Le crime du muezzin lynché à mort dans un village situé à Pire sur instruction de l'imam ne sera pas impuni ! Les enquêteurs de brigade de gendarmerie de Tivaouane ont bouclé le dossier.
Ainsi les 12 présumés assassins de Bassirou Mbaye ont été déférés au parquet de Thiès, ce vendredi matin, pour association de malfaiteurs, meurtre avec préméditation, selon des sources de Seneweb.
L'imam commanditaire du crime et ses compères, dont le chef de village, sont actuellement dans la cave du tribunal de grande instance de la capitale du Rail. En effet, le maître des poursuites va confier ce dossier à un juge d'instruction qui devra envoyer en prison les présumés assassins du muezzin.
Pour rappel, le village de Dieyène, situé dans la commune de Pire, est sorti de son relatif anonymat d’une bien triste manière. Et pour cause, un muezzin a été lynché à mort pour avoir décidé de construire sa propre mosquée.
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Tout a commencé lorsque le muezzin a été accusé d'avoir volé une fenêtre au niveau de la mosquée de cette localité. Se sentant offensé, Bassirou Mbaye a décidé de ne plus fréquenter ce lieu de culte.
Il a, ainsi, entamé la construction de sa propre mosquée sur un terrain qu’il a acquis. Malheureusement pour lui, le sieur Mbaye s'est heurté à l’opposition farouche des notables du village.
La réunion nocturne pour liquider le muezzin
Selon des informations de Seneweb , des habitants ont organisé une réunion nocturne secrète au cours de laquelle l'imam a ordonné aux participants d'attaquer leur ex-muezzin.
Armés de bâtons, de machettes, entre autres armes, les assaillants ont décidé d’entreprendre une expédition punitive. Ainsi le muezzin a été battu à mort au sur le site même de la mosquée en construction. La scène de l'horreur a été filmée par un individu avec son smartphone.
Les présumés assassins de Bassirou Mbaye trahis par un smartphone
Suite à ce fait gravissime, les gendarmes ont débarqué sur les lieux du crime pour procéder au constat. Au cours de cette procédure judiciaire, les enquêteurs ont identifié les mis en causes suite à l'exploitation d’une vidéo amateur largement partagées sur les réseaux sociaux.
L'imam "commanditaire du crime" craque sur PV
Sans désemparer, les hommes en bleu ont arrêté 12 personnes dont l’imam et le chef du village. Entendu sur procès-verbal, l'imam a tenté de nier les faits dans un premier temps avant de craquer suite à sa confrontation avec les éléments en possession des enquêteurs.
Dans ses aveux, l'imam a confié qu'il est le commanditaire de cette attaque perpétrée contre le muezzin. Le chef suprême de la mosquée de ce village avait recommandé aux habitants du village d'aller s'opposer physiquement au projet de Bassirou Mbaye.
Auteur: Mor Mbaye CISSÉ
Comments
Probablement 20 ans de travaux forcés pour l imam et 10 à 15 ans pour les autres ! LOU KOFI JAAR ???? En attendant yaawmal khiyaam !
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
vraies valeurs de bledards dans les konneries...................avait il un Tshirt arc en ciel ? @mamadou.gardien.de.zoo
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
C’est une affaire rocambolesque, mêlant mines d’or clandestines, soupçon de chantage à la sextape et tensions diplomatiques, qui passionne – et révolte – les Ghanéens depuis début septembre. Celle de la magnat des mines Aisha Huang, surnommée par la presse locale la « Galamsey Queen » (en français, la « reine de l’extraction minière illégale ») et jugée cet automne devant la Cour criminelle spéciale d’Accra avec trois autres ressortissants chinois. Interpellée en septembre à Kumasi, cette femme de 47 ans est accusée d’exploitation illégale d’or et de bois à Bepotenten, dans le district central d’Amansie, en région Ashanti. Ce n’est pas la première fois qu’elle comparaît pour ce motif : arrêtée et jugée entre 2017 et 2018, Aisha Huang avait pu repartir en Chine en 2019 dans des circonstances floues. Le précédent procès, ouvert en mai 2017, s’était achevé dans la confusion après que le ministère de la justice eut retiré ses poursuites, en décembre 2018. Dans les rangs du gouvernement, sommé de rendre des comptes, une certaine cacophonie régnait à l’époque. Certains responsables assuraient aux journalistes qu’Aisha Huang avait été expulsée, d’autres qu’elle avait fui le pays. Le président Nana Akufo-Addo lui-même avait fini par admettre dans la presse qu’il n’en savait rien. C’est le ministre d’Etat Yaw Osafo-Maafo qui avait fini par évoquer une extradition vers Pékin, justifiant cette décision par les « excellentes relations diplomatiques entre le Ghana et la Chine », en tête des investissements directs étrangers dans le pays. « La principale entreprise qui contribue au développement du système d’infrastructures au Ghana est Sinohydro, une entreprise chinoise, avait-il alors rappelé dans la presse locale. C’est elle qui va nous aider à traiter notre bauxite et qui va nous fournir 2 milliards de dollars. » Et de conclure : « Derrière ces arrangements, d’autres choses se jouent en coulisses. Mettre [Aisha Huang] en prison ne résoudra pas nos problèmes économiques. » « Notre Etat a peur d’elle » Ces justifications laborieuses ont été exhumées ces dernières semaines par les internautes ghanéens, furieux du retour de la « Galamsey Queen » sur leur sol. Comment a-t-elle pu se procurer un visa et revenir au Ghana ? Dans la presse et sur les réseaux sociaux, le bruit court que la femme d’affaires aurait à sa disposition des sextapes impliquant plusieurs membres du gouvernement, qu’elle ferait chanter. Ou encore qu’elle se serait mariée à un mystérieux Ghanéen qui aurait pu lui procurer des papiers. Le bruit court qu’elle aurait à sa disposition des sextapes impliquant plusieurs membres du gouvernement « Le procureur général n’est plus le même qu’en 2018, donc on espère que celui-ci fera son travail jusqu’au bout, souffle une source ministérielle proche du dossier. Mais moi je n’y crois pas trop. Le procureur général est nommé par le gouvernement… et le gouvernement, lui, n’a pas changé. » « Notre Etat a peur d’elle, affirme le militant et caricaturiste Bright Ackwerh, qui croque les pontes chinois et ghanéens d’une même plume acerbe. Nos dirigeants se retrouvent dans un marasme qu’ils ont eux-mêmes créé. Ils ont perdu la confiance de la population avec leurs mensonges éhontés en 2018, cette même population qui assiste en première ligne aux dégâts environnementaux de l’extraction minière illégale. » Car cette dernière, exercée hors de tout contrôle, pollue le sol et l’eau des régions exploitées, en particulier dans le cas des mines d’or, qui emploient d’énormes quantités de mercure ensuite déversées dans les rivières. Des répercussions dont les chercheurs d’or chinois sont accusés d’être au mieux inconscients, au pire indifférents, et qui sont à l’origine d’un sentiment antichinois grandissant dans les régions les plus affectées du Ghana. Des habitants expulsés « Il n’y a pas que la question du respect de nos terres, il y a aussi celle du respect de nos droits humains, précise le professeur Raymond A. Atuguba, doyen de la faculté de droit de l’Université du Ghana, qui creuse le sujet depuis 2017. Dans le galamsey, mais aussi dans d’autres secteurs d’activité au Ghana, les Chinois sont souvent critiqués pour la manière dont ils traitent les travailleurs locaux. » En 2020, l’ONG Environmental Justice Foundation alertait ainsi sur les conditions de travail des équipages ghanéens employés sur les chalutiers chinois, astreints à des cadences intenables, privés d’eau potable et parfois même passés à tabac. Derniers exemples en date : la tentative de meurtre présumée d’un certain Isaac Boateng, le 29 septembre, qui aurait été égorgé par son employeur chinois, directeur de l’entreprise de travaux Paulichenda Engineering, pour avoir réclamé les salaires impayés de son équipe. Puis, le lendemain à Talensi (nord), l’annonce de l’éviction de mineurs ghanéens qui avaient refusé de céder leurs terres à la société minière Shaanxi, liée à l’Etat chinois. Le gouvernement ghanéen, qui avait approuvé les plans d’expansion de la mine, y a envoyé l’armée pour expulser les habitants des parcelles disputées. Autant d’ombres au tableau de l’amitié sino-ghanéenne si souvent vantée par les autorités. « Plus la colère monte, plus le peuple réclame des sanctions, conclut Raymond A. Atuguba. Lorsque nos dirigeants ne peuvent pas prendre les mesures nécessaires, leur autorité est compromise. Et si leur autorité est compromise, alors notre souveraineté est menacée. »
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Il faut dire l ex imam c esst un criminel éégoiste aigri qui lynche à mort un. bâtisseur de mosqué. Il faut commencer à imposer la transparence dans nos mosqués car l enjeeu des donations attirent l opportunisme de certains larrons des quartiers
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Il n'y a plus de travaux forcés dans la législation sénégalaise
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Imam bouy woté raye tabakh-katou diaka, loumouy wakh Yallah kérok
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