LE PLUS GRAND ET LE PLUS LONG SCANDALE AU SENEGAL EST ET RESTE LA SITUATION DES ENFANTS TALIBES.
Le Senegal est un pays de paradoxe. On y trouve des centaines d'organisations de defense de la femme mais aucune organisation de defense de l'enfant. Chaque jour des jeunes garcons talibes se font violes et abuses et par leurs maitres et par des tiers sans aucune reaction generale de la population et de la presse. Mais quand une "Miss Senegal" declare avoir ete violee toute la presse, et toutes les institutions sociales et judiciares du pays sont en alerte. C'est comme pour dire que la vie d'une " Miss" vaut celles de 10000 talibes. Pourquoi ceux qui financent toutes ces associations de defense de la femme ne creent pas ou ne financent pas des associations de defense des droits de l'enfant et des talibes. Pourquoi est ce que les senegalais en silence acceptent le triste opprimant sort des talibes. Si seulement on mettait un quart de toute l'energie, l'argent, le temps, la sensibilisation , la campagne, l'indignation consacres a defendre les femmes a la defense des talibes, ce probleme serait resolu depuis des decennies.
Un pays qui ne protege pas ses enfants et les laisse dans la rue et a la rue ne saurait proteger ses femmes.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Il ne faut pas monter les combats justes les uns contre les autres ! ce n'est la cause des femmes contre la cause des enfants !
Et il faut se poser les bonnes questions ! le problème des enfants talibés est prisonnier de l'idéologie de l'islam du sénégal.. Même les ténors de l'islam sénégalais n'ont pas suffisamment de couilles pour affirmer une position claire contre l'exploitation des talibés.. c'est le problème de l'Education familiale et de l'Education nationale...mêmes les hommes politiques sénégalais majoritairement musulmans n'osent pas affronter les marabouts sur cette question.... Il suffit de supprimer la mouvance talibé au sénégal pour sauver les enfants..
Le problème du viol des femmes est un problème universel d'un monde d'hommes construit par des hommes pour des hommes ; donc où la femme est un accessoire...le viol des femmes est une injure à nos mères ; c'est plus qu'un crime culturel; c'est un déni de la vie; c'est une profanation de nos mamans ! c'est très très grave... parce qu'il n'y a pas de solution à ce cancer autre que l'application de la manière la plus violente des lois criminalisant le viol... Pour cela , il faut une mobilisation planétaire ! il faut que les hommes avec les couilles soient conscientiser sur la saleté que représente ce crime là ... très différent des autres crimes....et qu'ils intégrent une fois pour toutes que lorsqu'ils commettent ce genre de crime ça va très mal finir pour eux...
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Ca peut commencer par toi. Cree une campagne de sensibilisation sur le sort des talibes, investi sur des messages publicitaires etautres panneaux publicitaires. Demande a parler a la radio, dans les reseaux sociaux. Si tu commences, je suis sure que les autres vont suivre
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le problème des talibés doit être réglé par un tribunal international. Au Sénégal, les talibés c'est un fonds de commerce appelé la traite des enfants , interdit et punie par les lois du monde entier....sauf au Sénégal. A en croire que la vie d'un enfant ne compte pas au Sénégal. Black children lives mater.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Mars 2009
La preuve vivante de notre lâcheté commune
-Ils sont très, trop jeunes, des bouts d’homme à peine nés
-ils vivent au pays du verbe où on s’émeut de tout et on se console dans la fatalité
-ils sont tombés (déportés) dans le monde du travail à peine sevrés
-ils ont comme tout bon travailleur des objectifs à atteindre enmoyenne 500F/jr
-ils encourent, pour objectif non atteint, pire que le licenciement:le matraquage
-ils parcourent pieds nus les rues dès 6 heures du matin
-ils ne retournent au hangar dortoir où ils s’entassent comme une volée de chauve-souris puantes qu’au delà de 24h quand il ne circule plus d’interlocuteur solvable
-ils survivent par groupe de 50 à 150 par exploitant qui n’ont d’autre activité que la collecte journalière de la dîme soit environ750.000 à 2.250.000F/mois
-ils appellent leur exploitant par l’illustre nom refuge de marabout ce qui confère à ceux-ci que des gamins entretiennent une certaine honorabilité
-ils ne jouissent ni de week-end ni de férié ni d’aucune sorte de congé
-ils mendient, arrachent, agressent, volent au passage et flirtent parfois avec la drogue
-ils se spécialisent ainsi dans d’autres domaines plus marginaux et constituent une pépinière pour la délinquance
-ils ne jouissent d’aucune sorte de rémunération
-Ils ne sont pas nourrit par leur exploitant, la pitance vient de la rue
-ils ne se douchent jamais et développent même une phobie de l’eau
-ils gardent toujours les mêmes haillons qui finissent par ressembler à du cuir
-ils ne jouissent d’aucune sorte de suivi médical
-ils ne bénéficient point de leur droit à l’éducation de base
-ils ne connaissent ni droit de l’homme ni code du travail
-leur vie parait avoir moins de valeur que celle d’un insecte
Nous sénégalais aimons vivre sous d'autres cieux et profiter du mieux être que d'autres peuples ont peiné à construire. Ne nous laissons pas obnubiler par la fatalité ce sont nos mauvais choix que nous attribuons au bon Dieu à travers le refrain "ndogalou yala" qui nous empêchent de progresser. Hors de chez soit on ne tarde jamais à percevoir dans le regard, le geste ou la parole de l'autre cet élément qui nous rappel qu'on restera toujours un étranger.
