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Traitement des questions Paix, Sécurité et Défense : Un manuel mis à la disposition des professionnels des médias

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Un manuel mis à la disposition des professionnels des médias

Pour encourager le traitement des informations sensibles de manière adéquate et  soutenir une approche inclusive dans le secteur des médias, un manuel  a été conçu  dans le cadre du projet régional « Sécurité pour tous ». L’objectif est de contribuer à la mise en place d’actions et d’institutions garantissant que la mission de sécurité soit plus responsable, plus adaptée et plus équitable face aux besoins de sécurité de la population. Ainsi la fondation Friedrich Ebert Stiftung (FES) et l’union Européenne, en partenariat avec le Centre des Hautes Etudes de Défenses et de Sécurité (CHEDS), ont présenté aux professionnels et acteurs des médias, ce manuel  qui va permettre de les accompagner dans le traitement d’information critique et de renforcer les capacités des journalistes sur les questions de sécurité et de réformes du secteur de la sécurité/ gouvernance démocratique.
La  présentation  du manuel a été faite, hier jeudi 16 février, lors d’un atelier qui a réuni des représentants diplomatiques, des journalistes, des spécialistes en sécurité, de hauts cadres des forces de sécurité et de défense, des directeurs d’école de formation en journalisme et des étudiants en journalisme. 
Ainsi, un premier panel  a été animé par l’ancienne  journaliste du groupe Sud, Mame Lika Sidibé, spécialisée en Défense, paix et sécurité et consultante senior du projet et rédactrice du manuel.  D’après Mme Sidibé, « ce manuel qui est réalisé à partir de témoignage et partage d’expériences de journalistes, des membres de forces de défense et de sécurité et d’experts en sécurité onusienne ou d’organismes internationaux, aborde plusieurs questions relatives à la sécurité des journaliste dans les zones hostiles, telles que l’attitude que doit avoir un journaliste en période de crise, comment traiter l’information qui relève de la sécurité, mais aussi les questions d’éthique, de déontologie et de la responsabilité. Ainsi, ce manuel, qui vise dans un premier temps les professionnels des médias, prend en compte les écoles de formation pour initier les futurs jeunes journalistes aux questions sécuritaires et le traitement de l’information relatif à la sécurité, mais aussi les forces de sécurité et de défense.» 
Commandant Ibrahima Ndiaye, chargé de communication de la Gendarmerie, qui a pris part à cette rencontre est revenu sur ce qu’il qualifie de « relation de confiance » qui doit exister entre les journalistes et des forces de sécurité. 
Lors d’un second panel dont le thème est « défis de formation des médias et réforme du secteur de la sécurité », modéré par le directeur du Cesti, Dr Mamadou Ndiaye, la parole a été donnée à un expert en sécurité, le commissaire Boubacar Sokona du Mali qui est revenu sur le rôle des Fds dans la sécurité des professionnels des médias dans les zones de conflits. 
Dr Aicha Pemboura, experte en Défense, paix et Sécurité au Cameroun,  a axé son intervention sur les risques liés au métier de journaliste  avec l’exemple de son pays ou un journaliste (Ndlr Martinez Zogo) a été récemment enlevé devant un commissariat avant d’être assassiné.  Une situation qui crée la peur du côté des journalistes-apprenants qui craignent  pour leur vie, s’ils sont amenés à enquêter sur des sujets sensibles.
A la fin de l’atelier de présentation du manuel de formation, un vibrant hommage a été rendu à la défunte journaliste, Eugénie Rokhaya Aw Ndiaye , qui était une consultante sénior du projet mais également une des rédactrices dudit manuel de formation, devant son époux, Pr Aloyse Ndiaye. Un film réalisé par des étudiants du Cesti sur la vie et l’œuvre d’Eugénie Rokhaya Aw Ndiaye a été projeté devant le public.       
Auteur: Ndeye Maty Diagne
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Comments

