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Formation, emploi et entrepreneuriat des jeunes et des femmes : Le cabinet Eco Finance Entreprises lance un forum pour développer l’initiative privée

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Formation, emploi et entrepreneuriat des jeunes et des femmes : Le cabinet Eco Finance Entreprises lance un forum pour développer l’initiative privée

Le forum international pour la formation, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes s’est ouvert ce mardi 9 janvier 2024, à Dakar, au Sénégal. Organisée par le Cabinet international Eco Finance Entreprises (ECOFIE), en partenariat avec le Programme FORCE-N et le Ministère du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries du Sénégal, cette première édition est placée sous le thème « Développer le partenariat entre les acteurs économiques et politiques pour des solutions innovantes à l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes ». Cette importante rencontre de trois jours (du 09 au 11 janvier) est placée sous le haut patronage du président de la République, Macky Sall, le parrain d’honneur du Premier ministre, Amadou Ba, et le parrain de l'événement, le Ministre Moustapha Diop. La cérémonie d’ouverture des travaux a été présidée par le Ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries, en présence du Président Directeur Général (PDG) du cabinet Eco finance Entreprises, M. Djibril Barry ; du recteur de l'Université numérique Cheikh Hamidou Kane (UN-CHK), Pr Moussa Lô ; du Secrétaire général de l’Agence Nationale pour la Promotion de l'Emploi des Jeunes (ANPEJ), M. Abdoulaye Diatta, représentant du Directeur général M. Tamsir Faye ; du Président de la Chambre de commerce Sénégalo-iranienne, M. Mamadou Mactar Gaye ; du Chef du bureau par intérim du système des Nations-Unies au Sénégal, Dr Cheikh Tidiane Ba ; entre autres.
Une initiative qui offre des opportunités aux jeunes et aux femmes
Ce forum international pour la formation, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes est une initiative du cabinet international Eco finance Entreprises qui aborde des questions et des thématiques qui sont intégrées dans toutes politiques de développement économique et social de l’Etat. Il offre des opportunités aux jeunes et aux femmes, notamment des étudiants porteurs de projets. En effet, le forum présente des profils aux entreprises et cabinets de gestion en ressources humaines ; des entreprises pour rencontrer les jeunes et femmes diplômés et les cabinets de gestion des ressources humaines ; propose des projets de jeunes et femmes aux institutions nationales et internationales spécialisées dans le financement et la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes ; une plateforme d’exposition pour les entreprises, organismes et institutions ; des rencontres Be to Be et une plateforme de relations d’affaires pour les entreprises, acteurs économiques, acteurs politiques, institutions nationales, sous régionales et internationales et entrepreneurs. Il propose aussi un programme d’ateliers, de conférences et de panels sur des thématiques en rapport avec la formation, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes ; des solutions innovantes pour lutter contre l’émigration clandestine. Le forum offre également une bourse d’intermédiation entre les entreprises, les institutions et les demandeurs d’emplois.
Selon le PDG du cabinet Eco finance Entreprises, l’emploi, la formation et l’entrepreneuriat sont au cœur des politiques publiques aussi bien dans les pays en développement que dans les pays développés. D’où la nécessité, pour lui, de faire un focus sur ces questions au profit des jeunes et des femmes. « En décidant de lancer cette initiative du forum, le cabinet international Eco Finance Entreprises avec ses partenaires a opté pour le développement de l’initiative privée », a souligné M. Djibril Barry, avant de saluer toutes les actions qui ont été développées par le gouvernement du Sénégal, à travers la mise en place de la Délégation générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes (DER/FJ), le 3FPT, l’ANPEJ, entre autres, qui contribuent aujourd’hui à accompagner les jeunes dans leurs besoins d’insertion professionnelle.
« Le potentiel de création d’emploi dans le secteur de l’industrie est énorme » 
Pour le ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries, le choix du cabinet Eco Finance Entreprises de faire de son département ministériel un parrain stratégique de cette première édition du forum est pertinent à plus d’un titre. « Choix ne pouvait être plus pertinent car, l’industrie fait partie des secteurs prioritaires du Plan Sénégal émergent devant permettre l’accélération de la transformation structurelle de l’économie et de la croissance », a soutenu M. Moustapha Diop.
De l’avis de l’autorité étatique, la question de la formation, de l’entrepreneuriat et de l’emploi des jeunes et des femmes interpelle tout le monde, notamment le Ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries. A l’en croire, « le potentiel de création d’emploi dans le secteur de l’industrie est énorme ».
