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Séquestration d’un bébé à la clinique Nour : Guy Marius Sagna dénonce et interpelle l’Etat

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"Le slogan de notre système de santé doit être 'la santé avant tout' et non 'la facture avant tout'".  C’est le coup de gueule du député Guy Marius Sagna qui s'insurge contre la séquestration ou le chantage exercé sur les citoyens dans certains établissements hospitaliers. 
Sur les questions écrites aadressées au gouvernement,  le député interpelle  sur  le cas d’une séquestration  qui a eu lieu à la clinique Nour. "J'ai interpellé le gouvernement sur le cas d'une séquestration d'un bébé par la clinique Nour pour le paiement de facture médicale la semaine dernière.  J'ai demandé au gouvernement du Sénégal s'il était vrai que certaines structures sanitaires, pour se faire payer, s'adonnent à des pratiques de séquestration ou de prise en otage. La clinique Nour a-t-elle empêché, le vendredi 2 août dernier, aux parents d'un nouveau-né à l'emmener chez eux pour défaut de paiement de frais médicaux ?".
Un acte que dénonce  énergiquement le député pour qui ce genre de traitement est inhumain, dégradant et inacceptable dans une structure de santé où l'on soulage les êtres humains, mais sûrement pas où l'on ajoute aux malheurs des malades et de leurs accompagnants.
Ainsi, Guy Marius trouve que la  santé des êtres humains ne saurait être une marchandise qui autorise les structures de santé publiques ou privées à recourir à des actes de tortures psychologiques pour se faire payer.
Auteur: Ndeye Astou Konaté
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Comments

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    Dou il y a 8 mois

    Guy, vous commencez a exagerer un peu. Si des parents n'ont pas les moyens de payer leurs factures pourquoi aller dans une clinique. L'entite privee est le business pour se faire des profits et non de la charite'

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    il y a 8 mois

    Je te suis depuis des annèes et t'encourage, mais sur ce coup mon frère GMS tu es passè à côtè de la plaque. Quand on demande un SERVICE après obtention on paie pour ce SERVICE, en plus d'être un espace de santè les cliniques PIVÈES comme leur nom l'indique sont PRIVÈES. Donc quiconque s'y fait soigner, suivre, ou pris en charge doit s'acquitter de sa facture. Il y a des hôpitaux et beaucoup de postes de santè, pour les patients dèmunis ou à faible revenus. Dans certains cas des couples refusent de payer des frais d'accouchement mais c'est eux qui vont faire un grand NGUINTÈ ou l'argent et la ripaille coulent à flot. Nous ne savons pas gèrer les prioritès au Sènègal, de quel autre moyen de pression dispose cet etablissement de santè pour rentrer dans ses fonds si le patient refuse de payer??? Toutes les batailles ne mèritent pas d'être menèes au risque de titrer inutilement sur tout ce qui bouge. Patriotiquement

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    reply_author il y a 8 mois

    Les parents ont une adresse fixe des numéros de telephones . Pourquoi utiliser un innocent Bébé comme monnaie d’échange. On les laisse partir et on porte plainte ensuite .

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    Post de Guy Marius Sagna il y a 8 mois