Ceci est un appel du cœur pour les talibés. Aimeriez-vous que votre enfant vive une telle misère? Bien évidemment non. SVP donnons leur à manger, à boire, de quoi se laver et se vêtir mais jamais de pièce ni de produits commercialisables car chaque centime déposé dans leur potde tomate est comme le titre de transport d’un nourrisson en attente de sevrage. Combattons ensemble l'inacceptable:
L’esclavage des tempsmodernes.
Un éleveur me disait un jour: «Regarde mon frère, quand les bras les plus vigoureux de la famille neutralisent un jeune taureau certains en tenant les cornes et d'autres en attachant les pattes, le petit dernier d'à peine quatre (4) ans vient tenir le bout de la queux de l'animal parce que d'instinct il se sent déjà le devoir de participer à l'effort collectif». Pourquoi ne faisons-nous pas comme ce petit dernier qui tient l'animal par là où il se sent capable de le tenir? Je veux dire que si juste nous évitons de donner de l’argent à ces gamins nous apportons déjà, à notre manière, une solution à ce problème sans avoir la prétention de tout régler. En d’autres termes laissons les cornes et les pattes à l’état et prenons les petits poils de la queue.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
- depuis Mars 2009 -
La preuve vivante de notre lâcheté commune
-Ils sont très, trop jeunes, des bouts d’homme à peine nés
-ils vivent au pays du verbe où on s’émeut de tout et on se console dans la fatalité
-ils sont tombés (déportés) dans le monde du travail à peine sevrés
-ils ont comme tout bon travailleur des objectifs à atteindre enmoyenne 500F/jr
-ils encourent, pour objectif non atteint, pire que le licenciement:le matraquage
-ils parcourent pieds nus les rues dès 6 heures du matin
-ils ne retournent au hangar dortoir où ils s’entassent comme une volée de chauve-souris puantes qu’au delà de 24h quand il ne circule plus d’interlocuteur solvable
-ils survivent par groupe de 50 à 150 par exploitant qui n’ont d’autre activité que la collecte journalière de la dîme soit environ750.000 à 2.250.000F/mois
-ils appellent leur exploitant par l’illustre nom refuge de marabout ce qui confère à ceux-ci que des gamins entretiennent une certaine honorabilité
-ils ne jouissent ni de week-end ni de férié ni d’aucune sorte de congé
-ils mendient, arrachent, agressent, volent au passage et flirtent parfois avec la drogue
-ils se spécialisent ainsi dans d’autres domaines plus marginaux et constituent une pépinière pour la délinquance
-ils ne jouissent d’aucune sorte de rémunération
-Ils ne sont pas nourrit par leur exploitant, la pitance vient de la rue
-ils ne se douchent jamais et développent même une phobie de l’eau
-ils gardent toujours les mêmes haillons qui finissent par ressembler à du cuir
-ils ne jouissent d’aucune sorte de suivi médical
-ils ne bénéficient point de leur droit à l’éducation de base
-ils ne connaissent ni droit de l’homme ni code du travail
-leur vie parait avoir moins de valeur que celle d’un insecte
Nous sénégalais aimons vivre sous d'autres cieux et profiter du mieux être que d'autres peuples ont peiné à construire. Ne nous laissons pas obnubiler par la fatalité ce sont nos mauvais choix que nous attribuons au bon Dieu à travers le refrain "ndogalou yala" qui nous empêchent de progresser. Hors de chez soit on ne tarde jamais à percevoir dans le regard, le geste ou la parole de l'autre cet élément qui nous rappel qu'on restera toujours un étranger.
