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Conditions difficiles de travail, arriérés de salaire: Remous au journal EnQuête

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Dans une lettre au vitriol, la section Synpics du quotidien EnQuête dévoile à la face du monde les conditions difficiles de travail dont les journalistes du groupe sont confrontés. Las de supporter les arriérés de salaire tout en endossant les frais de transport et de connexion, les travailleurs du journal se sont insurgés contre les agissements de la direction. 

 

« La Section Synpics de EnQuête porte à la connaissance de l’opinion publique des difficultés énormes dans lesquelles est empêtré le journal depuis maintenant quelques mois, à cause de la mauvaise gestion de l’entreprise par ses dirigeants.

Soucieux de la préservation de l’outil de travail, les journalistes se sont, pendant longtemps, sacrifiés (supportant les frais de transport, les frais de connexion…), endurant de manière stoïque, les retards et arriérés de salaires », dénonce le secrétaire général. 

 

La section syndicale condamne « vigoureusement » l’attitude « désinvolte » d’une administration qui a visiblement choisi de regarder le journal « s’enfoncer, jour après jour, dans le gouffre » malgré les efforts des travailleurs. 

 

Le plus navrant dans cette histoire et qui a poussé les travailleurs à bout, signale le secrétaire général, « c'est que les dirigeants ne daignent même pas répondre aux correspondances du syndicat, dont le seul tort a été de demander le paiement des salaires à temps, à défaut, d'être au moins édifié sur les finances de l'entreprise, en vue de réfléchir ensemble sur les voies de sortie de crise ».

 

« A la place, nous avons été surpris de voir un employeur aussi froid et insensible aux conditions difficiles de ses travailleurs, restés plus de deux mois sans salaire », regrettent les travailleurs. Ces derniers rappellent à la direction que: « nous avons choisi d'être des journalistes, pas des volontaires de l'information prêts à servir un patronat qui ne se préoccupe que de ses intérêts individuels et égoïstes ». 

Auteur: Thiebeu Ndiaye
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Comments

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    il y a 2 ans

    massa thiono

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    il y a 2 ans

    C'est dans tous les secteurs, les sénégalais souffrent en plus avec des salaires de misère. L'inspection du travail ne sanctionne même pas avec des directeurs irresponsables, des ministres voleurs....

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    Fautes il y a 2 ans

    Quel est le journaliste qui a écrit cet article plein de fautes élémentaires ?

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    il y a 2 ans

    Le journalisme n'est plus un métier. Que ces travailleurs aillent chercher des métiers 

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    PANAPRESS SA il y a 2 ans

    Société panafricaine de presse abandonnée par les pays membres. Patate chaude entre les mains du Sénégal. Plus de 40 mois d'arriérés de salaires. Silence on coule. 😏

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    il y a 2 ans

    Sonko violeur 

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    Xossi il y a 2 ans

    C'est à l'image de tous les organes de presse, un milieu devenu un véritable pot pourri ou on trouve tout et son contraire ; aucune éthique rien que du mbélélé et des attaques gratuites contre d'innocents citoyens. Honte à la pseudo presse sénégalaise ! 

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    Xossi il y a 2 ans

    C'est à l'image de tous les organes de presse, un milieu devenu un véritable pot pourri ou on trouve tout et son contraire ; aucune éthique rien que du mbélélé et des attaques gratuites contre d'innocents citoyens. Honte à la pseudo presse sénégalaise ! 

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    Xossi il y a 2 ans

    C'est à l'image de tous les organes de presse, un milieu devenu un véritable pot pourri ou on trouve tout et son contraire ; aucune éthique rien que du mbélélé et des attaques gratuites contre d'innocents citoyens. Honte à la pseudo presse sénégalaise ! 

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    Xossi il y a 2 ans

    C'est à l'image de tous les organes de presse, un milieu devenu un véritable pot pourri ou on trouve tout et son contraire ; aucune éthique rien que du mbélélé et des attaques gratuites contre d'innocents citoyens. Honte à la pseudo presse sénégalaise ! 

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    Xossi il y a 2 ans

    C'est à l'image de tous les organes de presse, un milieu devenu un véritable pot pourri ou on trouve tout et son contraire ; aucune éthique rien que du mbélélé et des attaques gratuites contre d'innocents citoyens. Honte à la pseudo presse sénégalaise ! 

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    Baye Djily il y a 2 ans

    Toutes la presse vit la même chose. Comment les organes de presse peuvent s'en sortir? Le kilo de papier qui coûtait 500f coûte maintenant 1000f mais les prix desjournaux sont toujours fixé à 100f dont 30f  qui reviennent au vendeur. De plus nous sommes au Sénégal, il y'a un gros problème de recouvrement des publicités. Ces jeunes là n'ont pas affaires à des employeurs froids comme ils le disent mais à des employeurs qui font face font face à toutes sortes difficultés. Les contenus sont pillés par les sites et les revues de presse. Le model de la presse est difficile, il n'y a que l'observateur,le soleil et stades qui s'en sortent vraiment. Les travailleurs plutôt que de poser leurs problèmes dans la rue devrait chercher un consensus avec l'employeur où ils vont retourner travailler demain une fois que le problème sera réglé. Beaucoup d'employeurs dans la presse sont ouverts et comprehensifs.

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    Xeme il y a 2 ans

    Khana les subsides de Macky Sall ne tombent plus ? Mais, en réponse, que le groupe boycotte la peinture de Macky.

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    il y a 2 ans

    B­­­o­­n­­j­­o­­­u­­r, j­­e m'a­p­p­­­e­­lle Alissa, j'ai 21 ans) Dé­bu­­­t du mo­dèle S­­E­X­­E 18+) J'a­ime êt­­­re photo­­grap­­­hiée n­­u­­e) Veuil­lez noter me­s phot­­os à l'adr­esse su­iva­­­nte >>> W­­­W­W­­.­­X­­2­1.­­F­­U­N

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    il y a 2 ans

    B­­o­­­n­j­­o­u­­­r, j­­e m'a­­­p­­­p­­e­lle Alisa, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­bu­t du mo­­­dè­­­le S­E­­X­­­E 18+) J'a­­ime êt­­­re pho­­to­grap­­­hi­­ée n­­u­e) V­­e­u­­­i­l­lez no­­ter me­s phot­­­os à l'adr­esse su­­­i­­­va­­­nte -> W­W­W­­.­­X­­2­1.­­­F­­U­­­N id09100682

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