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    Macky Sall il y a 2 ans

          Dans le scandale hors PRODAC, tout l’argumentaire du délinquant Mame M’Baye NIANG repose sur le fait qu’il « n’existerait aucun rapport de l’IGF l’incriminant », une démonstration absurde qui est le fruit d’une imagination fertile. C’est un fait irréfutable : l’existence du rapport de l’Inspection générale des Finances est formellement établie et a été confirmée par le premier ministre Amadou BA. I – Le 30 juin 2018, l’actuel 1er Ministre Amadou BA a confirmé l’existence du rapport devant les députés Le 30 juin 2018, lors du débat d’orientation budgétaire qui marquait la clôture de la session ordinaire unique de l’Assemblée nationale, des députés ont saisi le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba sur le scandale PRODAC. Devant les parlementaires, Amadou Ba a admis et reconnu que l’IGF avait bel et bien établi un rapport provisoire dans l’affaire PRODAC, soulignant d’ailleurs que le rapport définitif a été bouclé, mais, qu’il n’avait pas encore fait l’objet d’une exploitation.Au regard des propos officiels tenus solennellement par le ministre de l’économie, qui plus est, devant la représentation nationale, plus personne au Sénégal (y compris le juge le plus zélé) ne saurait désormais douter de l’existence de ce rapport. II – Le 1er Ministre, Amadou BA doit être cité comme témoin Le 1er ministre Amadou Ba, doit être cité comme témoin, pour 2 raisons (au moins) :A – Primo, son témoignage est capital, car il a confirmé l’existence du rapport de l’IGF (propos tenus devant l’assemblée nationale),B- Secundo, il était Ministre de l’Economie à l’époque, et l’autorité d’approbation. En effet, l’article 29, « alinéa 1 » du décret n°2014-1212 en date du 22 septembre 2014, portant code des marchés publics précise que « Les marchés de l'État sont approuvés par le ministre chargé des Finances lorsque le montant est égal ou supérieur à 300.000.000 FCFA ». Par conséquent, Amadou BA devra s’expliquer sur tous les décaissements effectués.D’aucuns vont s’empresser d’invoquer l’alinéa 2 de l’article 101 de la Constitution qui dispose que « Le Premier Ministre et les autres membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l'exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis, et qu’ils ne peuvent être jugés que par la Haute Cour de Justice ». Il s’agit de le citer comme témoin. Dans le scandale PRODAC, le témoignage du 1er Ministre (témoin) est essentiel et doit contribuer à la manifestation de la vérité. III – Pour incriminer Mame M’Baye NIANG, nul besoin que son nom soit mentionné dans le rapport L’une des erreurs monumentales de Mame M’Baye NIANG qui prouve son incompétence notoire et sa méconnaissance totale des textes et des règles qui régissent la responsabilité juridique des ministres est de hurler et clamer sous tous les cieux « qu’il n’existe aucun rapport mentionnant son nom ». Or, ce délinquant, voleur notoire de deniers publics, ignore que pour l’incriminer, nul besoin que son nom soit mentionné dans un quelconque rapport.La responsabilité juridique de Mame M’Baye Niang est clairement établie par l’article 27 du décret n°2014-1212 en date du 22 septembre 2014 portant code des marchés publics modifié qui dispose que la procédure de passation du marché est conduite par la Personne responsable du marché, seule habilitée à signer le marché. L’article28 (alinéa a) dudit code définit clairement l’identité de la personne responsable du marché en ces termes : « Les Personnes responsables des marchés sont pour les marchés de l'État et dans chaque Département ministériel, le ministre chargé du département concerné… ». Les textes sont, on ne peut plus clair. Conclusion : L’existence du rapport de l’IGF incriminant Mame M’Baye NIANG ne fait l’ombre d’un doute Le 1er Ministre, Amadou BA, l’a reconnu officiellement devant les députés (le 30 juin 2018), tout en essayant d’écarter la responsabilité de son ministère. Cette déclaration (pièce essentielle) doit être versée au dossier. Aucun juge au Sénégal, à moins qu’il soit un magistrat fou et zélé ne peut nier l’existence de ce rapport. Nul besoin que le nom de Mame Mbaye soit mentionné dans un quelconque rapport (l’article 27 du code des marchés a déjà établi sa responsabilité juridique). Sa plainte pour diffamation est une fuite en avant, une diversion.Au demeurant, tant que le 1er Ministre, Amadou BA qui a confirmé devant les députés à l’assemblée nationale, l’existence du rapport de l’IGF n’est pas cité comme témoin (un témoin capital), l’affaire ne pourra être jugé par le tribunal le 02 février 2023. Le point central est l’existence ou pas du rapport de l’IGF ; or il n’y a plus de doute à ce niveau, depuis qu'Amadou BA l'ait admis officiellement, devant les députés. C’est tout l’argumentaire de Mame M’Baye NIANG (inexistence du rapport) qui s’effondre, comme un château de cartes.Nota bene : Les conclusions du rapport provisoire de l’IGF ne doivent, ni être altérées, ni falsifiées. Elles doivent être retranscrites dans le rapport définitif. Toute falsification ou tentative de falsification dudit rapport par le régime fera l’objet de poursuites pénales.

