Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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il y a 48 secondes (23:43 PM)
Sonko a rencontré Salif Sadio. Sonko a Refusé de condamner l'assassinat de soldats sénégalais par Salif Sadio. Il a Attaqué les jambars au Mali. Sonko a déposé plainte contre des gradés de son pays. Sonko a réclamé une monnaie autonome pour la Casamance.
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On commence à en avoir marre de ce feuilleton.
je l'ai soutenu au début mais là stop il alimente sans cesse le feu avec des provocations .
j'ai d'autres préoccupations que de me battre pour la carrière de quelqu'un d'autre
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Bonjour à tous les visiteurs de ce site, mon nom est Josephine, je vis en France, je suis venu faire un témoignage pour le travail bienfait du Maître TOSSA. J'ai fais la connaissance de mon homme, il y a un bout de temps on a passé de bon temps ensemble jusqu'à ce qu'un jour mon mari m'a quitté juste qu'il a rencontré une autre femme, je me suis demandé ce qui n'allait pas j'étais vraiment inquiète de cette brusque séparation, je n'en pouvais plus supporter son absence, je l'ai envoyé de message et plusieurs appels mais sans aucune réponse et finalement il m'a bloquer sur son téléphone.
J'ai décidé de parlé de ma situation à une amie qui m'a conseillé cet homme de coeur Maître TOSSA. J'ai pris contact avec ce maître et je lui ai expliqué la situation que je traverse puis il m'a promis de m'aider avec un rituel de retour d'affection immédiat pour faire revenir mon homme. On a commencé le travail et j'ai suivi toute les instructions du maître et en quelque jours mon mari s'est séparé de la femme puis revenir me confesser . je peux vous confirmer que actuellement mon mari est revenu à la maison et tout se passe bien. Pour finir Je vous conseille ce maître spirituel qui est un homme de confiance et très compréhensible. Merci beaucoup maître Tossa . Vous pouvez lui faire confiance dans tous vos problèmes de vie ou de couple . Son téléphone est +22 9 97 638 657 joignable sur whatsapp ou son
E-mail : info.maitre.tossa@gmail.com . Vous pouvez visiter son
SiteWeb :https://maraboutvaudourapide.wixsite.com/occulte ou https://retour-affectif.hubside.fr/
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Le Sénégal traverse actuellement une période charnière de son histoire. Deux camps se font face : l'un veut et à intérêt à la conservation du pouvoir dans sa forme actuelle, l'autre en a ras de bol de de se sentir à la marge et de croupir dans la misère et le désespoir.
Le premier camp comprend tous ceux qui profitent du système : les politiciens au pouvoir, les élites, les marabouts et tous leurs suplétifs au niveau intellectuel si bas qu'ils peuvent se faire manipuler même si c'est contraire à leurs intérêts.
Le second camp comprends tous les damnées de cette terre : les jeunes, les paysans, les laissers pour compte, bref plus des deux tiers de la population.
Ce régime libéral a complètement détruit de par son comportement, la démocratie et l'idée même de nation sénégalaise. L'équilibre entre les trois pouvoirs (exécutif, législati et judidiciare) qui est le fondement de la démocratie a été complétement et irrémédiablement détruit.
La justice est à terre et les magistrats ont vendus leur libverté et leur honneur et est à la solde du pouvoir qui commande et désigne qui doit être arrêté et mis en prison.
Le parlement est devenu une arêne où des incultes et des ignorant passent leurs temps à s'invectiver et à louer les louanges du président de la république. Une grande majorité des députés ne savent même pas lire et ne sont présents dans l'émicycle que de la volonté du président de la république. Situation désastreuse quand on sait que les députés sont là pour représenter le peuple, élaborer les lois et surtout contrôler l'action du gouvernement.
La justice : n'en parlons même pas car on a atteint les abimes de la décadence, de l'injustice et de la corruption.
La presse s'est prostitué au plus offrants. Des journaleux de salon passent leurs temps à débattre et à s'auto censurer et ne font que mentir ou servir la propagande du pouvoir et de ceux qui les financent.
Fort de ce constat, le choix qui est laissé à la nation et au peuple est binaire. Laisser ce système perdurer entre les mains des prédateurs qui nous dirrigent ou balayer toute cette ordure et reprendre notre avenir ensemble pour batir un sénégal plus juste, plus égalitaire.
Il est évident que dans cette lutte, le camp d'en face ne se laissera pas faire. Tous ceux qui défendent ce pouvoir infiné ne font que défendre leurs intérêts. La plupart d'entre eux n'ont aucune légitimité démocratique et ne doivent leurs privilèges que par le maintien du pouvoir en place.
Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de raison d'espérer. Nous avons toujours eu une mentalité d'esclave et de dominés. Aussi loin qu'on peut remonter dans notre histoire, nous avons toujours été dominés et exploités. D'abord par les arables qui nous ont esclavagisé et imposé leur religion, les europééens qui nous ont déportés comme esclave au-delà des océans, les même qui nous colonisés, les même qui nous ont offert une pseudo indépendance sur la base du maintien de leurs intérêts et qui ont placé au pouvoir des pantins comme président, les mêmes qui reviennent en force pour exploiter nos richesses naturelles, les mêmes qui nous vendent des armes pour nous entetuer, les nouveau maitres chinois, russes, turcs qui viennent nous exploiter.
La balle est dans le camp des jeunes. Toute révolution fait malheureusement des victimes mais c'est la seule voie de libération pour les peuples oprimés.
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Le Sénégal traverse actuellement une période charnière de son histoire. Deux camps se font face : l'un veut et à intérêt à la conservation du pouvoir dans sa forme actuelle, l'autre en a ras de bol de de se sentir à la marge et de croupir dans la misère et le désespoir.
Le premier camp comprend tous ceux qui profitent du système : les politiciens au pouvoir, les élites, les marabouts et tous leurs suplétifs au niveau intellectuel si bas qu'ils peuvent se faire manipuler même si c'est contraire à leurs intérêts.
Le second camp comprends tous les damnées de cette terre : les jeunes, les paysans, les laissers pour compte, bref plus des deux tiers de la population.
Ce régime libéral a complètement détruit de par son comportement, la démocratie et l'idée même de nation sénégalaise. L'équilibre entre les trois pouvoirs (exécutif, législati et judidiciare) qui est le fondement de la démocratie a été complétement et irrémédiablement détruit.
La justice est à terre et les magistrats ont vendus leur libverté et leur honneur et est à la solde du pouvoir qui commande et désigne qui doit être arrêté et mis en prison.
Le parlement est devenu une arêne où des incultes et des ignorant passent leurs temps à s'invectiver et à louer les louanges du président de la république. Une grande majorité des députés ne savent même pas lire et ne sont présents dans l'émicycle que de la volonté du président de la république. Situation désastreuse quand on sait que les députés sont là pour représenter le peuple, élaborer les lois et surtout contrôler l'action du gouvernement.
La justice : n'en parlons même pas car on a atteint les abimes de la décadence, de l'injustice et de la corruption.
La presse s'est prostitué au plus offrants. Des journaleux de salon passent leurs temps à débattre et à s'auto censurer et ne font que mentir ou servir la propagande du pouvoir et de ceux qui les financent.
Fort de ce constat, le choix qui est laissé à la nation et au peuple est binaire. Laisser ce système perdurer entre les mains des prédateurs qui nous dirrigent ou balayer toute cette ordure et reprendre notre avenir ensemble pour batir un sénégal plus juste, plus égalitaire.
Il est évident que dans cette lutte, le camp d'en face ne se laissera pas faire. Tous ceux qui défendent ce pouvoir infiné ne font que défendre leurs intérêts. La plupart d'entre eux n'ont aucune légitimité démocratique et ne doivent leurs privilèges que par le maintien du pouvoir en place.
Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de raison d'espérer. Nous avons toujours eu une mentalité d'esclave et de dominés. Aussi loin qu'on peut remonter dans notre histoire, nous avons toujours été dominés et exploités. D'abord par les arables qui nous ont esclavagisé et imposé leur religion, les europééens qui nous ont déportés comme esclave au-delà des océans, les même qui nous colonisés, les même qui nous ont offert une pseudo indépendance sur la base du maintien de leurs intérêts et qui ont placé au pouvoir des pantins comme président, les mêmes qui reviennent en force pour exploiter nos richesses naturelles, les mêmes qui nous vendent des armes pour nous entetuer, les nouveau maitres chinois, russes, turcs qui viennent nous exploiter.
La balle est dans le camp des jeunes. Toute révolution fait malheureusement des victimes mais c'est la seule voie de libération pour les peuples oprimés.
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
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On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ?
Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche.
Mais malheureusement il n'en est rien.
En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne.
Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction.
En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ?
Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé.
Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit.
Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller.
Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie.
Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition.
La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
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On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ?
Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche.
Mais malheureusement il n'en est rien.
En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne.
Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction.
En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ?
Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé.
Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit.
Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller.
Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie.
Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition.
La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ?
Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche.
Mais malheureusement il n'en est rien.
En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne.
Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction.
En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ?
Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé.
Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit.
Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller.
Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie.
Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition.
La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ?
Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche.
Mais malheureusement il n'en est rien.
En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne.
Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction.
En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ?
Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé.
Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit.
Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller.
Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie.
Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition.
La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
TERRORISE !!!
Le nouveau mot magique utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse.
Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à tout bout de champs.
Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime.
Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène.
La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à accepter la répression du pouvoir.
Sous ce chef d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve.
Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement.
La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à carreau.
Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à l'aide de ce mot magique TERRORISME.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
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TERRORISE !!!
