Le bilan du président Macky Sall sur la liberté d'expression n'est pas totalement reluisant. Devant le "Jdd", le co-président du comité scientifique des Assises nationales des médias, Matar Sylla, note qu'il y a "il y a des choses qui se passent aujourd'hui au Sénégal qui ne devraient jamais se passer".
L'universitaire, expert-consultant international et chef d'entreprise, note que "quand des journalistes sont emprisonnés, condamnés, en termes de perception, ce n'est pas de bon augure", et "les investisseurs tiennent compte de ces paramètres-là".
D'où son plaidoyer pour "que tous les confrères, les consoeurs, les collaborateurs des médias qui sont aujourd'hui dans les liens de la détention ou dans les procédures judiciaires" rejoignent leurs rédactions respectives.
Le journaliste suggère également de trouver "un mécanisme qui permette de prévenir ce genre de situation". "C'est là où, plaide-t-il, il faut renforcer le Cored (Conseil pour l'observation des règles d'éthique et de déontologie dans les médias) pour sanctionner. Le tribunal des pairs pourrait être la Dic de la presse, qui écoute les confrères, qui reçoit les plaintes, joue son rôle de médiation, qui corrige et qui peut proposer à l'autorité de régulation qui sera là de fermer un organe s'il le faut, etc. Cela suppose qu'on essaie d'encadrer la profession, de former les gens davantage".
Auteur: Yandé Diop
Comments
Un journaliste doit informer vrai, doit être objectif, doit toujours parler faits et ne pas les tronquer. Un journaliste ne doit pas verser dans la désinformation et la manipulation. Un journaliste peut être partisan, mais doit l'assumer pleinement. Un journaliste doit assumer aussi ses positions et ses responsabilités quand il commet un derive de sa fonction. Enfin un journaliste peut se retrouver en prison comme tout autre citoyen qui commet une infraction ou un délit.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonne idée. Un grand monsieur.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il est devenu un corporatiste. A vos marques chacun demande la libération de ses adhérents, ses confrères , sa caste, sa tribu, ses cousins son ethnies, ses militants, sa confrérie......Et les prisons seront vide. Et la république dans tout ça ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Liberté d'expression ne veut pas dire liberté de mentir.
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La presse sénégalaise est médiocre ! Pour jouir d'une certaine liberté d'expression, il faut être très bien éduqué et formé. La liberté d'expression ne signifie pas de s'exprimer librement sur n'importe quoi, n'importe comment ! Il y a des règles à respecter.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Informer vrai, ce n'est pas dire ce qui plaît à l'un ou l'autre c'est rapporter le faits mais le journaliste a le droit de faire des analyses qui sont elles libres. Au Sénégal on entend journaliste qui soutient un parti politique cela est possible c'est pas interdit ce qul est interdit c'est de travestir les faits. Aujourd'hui au Sénégal presque tous les journalistes sont à la solde du gouvernement pour ceux qui restent on menace leurs organisations de sanctions ou de plaintes.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
: Ces assises de la presse c est juste du cinéma , elles ne produiront rien de bon sinon des Polémiques, des insultes ,des calomnies , des divisions et clans . Tout simplement parceque les vrais maux de la presse sénégalaise ne seront pas évoqués et discutés franchement . les 3 vrais maux qui gangrènent la presse sénégalaise. : -la presse sénégalaise est envahie et infestée par des non-journalistes , des charretiers , des griots- quémandeurs , des maitre-chanteurs , des putes et des drogués et autre racaille. Tout le monde se dit journaliste , il suffit juste d étre invité une fois sur un plateau télé par un copain , d avoir balancer 2 ou 3 phrases bien tournées et on vous réinvite et hop on se dit journaliste . C est ainsi que des danseurs ,des woykat , des dj , des commentateurs de lutte ou de course fass , des putes xéssalisées nvitées dans les talk show , des oustaz et prêcheurs de tout acabit , finissent par se réclamer journalistes . Ils disent sur les plateaux " nioune sournalises yi" et brandissent dans les manifestations et cérémonies les badges d accès à leur média respectif en criant : "chéée la pérrrrééésss ....!" -le 2ème mal c est la nullité , la médiocrité et la partialité qui découlent automatiquement du 1er mal . Jamais vue " une presse aussi nulle , médiocre et quemandeuse et raketteuse ." Au moins 90% des "sournaliss "senegalais sont des corrompus, des chasseurs de perdiems et de primes , de "ndiégou agne " , "de pass taxi" , et autres enveloppes pour services rendus ou à rendre . Mais c est normal , comme l a dit un célébre chanteur : " kou woddoo lamign sou noppé raflé " -le 3 ème mal et non des moindres c est la peur . Les dirigeants des différents organismes de la presse , le cored , le synpics , la cnts . la cap , ont peur de dénoncer toutes ces dérives et cet envahissement et de décider de tout assénir. Peur des représailles mystiques ou mêmes physiques des " envahisseurs médiatiques " La presse sénégalaise c est les 10 P : Presse Pourrie de Polemiques Politiques Puériles , de Petits Potins People Putassiers et Pestillantiels . Si les autorités et les vrais journalistes ne prennent pas leurs responsabilités et le taureau par les cornes , la presse sénégalaises va se fracasser sous peu co.tre le mur de la corruption , de la nullité et de la médiocrité . Si ce n est déjà fait . La carte de presse c est de la poudre aux yeux . Elle ne servira à rien pour la simple raison qu avec le masla , le laxisme et le copinage sénégalais l'exigence de la carte de presse ne sera jamais effective partout et tout le temps . Le seul salut c est engager le nettoyage des écuries d augias et sans état d âme . Presse sénégalaise pour niroo watt presse rakhass deugg deugg la ladje . Maintenant y aura t il la volonté et surtout le courage des vrais pros ? That is the question .
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Jamais un regime n'a été aussi repressif et policier.. et cela seulement parce que nous sommes dans une spirale de prevarication, de détournements de biens publics, de non- reddition des comptes....alors il faut fermer la bouche de ceux qui veulent informer un peuple, ce dernier étant malheureusement sourd et muet..il suffirait que tous les rapports des cours de contrôle soient rendus publics, de même que les déclarations de patrimoine, pour qu'enfin deviennent publics tous les scandales financiers de 2000 à 2023...mais bon, est ce que nous meritons mieux? Le Sénégal est le pays des laudateurs et des detourneurs, il ne pourra jamais se développer
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