Ceci est un appel du cœur pour les talibés. Aimeriez-vous que votre enfant vive une telle misère? Bien évidemment non. SVP donnons leur à manger, à boire, de quoi se laver et se vêtir mais jamais de pièce ni de produits commercialisables car chaque centime déposé dans leur potde tomate est comme le titre de transport d’un nourrisson en attente de sevrage. Combattons ensemble l'inacceptable:
L’esclavage des tempsmodernes.
Un éleveur me disait un jour: «Regarde mon frère, quand les bras les plus vigoureux de la famille neutralisent un jeune taureau certains en tenant les cornes et d'autres en attachant les pattes, le petit dernier d'à peine quatre (4) ans vient tenir le bout de la queux de l'animal parce que d'instinct il se sent déjà le devoir de participer à l'effort collectif». Pourquoi ne faisons-nous pas comme ce petit dernier qui tient l'animal par là où il se sent capable de le tenir? Je veux dire que si juste nous évitons de donner de l’argent à ces gamins nous apportons déjà, à notre manière, une solution à ce problème sans avoir la prétention de tout régler. En d’autres termes laissons les cornes et les pattes à l’état et prenons les petits poils de la queue.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
La responsabilité se trouve à 3 niveaux :- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter plainte quel que soit le traitement infligé.- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tous droit des entrailles de l'enfer. Ces suppôts du diable me rappellent en pire le capitaine Domato dans Kunta-Kinté qui lui au moins s'en prenait à des adultes. C'était à eux d'aller mendier s'ils sont convaincus de leur mission.- Nous sénégalais lambda, oui nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les pratiques mystiques des "nawétanes", les "déba-dèb" de la lutte ... Ce qui fait qu'à l'âge adulte on est harnaché comme un cheval de course à faire pâlir d'envie un général des armées. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh". Si aucun centime n'était déposé dans leur pot de tomate il n'y aurait plus d'enfants talibés dans nos rues.Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chefs religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ? À la décharge de l'état on doit reconnaître que l'éducation religieuse n'est point de son ressort cependant aucune nation n'abandonne ses enfants à leurs bourreaux.Je suis encore désolé de le souligner mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en termes de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu.Réveillons-nous au lieu de nous enfermer dans notre «par-parlo» de répondeur automatique prompt à insulter et à cracher notre venin sur toute personne qui touche à notre point sensible. Dieu n'est pas un monstre pour faire infliger à ces enfants ce que nous-mêmes ne souhaitons pas à nos propres enfants.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
La responsabilité se trouve à 3 niveaux :
- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter plainte quel que soit le traitement infligé.
- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tout droit des entrailles de l'enfer. Ces suppôts du diable me rappellent en pire le capitaine Domato dans Kunta-Kinté qui lui au moins s'en prenait à des adultes. C'était à eux d'aller mendier s'ils sont convaincus de leur mission.- Nous sénégalais lambda, oui nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les pratiques mystiques des "nawétanes", les "déba-dèb" de la lutte ... Ce qui fait qu'à l'âge adulte on est harnaché comme un cheval de course à faire pâlir d'envie un général des armées. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh". Si aucun centime n'était déposé dans leur pot de tomate, il n'y aurait plus d'enfants talibés dans nos rues.Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chefs religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ? À la décharge de l'état, on doit reconnaître que l'éducation religieuse n'est point de son ressort cependant aucune nation n'abandonne ses enfants à leurs bourreaux.Je suis encore désolé de le souligner, mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en termes de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu.