Le nouveau mot magique utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse.
Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à tout bout de champs.
Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime.
Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène.
La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à accepter la répression du pouvoir.
Sous ce chef d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve.
Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement.
La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à carreau.
Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à l'aide de ce mot magique TERRORISME.
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Il n'y a rien à saluer.
Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte.
La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles.
Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste.
En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles.
Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie.
Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat.
Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz.
Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé.
La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus.
La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes.
Voila le bilan de ce pouvoir libéral.
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pour
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a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
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Il n'y a rien à saluer.
Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte.
La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles.
Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste.
En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles.
Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie.
Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat.
Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz.
Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé.
La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus.
La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes.
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Il n'y a rien à saluer.
Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte.
La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles.
Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste.
En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles.
Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie.
Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat.
Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz.
Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas.
Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé.
La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus.
La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes.
Voila le bilan de ce pouvoir libéral.
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Un jeune a ete tue a Nanterre (France ) et les jeunes de la population se sont revoltes et dans leur colere ont brule toute la ville. Quand des jeunes manifestent leur colere dans la rue, partout dans le monde, il y a des incendies, des casses et des pillages. Ceci est vrai en France, c’est vrai aux USA, c’est vrai en Angleterre, tout comme c’est vrai au Senegal.
La difference est qu’ailleurs ce pillage n’est pas une raison pour tuer les jeunes , alors qu’au Senegal les forces de l’ordre tuent les jeunes simplement parcequ’ils manifestent leur colere , tout simplement parceque cette manifestation entraine des pillages. Comme si les magasins pilles sont plus importants que les vies des dizaines de senegalais.
En France toute la ville a ete brulee parceque la police a tue un seul jeune. Parcontre au Senegal, les forces de l’ordre ont tue plus d’une cinquantaine et ont blesse des centaines de jeunes, et les autorites politiques ne se soucient que des pillages. Mais le plus alarmant c’est de constater que la population ne se revolte pas apres une centaine de morts depuis 2021. La population ne se revolte pas parceque l’Etat a envoye ses faucons au niveau de toutes les tele “collabo” pour lancer ce message lache de “ Fi Kou Fi deh, yaye perte”.
“ Fi kou fi deh, yaye perte”
C’est le language de lachete qu’avaient tenu certains de nos arrieres grand-parents quand le negrier blanc etait venu capturer et rendre esclaves leurs freres noirs. Ces laches ont refuse de se battre, ont refuse de se revolter et ont refuse de se rebeller. Chacun preferant chercher comment sauver sa tete. Cette lachete a dure presque 400 ans .Le resultat est que des millions d’africains on ete captures et vendus comme esclaves dans les Ameriques et a cause de cette triste histoire, les africains sont aujourdhui le peuple le plus meprise sur cette terre.
Apres l’esclavage, ce fut la colonization. Quand l’armee coloniale est arrivee, certains de nos grand-parents ont encore tenu le meme language de lachete: “ Fi Kou fi deh, yaye, perte” Ces laches ont prefere collaborer avec le colon que de se rebeller , que de se revolter, que de faire face a l’ennemi. Ceux qui ont ose se rebeller contre le pouvoir colonial on ete ou assassins ou deportes ( Samori, Serigne Touba, Aline Sitoe, Etc….). Il se dit qu’il y avait meme des collaborateurs informateurs dans le milieu proche de Serigne Touba qui rapportaient tous ces faits et gestes aux colons.
“ Fi Kou fi deh, yaye, perte” c’est ce que disaient les laches quand la police coloniale etait venue chercher Ahmadou Bamba pour l’arreter et ensuite le deporter. Dites moi combien de senegalais sont morts en se battant contre l’arrestation et la deportation de Ahmadou Bamba. Zero !!!! Tous les laches autour de lui ont dit ceci “ Fi Kou fi deh, yaye, perte”.
Les enfants et petit-fils de ces laches qui n’ont pas eu le courage de donner leurs vies pour defendre Serigne Touba, ne vont certainement donner leur sueur pour proteger Sonko.
D’autres laches avaient simplement prefere integrer l’armee coloniale pour se battre contre leurs freres africains et les tuaient comme des mouches parceque l’armee colonial avait la suporiorite materielle. Cette lachete a permis une penetration coloniale rapide et sanglante. Ces laches qui n’ont pas eu le courage de defendre leur patrie et leur people ont permis et facilite la colonization, l’humiliation et l’exploitation des peoples africains.
Apres les independances, quand le pouvoir neo-coloniale a orchestre un faux coup d’etat pour mettre fin au reve de Mamadou Dia de faire du Senegal une nation independante, souveraine et prospere, Nos laches peres ont encore dit la meme chose; “ Ki Kou fi deh, yaye perte” Ils venaient encore une fois de rater une occasion d’entrer dans l’histoire de l’humanite.