    Post de Guy Marius Sagna 1- La multinationale Suez a demandé l'autorisation de licencier un délégué du personnel titulaire Monsieur Oumar Ba de Sen'Eau. Son crime: de défendre le Sénégal et ses collègues travailleurs avec ses camarades. Le gouvernement du Sénégal ne doit pas accepter d'être l'instrument de la cause néocoloniale et de pillage du Sénégal de Suez. Le 24 mars 2/24 le peuple sénégalais a choisi le patriotisme économique. Si licenciement il doit y avoir c'est Suez qui devrait être licenciée du Sénégal elle : + Suez qui été prise en flagrant délit de hold-up sur le portefeuille des Sénégalais avec des compteurs à eau ultra sensibles + Suez qui cannibalise la Sen'Eau avec ses options qui défient toute raison + Suez qui prétend mensongèrement n'avoir fait que des pertes à la Sen'Eau depuis son arrivée Oumar Ba, délégué du personnel titulaire à la Sen'Eau et ses camarades devraient être décorés mais surtout pas sanctionnés encore moins licenciés. Suez ne doit aucunement être soutenu par le gouvernement du Sénégal dans son entreprise d'édification d'un désert syndical par des manœuvres d'intimidation, de licenciement, de refus de voir les travailleurs siéger au conseil d'administration... 2- la marchandisation de l'eau au Sénégal a rendu nos structures de santé inhumaines. J'ai interpellé le gouvernement sur le cas d'une séquestration d'un bébé par la clinique Nour pour le paiement de facture médicale la semaine dernière. J'ai demandé au gouvernement du Sénégal s'il était vrai que certaines structures sanitaires pour se faire payer s'adonnaient à des pratiques de séquestration ou de prise en otage ? La clinique Nour a-t-il empêché le vendredi 02 août dernier aux parents d'un nouveau-né de l'amener chez eux pour défaut de paiement de frais médicaux ? Je dénonce énergiquement ce genre de traitement inhumain et dégradant inacceptable dans une structure de santé où l'on soulage les êtres humains mais sûrement pas où l'on ajoute aux malheurs des malades et de leurs accompagnants. La santé des êtres humains ne saurait être une marchandise qui autorise les structures de santé publiques ou privées à recourir à des actes de tortures psychologiques pour se faire payer. Le slogan de notre système de santé doit être"la santé avant tout" et non "la facture avant tout". 3- Solidarité au peuple africain du Mali victime du terrorisme soutenu au moins par l'Ukraine. L'embuscade meurtrière terroriste chez nos sœurs et frères du Mali, la communication provocatrice de l'ambassadeur de l'Ukraine dans notre pays et la rupture des relations diplomatiques annoncée par le Mali nous interpelle fortement. Je soutiens le communiqué du ministère de l'intégration africaine et des affaires étrangères exprime notre solidarité avec le peuple frère malien confronté avec les peuples frères du Burkina et du Niger à des agressions terroristes. Notre solidarité panafricaine non négociable est entière pour que cessent les ingérences extérieures avouées et/ou camouflées et soit respectée l'intégrité territoriale et nationale du Mali. 4- Intégration des langues nationales dans le système éducatif sénégalais L'actuel gouvernement est issu d'une coalition politique qui a battu campagne pour l'introduction des langues nationales dans l'enseignement. J'ai transmis au gouvernement les questions suivantes qui sont en réalité celles d'un groupe de sénégalais.e.s : A. Existe-t-il un calendrier précis pour l'introduction des langues nationales dans nos écoles ? Quand le programme d'enseignement en langues nationales, notamment en wolof, sera-t-il effectivement mis en œuvre ? B. Quelles sont les stratégies envisagées pour faciliter la transition vers un enseignement en langues nationales, tout en assurant la qualité de l'éducation ? C. Comment le gouvernement compte-t-il surmonter les défis logistiques et financiers liés à cette transition, notamment en termes de formation des enseignants et de production de matériel pédagogique ? D. Quelles mesures seront prises pour valoriser nos langues nationales dans les domaines scientifique, politique, juridique et économique ? E. Comment le gouvernement prévoit-il d'impliquer les communautés locales et les experts linguistiques dans ce processus ? F. Quelles études ont été menées pour évaluer l'impact potentiel de cette transition sur les performances scolaires et le développement économique du pays ? 5- Dettes dues à des entreprises accompagnées par l'ADEPME, la DER et la BMN L'ADEPME, la DER et la BMN accompagnent des entreprises dans leur développement et ont signé avec ces entreprises des accords, s'engageant à rembourser une partie de leurs investissements après que ces derniers soient réalisés. Ces entreprises attendent depuis plus de neuf (09) mois des remboursements prévus pour fin 2023 ou début 2024. Ce retard provoque des difficultés financières, entraînant démissions, licenciements, incapacités à payer fournisseurs et matières premières en un mot signent la mise à mort de plusieurs entreprises. Quelle est l'origine de ces blocages ? Quand ces entreprises sénégalaises seront elles remboursées ? 6- Refus de ma réintégration de trois délégués du personnel à la CBAO J'ai salué le refus du licenciement de trois (03) délégués du personnel par la CBAO. Le ministre du travail a tout mon soutien car la volonté de certains patrons qui ne veulent pas de délégués du personnel mais cherchent des délégués du patronat, qui ne souhaitent pas avoir des représentants des travailleurs mais des représentants du patron ne doit pas passer. Les droits des travailleurs doivent être scrupuleusement respecté parmi ceux-ci leurs droits syndicaux. 7- Activités suspectes sur le Littoral en face de Malibu Plage J'ai saisi le gouvernement au sujet de Malibu Plage dont les riverains m'ont contacté. Lors des travaux de la VDN 3, la société CDE avait établi sa base sur un terrain qui fait face à la mer (Malibu Plage). À cet endroit, il y avait autrefois les filaos qui étaient censés être un bouclier contre l'avancée de la mer. Alors que les travaux de la VDN 3 sont achevés depuis belle lurette, ce terrain est devenu un dépotoir de sable, de gravats avec une circulation incessante de camions. Les riverains sont dans l'ignorance totale quant aux activités menées dans cette zone et la nature de ces dépôts. Le moindre mal est la poussière qui vient des tas de sable et de gravats qui occultent la vue sur la mer. En quoi consistent les activités ci-dessus évoquées sur la Malibu Plage ? Qui sont ceux qui la pratiquent ? Quel droit ont-ils d'utiliser ce terrain qui abritait autrefois les filaos et qui etait considérée comme un espace public ? Qui leur a donné l'autorisation d'occuper ce terrain? À côté de ce terrain, à l’angle, s'est installé un vendeur de bazar qui occupe un grand espace. Au début, il y avait une installation sommaire faite de bâches et maintenant il y a un mur en briques et des rideaux de fer. Ces travaux laissent présager que l’espace sera bientôt aménagé en magasin en bonne et due forme. Cette occupation est-elle légitime? Les riverains ont l'impression d'assister à une occupation anarchique et un partage de cette zone. Il y a quelques semaines, les femmes qui vendaient du poisson grillé en face de cet espace ont été déguerpies alors que le vendeur de bazar n’est pas inquiété dans ce grand espace. Les activités ont dégradé fortement cet environnement qui ressemble maintenant à une déchèterie à ciel ouvert. Les riverains de Malibu Plage qui habitaient dans un cadre de vie vert et sain depuis 1986 veulent savoir si leur situation va aller de mal en pis. La société Guèye Holding y détient-elle un bail? GMS,