Réveillons-nous au lieu de nous enfermer dans notre «par-parlo» de répondeur automatique prompt à insulter et à cracher notre venin sur toute personne qui touche à notre point sensible. Dieu n'est pas un monstre pour faire infliger à ces enfants ce que nous-mêmes ne souhaitons pas à nos propres enfants.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Comments
LE PLUS GRAND ET LE PLUS LONG SCANDALE AU SENEGAL EST ET RESTE LA SITUATION DES ENFANTS TALIBES. Le Senegal est un pays de paradoxe. On y trouve des centaines d'organisations de defense de la femme mais aucune organisation de defense de l'enfant. Chaque jour des jeunes garcons talibes se font violes et abuses et par leurs maitres et par des tiers sans aucune reaction generale de la population et de la presse. Mais quand une "Miss Senegal" declare avoir ete violee toute la presse, et toutes les institutions sociales et judiciares du pays sont en alerte. C'est comme pour dire que la vie d'une " Miss" vaut celles de 10000 talibes. Pourquoi ceux qui financent toutes ces associations de defense de la femme ne creent pas ou ne financent pas des associations de defense des droits de l'enfant et des talibes. Pourquoi est ce que les senegalais en silence acceptent le triste opprimant sort des talibes. Si seulement on mettait un quart de toute l'energie, l'argent, le temps, la sensibilisation , la campagne, l'indignation consacres a defendre les femmes a la defense des talibes, ce probleme serait resolu depuis des decennies. Un pays qui ne protege pas ses enfants et les laisse dans la rue et a la rue ne saurait proteger ses femmes.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Il ne faut pas monter les combats justes les uns contre les autres ! ce n'est la cause des femmes contre la cause des enfants ! Et il faut se poser les bonnes questions ! le problème des enfants talibés est prisonnier de l'idéologie de l'islam du sénégal.. Même les ténors de l'islam sénégalais n'ont pas suffisamment de couilles pour affirmer une position claire contre l'exploitation des talibés.. c'est le problème de l'Education familiale et de l'Education nationale...mêmes les hommes politiques sénégalais majoritairement musulmans n'osent pas affronter les marabouts sur cette question.... Il suffit de supprimer la mouvance talibé au sénégal pour sauver les enfants.. Le problème du viol des femmes est un problème universel d'un monde d'hommes construit par des hommes pour des hommes ; donc où la femme est un accessoire...le viol des femmes est une injure à nos mères ; c'est plus qu'un crime culturel; c'est un déni de la vie; c'est une profanation de nos mamans ! c'est très très grave... parce qu'il n'y a pas de solution à ce cancer autre que l'application de la manière la plus violente des lois criminalisant le viol... Pour cela , il faut une mobilisation planétaire ! il faut que les hommes avec les couilles soient conscientiser sur la saleté que représente ce crime là ... très différent des autres crimes....et qu'ils intégrent une fois pour toutes que lorsqu'ils commettent ce genre de crime ça va très mal finir pour eux...
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ca peut commencer par toi. Cree une campagne de sensibilisation sur le sort des talibes, investi sur des messages publicitaires etautres panneaux publicitaires. Demande a parler a la radio, dans les reseaux sociaux. Si tu commences, je suis sure que les autres vont suivre
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le problème des talibés doit être réglé par un tribunal international. Au Sénégal, les talibés c'est un fonds de commerce appelé la traite des enfants , interdit et punie par les lois du monde entier....sauf au Sénégal. A en croire que la vie d'un enfant ne compte pas au Sénégal. Black children lives mater.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Mars 2009 La preuve vivante de notre lâcheté commune -Ils sont très, trop jeunes, des bouts d’homme à peine nés -ils vivent au pays du verbe où on s’émeut de tout et on se console dans la fatalité -ils sont tombés (déportés) dans le monde du travail à peine sevrés -ils ont comme tout bon travailleur des objectifs à atteindre enmoyenne 500F/jr -ils encourent, pour objectif non atteint, pire que le licenciement:le matraquage -ils parcourent pieds nus les rues dès 6 heures du matin -ils ne retournent au hangar dortoir où ils s’entassent comme une volée de chauve-souris puantes qu’au delà de 24h quand il ne circule plus d’interlocuteur solvable -ils survivent par groupe de 50 à 150 par exploitant qui n’ont d’autre activité que la collecte journalière de la dîme soit environ750.000 à 2.250.000F/mois -ils appellent leur exploitant par l’illustre nom refuge de marabout ce qui confère à ceux-ci que des