Il est triste de constater que les petits fils de laches, disent encore la meme chose aujourdhui : ” Fi Kou Fi deh , yaye perte” .
Et pourtant , nous avons deja tout perdu: notre dignite, nos resources, notre independence, meme notre liberte de choisir nos dirigeants.
Depuis plus de 600 ans que les africains baissent la tete et en silence acceptent un sort qui les accable parcequ’ils refusent de se battre , parceque’ ils preferent le samblant de paix dans l’injustice, parcequ’ils preferent etre soumis a un ordre etabli qui les rend chaque jour plus pauvres, ou tout simplement parceque comme ils le disent avec une lachete d’une simplicite effrayante: “ Fi kou deh, yaye perte” . Tous les peuples du monde se sont battus pour leur souverenaite, pour leur dignite, pour leur liberte, pour leur prosperite .
Au Senegal , aujourdhui le pouvoir est accapare par une mafia avec a sa tete Pablo Escobar Sall. Cette mafia utilize l’appareil d’etat, et la justice pour s’enrichir au detriment du people. Quand un honnete juge demissione de la justice parceque affirme t-il “cette justice a demissione” . C’est un devoir urgent de faire face et d’enlever Macky et sa mafia du pouvoir. Comme toute mafia, une mafia ne peut etre combattue que par la force. Seul un soulevement populaire total et violent peut enlever Macky et ses maquisard du pouvoir. Et ce soulevement doit se faire tout de suite et maintenant. Il faut etre dupe pour penser que les elections de 2024 seront transparentes et domocratiques. Aussi longtemps que Macky organisera des elections presidentielles, il va toujours tricher pour les remporter.
Il n’y a rien a attendre de 2024, donc le changement doit se faire maintenant.
La generation senegalaise actuelle est grace a la magie de l’internet beaucoup plus consciente des enjeux et des defis du monde actuel. Ils sont prets pour relever ces defis. Mais pour cela ils doivent d;abord prendre le pouvoir et par TOUS LES MOYENS NECESSAIRES ET LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. Et je vais finir par rappeller ce que disait fierement feu Sidy lamine Niass: ” Seule une revolution totale peut changer definitevement notre pays le Senegal”
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Comments
conflit constructif....conflit destructif.......droit divinatoire, d'où nous viennent ces 5 hurluberlus? Vous vous adressez à un auditoire à l'esprit grossier?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
sonko est le mal du senegal
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Reply_author il y a 48 secondes (23:43 PM) Sonko a rencontré Salif Sadio. Sonko a Refusé de condamner l'assassinat de soldats sénégalais par Salif Sadio. Il a Attaqué les jambars au Mali. Sonko a déposé plainte contre des gradés de son pays. Sonko a réclamé une monnaie autonome pour la Casamance.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
On commence à en avoir marre de ce feuilleton. je l'ai soutenu au début mais là stop il alimente sans cesse le feu avec des provocations . j'ai d'autres préoccupations que de me battre pour la carrière de quelqu'un d'autre
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Arrete tes mensonges !!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bonjour à tous les visiteurs de ce site, mon nom est Josephine, je vis en France, je suis venu faire un témoignage pour le travail bienfait du Maître TOSSA. J'ai fais la connaissance de mon homme, il y a un bout de temps on a passé de bon temps ensemble jusqu'à ce qu'un jour mon mari m'a quitté juste qu'il a rencontré une autre femme, je me suis demandé ce qui n'allait pas j'étais vraiment inquiète de cette brusque séparation, je n'en pouvais plus supporter son absence, je l'ai envoyé de message et plusieurs appels mais sans aucune réponse et finalement il m'a bloquer sur son téléphone. J'ai décidé de parlé de ma situation à une amie qui m'a conseillé cet homme de coeur Maître TOSSA. J'ai pris contact avec ce maître et je lui ai expliqué la situation que je traverse puis il m'a promis de m'aider avec un rituel de retour d'affection immédiat pour faire revenir mon homme. On a commencé le travail et j'ai suivi toute les instructions du maître et en quelque jours mon mari s'est séparé de la femme puis revenir me confesser . je peux vous confirmer que actuellement mon mari est revenu à la maison et tout se passe bien. Pour finir Je vous conseille ce maître spirituel qui est un homme de confiance et très compréhensible. Merci beaucoup maître Tossa . Vous pouvez lui faire confiance dans tous vos problèmes de vie ou de couple . Son téléphone est +22 9 97 638 657 joignable sur whatsapp ou son E-mail : info.maitre.tossa@gmail.com . Vous pouvez visiter son SiteWeb :https://maraboutvaudourapide.wixsite.com/occulte ou https://retour-affectif.hubside.fr/
