Revue de Presse du 17 Septembre 2024 avec Mouhamed Ndiaye
Revue de Presse du 17 Septembre 2024 avec Mouhamed Ndiaye
Auteur: Rfm
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il y a 7 mois
Avons-nous des journalistes spécialisés en économie maitrisant le sujet économie ou des apprentis propagandistes et diffuseurs de fausses nouvelles aux ordres ?
Heureusement la corporation a, je dirai quelques journalistes compétents maitrisant l’économie et qui ne s’aventurent pas dans des approximations pour donner un point de vue tout à fait à côté de la plaque sur le communiqué du FMI. Beaucoup d’organes de presse ont en première page les perspectives sombrent de l’économie du Sénégal. Je vous ferai l’économie des titres alarmants dont l’analyse et les commentaires sont inexact et souvent mal intentionné. A côté les quelques professionnels de l’information que vous connaissez ont traité le communiqué dans le respect de la déontologie et de l’éthique fondement de l’indépendance du journaliste.
La certaine presse oublie de parler du cadeau empoisonné que nous laisse Macky Sall et son équipe.
Il s’agit d’une dette colossale dont le service sur les deux ans 2025 - 2027 est de 8125 milliards, la dette intérieure n’est pas prise en compte. Cela veut dire que le gouvernement actuel doit rembourser ces 8125 milliards. Cela veut aussi dire chaque Sénégalais doit payer 477941 frs. Cela ne vous rappelle pas les 400000frs que nous réclamions à cor et à crie il y’a de cela 1 ou 2 années. La dette intérieure cachée n’est pas prise en compte cachée.
Le bilan que tire le FMI sur le 1 semestre de 2024 concerne la gestion de Macky et son gouvernement. En effet Diomaye a été installé en Avril 2024 et a pris les leviers presque à la fin du 2 eme trimestre après les passations de service. Les tentatives de cette presse alimentaire ne font que confirmer le désastre financier et économique hérité de Macky et son équipe.
Pour votre gouverne sur les détournements : la tendance basse indique que 2000 milliards ont été détourné et sont aux mains de pilleurs de nos ressources, la tendance haute situe les vols et détournements à 4000+ milliards. Vivement que le parquet financier se lance sur les traces des fossoyeurs de nos ressources financières.
Venons-en au rapport du FMI : qu’a dit le FMI : un ralentissement de l’économie au 1 er trimestre, un bon journaliste selon moi aurait cherché auprès des acteurs concernés les raisons et les actions à engager pour informer vrai.
Quelle gestion fait l’objet de cette analyse puisqu’on est au 1 trimestre. De toute évidence le constat concerne la gestion de l’ancien régime. Déjà le critère de l’UMOA de plus de 70% du PIB était atteint en 2023, voir le dernier rapport du FMI de 2023.
Donc les tentatives de faire porter le chapeau aux nouveaux dirigeant a fait échec et mat et ne fait que confirmer leurs déclarations sur l’état désastreux de nos finances. J’espère que les nouveau dirigeant vont faire jouer la transparence pour partager avec les sénégalais les graves manquements, gaspillage et détournements des dernières années sous le règne de l’ancien régime.
Plusieurs explications : l’arrêt des travaux dans certains quartiers de Dakar et la reddition des comptes, la prévision de recettes de l’exploitation du pétrole et du gaz qui ne se sont pas réalisés au début de 2024 etc. ce qui montre que les prévisions des recettes en 2024 ne se sont pas réalisé comme prévu. Ce qui a une incidence sur les recettes du budget de 2024
Le FMI a dit la prévision de la croissance du PIB de 7,1 % est projetée à 6.0 % au moment de son analyse soit -1 %. Encore une fois plusieurs raisons peuvent être évoqués ; en premier lieu la razzia des fonds prévus pour le budget de l’année 2024 prévu pour 12 mois qui ont été consommé en 3 mois. Plusieurs ministères ont signalé cet état de fait inconcevables. Les dettes cachées par l’ancien régime et qui sont comptabilisés etc.
En 2023 la croissance du PIB tournait autour de 7% sans un impact dans le bien-être et le panier des ménages. Le FMI parlait encore d’arrêt des subventions. Devrait-on continuer à subventionner quand la progression du PIB touchait les ménages.
La dette de l’administration est supérieure au critère de convergence de l’UMOA soit plus de 70% du PIB. Ce pourcentage est hérité de l’ancien régime il se situait à 70 % sans l’intégration de la dette intérieure cachées non comptabilisé. Sur ce point c’est l’héritage de l’endettement lourd laissé par l’ancien régime dans des éléphants blancs et le financement du fonctionnement de l’administration. Comparaison n’est certes pas raison .la France sur ce ratio est à 110 % de son PIB.
Une bonne lecture du rapport du FMI confirme la mauvaise gestion et le pillage de nos ressources sous la gestion de l’ancien régime en 2023
Par contre le FMI a annoncé la baisse du déficit du compte courant qui passerait à 12,7 % constatée au 1 er trimestre résultant des actions engagées dans le 1 trimestre de 2024.