gamins entretiennent une certaine honorabilité -ils ne jouissent ni de week-end ni de férié ni d’aucune sorte de congé -ils mendient, arrachent, agressent, volent au passage et flirtent parfois avec la drogue -ils se spécialisent ainsi dans d’autres domaines plus marginaux et constituent une pépinière pour la délinquance -ils ne jouissent d’aucune sorte de rémunération -Ils ne sont pas nourrit par leur exploitant, la pitance vient de la rue -ils ne se douchent jamais et développent même une phobie de l’eau -ils gardent toujours les mêmes haillons qui finissent par ressembler à du cuir -ils ne jouissent d’aucune sorte de suivi médical -ils ne bénéficient point de leur droit à l’éducation de base -ils ne connaissent ni droit de l’homme ni code du travail -leur vie parait avoir moins de valeur que celle d’un insecte Nous sénégalais aimons vivre sous d'autres cieux et profiter du mieux être que d'autres peuples ont peiné à construire. Ne nous laissons pas obnubiler par la fatalité ce sont nos mauvais choix que nous attribuons au bon Dieu à travers le refrain "ndogalou yala" qui nous empêchent de progresser. Hors de chez soit on ne tarde jamais à percevoir dans le regard, le geste ou la parole de l'autre cet élément qui nous rappel qu'on restera toujours un étranger. Ceci est un appel du cœur pour les talibés. Aimeriez-vous que votre enfant vive une telle misère? Bien évidemment non. SVP donnons leur à manger, à boire, de quoi se laver et se vêtir mais jamais de pièce ni de produits commercialisables car chaque centime déposé dans leur potde tomate est comme le titre de transport d’un nourrisson en attente de sevrage. Combattons ensemble l'inacceptable: L’esclavage des tempsmodernes. Un éleveur me disait un jour: «Regarde mon frère, quand les bras les plus vigoureux de la famille neutralisent un jeune taureau certains en tenant les cornes et d'autres en attachant les pattes, le petit dernier d'à peine quatre (4) ans vient tenir le bout de la queux de l'animal parce que d'instinct il se sent déjà le devoir de participer à l'effort collectif». Pourquoi ne faisons-nous pas comme ce petit dernier qui tient l'animal par là où il se sent capable de le tenir? Je veux dire que si juste nous évitons de donner de l’argent à ces gamins nous apportons déjà, à notre manière, une solution à ce problème sans avoir la prétention de tout régler. En d’autres termes laissons les cornes et les pattes à l’état et prenons les petits poils de la queue.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
- depuis Mars 2009 - La preuve vivante de notre lâcheté commune -Ils sont très, trop jeunes, des bouts d’homme à peine nés -ils vivent au pays du verbe où on s’émeut de tout et on se console dans la fatalité -ils sont tombés (déportés) dans le monde du travail à peine sevrés -ils ont comme tout bon travailleur des objectifs à atteindre enmoyenne 500F/jr -ils encourent, pour objectif non atteint, pire que le licenciement:le matraquage -ils parcourent pieds nus les rues dès 6 heures du matin -ils ne retournent au hangar dortoir où ils s’entassent comme une volée de chauve-souris puantes qu’au delà de 24h quand il ne circule plus d’interlocuteur solvable -ils survivent par groupe de 50 à 150 par exploitant qui n’ont d’autre activité que la collecte journalière de la dîme soit environ750.000 à 2.250.000F/mois -ils appellent leur exploitant par l’illustre nom refuge de marabout ce qui confère à ceux-ci que des gamins entretiennent une certaine honorabilité -ils ne jouissent ni de week-end ni de férié ni d’aucune sorte de congé -ils mendient, arrachent, agressent, volent au passage et flirtent parfois avec la drogue -ils se spécialisent ainsi dans d’autres domaines plus marginaux et constituent une pépinière pour la délinquance -ils ne jouissent d’aucune sorte de rémunération -Ils ne sont pas nourrit par leur exploitant, la pitance vient de la rue -ils ne se douchent jamais et développent même une phobie de l’eau -ils gardent toujours les mêmes haillons qui finissent par ressembler à du cuir -ils ne jouissent d’aucune sorte de suivi médical -ils ne bénéficient point de leur droit à l’éducation de base -ils ne connaissent ni droit de l’homme ni code du travail -leur vie parait avoir moins de valeur que celle d’un insecte Nous sénégalais aimons vivre sous d'autres cieux et profiter du mieux être que d'autres peuples ont peiné à construire. Ne nous laissons pas obnubiler par la fatalité ce sont nos mauvais choix que nous attribuons au bon Dieu à travers le refrain "ndogalou yala" qui nous empêchent de progresser. Hors de chez soit on ne tarde jamais à percevoir dans le regard, le geste ou la parole de l'autre cet élément qui nous rappel qu'on restera toujours un étranger. Ceci est un appel du cœur pour les