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    il y a 2 ans

    ce manuel ne sert à rien au Sénégal, les sournaleux reçoivent directement leurs textes de la gouvernance, ensuitent ils brodent suivant la direction du vent le jour de la parution.

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    il y a 2 ans

    ce manuel ne sert à rien au Sénégal, les sournaleux reçoivent directement leurs textes de la gouvernance, ensuitent ils brodent suivant la direction du vent le jour de la parution.

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    Macky Sall il y a 2 ans

    Dans le scandale hors PRODAC, tout l’argumentaire du délinquant Mame M’Baye NIANG repose sur le fait qu’il « n’existerait aucun rapport de l’IGF l’incriminant », une démonstration absurde qui est le fruit d’une imagination fertile. C’est un fait irréfutable : l’existence du rapport de l’Inspection générale des Finances est formellement établie et a été confirmée par le premier ministre Amadou BA. I – Le 30 juin 2018, l’actuel 1er Ministre Amadou BA a confirmé l’existence du rapport devant les députés Le 30 juin 2018, lors du débat d’orientation budgétaire qui marquait la clôture de la session ordinaire unique de l’Assemblée nationale, des députés ont saisi le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Amadou Ba sur le scandale PRODAC. Devant les parlementaires, Amadou Ba a admis et reconnu que l’IGF avait bel et bien établi un rapport provisoire dans l’affaire PRODAC, soulignant d’ailleurs que le rapport définitif a été bouclé, mais, qu’il n’avait pas encore fait l’objet d’une exploitation.Au regard des propos officiels tenus solennellement par le ministre de l’économie, qui plus est, devant la représentation nationale, plus personne au Sénégal (y compris le juge le plus zélé) ne saurait désormais douter de l’existence de ce rapport. II – Le 1er Ministre, Amadou BA doit être cité comme témoin Le 1er ministre Amadou Ba, doit être cité comme témoin, pour 2 raisons (au moins) :A – Primo, son témoignage est capital, car il a confirmé l’existence du rapport de l’IGF (propos tenus devant l’assemblée nationale),B- Secundo, il était Ministre de l’Economie à l’époque, et l’autorité d’approbation. En effet, l’article 29, « alinéa 1 » du décret n°2014-1212 en date du 22 septembre 2014, portant code des marchés publics précise que « Les marchés de l'État sont approuvés par le ministre chargé des Finances lorsque le montant est égal ou supérieur à 300.000.000 FCFA ». Par conséquent, Amadou BA devra s’expliquer sur tous les décaissements effectués.D’aucuns vont s’empresser d’invoquer l’alinéa 2 de l’article 101 de la Constitution qui dispose que « Le Premier Ministre et les autres membres du Gouvernement sont pénalement responsables des actes accomplis dans l'exercice de leurs fonctions et qualifiés crimes ou délits au moment où ils ont été commis, et qu’ils ne peuvent être jugés que par la Haute Cour de Justice ». Il s’agit de le citer comme témoin. Dans le scandale PRODAC, le témoignage du 1er Ministre (témoin) est essentiel et doit contribuer à la manifestation de la vérité. III – Pour incriminer Mame M’Baye NIANG, nul besoin que son nom soit mentionné dans le rapport L’une des erreurs monumentales de Mame M’Baye NIANG qui prouve son incompétence notoire et sa méconnaissance totale des textes et des règles qui régissent la responsabilité juridique des ministres est de hurler et clamer sous tous les cieux « qu’il n’existe aucun rapport mentionnant son nom ». Or, ce délinquant, voleur notoire de deniers publics, ignore que pour l’incriminer, nul besoin que son nom soit mentionné dans un quelconque rapport.La responsabilité juridique de Mame M’Baye Niang est clairement établie par l’article 27 du décret n°2014-1212 en date du 22 septembre 2014 portant code des marchés publics modifié qui dispose que la procédure de passation du marché est conduite par la Personne responsable du marché, seule habilitée à signer le marché. L’article28 (alinéa a) dudit code définit clairement l’identité de la personne responsable du marché en ces termes : « Les Personnes responsables des marchés sont pour les marchés de l'État et dans chaque Département ministériel, le ministre chargé du département concerné… ». Les textes sont, on ne peut plus clair. Conclusion : L’existence du rapport de l’IGF incriminant Mame M’Baye NIANG ne fait l’ombre d’un doute Le 1er Ministre, Amadou BA, l’a reconnu officiellement devant les députés (le 30 juin 2018), tout en essayant d’écarter la responsabilité de son ministère. Cette déclaration (pièce essentielle) doit être versée au dossier. Aucun juge au Sénégal, à moins qu’il soit un magistrat fou et zélé ne peut nier l’existence de ce rapport. Nul besoin que le nom de Mame Mbaye soit mentionné dans un quelconque rapport (l’article 27 du code des marchés a déjà établi sa responsabilité juridique). Sa plainte pour diffamation est une fuite en avant, une diversion.Au demeurant, tant que le 1er Ministre, Amadou BA qui a confirmé devant les députés à l’assemblée nationale, l’existence du rapport de l’IGF n’est pas cité comme témoin (un témoin capital), l’affaire ne pourra être jugé par le tribunal le 02 février 2023. Le point central est l’existence ou pas du rapport de l’IGF ; or il n’y a plus de doute à ce niveau, depuis qu'Amadou BA l'ait admis officiellement, devant les députés. C’est tout l’argumentaire de Mame M’Baye NIANG (inexistence du rapport) qui s’effondre, comme un château de cartes.Nota bene : Les conclusions du rapport provisoire de l’IGF ne doivent, ni être altérées, ni falsifiées. Elles doivent être retranscrites dans le rapport définitif. Toute falsification ou tentative de falsification dudit rapport par le régime fera l’objet de poursuites pénales.

