Photo d'une prison égyptienne prise lors d'une visite d'information organisée par le gouvernement égyptien.
Pour le Réseau arabe des droits humains et de l'information (ANHRI), Habache est mort en raison de la "négligence et de l'absence de justice"."La prison ne tue pas, c'est la solitude qui tue (...) j'ai besoin de votre soutien pour ne pas succomber (...) je meurs lentement tous les jours", écrivait Chadi Habache dans une lettre en octobre 2019, publiée samedi sur Facebook par la militante des droits humains et écrivaine Ahdaf Soueif après l'annonce de son décès.Les conditions de détention en Égypte sont régulièrement épinglées par les organisations de défense des droits humains. Et depuis début mars, en raison de la pandémie de nouveau coronavirus, les autorités ont suspendu les visites au parloir et les travaux des tribunaux, isolant plus encore les détenus.À cause des mesures prises contre le coronavirus, "personne n'a pu voir" Habache dernièrement, a souligné son avocat.Par crainte de contagion dans les prisons surpeuplées, les défenseurs des droits humains ont appelé à la libération des prisonniers de conscience ainsi que les détenus en attente de procès.Plusieurs ONG estiment à 60 000 (sur un total de quelque 100 000 détenus) le nombre de prisonniers politiques en Égypte, opposants islamistes ou libéraux, cibles de la répression ayant suivi la destitution par l'armée en 2013 de Mohamed Morsi, le premier président civil démocratiquement élu à la présidence de l'Egypte.#????_??? ??????? ?????? ?????..????? ??? ????? ????? ?????? ?? ?????? ????? ??? ????? ???? ?? ????????? ?????????? ???? ???????? ?????? ?? ??? ???? ????? ??? ???? ?? ????? ??????? ????? ?? ???? ???? ???? ??? ????? ?? ????? ???? ????????? ???? ??? ??????? ????? ?????? ????????. https://t.co/cmcZmPBrMH
— Bahey eldin Hassan (@BaheyHassan) May 2, 2020
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