tout réseau même africain. C'est bien de parler de souveraineté mais dans beaucoup de pays africains on ne produit pas assez d'électricité pour les besoins courants.C'est comme si avec les réseaux sociaux il y avait une ghettoisation avec des africains d'un côté et les autres de l'autre; on parle globalisation et non fracture. 

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    Hé! il y a 3 ans

    Deux choses expliquées par la pauvreté.

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    il y a 3 ans

    Bienvenue dans le tiers-monde

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