Les Vacances agricoles 2024 ont été officiellement lancées par les ministres de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, et de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l'Élevage dans le village de Roff (commune de Malicounda, département de Mbour). « Souveraineté alimentaire : la jeunesse s’engage ». Tel est le thème de cette édition.
"Nos jeunes sont le moteur de l'innovation, de la résilience et de la croissance durable. Leur engagement et leur dynamisme sont essentiels pour atteindre notre objectif de sécurité alimentaire. Pour cette édition 2024, nous avons mis en place un programme ambitieux et structuré, soutenu par les efforts conjoints de notre ministère et celui de la Jeunesse, des Sports et de la Culture. Ensemble, nous avons défini les besoins en intrants agricoles et en facteurs de production pour 31 fermes pilotes réparties dans toutes les régions du Sénégal. Ces fermes ont déjà commencé à recevoir les semences et les engrais nécessaires pour leurs cultures. Nous avons veillé à ce que les distributions se fassent de manière efficace et en respectant les besoins spécifiques de chaque type de culture", a expliqué le Dr Mabouba Diagne, ministre de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l'Élevage.
Il a fait savoir que leur approche était basée sur des valeurs culturales scientifiques et une gestion rationnelle des ressources pour maximiser la productivité et la durabilité.
"Le financement de ces intrants a été assuré par le programme agricole, démontrant une solidarité et une détermination exemplaires. Nous avons pris toutes les dispositions nécessaires pour assurer le succès de cette initiative. La souveraineté alimentaire est au cœur de notre politique nationale et nous sommes résolus à mobiliser toutes les forces vives, particulièrement notre jeunesse, pour relever ce défi. Nous savons que les jeunes qui s'illustreront par leur engagement et leur performance dans ces activités agricoles bénéficieront d’un soutien accru. Ils seront les ambassadeurs de notre lutte pour une agriculture durable et prospère", dit-il.
Le chef de village de Roff, Pierre Diockel Ngom, a profité de cette occasion pour plaider pour le bitumage de la route qui mène vers leur village.
"Monsieur le Ministre en venant à Roff, vous avez fait un parcours du combattant, à cause de la piste latéritique défectueuse. En hivernage, nous sommes coupés du reste du monde. Nous sollicitons donc le bitumage de cette route qui est très fréquentée par les automobilistes, car si l'on produit et qu'on ne parvient pas à évacuer la production, cela ne sert à rien. Nous avons besoin de bassins de rétention pour développer notre activité économique.
Auteur: Khady NDOYE Correspondante Mbour
Comments
Le plus grand populiste du régime. Il ne travaille pas à part soi disant descendre sur le terrain pour uniquement faire du constat. Aucun grand chantier, aucune vision de l'agriculture, aucune orientation du secteur.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Saway il parle trop... Il fait attendre un peu que les projets fassent éffets pour communiquer sinon tu grilles des pions.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Le progres et son corollaire qui est le developpement commencent par la recherche du savoir et de la connaissance. On dirait qu il n y a jamais eu de paysans dans ce pays. Les promenades agacent et fatiguent. Veni, Vidi, vici. Orgueil quand tu nous tient
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31 fermes dans tout le Sénégal pour les vacances agricoles .., Un projet zero programme
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Comment ont ils choisi ces 31 fermes dans tout le Sénégal ? Les intrants de quoi, en ce mois de juillet? Si c'est l'arachide, le mais où le mil, c'est déjà tard,dans l'ensemble des régions du senegal. Ce Ministère aurait dû revoir tout ce qui a été fait sur les filières agricoles et les dépoussiérer. Ensuite, inviter des assises pour faire le point et adopter sur stratégie. Mais a la place, ils font comme les vacances citoyennes des régimes précédents!! Ces fermes, aurait dû être choisi par appel à candidature et non par Yamanex! Ensuite, est ce que tout le monde a besoin de la même chose? Bien-sûr que Non. Les unes ont besoin de matériels, les autre plants, d'autres cece et d'autres cela. Vouloir uniformiser les actions mènent à l'échec... Si c'est comme cela que ce Ministère va fonctionner, les choses ne bougeront pas!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Pourquoi ne pas encrourager au lieu de critiquer? C'est comme si seul ceux qui supportent ce regime souhaite leur succes qui sera le succes du Senegal. Quand meme donner ces gens un peu de temps. Cette haine est mauvais pour le Senegal. Je vis a l'exterieur et ne comprends vraiment pas. Vous voulez cout que coute qu'ils echouent ce qui va encore retartder le Senegal. Le ministre a un plan et pense a choisi 31 farmes pilotes. Laissons voir ce qui se passer et leur souhaiter bonne chance.
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Mon cher ne te fatigue pas. Ce sont les gueulards rek. On leur demande de s'opposer mais puisqu'ils sont toujours nuls et se trompent toujours de cible, ils s'opposent au développement du pays
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C'est maintenant que vous allez donné des intransigeant ? Arrêtez le sabotage.
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Britons le syndrome du gonna sex annees2006
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Effectivement l’intérêt du Sénégal doit primer vous avez raison. Toutefois, n'ayez pas la mémoire courte : toutes initiatives de précédent régime étaient critiquées et ceci dès leur stade embryonnaire pour des raisons purement politico politiciennes… aujourd’hui ce sont les mêmes raisons qui dictent ces mêmes réactions critiques… ce qui a changé est que vous êtes aujourd’hui de l’autre côté et vous en ressentez les méfaits. Malheureusement le mal est déjà fait, vous avez semez les graines d’une longue discorde. Toutes les initiatives feront l’objet de vives critiques malgré l’intervention de vos trolls. Heureusement que le peuple reste le seul juge, ignorez les opposants et restez focus sur la satisfaction de ce peuple en réalisant vos promesses.
