Thiès - Sortie CFCU 2024-2 : 25 officiers fantassins ont reçu leurs diplômes de Commandants d'Unité d'Infanterie
Au nom du Général de corps d'Armée Mbaye Cissé, Chef d'état-major des Armées, le Général de division Maguatte Ndiaye, Sous-chef d'état-major général des Armées, a présidé, ce mercredi 29 janvier 2025, à Thiès, la cérémonie de remise de diplômes aux officiers de la deuxième session du Cours de Formation des futurs Commandants d'Unité d'Infanterie (CFCU/INF) de l'année 2024.
Etape déterminante de la formation continue des officiers, qui vise fondamentalement à préparer les bénéficiaires à l'exercice de leurs futures fonctions, le CFCU constitue un cadre formel de certification de la capacité de ces jeunes chefs fantassins à assumer efficacement le commandement d'une unité élémentaire, tant en garnison que dans le cadre de missions opérationnelles complexes, avec des conditions d'emploi de plus en plus exigeantes.
Le cycle de la session 2024-2, clôturée ce mercredi 29 janvier 2025, a débuté le 19 septembre 2024. Il a accueilli 25 officiers stagiaires dont 07 des pays amies (du Bénin, du Burundi, de la Guinée Equatoriale, de la République Démocratique du Congo, de l'Ouganda, du Rwanda, du Tchad,) et 18 sénégalais répartis ainsi : 14 de l'Emat, 01 de la Bnsp, 01 de la Gendarmerie nationale, 01 Marine nationale /Fs Mer et 01 Armée de l'Air/fusilier commando de l'air.
L'objectif de ce Cours visait globalement, d'une part, à les rendre « aptes à commander d'emblée » une Unité élémentaire de combat d'infanterie dans un environnement interarmes et multinational et d'autre part, à pousser leur formation d'officier en leur dispensant des connaissances sur « le travail d'état-major et au sein d'un centre des opérations (CO) d'un Groupement tactique interarmes (GTIA) ». Il s'agissait de développer en eux de solides connaissances militaires et générales nécessaires afin qu'ils puissent discerner dans la complexité des théâtres d'opérations, décider dans l'incertitude et agir dans l'adversité.
Pour atteindre cet objectif, un programme mettant l'accent sur la spécialité infanterie accompagné de modules dans plusieurs domaines intimement liés à la fonction du CDU, a été déroulé. On peut citer : « La formation à l'exercice de l'autorité » ; « La formation à la mission opérationnelle qui inclut un important volet du combat interarmes » ; « L'éducation physique militaire sportive, centrée sur l'acquisition des techniques d'instructeurs et de renforcement de capacités physiques ».
S’y ajoutent « La formation administrative, technique et linguistique » ; « L'enseignement du combat assisté par ordinateur à travers la simulation tactique ROMULUS » ; « Les visites des structures militaires et civiles ainsi que les conférences dispensées par des intervenants extérieurs ont contribué à mieux connaître les Forces armées et à élargir leur vision du monde extérieur. Sous le même chapitre, les stagiaires ont rédigé des mémoires sur des sujets divers qu'ils ont ensuite soutenus devant un jury ».
Selon le Clonnel Mathieu Diogoye Sène, Commandant de l’Ecole d'Application et de Perfectionnement Interarmées, les objectifs ont été largement atteints pour cette promotion du CFC 2024-2 qui se distingue par ses brillants résultats, son homogénéité, et surtout son niveau particulièrement élevé dans le déroulement des missions opérationnelles.
Auteur: Cheikh CAMARA et Abdoulaye SEYE (Correspondants à Thiès)
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La vidéo et le titre sont différents
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Bien que j’ai toujours confiance en SONKO j’avoue être extrêmement déçu des 10 mois de Pastef à la tête de ce pays en ruine par le fait du tyran Macky Sall Entre des DG et PCA n’ayant aucunement le profil de l’emploi et qui passent tout leur temps à nous montrer à travers les réseaux sociaux leurs nouvelles vie de riche lors de signatures de conventions bidon de partenariat entre leurs agences et directions qu’ils dirigent Dans ce Sénégal des difficultés, aucun salaire de dirigeants ne doit dépasser 3 millions et on me dit que certains touchent jusqu’à 16 millions. C’est grave si je pense aux morts, au blessés ayant reprisle travail et qui gagnent moins de 70 mille par mois. Comment SONKO peut laisser des DG gagner plus de 3 millions dans cepays . C’est très grave. Il ne s’agit pas De faire mieux que Macky Sall,le grand traitre mais d’opérer une RUPTURE RADICALE Birame Souley et El Malick (ACIEN DEL’AFP de Niasse et ayant fleureté avec Rewmi de Idy) doivent arrêter de nous imposer leurs tarikhas surtout que tous ces tarikhas du Sénégal ont combattu ouvertement le projet. Pastef doit faire attention à la masse silencieuse qui a fait tomber MacKy à cause de ces pratiques
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