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Grosse révélation de Mansour Sy Cissé : "Amadou Mame diop successeur de Macky Sall "

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Auteur: Seneweb TV
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Comments

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    il y a 2 ans

     n importe quoi

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    il y a 2 ans

    Meme les bebes savent que ce n'est pas possible. Ce journaliste la vraiment nous prend pour des demeures. Wakhou kou danou chi sarret

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    Ninkinanka il y a 2 ans

    Il peut aller faire un autre métier. Sais pas où il a appris le journalisme? 🤣

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    il y a 2 ans

    hahahahahaha

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    LESPRISONIERSPOLITIQUES il y a 2 ans

    DIRE LA VERITE A MACKY SALL macky.sall@sec.gouv.sn

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    il y a 2 ans

    Il fait trop de météo. Quand il parle il insinue toujours qu'il détient des informations ultra confidentielles, des scoops, de grands secrets, etc mais en réalité il ne detient rien. Il fait du "nandité journalistique". Il dit toujours lima kham boumako wakhé... mais douma wakh, khamna lepp, etc. En vérité il n'a rien du tout. Nandité bouy daur marteau la rek.

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    LESPRISONIERSPOLITIQUES il y a 2 ans

    DIRE LA VERITE A MACKY SALL macky.sall@sec.gouv.sn

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    Délire pastéfien il y a 2 ans

    Encore un délire pastéfien

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    reply_author il y a 2 ans

    Tout comme Sonko qui a dit qu'il connaît tout

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    reply_author il y a 2 ans

    Donne-nous un lien ou une preuve que "Sonko a dit qu'il connaît tout".  Vous êtes tellement obsédés par Sonko que, même quand l'article parle d'autre chose, vous ne pouvez pas vous empêcher de citer son nom. Tu es la seule personne ici qui as parlé de lui. 

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    il y a 2 ans

    Vraiment un con ce type.

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    Du n’importe Quoi il y a 2 ans

    Dans ce pays les menteurs sont plus célèbres que les véridiques !!!!du n'importe quoi

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    le PSE parlons EN il y a 2 ans

    LE journaliste le plus imbu de sa personne , un frimeur doublé d' un aigri . Depuis ses appréciations sur Pape Alé niang  non moins confrère et plus talentueux que lui   ce gars m' insupporte 

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    L'extremiste il y a 2 ans

    Ce gars doit arrêter de mentir. Toujours dans le layam layam pour ne rien dire..  Hier il a aussi dit comme connerie que Yaya Diameh soutient sonko,  directement. Et quand la journaliste lui demande d'expliquer,  il se dédit pour dire que sonko peut le savoir comme peut ne pas le savoir. Du coup le directement disparaît... Bref sawaye bayil féne  

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    il y a 2 ans

    Ou est-ce qu'il a appris le journalisme ? Avec ses chroniques imaginaires.

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    reply_author il y a 2 ans

    Celui qui ne gere même pas une assemblée? 

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    il y a 2 ans

    Ce gars là ses vaches ne sont pas venues à l'abreuvoir deh

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    il y a 2 ans

    Les réseaux sociaux nous révèlent tous les jours des énergumènes lunatiques qui croient avoir une science infuse . Ce Mansour Cisse avec ses airs de l'homme le plus informé du pays est en réalité juste un gros crâneur qui fait parti de ces nouvelles révélations des réseaux sociaux . Des gens comme lui  qui interviennent dans ces vidéos  là, n'ont pas conscience que quelque part quelqu'un qui en connaît mille fois plus que est entrain de les écouter . Je demande à ce garçon d'être plus modeste . 

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    Mor Laam il y a 2 ans

    la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti. En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ? MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile. La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992. Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective. L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois. Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts.   Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad.   POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.

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    Mdr il y a 2 ans

    Même si Macky démissionne, le président de l'assemblée nationale président par intérim a 6 mois pour organiser des nouvelles élections présidentielles...