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Le Sénégal traverse actuellement une période charnière de son histoire. Deux camps se font face : l'un veut et à intérêt à la conservation du pouvoir dans sa forme actuelle, l'autre en a ras de bol de de se sentir à la marge et de croupir dans la misère et le désespoir. Le premier camp comprend tous ceux qui profitent du système : les politiciens au pouvoir, les élites, les marabouts et tous leurs suplétifs au niveau intellectuel si bas qu'ils peuvent se faire manipuler même si c'est contraire à leurs intérêts. Le second camp comprends tous les damnées de cette terre : les jeunes, les paysans, les laissers pour compte, bref plus des deux tiers de la population. Ce régime libéral a complètement détruit de par son comportement, la démocratie et l'idée même de nation sénégalaise. L'équilibre entre les trois pouvoirs (exécutif, législati et judidiciare) qui est le fondement de la démocratie a été complétement et irrémédiablement détruit. La justice est à terre et les magistrats ont vendus leur libverté et leur honneur et est à la solde du pouvoir qui commande et désigne qui doit être arrêté et mis en prison. Le parlement est devenu une arêne où des incultes et des ignorant passent leurs temps à s'invectiver et à louer les louanges du président de la république. Une grande majorité des députés ne savent même pas lire et ne sont présents dans l'émicycle que de la volonté du président de la république. Situation désastreuse quand on sait que les députés sont là pour représenter le peuple, élaborer les lois et surtout contrôler l'action du gouvernement. La justice : n'en parlons même pas car on a atteint les abimes de la décadence, de l'injustice et de la corruption. La presse s'est prostitué au plus offrants. Des journaleux de salon passent leurs temps à débattre et à s'auto censurer et ne font que mentir ou servir la propagande du pouvoir et de ceux qui les financent. Fort de ce constat, le choix qui est laissé à la nation et au peuple est binaire. Laisser ce système perdurer entre les mains des prédateurs qui nous dirrigent ou balayer toute cette ordure et reprendre notre avenir ensemble pour batir un sénégal plus juste, plus égalitaire. Il est évident que dans cette lutte, le camp d'en face ne se laissera pas faire. Tous ceux qui défendent ce pouvoir infiné ne font que défendre leurs intérêts. La plupart d'entre eux n'ont aucune légitimité démocratique et ne doivent leurs privilèges que par le maintien du pouvoir en place. Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de raison d'espérer. Nous avons toujours eu une mentalité d'esclave et de dominés. Aussi loin qu'on peut remonter dans notre histoire, nous avons toujours été dominés et exploités. D'abord par les arables qui nous ont esclavagisé et imposé leur religion, les europééens qui nous ont déportés comme esclave au-delà des océans, les même qui nous colonisés, les même qui nous ont offert une pseudo indépendance sur la base du maintien de leurs intérêts et qui ont placé au pouvoir des pantins comme président, les mêmes qui reviennent en force pour exploiter nos richesses naturelles, les mêmes qui nous vendent des armes pour nous entetuer, les nouveau maitres chinois, russes, turcs qui viennent nous exploiter. La balle est dans le camp des jeunes. Toute révolution fait malheureusement des victimes mais c'est la seule voie de libération pour les peuples oprimés.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le Sénégal traverse actuellement une période charnière de son histoire. Deux camps se font face : l'un veut et à intérêt à la conservation du pouvoir dans sa forme actuelle, l'autre en a ras de bol de de se sentir à la marge et de croupir dans la misère et le désespoir. Le premier camp comprend tous ceux qui profitent du système : les politiciens au pouvoir, les élites, les marabouts et tous leurs suplétifs au niveau intellectuel si bas qu'ils peuvent se faire manipuler même si c'est contraire à leurs intérêts. Le second camp comprends tous les damnées de cette terre : les jeunes, les paysans, les laissers pour compte, bref plus des deux tiers de la population. Ce régime libéral a complètement détruit de par son comportement, la démocratie et l'idée même de nation sénégalaise. L'équilibre entre les trois pouvoirs (exécutif, législati et judidiciare) qui est le fondement de la démocratie a été complétement et irrémédiablement détruit. La justice est à terre et les magistrats ont vendus leur libverté et leur honneur et est à la solde du pouvoir qui commande et désigne qui doit être arrêté et mis en prison. Le parlement est devenu une arêne où des incultes et des ignorant passent leurs temps à s'invectiver et à louer les louanges du président de la république. Une grande majorité des députés ne savent même pas lire et ne sont présents dans l'émicycle que de la volonté du président de la république. Situation désastreuse quand on sait que les députés sont là pour représenter le peuple, élaborer les lois et surtout contrôler l'action du gouvernement. La justice : n'en parlons même pas car on a atteint les abimes de la décadence, de l'injustice et de la corruption. La presse s'est prostitué au plus offrants. Des journaleux de salon passent leurs temps à débattre et à s'auto censurer et ne font que mentir ou servir la propagande du pouvoir et de ceux qui les financent. Fort de ce constat, le choix qui est laissé à la nation et au peuple est binaire. Laisser ce système perdurer entre les mains des prédateurs qui nous dirrigent ou balayer toute cette ordure et reprendre notre avenir ensemble pour batir un sénégal plus juste, plus égalitaire. Il est évident que dans cette lutte, le camp d'en face ne se laissera pas faire. Tous ceux qui défendent ce pouvoir infiné ne font que défendre leurs intérêts. La plupart d'entre eux n'ont aucune légitimité démocratique et ne doivent leurs privilèges que par le maintien du pouvoir en place. Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de raison d'espérer. Nous avons toujours eu une mentalité d'esclave et de dominés. Aussi loin qu'on peut remonter dans notre histoire, nous avons toujours été dominés et exploités. D'abord par les arables qui nous ont esclavagisé et imposé leur religion, les europééens qui nous ont déportés comme esclave au-delà des océans, les même qui nous colonisés, les même qui nous ont offert une pseudo indépendance sur la base du maintien de leurs intérêts et qui ont placé au pouvoir des pantins comme président, les mêmes qui reviennent en force pour exploiter nos richesses naturelles, les mêmes qui nous vendent des armes pour nous entetuer, les nouveau maitres chinois, russes, turcs qui viennent nous exploiter. La balle est dans le camp des jeunes. Toute révolution fait malheureusement des victimes mais c'est la seule voie de libération pour les peuples oprimés.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ? Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche. Mais malheureusement il n'en est rien. En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne. Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction. En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ? Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé. Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit. Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller. Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie. Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition. La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ? Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche. Mais malheureusement il n'en est rien. En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne. Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction. En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ? Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé. Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit. Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller. Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie. Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition. La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ? Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche. Mais malheureusement il n'en est rien. En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne. Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction. En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ? Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé. Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit. Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller. Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie. Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition. La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
On se demande comment au Sénégal, un président en fin de mandat, qui ne peut pas se représenter et à qui il ne reste que six mois pour passer le relais à un successeur, peut s'arroger le droit de décider qui pourra se présenter aux prochaines élections non seulement dans son camp, mais également dans les autres partis politiques d'opposition ? Dans la logique, durant cette courte période qui lui reste, il devrait perdre une bonne partie de son autorité car la fin des prérogatives que la constitution lui est proche. Mais malheureusement il n'en est rien. En fait le président tient son camp car c'est lui qui dispose des fonds politiques nécessaire pour acomplir une campagne électorale dans un pays où le clientélisme est de rigueur. Tout candidat de son camp qui oserait se présenter sans sa bénédiction se verra priver des fonds nécessaires à l'acomplissement d'une campagne. Donc tout le monde se tient à carreau en espérant sa bénédiction. En ce qui concerne l'apposition, nottemment le Pastef, le problème c'est la justice. Quand un ministre de la justice, par ailleurs professeur de droit ose venir affirmer que la condamnation par contumance de Ousmane Sonko est toujours d'actualité alors que le concerné est en prison entre leurs mains, on se demande dans quel pays on est ? Sans être agrégé de droit, tout le monde sait que la condamnation par contumance est relative à un inculpé qui a disparu et dont on ne sait pas où il se trouve. Le jour où on lui mettra la main dessus, quelqu'en soit la motif, la contumance tombe automatiquement et l'inculpé devra être rejugé. Qu'un ministre de la jutice ose affirmer le contraire prouve de manière irréfutable qu'on n'est vraiment pas dans un pays de droit. Ce gouvernement est maitre dans le mensonge sans sourciller. Quand il avait affirmé que Juan Branco avait fait l'objet d'un mandat d'arrêt international, c'était un mensonge. Il suffit d'aller vérifier sur le fichier interpole des personnes ayant fait l'objet d'un mandat d'arrêt (https://www.interpol.int/fr/Notre-action/Notices/Notices-rouges/Voir-les-notices-rouges) pour s'apercevoir du mensonge. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Il a compléetement détruit la justice. Il a complétement détruit le respect que la grande majorité des sénégalais avait envers les chefs religieux. Il a politisé la hautre fonction public, la police et la gendarmerie. Au niveau internationnal, ce régime a détruit l'image positive du Sénégal dans une Afrique en plein ébulition. La situation est gravissime mais malheureusement la population n'en a pas conscience.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
TERRORISE !!! Le nouveau mot magique utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse. Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à tout bout de champs. Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime. Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène. La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à accepter la répression du pouvoir. Sous ce chef d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve. Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement. La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à carreau. Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à l'aide de ce mot magique TERRORISME.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