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    reply_author il y a 8 mois

    Guy n'est pas intelligent du tout.

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    il y a 8 mois

    La clinique n'a pas de moyens de pression pour recouvrer son argent. Pour une école privée, les élèves dont les parents n'ont réglé la scolarité sont renvoyés. Pour une clinique privée, que faut-il faire ? Encore que cela n'est pas la pratique des cliniques privées seulement. Je suis témoin de la confiscation d'un corps par un hôpital publique de la place car les parents du défunt devraient régler une facture de 600.000 francs avant de disposer du corps. Ce qui a été fait. D'autres hôpitaux demandent une CNI en garantie pour libérer les malades.

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    il y a 8 mois

    J'ai un mauvais souvenir de cette clinique, Ce mois de juillet mon bébé y est décédé et j'ai pas apprécié leur manque de professionnalisme et ils ont des limites techniques sur les nouveau nés prématurés. En plus, quand ils savent que tu as une prise en charge, ils surfacturent!!

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    thiey il y a 8 mois

    comment faire pour entrer en contact ave Guy Marius Sagna svp?

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    Sénégalais lambda il y a 8 mois

    C'est pas humain Il faut noté que les parents avec proposer un paiement échelonné directement prélevé sur le salaire du père, mais cette proposition a été froidement refusée par la clinique, qui a décidé de maintenir le bébé jusqu'à ce que la totalité du solde soit payée. Ce n'est pas humain.