Comme d’habitude, le FMI a redonné son ordonnance de cheval sur la table : la suppression des subventions, la privatisation, le payement des accumulés de dettes intérieures qui étaient cachées en 2023 et dont hérite le nouveau gouvernement. La question qu’on est en droit de se poser est la suivante : combien de pays ont retrouvé la croissance et la stabilité économique après avoir consommé l’ordonnance du FMI sur les 60 dernières années en Afrique et dans le monde. Cette structure présente dans notre pays depuis plus de 60 ans ne fait que renouveler chaque année l’ordonnance sans guérir le malade. Alors que faire ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors
pour
donner des passeports diplomatiques à leurs épouses
a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de
décridibiliser
davantage le passeport
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Avons-nous des journalistes spécialisés en économie maitrisant le sujet économie ou des apprentis propagandistes et diffuseurs de fausses nouvelles aux ordres ? Heureusement la corporation a, je dirai quelques journalistes compétents maitrisant l’économie et qui ne s’aventurent pas dans des approximations pour donner un point de vue tout à fait à côté de la plaque sur le communiqué du FMI. Beaucoup d’organes de presse ont en première page les perspectives sombrent de l’économie du Sénégal. Je vous ferai l’économie des titres alarmants dont l’analyse et les commentaires sont inexact et souvent mal intentionné. A côté les quelques professionnels de l’information que vous connaissez ont traité le communiqué dans le respect de la déontologie et de l’éthique fondement de l’indépendance du journaliste. La certaine presse oublie de parler du cadeau empoisonné que nous laisse Macky Sall et son équipe. Il s’agit d’une dette colossale dont le service sur les deux ans 2025 - 2027 est de 8125 milliards, la dette intérieure n’est pas prise en compte. Cela veut dire que le gouvernement actuel doit rembourser ces 8125 milliards. Cela veut aussi dire chaque Sénégalais doit payer 477941 frs. Cela ne vous rappelle pas les 400000frs que nous réclamions à cor et à crie il y’a de cela 1 ou 2 années. La dette intérieure cachée n’est pas prise en compte cachée. Le bilan que tire le FMI sur le 1 semestre de 2024 concerne la gestion de Macky et son gouvernement. En effet Diomaye a été installé en Avril 2024 et a pris les leviers presque à la fin du 2 eme trimestre après les passations de service. Les tentatives de cette presse alimentaire ne font que confirmer le désastre financier et économique hérité de Macky et son équipe. Pour votre gouverne sur les détournements : la tendance basse indique que 2000 milliards ont été détourné et sont aux mains de pilleurs de nos ressources, la tendance haute situe les vols et détournements à 4000+ milliards. Vivement que le parquet financier se lance sur les traces des fossoyeurs de nos ressources financières. Venons-en au rapport du FMI : qu’a dit le FMI : un ralentissement de l’économie au 1 er trimestre, un bon journaliste selon moi aurait cherché auprès des acteurs concernés les raisons et les actions à engager pour informer vrai. Quelle gestion fait l’objet de cette analyse puisqu’on est au 1 trimestre. De toute évidence le constat concerne la gestion de l’ancien régime. Déjà le critère de l’UMOA de plus de 70% du PIB était atteint en 2023, voir le dernier rapport du FMI de 2023. Donc les tentatives de faire porter le chapeau aux nouveaux dirigeant a fait échec et mat et ne fait que confirmer leurs déclarations sur l’état désastreux de nos finances. J’espère que les nouveau dirigeant vont faire jouer la transparence pour partager avec les sénégalais les graves manquements, gaspillage et détournements des dernières années sous le règne de l’ancien régime. Plusieurs explications : l’arrêt des travaux dans certains quartiers de Dakar et la reddition des comptes, la prévision de recettes de l’exploitation du pétrole et du gaz qui ne se sont pas réalisés au début de 2024 etc. ce qui montre que les prévisions des recettes en 2024 ne se sont pas réalisé comme prévu. Ce qui a une incidence sur les recettes du budget de 2024 Le FMI a dit la prévision de la croissance du PIB de 7,1 % est projetée à 6.0 % au moment de son analyse soit -1 %. Encore une fois plusieurs raisons peuvent être évoqués ; en premier lieu la razzia des fonds prévus pour le budget de l’année 2024 prévu pour 12 mois qui ont été consommé en 3 mois. Plusieurs ministères ont signalé cet état de fait inconcevables. Les dettes cachées par l’ancien régime et qui sont comptabilisés etc. En 2023 la croissance du PIB tournait autour de 7% sans un impact dans le bien-être et le panier des ménages. Le FMI parlait encore d’arrêt des subventions. Devrait-on continuer à subventionner quand la progression du PIB touchait les ménages. La dette de l’administration est supérieure au critère de convergence de l’UMOA soit plus de 70% du PIB. Ce pourcentage est hérité de l’ancien régime il se situait à 70 % sans l’intégration de la dette intérieure cachées non comptabilisé. Sur ce point c’est l’héritage de l’endettement lourd laissé par l’ancien régime dans des éléphants blancs et le financement du fonctionnement de l’administration. Comparaison n’est certes pas raison .la France sur ce ratio est à 110 % de son PIB. Une bonne lecture du rapport du FMI confirme la mauvaise gestion et le pillage de nos ressources sous la gestion de l’ancien régime en 2023 Par contre le FMI a annoncé la baisse du déficit du compte courant qui passerait à 12,7 % constatée au 1 er trimestre résultant des actions engagées dans le 1 trimestre de 2024. Comme d’habitude, le FMI a redonné son ordonnance de cheval sur la table : la suppression des subventions, la privatisation, le payement des accumulés de dettes intérieures qui étaient cachées en 2023 et dont hérite le nouveau gouvernement. La question qu’on est en droit de se poser est la suivante : combien de pays ont retrouvé la croissance et la stabilité économique après avoir consommé l’ordonnance du FMI sur les 60 dernières années en Afrique et dans le monde. Cette structure présente dans notre pays depuis plus de 60 ans ne fait que renouveler chaque année l’ordonnance sans guérir le malade. Alors que faire ?
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Celui qui est sur la photo mome a l’entendre parler on sait que c’est un inculte et qu’il ne maîtrise rien du du tout à part dire des mensonges.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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