TERRORISE !!! Le nouveau mot magique utilisé par le pourvoir pour réprimer ses opposants, terroriser la polulation et museler la justice et la presse. Pour justifier son incurie, tenter de rester au pouvoir, le pouvoir sort l'accusatioin de terrorisme à tout bout de champs. Comme c'est une qualification pénale, le procureur peut immédiatement demander l'incacération sans limite de durée et ainsi neutralier la possibilité pour le juge de libérer les individus accués de ce crime. Le pouvoir va maintenant nous fabriquer des sénarios imaginaires de terrorisme chaque fois qu'il aura envie de neutraliser une personne qui la gène. La presse va immédiatement s'en saisir comme d'une vérité biblique et amplifier la nouvelle pour faire peur à la population et l'amener à accepter la répression du pouvoir. Sous ce chef d'accusation, n'importe qui pourra se retrouver du jour au lendemain en prison pour de longs mois sans aucun jugement et sans aucune preuve. Il est ainsi facile pour le pouvoir d'anoncer des actes prétendus de préparation de terrorismes, de fabriquer et d'exiber de fausses preuves, de les coller à des opposants ou des personnes qui essayent d'aclairer la population pour s'en débarasser définitivement. La situation est gravissime et les liberté sont menacées dans ce pays. Le mot TERRORISME est devenu l'arme ultime à la disposition du pouvoir pour museler les libertés et tenir la population à carreau. Désormais, tous les jours, un nouvel sénario sera puibliè. Tous les opposants qui gènent et particulièrement tout membre ou sympatisant du PASTEF sera neutralisé à l'aide de ce mot magique TERRORISME.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il n'y a rien à saluer. Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte. La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles. Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste. En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles. Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie. Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat. Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz. Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé. La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus. La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes. Voila le bilan de ce pouvoir libéral.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il n'y a rien à saluer. Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte. La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles. Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste. En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles. Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie. Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat. Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz. Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé. La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus. La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes. Voila le bilan de ce pouvoir libéral.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il n'y a rien à saluer. Ce dictateur a simplement cédé sur la pression de la rue et de l'opinion internationale. Il n'a pas du tout renoncé à contrôler le pouvoir même de manière indirecte. La preuve est qu'à ce jour, on n'est pas en mesure de dire avec certitude qui participera aux prochaines élections présidentielles. Dans son camp, ils tient tout le monde en otage car c'est lui qui détient les cordons de la bourse et tout le monde sait que dans ce pays, en dehors de Ousmane Sonko dont les militants et les sympatisants sont prêts à mettre la main à la poche, aucune autre candidat ne peut espérer gagner des élections sans débourser des milliards pour attirer un électorat clientéliste. En ce qui concerne l'oposition, il vient de neutraliser la seule alternative crédible à savoir Ousmane Sonko et le Pastef. Tous les autres ne sont pas en mesure de gagner des élections présidentielles. Donc féliciter ce fléau de président c'est soit meconnaitre la réalité du champs politique sénégalais soit jouer à l'hypocrisie. Maintenant que Sonko est neutralisé, tous les charognards lorgent sur son potentiel électorat. Ecoutez la radio et la télévision de Bougane, ces talibés de journalistes vantent maintenant les mérites de Ousmane Sonko dans l'espoir d'attirer son électorat. Khalifa Sall a définitivement revêtu l'habit du traitre avec son "dougourou" Barthélémy Diaz. Idrassa Seck, cette hyenne champion du retournement de veste, n'en parlons même pas. Ce régime a complétement détruit la démocratie sénégalaise. Le paysage politique est complétement chamboulé. La justice est dans le caniveau. La presse est pourrie. Les marabouts sont corrompus. La jeunesse est abandonnée et n'a plus aucun espoir si ce n'est de prendre des pirogues pour une destination incertaine, ou d'aller soit crever dans le déser ou devenir esclave au pays des arabes. Voila le bilan de ce pouvoir libéral.