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Retrait du Burkina, du Mali et du Niger de la Cedeao : Les commentaires du président ghanéen Akufo-Addo

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Plus personne n’en doute. Le président ghanéen Nana Akufo-Addo n’est pas homme à chanter une ode à la gloire de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Le dirigeant désapprouve la sortie du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). 
Dans un entretien accordé à la chaîne de télévision France 24 le week-end écoulé, il a réaffirmé son opposition à cette entreprise des juntes au pouvoir dans ces 3 pays sahéliens. 
« Je ne crois pas que ce soit dans l’intérêt (de ces pays) »
« Je ne crois pas qu’il existe un seul africain de l’ouest qui se réjouit de ce qui s’est passé…Je ne crois pas que ce soit dans l’intérêt (de ces pays). Je ne crois pas qu’il soit dans l’intérêt du bloc plus large de la CEDEAO de permettre que cela se produise  » a déclaré Nana Akufo Addo, qui ne désespère toujours pas de voir les trois États faire machine arrière et retourner dans l’organisation communautaire. 
« Nous devons continuer à y travailler, pour être sûrs de pouvoir, en fin de compte, trouver un terrain d’entente qui leur permettra d’envisager le retour au sein de la CEDEAO. Nous devons le faire. Ce sont trois membres importants de notre communauté et nous ne pouvons pas nous en laver les mains » a laissé entendre le dirigeant ghanéen.
« La situation sécuritaire ne semble pas s’être améliorée »
Il regrette que la situation sécuritaire soit toujours préoccupante dans la sous-région, malgré la volonté de l’AES de prendre les choses en main.
« Je pense qu’hier ou avant-hier, nous avons encore assisté à un massacre d’un grand nombre de civils. Ils sont juste à notre frontière, donc nous avons une bonne idée de ce qui se passe. La situation sécuritaire ne semble pas s’être améliorée. La nécessité de trouver une solution à cette insurrection terroriste en Afrique de l’Ouest est devenue de plus en plus forte », estime l’ex-président en exercice de la Cedeao, persuadé que la volonté des présidents nigérien, malien et burkinabé, est de « rester au pouvoir ».
Auteur: Bernardin Patinvoh
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Comments

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    MIXX il y a 6 mois

    LA CEDEAO ETANT UNE COMMUNAUTÉ D'ETATS AURAIT PU ENVOYER UNE FORCE POUR AIDER CES PAYS A LUTTER CONTRE LE TERRORISME

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    Amadou il y a 6 mois

    Un président avec la tête comme un miroir de douche. Il oublie que s'il est là c'est grâce un putschistes Rowling. Qui a remis le Ghana sur pied

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    reply_author il y a 6 mois

    La vérité en mode diplomatique direct English et anglophone.

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    Mdrr il y a 6 mois

    Tu crois vraiment que ces militaires sont comparables à J.J.Rawligns

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    reply_author il y a 6 mois

    Ok! Et après? Toi tu es mauvaise langue

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    Z der il y a 6 mois

    La question principale qu'il doit se poser c'est de savoir pourquoi et comment dans ce Sahel enclavé les présumé terroristes jihadistes ont les armes les munitions le renseignement les finances etc nécessaire pour rependre l'insécurité dans toute l'Afrique de l'ouest et résister a pas moins de 7 armée nationales Sans connaître les causes de l'insécurité il est impossible de resoudre le problème

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    il y a 6 mois

    Le grand mal de l’Afrique c’est ce genre de pseudo dirigeant complètement dépassé, putschiste ou pas quel peuple veut encore appartenir à une cedeao qui n’est qu’un instrument d’asservissement au colon qui la finance. L’AES n’a que faire de ce genre de larbin.

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    reply_author il y a 6 mois

    Donc , si on suit ton raisonnement ces pays de l'AES devraient quitter en premier lieu l'UEMOA constituée uniquement de pays francophones utilisant la "monnaie coloniale CFA".Mais à ce que je saches les officiers putschistes continuent à empocher des CFA

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    reply_author il y a 6 mois

    Ils sont plus brave que Rowlings pour te tout te dire le Mali avec des équipements militaires qu’on a acquis actuellement est devenue une armée redoutable. Et avec la renégociation des contrats miniers et obligations aux entreprises minières de rapatrier tout leur fond sur les comptes bancaires malien pour faire circuler plus de liquidités dans le pays Aucun président démocratiquement élu ne pourra faire Un tel bras de fer avec une multinationale

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    reply_author il y a 6 mois

    Votre réveil sera brutal. C'est la catastrophe que vivent ces pays

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    Keit il y a 6 mois

    Ils sont plus brave que Rowlings pour te tout te dire le Mali avec des équipements militaires qu’on a acquis actuellement est devenue une armée redoutable. Et avec la renégociation des contrats miniers et obligations aux entreprises minières de rapatrier tout leur fond sur les comptes bancaires malien pour faire circuler plus de liquidités dans le pays Aucun président démocratiquement élu ne pourra faire Un tel bras de fer avec une multinationale

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