Dans le cadre de la valorisation des résultats de la recherche et de l'innovation en Afrique de l'Ouest (Varriwa), quatre universités du Sénégal, du Bénin, du Burkina Faso et du Togo, en collaboration avec l’Agence universitaire de la Francophonie, ont présenté 14 projets.
Ainsi, en quatre ans de recherches, plus de 56 demandes de brevets ont été enregistrées, plus de 90 entreprises innovantes créées et plus de 600 emplois créés, selon Alioune Faye, directeur régional adjoint du projet de l’Auf. Ce dernier faisait, lundi dernier, la restitution des travaux de recherche. Selon M. Faye, cinq incubateurs ont été créés ainsi que 25 marques protégées.
Venu présider la cérémonie, Abdourahmane Diouf, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (Mesri) soutient que ces projets démontrent que ‘’l'Afrique n'est pas handicapée pour la recherche. Si elle est bien entraînée, suivie, coachée et financée, elle peut produire des résultats de recherches et prouver les bons experts pour assurer des résultats dans la valorisation de la recherche".
Auteur: Ousmane Dicko
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En Afrique l'état ne finance pas beaucoup la recherche. Beaucoup d'universitaires ne font que de la recherche de des poste et d'argent. Des chercheurs qui trouvent, il y en a peu et ils manquent de financement. Des chercheurs qui cherchent des postes et des privilèges et qui se plaignent du manque de financement, on en voit partout dans les universités africaines.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Les Universités africaines sont des garderies d'adultes nullards et analphabètes. Une université qui compte plus de 80% d'étudiants littéraires ne peut faire de la recherche . En réalité , les universités sénégalaises sont des gouffres pour les finances publiques car le Sénégal est l'un des rares pays au monde où tout bachelier peut prétendre à une bourse comme au début des années d'indépendance où les étudiants se comptaient sur les doigts de deux mains .
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L'ASN4G français (Air-Sol Nucléaire de 4ème Génération) est un missile de croisière air-sol nucléaire hypersonique. Il est capable d'atteindre des vitesses hypersoniques Les chiffres annoncés évoquent une vitesse comprise entre Mach 6 et Mach 7, soit jusqu'à 8 500 km/h. Il sera donc au moins deux à quatre fois plus rapide que l'actuel missile. Le rayon d'action sera plus important, puisqu'il devrait être plus de deux fois supérieur à l'actuel, soit plus de 1000 km. Ce missile représente une avancée significative dans la capacité de dissuasion nucléaire de la France, garantissant une réponse rapide et efficace en cas de menace. Une théorie soutenue par le tout nouveau commandant des Forces aériennes stratégiques, le général Stéphane Virem, qui a déclaré qu'il s'agissait d'un "missile nucléaire capable de pénétrer les défenses ennemies les plus denses et les plus développées". C'est çà le résultat de la recherche et de l'innovation .
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La recherche est un vecteur important pour l'innovation auquel nos pays ainsi qu'à nos partenaires de tous les côtés doivent prendre ce secteur ai sérieux car il est une véritable source de richesses pour la sous région.
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