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    Barr Laam il y a 2 ans

    la Constitution de 2001 les deux premières résolutions : limitation des mandats à deux et quinquennat. Mais a systématiquement refusé d’admettre l’interdiction du cumul des fonctions de chef d’Etat et de chef de parti. En résumé, on peut légitimement se poser la question de savoir sur quel argument juridique pertinent pourraient se fonder les partisans du 3ème mandat, pour faire croire que le Président Sall pourrait composter allègrement un billet non valide et prendre le train en marche de l’élection présidentielle de 2024 ? Comment croire que les membres du Conseil Constitutionnel pourraient valider un tel billet sans renier leur propre jurisprudence et sans violer les dispositions claires de la Constitution ? MACKY SALL FACE A SON DESTIN ET A CELUI DU SENEGAL Il faut faire attention. Le Sénégal n’est pas la Guinée. Et le Président Sall peut se frayer une sortie autre que celle de Alpha Condé. Il est face à son destin. A lui de choisir : ou imposer l’épreuve de force où il a tout à perdre, ou se hisser au rang de garant de l’unité nationale et de la paix civile en prenant courageusement les mesures correctives ou de sauvegarde de l’Unité nationale et de la paix civile. La société sénégalaise est en crise profonde : crise morale, crise politique, crise sociale, crise des institutions. Elle connaît des fractures profondes qui doivent être lucidement analysées et courageusement traitées. Notre système démocratique est en panne et connaît même des régressions : l’exercice des libertés publiques est souvent un vain mot. La prison est devenue une variable d’ajustement politique. Notre justice est défaillante et peine à s’affranchir des contraintes politiques au plan pénal. Notre système éducatif est lui-même en crise à tous les niveaux d’enseignement. Une explosion à caractère politique et social, du type de celui de mars 2021 ou d’un autre type aussi grave n’est pas à écarter Avant même de faire des conjectures sur ce que le gaz ou le pétrole allaient rapporter au budget du Sénégal il faut, à très court terme, que le Président de la République en exercice, chef de l’État, garant de l’unité nationale et de la paix civile et sociale, se fasse violence et s’élève au-dessus des passions et ne perde pas de vue que le pouvoir dure un temps et ne doit être exercé que dans l’intérêt général. Et cet intérêt général commande qu’il fasse des compromis et prépare dans de bonnes conditions la plus importante échéance politique de 2024, l’élection présidentielle La démocratie n’est après tout que l’art de faire des compromis, comme le Président Abdou Diouf a eu à le faire à deux reprises, en discutant avec son principal challenger et en formant par deux fois des gouvernements d’union nationale qui ont permis la confection du premier code électoral consensuel du Sénégal en 1992. Les mesures d’apaisement qui nous paraissent aller dans ce sens sont de deux ordres : Les unes sont individuelles et les autres portent sur les conditions d’une bonne élection. Les mesures d’amnistie intéressant particulièrement des leaders politiques tels que Khalifa Ababacar Sall et Karim Wade doivent très rapidement être traduites en actes législatifs pour que l’élection de 2024 soit ouverte. La libération de tous les prisonniers dont les détentions sont totalement ou partiellement liées à des motifs politiques ou sont les conséquences de prise de position politique doit être effective. L’emprisonnement de deux députés du Pur, suite à une bagarre dans l’enceinte de l’Assemblée nationale au cours d’une séance de celle-ci, et impliquant une femme députée ne paraît pas tout à fait conforme au droit. En dehors de toute passion, ce cas relève de la police intérieure de l’Assemblée réglementée par le règlement intérieur de l’Assemblée en son chapitre XIV, articles 53 à 59 (Pour autant que ce règlement intérieur est applicable). «Dans les cas exceptionnels susceptibles de bloquer les travaux tels que : injures, invectives, menaces, bagarre ou agressions, le Président de l’Assemblée nationale peut prononcer l’expulsion temporaire de l’Assemblée». A rapprocher de l’article 53 alinéa 3 : «En cas de crime ou de délit, il fait dresser un procès-verbal et saisit immédiatement le Procureur de la République. Il en rend compte au Bureau de l’Assemblée nationale». Mais pour que le procureur puisse engager une procédure pénale dans ce cas, il doit demander la levée de l’immunité parlementaire de ces députés. En effet ces dispositions de police intérieure sont à distinguer des dispositions du chapitre XIII relatif à l’immunité et plus précisément de l’alinéa 3 du chapitre XIII qui fait référence au cas de flagrant délit ou (fuite) pour délit ou crime commis par le député en dehors de l’Assemblée (dans la vie civile). L’Assemblée a-t-elle levé l’immunité des deux députés ? J’en doute. Le Président de l’Assemblée n’aurait-il pas pu s’en tenir aux sanctions qu’il tient de son pouvoir de police, quitte à ce qu’une solution autre puisse être trouvée dans le cadre de l’Assemblée ? Je le crois. Enfin, et cela ne relève ni de l’Assemblée nationale et ni du Président de la République, le juge d’instruction de l’affaire dite Sweet-Beauty opposant M. Ousmane Sonko et la dame Adj Sarr, alléguant de viols répétitifs sur sa personne dans le cadre de son lieu de travail qui s’avère être une maison d’habitation aussi, pourrait délivrer les Sénégalais rapidement de leurs peurs, inquiétudes et commentaires malveillants, en rendant une ordonnance qui, dans notre entendement de juriste, ne saurait être qu’un non-lieu, eu égard à tous les éléments entourant cette affaire et étalés dans la presse, et eu égard surtout aux circonstances de lieu et de temps de la prétendue commission de l’infraction décrites par la plaignante même sur un plateau de télévision. Contrairement à ce qui est dit, le juge ne prend pas sa décision uniquement sur la base de son intime conviction. Mais sur les éléments probants qui pourraient caractériser l’infraction et sur l’ensemble des faits attestés qui entourent cette affaire. L’on se demande toujours comment cette affaire a pu franchir l’obstacle de l’enquête préliminaire. Quant aux mesures relatives à de bonnes conditions de déroulement de l’élection de 2024, il paraît urgent de revisiter certaines dispositions du code électoral rendues illisibles ou impraticables à force d’ajouts et de rajouts.   Kader Boye est ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), ancien doyen de la faculté des Sciences juridiques et politiques de l’Ucad.   POST SCRIPTUM Cet article a été entièrement rédigé et remis à l’éditeur lorsqu’éclata sur les réseaux sociaux l’affaire du post vidéo de Monsieur Ismaïla Madior Fall, ministre de la Justice, Garde des Sceaux. Ses déclarations sont d’une gravité telle que je considère que ce ministre représente un danger pour les institutions. Et par suite, devrait être démis de ses fonctions si le chef de l’État considère que notre Constitution est la Charte fondamentale de notre pays.

