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Sunday 27 April, 2025
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[Gros Plan] Troubles mentaux et du développement : Entre indifférence et déficit de structures adaptées

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Au Sénégal, les troubles mentaux et du développement demeurent un fléau silencieux, marqué par l’indifférence et le manque criant de structures adaptées. Tandis que des malades errent dans les rues de Dakar, des initiatives citoyennes émergent pour combler les lacunes d’un système saturé. Parmi ces acteurs, Ibrahima Seck se distingue par son engagement auprès des sans-abris et des malades mentaux en leur apportant soutien matériel et réconfort psychologique. À Rufisque, le centre Delossi Keur Serigne Babacar, dirigé par Ahmed Daf est une autre illustration de l’effort collectif pour offrir un refuge à ces exclus. Pourtant, entre stigmatisation sociale et moyens limités, les défis restent immenses. Reportage.
Auteur: Moustapha Toumbou & Babacar Ndiaye (Images)
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Comments

  • image
    il y a 2 mois

    psychiatrique

  • image
    il y a 2 mois

    En suivant le reportage de Kewoulo, je suis scandalisé de voir un centre construit sur des fonds publics pour la prise en charge et la réintégration des malades mentaux confié à une personne qui n'a ni compétence en la matière, ni formation pour gérer un tel centre. plus grave selon les informations diffusées ce monsieur a reçu 500 millions de francs de l'argent public pour gérer sans les connaissances requises ce centre. Il a eu ce cadeau de Macky parce que semble t'il il était porteur de voix et pouvait aider à sa réélection. Pendant ce temps le centre psychiatrique de Fann; faites y un tour les portes cassées, des salles abandonnée et on se permet de donner autan d'argent à un individu. En y amenant un malade j'étais choqué par l'état de délabrement avancé, portes rafistolées, fenêtres cassées avec un morceau de contre plaqué à la place et des salles abandonnées. La responsabilité incombe au premier chef à ceux qui ont jeté nos 500 millions par la fenêtre. C'est aussi de la responsabilité de l'hôpital qui n'a pas utilisé à mon avis les recettes tirées des malade pour assurer un minimum de confort aux malades qui payent rubis sur ongles l'hébergement et prise en charge. Et comme le ridicule ne tue pas avec l'ancien régime ce monsieur dont on ne lui connait aucun diplôme ni formation pour ce genre d'activités sinon faire le tour des médias pour se servir de la santé mentale. En plus il est bombardé conseiller technique selon ses dires. Je ne peux pas penser qu'il était conseiller technique. Ma question simple est: qu'est ce qu'attend le ministère de la santé pour mettre fin à cette comédie pour remettre le centre à la région médicale qui a un psychiatre sur place et des assistants sociaux pour faire fonctionner centre au profit des malades.

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