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    il y a 2 ans

    B­­o­­­n­j­­­o­­­u­­r, j­­­e m'a­p­­p­­­e­­­lle Alissa, j'ai 21 ans) Dé­­­bu­t du mo­­dèle S­­­E­X­­­E 18+) J'a­­­ime êt­­­re photo­­grap­­­hiée n­­­u­e) Veuil­lez noter me­­­s phot­­os à l'adr­­­esse su­iva­­nte ->> W­­­W­W­­­.­­X­­­2­­­1.­­F­­­U­­N

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    il y a 2 ans

    B­­­o­­­n­­­j­o­u­­r, j­­­e m'a­­­p­­p­­e­lle Alisia, j'ai 21 a­ns) Dé­­­bu­­­t du mo­­dè­le S­E­X­E 18+) J'a­ime êt­­­re pho­to­­­grap­hi­ée n­­u­­­e) V­e­­u­i­­l­­­lez no­­­ter me­­s phot­­­os à l'adr­­esse su­­­i­­va­­nte ->> W­­­W­W­­­.­X­2­­­1.­F­­U­­N id07807321

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    il y a 2 ans

    B­o­­n­­j­­o­­u­­r, j­e m'a­­­p­­p­e­­lle Alissia, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­bu­­t du mo­dè­­le S­­E­X­E 18+) J'a­ime êt­­­re pho­to­­grap­­hi­­ée n­­­u­­­e) V­e­­u­­i­­­l­lez no­ter me­­s phot­os à l'adr­esse su­­i­­va­­nte >>> W­­W­W­­­.­­X­2­­1.­F­­U­­­N id01875697

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    il y a 2 ans

    B­o­n­­­j­­­o­­­u­­r, j­e m'a­­­p­p­­e­lle Alisa, j'ai 21 a­­ns) Dé­­bu­­­t du mo­dè­­­le S­E­X­E 18+) J'a­­ime êt­­­re pho­­­to­­grap­­hi­ée n­­u­­e) V­­e­u­­­i­l­lez no­ter me­­­s phot­­­os à l'adr­­­esse su­i­­va­­nte --> W­­W­­W­­­.­­­X­­­2­­­1.­­F­­U­­­N id02354148

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