Après son premier plan quinquennal 2018-2022, l’Institution de coordination de l’assurance maladie obligatoire (ICAMO) veut mettre en œuvre de nouveaux chantiers. «Cette quête de l’efficacité et de l’efficience de la branche de l’Assurance maladie obligatoire (AMO) se poursuit à travers le deuxième plan stratégique de développement 2023-2027 avec des défis à relever », a affirmé le Président du conseil d’administration (PCA) de «cette jeune institution», ce vendredi, lors de de la cérémonie d’ouverture de l’Assemblée générale de renouvellement de ses instances dirigeantes présidée par le ministre du Travail, de l'Emploi et des Relations avec les institutions, Yankhoba Diémé.
Lesquels défis sont, selon Bassirou Ndour, le renforcement de la communication à travers une nouvelle stratégie, l’actualisation du décret sur le fonds de garantie et son opérationnalisation, la soutenabilité et la maîtrise des dépenses de soins des Institution de prévoyance maladie (IPM), le déploiement généralisé du Système d’information de l’assurance maladie obligatoire (SIAMO), l’amélioration du taux de couverture des IPM et l’assainissement de la gestion des IPM pour plus de performance.
Il a expliqué que «les résultats encourageants » notés dans la période 2018-2022 n’ont pas été sans difficultés. « En effet, durant son premier quinquennat, l’impact des initiatives de l’ICAMO a été limité par l’insuffisance de ses ressources financières et humaines, la faiblesse de la collaboration de certaines IPM relativement à la remontée des données et à l’utilisation des services mis à disposition, la timidité de l’accompagnement des partenaires techniques et financiers. C’est compte tenu de ces faiblesses que l’Institution compte prendre un nouveau tournant avec son deuxième plan stratégique de développement 2023-2027 bâti autour d’une offre de services orientée davantage vers la réalité et les besoins spécifiques de chaque IPM », a reconnu le PCA Bassirou Ndour.
Créée par arrêté n°2015- 5335 du 09 avril 2015, l’ICAMO est une institution de prévoyance sociale chargée de réaliser, au profit des IPM, une gestion commune de missions et de services afin de poursuivre la dynamique d’amélioration de l’efficacité et de l’efficience du système de l’Assurance Maladie obligatoire du Sénégal.
Auteur: AWA FAYE
Comments
dîtes vous obligatoires. qu'en est-il du véhicules où vous n'avez aucune chance d'être remboursé ou ne joue jamais. Elle prise pour pouvoir circuler mais ne bénéficie pas à l'assuré. aussi vu que les piétons et autres ambulants pousse pousse occupe la voies publiques de circulation. les véhicules ne devraient pas être accablés en cas d'accident car l'état a failli en laissant les trottoirs occupés à tout va concernant la circulation en nationale. il faut devier les routes qui traversent les villes et villages. ainsi ne sera utilisé que la route qui traverse le village où la ville par ceux qui s'arrêtent ou ont quelques choses à faire. ainsi il faut créer des voies de contournement de toutes villes et villages importants. un grand chantier pour 5/10 ans
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Quel est votre vrai bilan 2018-2022 ??? Ne pas sauter du coq à un trou caillouteux. Ça parle brusquement trop d'IPM en oubliant la terrible absence de la branche maladie dans le dispositif de la sécurité sociale Sénégalaise encore éclatée et très mal gérée. Et tout le monde savait.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Qui a signé leur arrêté de ... création ??? C'est l'État par une loi qui crée une Caisse nationale de Sécurité Sociale Maladie.
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Voici une autre raison de bien choisir notre assemblé c'est pour cela que la coalition DUNDU se Bat la santé pour tous est un droit tout citoyen sénégalaispeut et doit en bénéficier pour notre croissance
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