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Est ce que ces jeunes seront payés pour le travail fourni ? Damay posé question dong nak?
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Vraiment il parle trop!
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pourquoi cet acharnement de ne pas vouloir ce projet aboutir pour ces jeunes
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C'est une bonne initiative de relever l'agriculture et l'élevage pour en faire les bases du développement du pays. Cette base du développement du pays passe par la maitrise de l'eau à des couts un approvisionnement régulier permettant aux agriculteurs de faire des bénéfices dans leur travail. Il ne faut pas rêver en couleurs comme l'avaient fait vos prédécesseurs pourtant agronomes, l'un avait prévu l'autosuffisance en riz à Wade ce qui ne s'est jamais réalisé. Un autre agronome sous Macky avait promis l'autosuffisance en riz en 2017 avec des rendements de 5 à 8 tonnes alors que les grands producteurs comme le Viet Nam faisaient avec de meilleures conditions faisaient en grande culture 5 tonnes hectare. Au final il a raconté des histoires et n'a jamais apporté l'autosuffisance en riz. Nous avons l'habitude d jongler avec des concepts qu'on ne maitrise pas souvent; tantôt on parle d'autosuffisance, tantôt de souveraineté alimentaire et de sécurité alimentaire. Les concepts qui s'approche le mieux à notre situation sont: la sécurité alimentaire. La souveraineté alimentaire signifie qu' on ne dépend d'aucun autre état pour nos besoins et nous sommes bien loi de cette indépendance. Aucun état au monde n'a une souveraineté alimentaire
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Les engagements pour une agriculture durable sont à saluer, la maitrise de l’eau est un élément essentiel dans la réussite de ce programme qui veut remettre l’agriculture au cœur du développement du pays. La maitrise de l’eau c’est d’avoir de l’eau disponible sans interruption à un prix raisonnable pour l’agriculture. Il ne faut pas rêver en couleurs comme l’ont fait les 2 gouvernements précédents qui nous avez promis l’autosuffisance alimentaire sans y parvenir. La dernière promesse sous Macky était : l’autosuffisance en riz serait atteinte en 2017. Rien de cela n’a été réalisé à ce jour. Les rendements à l’hectare déclarées étaient de 5 à 8 tonnes hectares au Sénégal alors que les grands producteurs de riz comme le Viet Nam faisaient 5 tonnes hectare en grande culture. Il y’a plus de 20 ans un agronome René Dumont concluait après une étude approfondit de la culture du riz dans la vallée sous irrigation que le prix de revient du kilo de riz de la vallée était à l’époque de 1000 frs cfa. Il prenait en compte l’aménagement tertiaire d’un hectare qui coutait 5 millions, le prix de l’eau consommé par un hectare, la motopompe et prix du mètre cube de l’eau. Cela pour montrer que la culture du riz sous irrigation est très couteuse et n’est pas rentable. Certains vont répliquer en considérant la culture maraichère en seconde campagne aider à amoindrir les charges et compenser. Cela est vrai alors développons les cultures à valeur ajoutée sur l’essentiel des terres et cherchons l à installer la culture du riz dans les zones favorables comme Kédougou, Anambé et développons la culture du riz sous pluie. Comme nous le savons tous les grands producteurs cultivent le riz sous les moussons (pluies) Il y a aussi la clarté à faire avec les concepts que nous manipulons : la souveraineté alimentaire, l’autosuffisance alimentaire et la sécurité alimentaire. Nous devons plutôt parler de sécurité alimentaire parce que nous ne sommes pas certains d’avoir la souveraineté alimentaire qui veut dire être indépendant sur le plan alimentaire et ne dépendre d’aucun autre pays. Je ne connais aucun pays souverain au plan alimentaire. On est indépendant sur certains produits et pas sur d’autres. Par contre l’autosuffisance alimentaire en ce qui nous concerne est quasi irréaliste si nous nous limitons au seul Sénégal. Par contre nous pouvons aller loi dans cette direction si nous cultivons la complémentarité alimentaire au niveau de notre régionale avec l’échange de produits alimentaires qui pullulent dans notre région à des périodes différentes. Nos cousins ivoiriens nous ont » forcé » à manger du atiéké dont ils ne savent que faire de leur production. L’igname, le plantain entrent actuellement dans nos menus. Ces produits sont disponibles en Guinée, Mali, Cote d’Ivoire, Ghana etc. L’autosuffisance alimentaire peut être une des actions du Pan Africanisme qui permettra dans un premier temps de donner des marchés régionaux aux agriculteurs et éleveurs de la sous-région et aller plus tard plus loin. Cette complémentarité alimentaire pourra nous préserver des crises à venir sur la disponibilité de denrées comme le riz, le blé etc. Je n’invente rien cela se fait déjà à petite échelle ce qu’il faut faire c’est aider de l’amplifier, soutenir et faciliter l’organisation de ce marché régional Pour le réaliser il faut des entrepreneurs avec des avions cargos pour déplacer le surplus de produits qui se détériorent dans la sous-région chaque année. Et comme les saisons ne sont pas les mêmes partout, la production de mangues du Mali arrive avant la nôtre, nous pourrions aussi écouler le surplus de mangues quand d’autres n’en ont pas. Voici des gestes simples qui pourront aider un développement régional. Un point important est la qualité de la production de semences maraichères et arachide., les semences disponibles sont souvent de mauvaise qualité. Les semences d’oignons en est une bonne illustration. Un laboratoire de certification de la qualité est indispensable pour contrer les faussaires qui sont les fossoyeurs d’une agriculture rentable.
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