Sous ce rapport, M. Moustapha Diop a invité les jeunes sénégalais à explorer davantage les possibilités de création d’emplois qu’offrent son ministère, à travers surtout les agropoles et les plateformes et domaines industriels. Il a aussi demandé au Directeur général de l’APROSI et au coordonnateur national du Programme national de développement des agropoles du Sénégal, avec l’appui du cabinet Eco Finance Entreprises, de « faciliter la mise en relation des jeunes qui cherchent du travail avec les entreprises installées dans les différents parcs industriels.
Pour finir, le ministre s’est engagé à faciliter l’auto-emploi dans le secteur de l’industrie, à travers notamment les hôtels d’industrie qui sont en train d’être créés dans tous les départements du pays et qui sont des espaces d’accueil pour les Petites et moyennes industries.
L’initiative magnifiée et saluée à l’unanimité
Le recteur de l'Université numérique Cheikh Hamidou Kane (UN-CHK), pour sa part, a soutenu que ce forum, qui est, pour lui, un espace de réflexion, de dialogue et d’interrogation pour concevoir de « nouvelles dynamiques pour faire plus et mieux » est une initiative à saluer dans la mesure où elle permet de mettre en relation des jeunes et des entreprises.
A ce titre, le Pr Moussa Lô signale que son université reste disponible et engagée pour non seulement réussir cette première édition mais également faire de sorte que ce forum devienne un événement pérenne qui puisse être inscrit dans l’agenda annuel des institutions sénégalaises.
« Cette plateforme d’échange, de rencontre et de partage entre experts et spécialistes mérite d’être gravée en lettre d’or dans le marbre »
Le Secrétaire général de l’Agence Nationale pour la Promotion de l'Emploi des Jeunes, quant à lui, après avoir remercié le PDG du cabinet international Eco Finance Entreprises d’avoir bien voulu associer l’ANPEJ à l’organisation du forum international pour la formation, l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes, a soutenu que cette plateforme d’échange, de rencontre et de partage entre experts et spécialistes mérite d’être gravée en lettre d’or dans le marbre.
Pour Abdoulaye Diatta, ce forum offre des tribunes de discussion sur des questions ayant trait à l’employabilité des jeunes, à leur formation mais aussi aux enjeux et opportunités liés à l’agro-industrie d’une part, et d’autre la digitalisation. « L’emploi salarié n’étant plus la panacée, il importe aujourd’hui d’être proactif et de pousser les jeunes à changer de posture, à changer de paradigme, en les aidant à passer de statut de demandeur d’emploi à celui de créateur d’emploi », préconise le représentant du Dg de l’ANPEJ.
Après avoir présidé la cérémonie d’ouverture des travaux du forum, le ministre du Développement industriel et des Petites et Moyennes industries a visité les stands installés dans le hall du Grand Théâtre national de Dakar. Ici, M. Moustapha Diop a loué l’expertise et le professionnalisme des entreprises partenaires du cabinet Eco Finance Entreprises.
Pour cette première journée, le forum a noté la tenue de deux panels de haut niveau. Le premier, qui a pour thématique « L’agro-industrie, un secteur pourvoyeur d’emplois : cas des agropoles », a été animé par M. Rachid de la BID ; M. El Hadj Djily Mbaye, coordonnateur des agropoles du Sénégal ; M. Malick Sy de l’ONUDI, et M. Olivier de ENABEL. Il a été modéré par le Secrétaire général du Club des investisseurs sénégalais (CIS), M. Abdoulaye Ly.
Le deuxième panel, quant à lui, a porté sur « La digitalisation : un levier efficace de création d’emplois et de renforcement de la compétitivité des entreprises et des administrations en Afrique ». Il a été animé par le Secrétaire général de l’ANPEJ, M. Abdoulaye Diatta, et M. Abdou Khadre Diagne, ingénieur ; et modéré par M. Maixent Kabou, responsable audit et contrôle de gestion à l’ANPEJ.
L’organisateur a également organisé des rencontres Be to Be entre le cabinet Eco Finance Entreprises et des institutions et entreprises d’une part, et d’autre part, les entreprises et les jeunes étudiants chercheurs d’emplois.
19 ans d’expertise et d’innovation au service de l’Afrique
A rappeler que le Cabinet international Eco Finance Entreprises est spécialisé dans l’expertise financière et le conseil en gestion. Avec 19 ans d’expertise et d’innovation au service de l’Afrique, il s’active dans les domaines de l’expertise bancaire, de l’audit des opérations bancaires, de sondages et études de marchés, de recherches de financement, d’études et recherches économiques, de salon de la finance et de l’investissement, d’édition d’une magazine économique et financier dénommé AZ Solutions Entreprises, d’organisation du gala des 100 entreprises les plus dynamiques d’Afrique, de formation et renforcement de capacités, de Marketing et communication, de recrutement et gestion des ressources humaines, et enfin, de production de l’émission économique performances.
Eco Finance Entreprises dispose d’un portefeuille de plus de 3000 clients en Afrique ; plus de 5 filiales en Afrique, et une expertise reconnue au niveau international. Aujourd’hui, le Cabinet se positionne comme un acteur majeur de la promotion des entreprises et des investissements en Afrique.
Auteur: Cheikhou AIDARA & Oumar PENE (Images)
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Comments

