Une délégation iranienne conduite par le ministre de l’Agriculture, Mohammed Ali Nikbakht, a séjourné à Dakar les 20 et 21 décembre dans le cadre de la 5e session de la Commission mixte de coopération entre le Sénégal et l’Iran. « Cette rencontre, qui constitue un cadre privilégié pour la revue et l’approfondissement de notre coopération bilatérale, s’inscrit dans la dynamique bien ancrée de consolidation des relations d’amitié et de partenariat fécond qui unissent nos deux pays », a justifié le ministre des Affaires étrangères, Ismaila Madior Fall.Le Soleil rapporte que les travaux ont abouti à la signature de quatre accords entre les deux pays. Il s’agit d’accords de coopération pour l’entraide, le transfèrement et l’extradition judiciaire, de reconnaissance réciproque et d’échange de permis de conduire national, mais aussi de coopération dans le secteur agricole et de coopération culturelle, détaille le journal.L’hôte du Sénégal a indiqué que la signature des accords doit être suivie par leur mise en œuvre pour « aller vers la réalisation » des actions prévues. Il a ajouté que son pays est disposé « à recevoir des experts sénégalais » pour un renforcement de capacités dans différents domaines (science, technologie, équipements, machinerie).
Auteur: Seneweb News
Comments
Donc le préfet de France au Sénégal a le courage de signer des accords avec l'Iran, mis au ban par l'occident. Non les pestiferés de l'ex PASTEF / MFDC sont des véritables crétins.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Heureusement qu'ils sont là pour que les dicacteurs puissent faire des photos souriants enre 2 séances de torture...Les Iraniens sont comme les syriens en otage. Ils n'ont aucune conviction. Ils signeraient avec Satan pour 3 deniers.
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Ils signent même sans lire. Comme en plus il n' y a probablement aucun controle audit, les entreprises étrangères se précipitent. Ils sont amis avec tout le monde personne ne les respecte.
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Écoutez moi c décomplexée éternelle chômeur toujours France France formez vous êtes remplissez vos petits cerveau du positive un peu bcps de temps à écrire du n'importe quoi
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C'est parce que tu n'a Rien compris de la diplomatie Sénégalaise. Depuis l'avènement de l'ayotolah Khomeiny,le Sénégal a tjrs était en coopération avec l'Iran pour une contre balance diplomatique avec la France. Et vu les derniers événements sur l'argent du financement de l'ex parti, réaffirmer sa coopération avec l'Iran peut être très judicieux..' je parle aux hommes dotés de raison nak..
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L'Iran a toujours souhaité entretenir une grande coopération avec le Sénégal. Que ce soit l'iran monarchique du Shah Reza Pahlavi qu'aussi bien la République islamique d'Iran. Le Shah Reza Pahlavi vouait une grande amitié au Président poéte Léopold Sédar Senghor du Sénégal. Il effectuera d'ailleurs une visite d'état au Sénégal pendant son règne. A l'occasion d'une de ses visites en Iran, la toute dernière à Téhéran vers la fin des années 70, d'importants accords de coopération portant sur des investissements iraniens au Sénégal avaient été paraphés par les deux états qui prévoyaient à l'époque la construction d'une grande raffinerie de pétrole, la première sinon la segonde la plus importante en Afrique de l'Ouest pour l'approvisionnement correcte du Sénégal en carburant et fuel domestique et contrer ainsi l'influence montante de l'Irak au Sénégal qui projetait de construire un important centre culturel qui allait couvrir la sous-région francophone en faisant la promotion de la révolution irakienne et de l'idéologie du Baas, parti et idéologie à l'époque au pouvoir sous les raïs Saddam Hussein en Irak et en Syrie sous Hafez El Assad. [l'Iran du Shah à l'époque était l'Ennemi de l'Irak de Saddam Hussein et tous les deux pays devenus très riches cherchaient vraiment à s'ouvrir à l'Afrique noire qu'il voulait conquérir, à asseoir leur région dans cette partie du monde]. Dans les projets paraphés avec le Sénégal de Senghor, en visite à Téhéran, figurait l'ouverture d'une ligne aérienne hebdomadaire directe entre Téhéran et Dakar par la compagnie aérienne nationale Iran Air pour promouvoir le tourisme entre les deux pays, la construction de logements sociaux dans la région de Dakar et plusieurs autres accords annexes importants. La création de la société Iran-Sen dans le domaine des hydrocarbures, quelques années après l'écroulement de la monarchie des Pahlavi est, dit-on, l'unique accord qui a été réalisé parmi tous ces accords conclus avec le gouvernement du Shah. . À la survenue de la révolution islamique, l'Ayatollah Ruhulah Khomény n'a voulu accordé sa dernière interview qu'à un seul journaliste de la presse française, dans sa résidence à Nauphles-le-châteaux, juste à quelques petites heures de son retour triomphal en Iran, à Téhéran, ville et pays en pleine révolution. Il portera son choix sur un journaliste africain, stagiaire dans un quotidien français de province et qui s'appellait Ibrahima FALL, ancien journaliste au quotidien national "Le Soleil" qui sera plus tard le rédacteur en chef de l'hebdomadaire "Sud Hebdo" qui est devenu "Sud Quotidien". Oui, Ibrahima FALL du Sénégal, journaliste, sera le dernier journaliste dans le monde à avoir décroché la dernière interview de l'Ayatollah Khomény, juste avant son retour en Iran, pays en pleine révolution. ----------------- • Le Centre culturel iakien en construction à Dakar a été stoppé net par le Sénégal qui craignait qu'il serve comme une antenne de propagande et d'expansion de l'idéologie Baas au Sénégal, dans la communauté arabophone du pays et dans les pays de la sous-région. Le chantier inachevé, abandonné se trouve à proximité de la Maison du Parti à Colobane dans la courbe qui mène au canal 4 (évacuation des eaux). [Juste un humble partage]
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