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    il y a 2 ans

    Ce mec doit arrêter la drogue

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    amadou il y a 2 ans

    un soit-disant analyste qui passe tout son temps à raconter du n'importe quoi, l'ultime grosse bourde est ce texte sur ce plan inédit pour la succession de macky sall, sans se rendre compte que faire ce choix  signifie effectivement avoir reconnu son échec pour chercher à échapper des conséquences encourues  au moment où tout le monde sache qu'il est trop loin d'avouer cet échec  

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    Al khatami il y a 2 ans

    Li wakhnaako bou yaag  Kou kholl bop Mane Diop bi kham ni dafay remplacer 

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    il y a 2 ans

    Avec son apparence, on le voit davantage prêcher pour le djihad, d'enfermer les femmes, de lapidation et autres gracieusetés de ce genre.  

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    mousse il y a 2 ans

    Wdji xana day dieufeundiko sinebar, waxam beurina lol

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    il y a 2 ans

    Ces gens là font du showbiz.ce n'est pas du journalisme Allez investiguer et informer afin d'éclairer la lanterne de l'opinion

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    reply_author il y a 2 ans

    Va revoir ta copie. 6 mois! Lolou baréna.

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    il y a 2 ans

    B­o­n­­j­­o­­­u­r, j­­­e m'a­­p­p­e­­­lle Alissia, j'ai 21 ans) Dé­­­bu­­­t du mo­­dèle S­E­­­X­E 18+) J'a­­­ime êt­­re photo­grap­hiée n­­­u­­­e) Veuil­­lez noter me­­­s phot­­os à l'adr­­­esse su­­­iva­­­nte ->>> W­­­W­­W­.­­­X­2­1.­­F­U­­N

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    il y a 2 ans

    B­­­o­­n­j­­­o­­u­r, j­­e m'a­p­­p­e­­­lle Alissia, j'ai 21 a­ns) Dé­­­bu­­­t du mo­dè­­le S­­E­X­­­E 18+) J'a­ime êt­­re pho­to­­grap­­hi­­ée n­­­u­­e) V­­e­­u­­i­­l­­lez no­­­ter me­­­s phot­­os à l'adr­esse su­­­i­va­­nte --> W­­W­W­.­X­2­1.­F­­­U­­N id07697856

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