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    Adja78566363 il y a 8 mois

    Guy vraiment cette fois tu es à côté. Si tu n'as pas les moyens de payer pour ton enfant tu vas à un centre de santé. Et as tu eu la version de la clinique avant de partager ton coup de gueule? Nâfêkh rèk gnofi fêss, sokhor tèkesi. Cette clinique a bonne réputation pour la prise en charge des enfants. J'y ai accouché et c'était une bonne expérience.

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    reply_author il y a 8 mois

    Il fallait pas aller dans le privé si on n'a pas les moyens de payer. Faut arrêter avec ses choses la. Faire ce qu'on e' connaissance de cause puis se victimiser.

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    reply_author il y a 8 mois

    C'était plus simple de demander un transfert dans un hôpital publique si on a pq les moyens de payer la clinique..

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    il y a 8 mois

    @Adja: Guy n'est pas passé à coté. Même aux Etats-Unis on parle d'industrie de la santé au même titre que les autres industries (manufacture, banque, spectacle, etc.) on ne peut pas séquestrer un patient pour cause de paiement, on vous libère en vous faisant une facture tout en ayant vos coordonnées ou celles de la personne garantes. Et si tu ne paies pas les avocats de la boite de santé s'en charge et cela peut vous empoisonner la vie.

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    il y a 8 mois

    santé business.... voici ce qui arrive quand la couverture universelle n'est pas " universelle". Une clinique reste un établissement de santé pas la boutique du coin. Il y a des questions d'éthiques qui prévalent sur le monétaire. Des recours pour assister les familles en difficultés doivent être mis en place. C'est inadmissible de prendre en otage des malades. des corps ou des mamans venant d'accoucher. Les établissement de santé privés doivent signer des chartes de bonnes pratiques dans ces cas d'espèce. 1. pour apporter tout les soins nécessaires , libérer les patients et 2. rentrer dans leur frais ce qui est normal aussi. Le serment d'Hippocrate d'abord.

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    reply_author il y a 8 mois

    Guy tu es payé pour ne rien faire l'argent du contribuable il faut aider pour le couple

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    PARENT il y a 8 mois

    C'est une clinique qui est adepte de la surfacturation surtout quand tu as une prise en charge. L'indiscipline est aussi caractérisée à l'accueil de la pédiatrie, je veux surtout parler de l'assistante.

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    Quantbusiness il y a 8 mois

    @ son excellence Mohamed aka GMS votre parti Pastef est au pouvoir alors vous ne pouvez pas etre un eternel opposant. Pourquoi vous etes au pouvoir? pour apporter ou offrir des sulutions aux problemes des senegalais. Vous ne pouvez pas passer la majorite de votre temps a denoncer. En votre qualite de pute a l'assemblee vous etes cense connaitre les lois qui gouvernent ces structures de sante. C'est votre auguste assemblee qui vote les lois. Est-ce que vous proposez une solution pour resoudre ce probleme? As the saying goes :actions speak louder than words.

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    Quantbusiness il y a 8 mois

    Ooooops I meant : en votre qualite de depute.

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    reply_author il y a 8 mois

    Leur prise en charge est vraiment nulle.tout ce qui les intéresse c’est les sous. J’y ai amené mon fils pour une urgence au service pédiatrique. Je suis arrivée à 8h l’assistante s’est pointée à 9h passées je suis restée avec mon fils jusqu’à 11h presque et là elle me dit que Pediatre était entrain de suivre son cours en ligne. J’étais tellement dépitée que j’ai du prendre un rdv avec un autre pédiatre pour y aller. Je déconseille cette clinique

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    Nit il y a 8 mois

    Si ce sont des cliniques privées, pourquoi y aller si vous n'avez pas les moyens de payer....

