En venant hier mardi 4 mars au Congrès, le président américain Donald Trump savait qu’il ne serait pas en territoire conquis. Les élus démocrates, qui sont hostiles à sa gestion, ne lui ont vraiment pas déroulé le tapis rouge.
Dès les premières minutes de son discours, ils ont brandi des pancartes contre son action à la tête du pays. Le représentant démocrate du Texas, Al Green, a même interrompu le président en criant : « Vous n’avez pas de mandat pour couper les fonds du Medicaid (la sécurité sociale) !»
« Monsieur Green, veuillez vous asseoir ! Veuillez vous asseoir ! »
Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, un "trumpiste" invétéré, est intervenu pour réclamer le silence. « Monsieur Green, veuillez vous asseoir ! Veuillez vous asseoir ! » a-t-il lancé au démocrate qui n'a pas obtempéré. Johnson a alors menacé de « faire régner l’ordre par son autorité en expulsant » le représentant. Finalement, c’est ce qu'il a fait. Al Green a été tout simplement expulsé.
« Les membres du Congrès doivent respecter les règles de bonne conduite », a martelé M. Johnson, quand le démocrate se faisait raccompagner vers la sortie.
Mon « action en valait la peine »
L’élu du Texas a confié à la presse que son « action en valait la peine ». Cela va « permettre aux gens de savoir que certains de leurs élus sont prêts à se lever contre le président pour tenter de sauver les différents dispositifs de sécurité sociale » a-t-il ajouté, non sans indiquer qu’il acceptera volontiers la sanction que mérite son acte.
Auteur: Bernardin Patinvoh
Comments
Au moins, Al Green est sorti calmement et raccompagné. Chez nous, les nôtres se mettent à hurler, refusent de se calmer, refusent de sortir. Quand l'autorité leur fait la sommation d'utiliser la force pour les faire évacuer, ils hurlent encore plus fort et refusent plus que jamais de bouger et se donnent en spectacle (monter sur des tables, arracher des micros, jeter des trucs par terre, casser du mobilier de bureau...) La force utilisée, ils crient au scandale.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il y avait un gros PORC parmi eux
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
NIGGER OUT
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