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    il y a 1 an

    Cette nouvelle bamboula pour que le gros n'ait pas de remontrances pour ses fameuses promesses " 100'000 emplois pour les jeunes ( qui attendent toujours le miracle annoncé depuis 2 ans)

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    nul ministre il y a 1 an

    rien ne se reuussira avec cet incompetent et nullissime ministron de moustapha diop. le plus grand voleur du siecle. moustapha covid diop

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    nul ministre il y a 1 an

    moustapha covid diop. le voleur du siecle

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    reply_author il y a 1 an

    moustapha diop est le pire malheur qui soit arrivé à louga et au Senegal.nul, truand, menteur, manipulateur et coureur de jupon. nite kou mana fene ak wor

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    tout va très bien.... il y a 1 an

    Dans le sud du Sénégal, le retour en terrain miné des déplacés de Casamance Les villages désertés dans les années 1990 par la rébellion casamançaise se sont repeuplés ces dernières années. Mais les conditions de vie restent précaires, voire périlleuses. Par Moussa Ngom (Boutoupa Camaracounda, envoyé spécial) Publié le 05 janvier 2024 à 19h07 L’explosion qui a fauché, le 14 décembre, quatre soldats sénégalais en patrouille près de la frontière avec la Gambie a réveillé de mauvais souvenirs dans le sud du Sénégal. Disséminées dans la région au plus fort du conflit qui oppose, depuis 1982, l’Etat du Sénégal et le mouvement séparatiste des forces démocratiques de Casamance (MFDC), de nombreuses mines se trouvent encore dans les zones frontalières, alors que les villages, désertés au début des années 1990 à cause des combats, voient progressivement revenir leurs habitants. Dans la localité de Boutoupa Camaracounda, à une trentaine de kilomètres au sud de Ziguinchor, près de la frontière bissau-guinéenne, le maire, Ousmane Sanding, réclame depuis deux ans un déminage « à titre préventif » d’une partie de sa commune rurale de 340 km2. Mais la sécurité n’est pas la principale priorité de l’édile. Seuls deux villages, sur les vingt-quatre que compte sa commune, ont accès à l’électricité. « On manque d’infrastructures de base, de points d’eau, d’écoles, de centres de santé, d’activités génératrices de revenus… », énumère Ousmane Sanding. Terres extrêmement fertiles Lui-même est un ancien réfugié. Sa famille s’est exilée en Guinée-Bissau en octobre 1990. A l’époque, les combats entre l’armée sénégalaise et les rebelles font rage. D’après le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), plus de 23 000 Sénégalais avaient fui en Guinée-Bissau en 1994. Ils n’étaient plus que 2 000 en 2021, grâce aux opérations de sécurisation entreprises par l’armée sénégalaise qui ont affaibli la rébellion. Plusieurs cantonnements militaires sont désormais établis dans d’anciens bastions des séparatistes. Avec environ 8 000 habitants en 2015, le repeuplement de Boutoupa Camaracounda est en bonne voie. Chaussé de grandes bottes tachées de boue, Mamadou Biaye est revenu de Guinée-Bissau « sans rien en poche », pour retrouver les champs de sa terre natale. Il ne reste plus rien de son ancienne maison, incendiée le 11 février 1991 par les rebelles. Il a longtemps servi de base arrière à l’une des factions du MFDC. Les terres locales, réputées extrêmement fertiles, sont propices à la culture de l’anacarde, un des principaux produits d’exportation de la région, faisant du bourg une position stratégique pour les insurgés. « Ils avaient aussi transformé certains champs en cultures de chanvre indien », souffle un habitant, corroborant les dires des autorités, qui accusent les rebelles de se livrer au trafic de bois et de cannabis. Après une énième opération de ratissage de l’armée, Bilass est le 23e et dernier village de Boutoupa Camaracounda à se repeupler. Abdou Diamé, le doyen, y est revenu en 2021 avec le feu vert des militaires après avoir passé trente ans à Dakar, la capitale sénégalaise. Sa famille, nombreuse, s’y trouve toujours. Car tout est encore à reconstruire dans le bourg, à commencer par les habitations. « Un ou deux bols de riz » Quelques piquets à peine visibles au milieu des arbustes laissent deviner un lotissement de fortune, mais très peu de maisons ont pour le moment vu le jour. La faute au manque d’eau nécessaire à la construction, explique Cherif Diamé, le chef du village. Le miniforage est en panne et les quelques puits se vident malgré leur grande profondeur alors que la saison des pluies vient à peine de s’achever.  

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    reply_author il y a 1 an

    moustapha covid diop le voleur du siecle

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    SGT Sarl il y a 1 an

    J'ai participé au deuxième jours des rencontres be to be. j'ai pu rencontré une seule organisation. C'était vraiment d'excellents moments de partage. Les autres rencontres n'ont pas pu se tenir mais ce n'est que partie remise. en tout cas merci aux organisateurs...

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