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    La verite sur cette affaire il y a 8 mois

    Malgré une prise en charge partielle par une assurance de la place, la clinique NOUR (Pôle mère-enfant) a décidé de retenir un nouveau-né jusqu'au paiement intégral d'une facture exorbitante. Les parents, désespérés, font face à une situation révoltante et inhumaine. Un nouveau-né souffrant d'ostéogenèse imparfaite, une maladie incurable fragilisant les os et nécessitant des injections tous les six mois, est né à la clinique NEST (Par Cesarienne) et a été transféré le jour même à la clinique NOUR pour des « soins spécialisés » en néonatologie. Bien que l'assurance ait couvert une partie des frais, les parents se sont retrouvés avec une facture de 2 447 464 FCFA pour seulement 19 jours de soins. Le père, employé dans une structure locale, avait proposé de régler le solde par un paiement échelonné directement prélevé sur son salaire. Cette proposition humaine et raisonnable a été froidement refusée par la clinique, qui a décidé de maintenir le bébé jusqu'à ce que la totalité du solde soit payée. Cinq jours plus tard, l'employeur du père de l'enfant, un homme très humain et compréhensif, est intervenu pour régler l'intégralité de la facture, permettant ainsi la libération du nouveau-né, qui avait commencé à développer des escarres à la jambe gauche durant les jours de détention pour non-paiement de la facture. Les parents dénoncent également des pratiques inadmissibles de la clinique NOUR. À un moment donné, une analyse nécessaire devait être effectuée, mais la clinique a informé les parents qu'ils n'avaient pas de tubes pour le prélèvement. Ils ont exigé que les parents se rendent eux-mêmes dans un laboratoire de la place pour obtenir les tubes, reviennent à la clinique pour les prélèvements, retournent au laboratoire pour les analyses, et enfin patientent pour obtenir les résultats avant de les ramener à la clinique. Cette procédure lourde, anormale et inadmissible a été mise à la charge des parents, ajoutant une charge émotionnelle et logistique inacceptable dans une situation déjà critique. De plus, des lenteurs injustifiées dans les soins ont prolongé inutilement le séjour du nouveau-né en néonatologie, alors que chaque jour en néonatologie coûte 100 000 FCFA de frais d'hospitalisation seulement, plus 22 000 FCFA pour une prétendue visite du pédiatre tous les jours. Le total de 122 000 FCFA par jour pour des soins est non seulement excessif, mais aussi scandaleux dans un pays comme le senegal. Cette situation est inacceptable et révoltante. Les parents appellent à l'intervention des autorités compétentes et de la société civile pour mettre fin à ces pratiques abusives et assurer une prise en charge médicale humaine et respectueuse des droits des patients.

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    La verite sur cette affaire il y a 8 mois

    Malgré une prise en charge partielle par une assurance de la place, la clinique NOUR (Pôle mère-enfant) a décidé de retenir un nouveau-né jusqu'au paiement intégral d'une facture exorbitante. Les parents, désespérés, font face à une situation révoltante et inhumaine. Un nouveau-né souffrant d'ostéogenèse imparfaite, une maladie incurable fragilisant les os et nécessitant des injections tous les six mois, est né à la clinique NEST (Par Cesarienne) et a été transféré le jour même à la clinique NOUR pour des « soins spécialisés » en néonatologie. Bien que l'assurance ait couvert une partie des frais, les parents se sont retrouvés avec une facture de 2 447 464 FCFA pour seulement 19 jours de soins. Le père, employé dans une structure locale, avait proposé de régler le solde par un paiement échelonné directement prélevé sur son salaire. Cette proposition humaine et raisonnable a été froidement refusée par la clinique, qui a décidé de maintenir le bébé jusqu'à ce que la totalité du solde soit payée. Cinq jours plus tard, l'employeur du père de l'enfant, un homme très humain et compréhensif, est intervenu pour régler l'intégralité de la facture, permettant ainsi la libération du nouveau-né, qui avait commencé à développer des escarres à la jambe gauche durant les jours de détention pour non-paiement de la facture. Les parents dénoncent également des pratiques inadmissibles de la clinique NOUR. À un moment donné, une analyse nécessaire devait être effectuée, mais la clinique a informé les parents qu'ils n'avaient pas de tubes pour le prélèvement. Ils ont exigé que les parents se rendent eux-mêmes dans un laboratoire de la place pour obtenir les tubes, reviennent à la clinique pour les prélèvements, retournent au laboratoire pour les analyses, et enfin patientent pour obtenir les résultats avant de les ramener à la clinique. Cette procédure lourde, anormale et inadmissible a été mise à la charge des parents, ajoutant une charge émotionnelle et logistique inacceptable dans une situation déjà critique. De plus, des lenteurs injustifiées dans les soins ont prolongé inutilement le séjour du nouveau-né en néonatologie, alors que chaque jour en néonatologie coûte 100 000 FCFA de frais d'hospitalisation seulement, plus 22 000 FCFA pour une prétendue visite du pédiatre tous les jours. Le total de 122 000 FCFA par jour pour des soins est non seulement excessif, mais aussi scandaleux dans un pays comme le senegal. Cette situation est inacceptable et révoltante. Les parents appellent à l'intervention des autorités compétentes et de la société civile pour mettre fin à ces pratiques abusives et assurer une prise en charge médicale humaine et respectueuse des droits des patients.

