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Gambie : La communauté sénégalaise renvoie dos-à-dos Macky Sall et Ousmane Sonko

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Gambie : La communauté sénégalaise renvoie dos-à-dos Macky Sall et Ousmane Sonko

La situation politique au Sénégal interpelle l'opinion publique internationale. Des incidents se sont déroulés le 16 mars en marge du procès Mame Mbaye Niang / Ousmane Sonko. Bilan : deux morts.  
En Gambie, la communauté sénégalaise n’est pas indifférente à ce qui passe au pays natal. Au marché Séré-Kunda, où beaucoup de ressortissants sénégalais s’activent dans le commerce, les avis sont partagés sur la responsabilité de cette situation chaotique. 
Si certains pointent un doigt accusateur sur le Président Macky Sall, qu’ils invitent à quitter le pouvoir, d’autres critiquent Ousmane Sonko, qui doit aller répondre à la Justice comme tout citoyen.
Les Sénégambiens appellent toute la classe politique à cultiver la paix et  la cohésion sociale.
Auteur: Alioune Badara MANÉ, Mouhamed Ndoye, Mouhamed Sarr (Envoyés spéci
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Comments

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    il y a 2 ans

    Lolou nafekh la kounek khamna fi deugue fété. Tout le monde sait que macky veut coûte que coûte liquider sonko avec l'aide de sa justice. 

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    il y a 2 ans

    Il faut destituer ce president est dissoudre son parti.

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    Yayou Sonko djourate il y a 2 ans

    Sonko sou déwé yayam diourate

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    reply_author il y a 2 ans

    Seuls nos jambaars peuvent nous sauver et je suis certain qu au moment le plus critique ils le feront

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    Ibrahima sine il y a 2 ans