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Un jeune a ete tue a Nanterre (France ) et les jeunes de la population se sont revoltes et dans leur colere ont brule toute la ville. Quand des jeunes manifestent leur colere dans la rue, partout dans le monde, il y a des incendies, des casses et des pillages. Ceci est vrai en France, c’est vrai aux USA, c’est vrai en Angleterre, tout comme c’est vrai au Senegal. La difference est qu’ailleurs ce pillage n’est pas une raison pour tuer les jeunes , alors qu’au Senegal les forces de l’ordre tuent les jeunes simplement parcequ’ils manifestent leur colere , tout simplement parceque cette manifestation entraine des pillages. Comme si les magasins pilles sont plus importants que les vies des dizaines de senegalais. En France toute la ville a ete brulee parceque la police a tue un seul jeune. Parcontre au Senegal, les forces de l’ordre ont tue plus d’une cinquantaine et ont blesse des centaines de jeunes, et les autorites politiques ne se soucient que des pillages. Mais le plus alarmant c’est de constater que la population ne se revolte pas apres une centaine de morts depuis 2021. La population ne se revolte pas parceque l’Etat a envoye ses faucons au niveau de toutes les tele “collabo” pour lancer ce message lache de “ Fi Kou Fi deh, yaye perte”. “ Fi kou fi deh, yaye perte” C’est le language de lachete qu’avaient tenu certains de nos arrieres grand-parents quand le negrier blanc etait venu capturer et rendre esclaves leurs freres noirs. Ces laches ont refuse de se battre, ont refuse de se revolter et ont refuse de se rebeller. Chacun preferant chercher comment sauver sa tete. Cette lachete a dure presque 400 ans .Le resultat est que des millions d’africains on ete captures et vendus comme esclaves dans les Ameriques et a cause de cette triste histoire, les africains sont aujourdhui le peuple le plus meprise sur cette terre. Apres l’esclavage, ce fut la colonization. Quand l’armee coloniale est arrivee, certains de nos grand-parents ont encore tenu le meme language de lachete: “ Fi Kou fi deh, yaye, perte” Ces laches ont prefere collaborer avec le colon que de se rebeller , que de se revolter, que de faire face a l’ennemi. Ceux qui ont ose se rebeller contre le pouvoir colonial on ete ou assassins ou deportes ( Samori, Serigne Touba, Aline Sitoe, Etc….). Il se dit qu’il y avait meme des collaborateurs informateurs dans le milieu proche de Serigne Touba qui rapportaient tous ces faits et gestes aux colons. “ Fi Kou fi deh, yaye, perte” c’est ce que disaient les laches quand la police coloniale etait venue chercher Ahmadou Bamba pour l’arreter et ensuite le deporter. Dites moi combien de senegalais sont morts en se battant contre l’arrestation et la deportation de Ahmadou Bamba. Zero !!!! Tous les laches autour de lui ont dit ceci “ Fi Kou fi deh, yaye, perte”. Les enfants et petit-fils de ces laches qui n’ont pas eu le courage de donner leurs vies pour defendre Serigne Touba, ne vont certainement donner leur sueur pour proteger Sonko. D’autres laches avaient simplement prefere integrer l’armee coloniale pour se battre contre leurs freres africains et les tuaient comme des mouches parceque l’armee colonial avait la suporiorite materielle. Cette lachete a permis une penetration coloniale rapide et sanglante. Ces laches qui n’ont pas eu le courage de defendre leur patrie et leur people ont permis et facilite la colonization, l’humiliation et l’exploitation des peoples africains. Apres les independances, quand le pouvoir neo-coloniale a orchestre un faux coup d’etat pour mettre fin au reve de Mamadou Dia de faire du Senegal une nation independante, souveraine et prospere, Nos laches peres ont encore dit la meme chose; “ Ki Kou fi deh, yaye perte” Ils venaient encore une fois de rater une occasion d’entrer dans l’histoire de l’humanite. Il est triste de constater que les petits fils de laches, disent encore la meme chose aujourdhui : ” Fi Kou Fi deh , yaye perte” . Et pourtant , nous avons deja tout perdu: notre dignite, nos resources, notre independence, meme notre liberte de choisir nos dirigeants. Depuis plus de 600 ans que les africains baissent la tete et en silence acceptent un sort qui les accable parcequ’ils refusent de se battre , parceque’ ils preferent le samblant de paix dans l’injustice, parcequ’ils preferent etre soumis a un ordre etabli qui les rend chaque jour plus pauvres, ou tout simplement parceque comme ils le disent avec une lachete d’une simplicite effrayante: “ Fi kou deh, yaye perte” . Tous les peuples du monde se sont battus pour leur souverenaite, pour leur dignite, pour leur liberte, pour leur prosperite . Au Senegal , aujourdhui le pouvoir est accapare par une mafia avec a sa tete Pablo Escobar Sall. Cette mafia utilize l’appareil d’etat, et la justice pour s’enrichir au detriment du people. Quand un honnete juge demissione de la justice parceque affirme t-il “cette justice a demissione” . C’est un devoir urgent de faire face et d’enlever Macky et sa mafia du pouvoir. Comme toute mafia, une mafia ne peut etre combattue que par la force. Seul un soulevement populaire total et violent peut enlever Macky et ses maquisard du pouvoir. Et ce soulevement doit se faire tout de suite et maintenant. Il faut etre dupe pour penser que les elections de 2024 seront transparentes et domocratiques. Aussi longtemps que Macky organisera des elections presidentielles, il va toujours tricher pour les remporter. Il n’y a rien a attendre de 2024, donc le changement doit se faire maintenant. La generation senegalaise actuelle est grace a la magie de l’internet beaucoup plus consciente des enjeux et des defis du monde actuel. Ils sont prets pour relever ces defis. Mais pour cela ils doivent d;abord prendre le pouvoir et par TOUS LES MOYENS NECESSAIRES ET LE PLUS RAPIDEMENT POSSIBLE. Et je vais finir par rappeller ce que disait fierement feu Sidy lamine Niass: ” Seule une revolution totale peut changer definitevement notre pays le Senegal”
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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