Conscient de la mission du journaliste d'informer juste et vrai, notamment en protection sociale et sur toutes les autres questions qui impactent les populations, la Délégation générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale (DGPSN), en relation avec l'UNICEF et le Réseau des journalistes en protection sociale a entamé, au Cap Skirring une formation de deux jours à l’endroit de 34 acteurs de la presse (correspondants régionaux et agents des radios communautaires).
L’objectif, selon Talibouya Aidara, conseiller technique et coordonnateur de la cellule de communication de la DGPSN, est de renforcer les capacités des acteurs de la presse des régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor en protection sociale et de promouvoir les politiques sociales qui occupent une place de choix dans le Plan Sénégal émergent (PSE).
Cet atelier a vu la participation des différents projets et programmes des filets sociaux comme les Bourses de sécurité familiale, les projets "Yokk Koom kom", "Résilience agricole" et "Cash transferts", mais aussi du Service régional du Développement communautaire et de l'Action sociale de Ziguinchor.
Financés par le gouvernement en relation avec ses partenaires, ces filets sociaux œuvrent pour la réduction de la pauvreté et contre l’exclusion sociale et la vulnérabilité. C'est pourquoi dépenser dans la protection sociale sur tous les cycles de vie n’est plus considéré comme une charge par l'État, mais comme un investissement.
Les journalistes ont été invités à s’approprier la bonne information en matière de protection sociale pour accompagner ces filets sociaux qui, selon Pape Malick Gningue, directeur de la Gestion des filets sociaux et coordonnateur du Programme national des bourses de sécurité familiale, ne constituent plus une charge pour l’État, mais bien au contraire un investissement pour l’équité sociale.
Auteur: Paul FAYE Correspondant Seneweb.Com
Comments
Bonjour. Je salue cette belle initiative. La question de la sécurité sociale occupe de plus en plus une place importante dans le programme des États responsables et sensibles au devenir de leurs citoyens. C'est pourquoi j'aurais apprécié la participation l'Inspection du travail, de la Caisse de Sécurité Sociale et l'IPRES de Ziguinchor à cette rencontre pour mieux échanger sur la question sur sa forme institutionnelle et formelle. Les débats auraient été plus larges. Bonne séance !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
bien sur personne a remarquer la grosse pub de la casamançaise les doulanliste qui ne serves à rien et qui verifi aucune information sur tout ce qu'ils disent
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
bonjour personne n'a vu la grosse pub de la casamançaise
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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