    CHERS COMPATRIOTES SÉNÉGALAIS   Je voudrais de par ma posture assumée de militant du parti PASTEF partager une analyse synthétique des enjeux du procès opposant Mame Mbaye Niang à Ousmane Sonko. Une analyse qui est surtout motivée par une constatation de l’ignorance de beaucoup de sénégalais par rapport aux chronologies des faits. Car jusqu’aux plateaux des médias, des chroniqueurs et journalistes irréprochablement objectifs tiennent des argumentaires qui laissent entendre qu’Ousmane Sonko aurait tord d’avoir accusé sans preuves. Alors qu’il n’est du fait que l’Etat entretient au tour de l’affaire une forte manipulation si efficace à tromper toute imprudence en vue de rendre acceptable une condamnation. Aussi parce que PASTEF n’effectue pas le même travail communicationnel constaté dans le dossier Adji Sarr pour lever toute ambiguïté sur l’inexistence du délit de diffamation et pour permettre aux contribuables sénégalais de comprendre les crimes financiers ayant causé l’échec du programme des domaines agricoles (PRODAC).    QU’EN EST IL RÉELLEMENT DES FAITS ?    S’il est une chose sur laquelle tout le Sénégal serait d’accord c’est que le Prodac serait un bon projet pour le pays de par ses objectifs de développer l’agriculture, la pisciculture et surtout de créer environs 300 000 emplois. Sa réalisation aurait positivement contribué au recul du chômage des jeunes. D’où son rattachement d’ailleurs au ministère de la jeunesse dirigé à l’époque par Mame Mbaye Niang.    Par contre, il serait beaucoup plus difficile voire impossible de trouver un contribuable sénégalais qui ne soit pas révolté des faits suivants. À savoir que pour l’octroi du marché, le Prodac avait écrit à la direction centrale des marchés publics( DCMP) en vue d’une autorisation de travailler avec l’entreprise Green 2000 présentée comme la seule capable de remplir les attentes du projet. Et que six mois d’études plus tard, la DCMP rétorque pour renvoyer au respect de la réglementation en faveur d’un appel d’offre. Mais le ministre Mame Mbaye Niang refuse de suivre et sort un ordre de service qui exige le démarrage des travaux avec l’entreprise Green 2000 de Daniel pinhassi (comme s’il y’avait eu une entente déjà conclue les liant ). Alors que ce que redoutait la DCMP était simplement que ce qui finit par arriver quelques mois plus tard ne pourrait arriver : Que les travaux du projet stagnent.    Alors face aux rumeurs publiques qui parlent de détournement des fonds, Mame Mbaye Niang décide de réagir en adressant une demande à Amadou ba, ministre des finances d’alors, d’activer un contrôle financier. Seulement pour quelqu’un ayant écouté sa réaction au sortir du tribunal le 16 février dernier, comme quoi celui qui demande un audit ne peut être épinglé, il est indubitable que l’initiative se voulait maquilleuse de ses propres responsablités. En prouve d’ailleurs sa colère immense après que le rapport de l’enquête est sorti le nommer omniprésent dans ce qui est un carnage financier. Il en voulait surtout à Amadou ba qui interrogé sur la question lors d’une émission à la 7tv avec Maïmouna Ndour, a précisé que c’était surtout parce que le pre-rapport aura fuité à l’exploitation des journalistes.    Il est finalement important de signaler une chose déterminante dans le dossier l’opposant à Sonko, à savoir qu’il reconnaissait l’existence du rapport dans ses premières interventions médiatiques en réaction au Prodac comme en témoigne ses aveux publics lors d’une émission à la 7TV, disant que “rapport ame na”. Ce pendant il continuait aussi de nier les faits qui lui sont reprochés.   D’où d’ailleurs l’étonnement de tout le monde et notamment de Ousmane Sonko quand récemment le même Mame Mbaye Niang répondant à l’interpellation du député Abass Fall de PASTEF dit n’avoir jamais été épinglé ni par le rapport Prodac ni par aucun autre rapport de contrôle (confirmant de ce fait un nouveau positionnement qu’il commençait à imposer, à savoir que le rapport n’existe pas). Raison pour laquelle Ousmane Sonko en sa qualité d’opposant a profité d’une conférence de presse de YEWWI ASKANWI pour démentir et rappeler l’existence du rapport IGF sur Prodac l’épinglant. Seulement à la place d’iGF il a dit IGE (inspection générale d’Etat), un lapsus que Mame mbaye niang exploite par une plainte pour diffamation.    Convoqué à la DIC, Ousmane Sonko reconnaît le lapsus mais confirme l’existence d’un rapport d’IGF épinglant l’ancien ministre de la jeunesse. Ce dernier le défie de sortir n’importe quel rapport en sa disposition.    Normalement à partir de ces faits, le procès devant leur opposer devrait se disputer sur ce que le ministre accuse diffamatoire. Mais à la surprise générale le procureur s’est invité dans le dossier pour augmenter deux nouvelles charges : faux et usages de faux et injures publiques.   ANALYSE DU COMMENT DEVRAIT SE DÉROULER LE PROCÈS SUR L’ACCUSATION DE DIFFAMATION.    En écoutant Mame Mbaye Niang et souteneurs, la seule chose que Ousmane Sonko devrait faire pour ne pas être condamné de force c’est présenter au tribunal le rapport de contrôle en question. Et les deux procès de diffamation que Mame mbaye niang a gagné face à des journalistes sont constamment convoqués pour étayer la thèse. Seulement ils ne précisent jamais que les journalistes en question étaient plutôt condamnés à cause de leur non comparution. La manipulation marche tellement bien que des gens souvent honnêtes dans l’analyse politique tombent dans le piège. Même Ousmane Sonko a été trompé à la DIC qu’il devrait montrer le rapport, d’où son évolution dans la tonalité lors du meeting de keur Massar, pour clarifier avoir plutôt lu le rapport sur Internet (ce qui ne contredit ce pendant pas son propos initial qu’il détenait le rapport car quasiment tout le monde l’a eu à partir de l’internet ).   Or, lui faire croire qu’il doit sortir le rapport n’est rien d’autre qu’une stratégie politicienne de lui imposer une défense et de préparer l’opinion publique à l’acceptation de sa condamnation. Alorsque ce qu’on ne dit pas c’est qu’il est dans la position d’accusé et bénéficie d’une liberté totale d’organiser sa défense selon ses intérêts. Et c’est plutôt à l’accusateur Mame Mbaye Niang qu’incombe la charge des preuves de la diffamation. Surtout que si le tribunal devait exiger que le rapport soit exhibé, toutes les deux parties seraient concernées du fait de leurs aveux publics quant à son existence.    