talibés. Aimeriez-vous que votre enfant vive une telle misère? Bien évidemment non. SVP donnons leur à manger, à boire, de quoi se laver et se vêtir mais jamais de pièce ni de produits commercialisables car chaque centime déposé dans leur potde tomate est comme le titre de transport d’un nourrisson en attente de sevrage. Combattons ensemble l'inacceptable: L’esclavage des tempsmodernes. Un éleveur me disait un jour: «Regarde mon frère, quand les bras les plus vigoureux de la famille neutralisent un jeune taureau certains en tenant les cornes et d'autres en attachant les pattes, le petit dernier d'à peine quatre (4) ans vient tenir le bout de la queux de l'animal parce que d'instinct il se sent déjà le devoir de participer à l'effort collectif». Pourquoi ne faisons-nous pas comme ce petit dernier qui tient l'animal par là où il se sent capable de le tenir? Je veux dire que si juste nous évitons de donner de l’argent à ces gamins nous apportons déjà, à notre manière, une solution à ce problème sans avoir la prétention de tout régler. En d’autres termes laissons les cornes et les pattes à l’état et prenons les petits poils de la queue.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La responsabilité se trouve à 3 niveaux :- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter plainte quel que soit le traitement infligé.- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tous droit des entrailles de l'enfer. Ces suppôts du diable me rappellent en pire le capitaine Domato dans Kunta-Kinté qui lui au moins s'en prenait à des adultes. C'était à eux d'aller mendier s'ils sont convaincus de leur mission.- Nous sénégalais lambda, oui nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les pratiques mystiques des "nawétanes", les "déba-dèb" de la lutte ... Ce qui fait qu'à l'âge adulte on est harnaché comme un cheval de course à faire pâlir d'envie un général des armées. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh". Si aucun centime n'était déposé dans leur pot de tomate il n'y aurait plus d'enfants talibés dans nos rues.Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chefs religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ? À la décharge de l'état on doit reconnaître que l'éducation religieuse n'est point de son ressort cependant aucune nation n'abandonne ses enfants à leurs bourreaux.Je suis encore désolé de le souligner mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en termes de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu.Réveillons-nous au lieu de nous enfermer dans notre «par-parlo» de répondeur automatique prompt à insulter et à cracher notre venin sur toute personne qui touche à notre point sensible. Dieu n'est pas un monstre pour faire infliger à ces enfants ce que nous-mêmes ne souhaitons pas à nos propres enfants.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
La responsabilité se trouve à 3 niveaux : - les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter plainte quel que soit le traitement infligé. - les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tout droit des entrailles de l'enfer. Ces suppôts du diable me rappellent en pire le capitaine Domato dans Kunta-Kinté qui lui au moins s'en prenait à des adultes. C'était à eux d'aller mendier s'ils sont convaincus de leur mission.- Nous sénégalais lambda, oui nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les pratiques mystiques des "nawétanes", les "déba-dèb" de la lutte ... Ce qui fait qu'à l'âge adulte on est harnaché comme un cheval de course à faire pâlir d'envie un général des armées. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh". Si aucun centime n'était déposé dans leur pot de tomate, il n'y aurait plus d'enfants talibés dans nos rues.Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chefs religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ? À la décharge de l'état, on doit reconnaître que l'éducation religieuse n'est point de son ressort cependant aucune nation n'abandonne ses enfants à leurs bourreaux.Je suis encore désolé de le souligner, mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en termes de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu. Réveillons-nous au lieu de nous enfermer dans notre «par-parlo» de répondeur automatique prompt à insulter et à cracher notre venin sur toute personne qui touche à notre point sensible. Dieu n'est pas un monstre pour faire infliger à ces enfants ce que nous-mêmes ne souhaitons pas à nos propres enfants.
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Bonjour, je m'appelle Alissa, j'ai 21 ans) Début du modèle SEXE 18+) J'aime être photographiée nue) Veuillez noter mes photos à l'adresse suivante --- WWW.X21.FUN
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