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    Quantbusiness il y a 8 mois

    La veritable question que ce depute devrait se poser est de ce savoir ce que le gouvernement peut faire pour des cas extremes de ce genre. Est-ce qu'il existe une couverture sociale suffisante? Il s'agit d'une maladie rare qui affect un nouveau ne. Est-ce qu'il y a d'autres cliniques outillees pour faire face a ces genres de problemes? Comment regler ce cas dans l'immediat?

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    reply_author il y a 8 mois

    Désolée pour votre perte mais votree avis n'est pas général. Ils ont sauvé nos jumeaux en néonat, de moins de 1700g.

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    reply_author il y a 8 mois

    Khana yaw yaay parent bi? Lingasi kham bari na dé! Pourquoi l'enfant n'est pas parti à un struvture public?

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    reply_author il y a 8 mois

    De mon côté c’est tout à fait le contraire… mon fils fait ses suivies là-bas depuis un an mais machallah l’accueil est au top surtout l’a pédiatrie . Bah les avis ne sont pas les même mais la clinique MACHALLAH

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    reply_author il y a 8 mois

    Sur facturation bi mome je suis d’accord. Et massa pour votre perte 🙏🏾

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    reply_author il y a 8 mois

    Je partage votre avis. Ils sont bon, pro et techniquement doué … ils avertissent et informent avant admission. Pourquoi pas les hôpitaux en l’absence de moyens. C’est mon avis , Dieegueulou !

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    reply_author il y a 8 mois

    Je partage votre avis. Ils sont bon, pro et techniquement doué … ils avertissent et informent avant admission. Pourquoi pas les hôpitaux en l’absence de moyens. C’est mon avis , Dieegueulou !

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    reply_author il y a 8 mois

    Je partage votre avis. Ils sont bon, pro et techniquement doué … ils avertissent et informent avant admission. Pourquoi pas les hôpitaux en l’absence de moyens. C’est mon avis , Dieegueulou !

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    il y a 8 mois

    Je partage votre avis. Ils sont bon, pro et techniquement doué … ils avertissent et informent avant admission. Pourquoi pas les hôpitaux en l’absence de moyens. C’est mon avis , Dieegueulou !

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    il y a 8 mois

    Je partage votre avis. Ils sont bon, pro et techniquement doué … ils avertissent et informent avant admission. Pourquoi pas les hôpitaux en l’absence de moyens. C’est mon avis , Dieegueulou !

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    il y a 8 mois

    Vous devez être de la famille ! À mon avis , 2 millions pour 19 jours : c’est vraiement justifié. C’est un séjour très long pour neonatatogie … J’ai accouché dans une clinique de la place avec près de 1 million juste pour 5 jours. Que voulez vous il fallait partir à hôpital Albert Royer , ils sont bons aussi mais les conditions … Vous devez aussi vous plaindre auprès de l’assurance qui n’a pas assez couvert Dieureudieuf à votre bosse mais Votre patron aurait dû intervenir bien avant … c’est le privé ! Si votre enfant va bien , Santh Yallah Kou weet, wakh deug !

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