Par conséquent, il est clair que le procès ne se jouerait pas sur l’existence ou non du rapport, encore moins sur l’utilisation du verbe épingler qui respecte juridiquement les deux positionnements. Celui de l’accusateur qui en niant être épinglé par le rapport use de son droit à la présomption d’innocence qui fait que malgré qu’il est nommément reproché d’illégalités dans le rapport, reste innocent jusqu’à ce qu’un tribunal en juge le contraire. Et celui de l’accusé qui en s’étant limité à la lecture du rapport pour rappeler au ministre qu’il a été épinglé, n’aura fait que nommer des faits. Il ne pourrait par exemple être condamné pour diffamation que s’il avait outrepassé les constats du contrôleur pour accuser Mame Mbaye Niang d’avoir détourné 29 Milliards ainsi que se dit dans les réseaux sociaux.     MAINTEANANT ANALYSONS LES DEUX AUTRES CHEFS D’ACCUSATIONS AJOUTÉS AU DOSSIER : faux et usage de faux et injures publiques.   - S’agissant du faux et usage de faux, l’intention inavouée du procureur serait double :  D’abord, après avoir réussi la manipulation que Ousmane SONKO devrait obligatoirement sortir le rapport, de chercher à le faire condamner pour recel de document administratif si jamais il sort le rapport. À défaut, d’attaquer désespérément son lapsus pour l’exiger de sortir le document IGF épinglant le ministre. Et comme Ousmane Sonko n’en serait pas capable du fait qu’un rapport d’IGF sur PRODAC n’existe pas, le procureur essayerait de convaincre que l’accusé a fait du faux en attribuant un rapport sur Prodac à l’IGE et usage de faux en l’utilisant pour salir Mame Mbaye Niang. Seulement le fait que Ousmane Sonko ait lu, après son lapsus, un passage qui se trouve dans le rapport d’IGF reste suffisant pour montrer sa bonne foi. Aucun juge ne pourra le condamner pour cette légèreté. Et contrairement à ce que certaines manipulations essaient de faire croire, Madiambal Diagne n’a pas été condamné pour un lapsus dans l’affaire l’opposant au juge Souleymane Teliko. Mais plutôt pour le fait de l’avoir accusé de vol en écrivant qu’il a encaissé de l’argent pour des frais de missions déjà pris en charge.   - Quant à l’injure publique, Mame Mbaye Niang reconnaît lors d’un entretient avec des journalistes le 17 février dernier, reprocher à Ousmane Sonko de l’avoir insulté alorsque ce dernier lui a seulement rappelé qu’il ne disait pas la vérité (Wakhoul deug ). Et même s’il l’avait injurié, l’accusateur ne serait pas crédible et légitime de provoquer une quelconque condamnation après ses propos insultants et mensonges envers l’accusé, selon lesquels il est un détraqué sexuel qui aurait un enfant hors marriage avec une fille résidente au Maroc.   Ces analyses factuelles des chefs d’accusations montrent juste que le dossier n’est entretenu que par de la manipulation. Mais il n’y a pas de diffamation et que les autres chefs d’accusation injustement ajoutés par le procureur et dont Mame mbaye niang a essayé de s’attribuer l’initiative récemment, sont plus ridicules. En effet, la sortie médiatique de Mame mbaye niang pour inculquer à l’opinion être l’initiateur de 5 chefs d’accusation contre Ousmane Sonko n’était qu’une tentative de faire taire les interrogations et critiques des sénégalais quant à l’implication du procureur qui renvoie directement au comploteur Macky sall.   EN QUOI SERAIT IL DONC UNE ERREUR POLITIQUE ET CITOYENNE POUR PDS ET TAKHAWU NDAKARU DE NE PAS MOBILISER AU SOUTIEN DE SONKO. ET POUR LES CONTRIBUABLES SÉNÉGALAIS DE NE PAS EXIGER JUGEMENT SUR LES CRIMES FINANCIERS DANS PRODAC ?   Concernant les partis politiques, ce n’est ni plus ni moins qu’une trahison à la survie de la démocratie sénégalaise de tolérer que Macky sall puisse encore instrumentaliser la justice pour écarter un adversaire politique. Après l’élimination de Karim wade puis de khalifa sall et après l’imposition unilatérale des règles de parrainage pour choisir des adversaires, l’heure est à l’unisson de toutes les forces vives, au delà des divergences politiques, pour des élections inclusives démocratiques et transparentes. Et la position très inconfortable de Macky sall faciliterait la tâche. Il le sait tellement bien qu’il essaie d’instrumentaliser les divergences de l’opposition en faisant croire que l’élimination de Sonko ouvrirait la porte du palais à des potentiels concurrents. Or, la réalité à comprendre est qu’il s’est convaincu que seule une non participation pourrait empêcher Sonko d’être président en 2024, et s’est fixé en conséquence l’objectif d’en écarter la candidature de toutes les éventualités. Et si par miracle il réussissait, les candidatures de Karim et Khalifa ne seraient pas réhabilitées car celle de Sonko en deviendrait aussi liée. En réalité il ne voudra utiliser karim et khalifa que pour contrecarrer les chances de Sonko. Reste alors la seule alternative qu’il ne se présente pas ainsi que Karim, sonko et khalifa. D’où l’obligation pour Pds et Takhawu de sauver leur destin politique lié à celui de Sonko.    Autrement ils seraient complices de MACKY sall et que leur inaction n’empêcherait pas Pastef, la société civile engagée et des contribuables sénégalais de faire bloc contre ce nouveau complot qui se manifeste dans l’entente entre le procureur et le juge pour interdire à Ousmane Sonko de convoquer des témoins de sa défense. Mais aussi dans ce que sous entend la nouvelle position de l’IGF de ne pas approuver le pre-rapport d’enquête fait sur la dilapidation scandaleuse des fonds du Prodac. Comme quoi le gouvernement instrumentalise les corps de contrôle pour entretenir l’impunité des membres. Une justification limpide du volte face soudain de Mame mbaye niang niant l’existence du rapport d’IGF sur Prodac. Seulement les faits sont indestructibles et que Mame Mbaye Niang finira par comparaître dans un tribunal pour avoir émis un ordre de service en toute violation de la procédure des marchés publics et permettant de ce fait à l’entreprise Green 2000 de sur facturer des milliards. Aussi pour son rôle dans les détournements de l’entreprise TIDA à hauteur de plus d’un milliard. Et pour le fait d’avoir permis à la journaliste Maïmouna Ndour, patronne de la 7TV de recevoir une somme de 63 millions d’une façon non contractuelle.

