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Wednesday 30 April, 2025
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Deux femmes se battent au couteau pour les beaux yeux d'un homme

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Une crise de jalousie a failli virer au meurtre. Une bagarre a opposé deux femmes qui se disputaient un homme.
A. Mbow, commerçante de son état, a attrait, hier, F. Faye à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires.
D'après le récit de Rewmi Quotidien, le jour des faits, la plaignante s'était rendue à l'atelier de M. Seck pour commander des chaussures à revendre avec les habits qu'elle confectionne.
Une fois sur place, elle a commencé à taquiner le sieur Seck comme à son habitude. Un vendeur de lunettes se présente et Seck a pris une paire qu'il voulait acheter.
Selon la plaignante, au moment d'essayer la paire de lunettes, Seck a demandé à sa copine F. Faye d'apprécier.
"Jalouse, cette dernière lui a demandé de s'adresser à moi comme je me réclame être sa seconde femme. J'ai dit à Seck que c'était joli et j'ai ignoré les propos de la nommée F. Faye. Car, je ne la connais pas et je ne veux pas causer de problème", a dit A. Mbow.
Et d'ajouter : "À ma grande surprise, la susnommée s'est levée et s'est jetée sur moi. Elle m'a rouée de violents coups et n'eut été les interventions de Bara et Sow le pire pouvait se produire. Ce sont ces derniers qui l'ont fait sortir de l'atelier".
Selon toujours les éléments discutés à la barre, F. Faye est revenue dans l'atelier et s'est emparée d'un couteau qui était sur la table avant de se jeter à nouveau sur la dame.
"Elle m'a entaillé la joue et j'ai levé ma main pour me protéger mais elle m'a coupé la main. Ainsi, j'ai commencé à perdre beaucoup de sang", insiste À. Mbow.
Le juge, qui a relaxé la mise en cause des délits de menaces de violence, l'a toutefois déclarée coupable de coups et blessures volontaires.
Pour la répression, le tribunal a infligé à la prévenue une peine d'un mois avec sursis et une amende de 300 000 Fcfa.
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    L'homme il y a 3 ans

    Gor  ndékété diaréna ni Sénégal ? Nooo, j'ai vraiment hâte de retourner au Sénégal, ma pésewat sama bop, lol.....

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    bella il y a 3 ans

    niak diom. depuis kan ça vaut la peine de se battre pour les prunelles d'un homme. une fois ce qu'il aura voulu, il vous jètera à la poubelle comme des chaussettes puantes

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    il y a 3 ans

    ARTICLE TOTALEMENT SANS INTERET

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    il y a 3 ans

    Holalma domeram yii Se battre comme des animaux,de surcroit pr une personne,rawatina goor ki nest ni tn pere ni ta mere  Yeeen solen gnibai senn leur jespere k dinegn leen gnouss baguen ngeun makk yu niak bopeu yinguene doon

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    Yép il y a 3 ans

    Yangui mèère dé hi hi hi

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    il y a 3 ans

    Qui a écrit cet article ?

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    il y a 3 ans

    Do Mermoz pour la paire de chiwawa "Soleil" ?

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    il y a 3 ans

    Pas pour les beaux yeux, mais pour la belle poche (ou les poches remplies) d'un homme !

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    il y a 3 ans

    Khana l'homme baise bien

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    Khoudjeu Gaz il y a 3 ans

    Non, non, les femmes ne se bagarrent pas toujours pour les hommes aux poches pleines, elles se bagarrent pour un homme TOUT COURT ! Na doone GAURR rek et personne ne supportera que l'homme qu'elle convoite soit complaisante avec une autre ! Si tu ne peux pas casser la gueule à ton mec tu fumes la meuf qui bloque ses paupières, mou djèkh …   

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    il y a 3 ans

    Désolé mais le titre n'a rien à voir avec les faits relatés ! Une femme fait une crise de jalousie et agresse une autre femme, c'est tout : un fait banal, quoi.

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    reply_author il y a 3 ans

    Souvent au collège voire au primaire on donne aux élèves un texte sans titre à charge pour eux d'en trouver un qui lui sied aprés lecture. Certains rédacteurs à seneweb n'ont certainement pas eu à faire ce genre d'exercices où ils étaient médiocres en la matière.  La plaignante est plutot une victime. A la lecture du texte elle n'avait pas de couteau. Si elles s'étaient infligées des blessures réciproques on auraient parlé de cbv réciproques et une condamnation pour chacune d'entre elles.

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    il y a 3 ans

    Histoire de borne-fontaine  Ancun intérêt 

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    reply_author il y a 3 ans

    Voir des femmes se battre pour toi, C’est nekh  Qyand j'etai étudiant à Paris, une néerlandaise et une malienne qui habitaient la même résidence universitaire que moi se sont férocement étripées pour passer la nuit avec moi.  Matisse peulhe et soninké Malienne bou pank té nekh. En fin de compte, j'ai fini par lâcher la toubab. Peulh bi mo ko gueunona saf foufe 

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