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    Karim$ il y a 2 ans

    Le couple diabolique !  Vraiment extrêmement méchant et extrêmement meurtier !  Personnellement, j’ai vraiment envie de venger Sonko ! Seulement, je ne sais pas comment je serais jugé par Dieu à ma mort ! Mais j’estime qu’en faisant mal à notre leader, vous nous donnez aussi le droit de vous faire mal. Si l’occasion se présente, je viens vous chercher sans aucun regret ni hésitation. Que Dieu m’aide ! Sénégalais, priez pour moi s’il vous plaît ! Que Dieu me donne l’occasion de frapper ces gens pour venger Sonko et les 14 morts, je le ferais, sans aucune hésitation ni regret. Que Dieu guide mes pas. Que Dieu me donne la force et plus d’inspiration. Je pense déjà avoir l’audace et l’idée.sur comment les frapper au plus mal et je pense vraiment n’avoir peur de rien ni de personne sur cette terre tant que mes actions sont justes ! Dîtes une prière sur moi si vous pensez que quelqu'un doit nous venger car je suis disponible et je sais comment ! 

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    reply_author il y a 2 ans

    merci des éclaircissement 

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    reply_author il y a 2 ans

    merci des éclaircissements

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    reply_author il y a 2 ans

    merci des éclaircissements

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    reply_author il y a 2 ans

    Un plaisir de vous lire. Un Pastefien, pas homopastefensis. 

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    il y a 2 ans

    ALERTE   ALERTE 1000000 de personne a walf demain pour protester pour la demission de macky, la manif est autorisee, il faut en profiter DAME CLEDOR Y EN A MARRE PASTEEF TOUS A LA MANIFESTATION COMME L'AVAIT SIDI LAMINE NIASS POUR FAIRE CHUTER WADE

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    reply_author il y a 2 ans

    Vraiment nous sénégalais on en a marre de ces deux là. Macky et Sonko nous emmerdent. Trop d'enfantillages et d'immaturité. Le Sénégal a besoin d'un homme mature, au caractère fort, pas bavard, pour rétablir l'ordre dans ce pays

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    il y a 2 ans

    Bande d'hypocrites Sonko il est qui il se torche le cul comme tout le mondé nafekh bakhoul

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    il y a 2 ans

    Bande d'hypocrites Sonko il est qui il se torche le cul comme tout le mondé nafekh bakhoul

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    il y a 2 ans

    C'est pas un petit groupe d'aigris qui pourra faire quitter un président qui a été élu par 58% des électeurs. Avant de manifester pour le départ de Macky Sall, dites à Sonko et ses souteneurs de dire la vérité au lieu de mentir. Sonko a été désavoué par beaucoup de sénégalais à cause de ses mensonges et manipulation. Quoi de plus simple que montrer les preuves qu'il dit détenir. Force restera à la loi 

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    reply_author il y a 2 ans

    Tu es bete et c'est tout. 

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    reply_author il y a 2 ans

    Ce n' est pas demain la veille que Macky va quitter le pouvoir. In Shaa Allah il sera encore là jusqu'à en 2029. Ces éventuels adversaires feraient mieux d'aller se préparer pour la prochaine présidentielle au lieu de rester Dakar à parader et à accompagner la vendalisation de biens privés ou du contribuable. Faire du Nam Dramé seulement dans la capitale n' est pas productif. Demandez aux candidats de 2012. ..

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    Vrai il y a 2 ans

    Sonko désavoué oui y compris moi

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    Vrai il y a 2 ans

    Sonko désavoué oui y compris moi

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    il y a 2 ans

    La destitution du chef des aperistes est une demande sociale. 

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    7klm il y a 2 ans

    Propagande: personne ne les renvoie dos à dos: l'un est un assassin, detourneur de deniers publics et ennemi déclaré des sénégalais et des africains. L'autre est tout à fait le contraire, l'incarnation vivante de Mamadou Dia, de Thomas Sankara, etc.

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    il y a 2 ans

    Ce que vous dites est faux. Tout le monde sait que c'est Maky Sall le premier facteur de troubles 

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