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Saturday 10 May, 2025
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Huis clos du Sénégal : La sanction applicable lors des éliminatoires de la coupe du monde 2026

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La Fédération internationale de Football association (FIFA) a rendu son verdict dans l’affaire opposant les fédérations de football sénégalaise et égyptienne. L’instance dirigeante du football a sanctionné le Sénégal pour les jets d’objets, utilisation de lasers et de fumigènes dans les tribunes et la présence d’une banderole qualifiée “d’offensante”.Conséquence, la fédération sénégalaise de football a été condamnée à payer une amende de 112 millions de FCFA avec un match à huis clos. Sur la deuxième sanction, les officiels n’ont pas encore communiqué sur le match concerné mais selon Me Moustapha Kamara, il s’agirait des matchs FIFA et non de la CAF.« En réalité, c’est le prochain match officiel du Sénégal prévu dans le calendrier des compétitions de la Fifa », explique le docteur en droit du sport, Me Moustapha Kamara dans les colonnes de l’Observateur. Le journal renseigne que leur source est confirmée par le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor. « La suspension va concerner le prochain match de compétition Fifa, donc les éliminatoires de la coupe du monde 2026 », précise le juriste à L’Observateur.
Auteur: Moustapha TOUMBOU
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Comments

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    il y a 3 ans

    Bravo à la FiFa, nous nous croyons toujours supérieurs aux autres !

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    Lib il y a 3 ans

    Mackyberg, l'homme qui veut tuer les réseaux sociaux, par ADAMA GAYE   Il rêve de fermer la page des réseaux sociaux pour être en paix pendant qu'il concocte ses projets antinationaux. Destructeur de valeurs et de mémoire, militant du consensus de cimetière, adepte de la méthode forte, qui tue et emprisonne, architecte de coalitions ethnicistes ou animalières, transhumantes, il ne se sent plus bloqué dans ses calculs funestes que par ces ondes technologiques qu'il avait pourtant identifiées, voici dix ans, mais dont il ne veut plus admettre l'utilité dans la marche des démocraties.    Il est au pied du mur. Coïncé. Malheureux. Impuissant. Gourdin en main, il pense pouvoir rembobiner la courbe ascendante de l'histoire. Son corps massif et sa voix chevrotante détonnent. Pour peu, il inspirerait pitié.   C'est un salaud de première. Découvert. Grâce à ce qui change la face du monde à un rythme jamais envisagé depuis qu'il existe.   De Gutenberg à Zuckerberg, le monde a fait un saut prodigieux dans ce qui est la 4ème révolution industrielle où l'intelligence artificielle, les drônes, les algorithmes, la robotique, et, d'abord, cette techtonique des plaques numériques, foudroyante, ont pris les destinées de l'humanité en mains, pour lui imposer de s'adapter ou d'être disruptée.    L'imprimerie à l'ancienne n'est plus qu'un souvenir. Celle de Gutenberg, l'une des premières avancées de l'être humain à la suite de la première révolution industrielle, voici plus de 4 siècles, autour de la machine à vapeur, n'est plus de saison. Zuckerberg, le rend obsolète.    C'est dire que vouloir détruire la plus significative percée qui fait phosphorer les sociétés humaines est un pari de grande magnitude, mais c'est, sans crainte d'une honte mondiale, ce que veut entreprendre un être surgi du Moyen âge, désireux de fermer tout ce qui relève des progrès scientifiques, technologiques et intellectuelles.    Bienvenue, Mackyberg. Le logiciel Macky est le dernier né d'une furie d'inventions mais c'en est une de malveillante.   Quel revirement il a fallu pour en arriver là....Au commencement, il se flattait d'être l'un des premiers convertis à la puissance du clic, pour faire face au fric et au flic. Son zèle de néophyte était doux à voir alors. Fabuleux même. Tel un chevalier éperonnant un vainqueur des plus grandes courses hippiques, sabre au clair, il faisait beau à voir.    Tout s'éffondrait devant sa mugnificence, et d'abord les électeurs Sénégalais, hommes et femmes confondus, que son panache éblouïssait. Il s'acheminait sans aucune résistance vers les cîmes du pouvoir. Le clic, actionné par des hordes de supporters qui s'étaient enrôlées avec enthousiasme derrière sa cause, faisait des ravages dans le camp d'en face, réduit à constater l'impuissance de son fric et ses flics, ce qui, naguère, furent des armes irresistibles.    Au soir de sa victoire, le 25 mars 2012, qui le portât à la tête du Sénégal, nul n'avait douté un seul instant que les nouvelles autoroutes de l'information y avaient joué un rôle décisif, en plus de s'offrir à sa munificence qu'il semblait dérouler sous les regards d'un monde ébahi par la légende que sa fulgurante ascension politique, masquant ses grands crimes, semblait valider.   Dix ans plus tard, les vents ont totalement tourné. Le clic a laissé la place au crac, sur le chemin inévitable du crash. "Les réseaux sociaux", dit leur défenseur d'un temps guère éloigné, "sont une peste mondiale". "On va y mettre un terme", peste-t-il. "On ne peut pas laisser les gens insulter", précise-t-il dans son français de grand blessé de la première guerre mondiale.   Le revirement est étourdissant. L'homme qui se voulait à la pointe de la modernité retourne brutalement dans les grottes. Et, muni de ses pierres finement taillées, atteint d'une paranoïa proche de la démence, marmonnant à tout vent, le voici qui rêve d'en finir avec ces progrès qu'il ne supporte plus.    Soudain, il ramène en surface ces personnages qui, face aux informations distillées par les premières radios, n'avaient qu'une façon de s'opposer aux flux qui ne leur convenaient pas. Qui était de casser, faisant crasher sur quelque mur, l'appareil radiophonique, c'est-à-dire le messager technologique, de l'information de masse, produit de l'ingéniosité humaine détaché du contenu qu'il portait.    Mackyberg, c'est cet autocrate des temps anciens, d'avant l'acceptation des règles de la diplomatie moderne, dont le réflexe était de capturer, voire tuer, le messager qu'un lointain souverain lui avait envoyé pour lui faire part, avec grâce, de ses intentions de lui déclarer la guerre ou lui faire connaître ses projets envers lui et sa géographie.   Depuis hier, tel Don Quichotte, Mackyberg est déterminé à réduire en poussière cette plateforme moderne dont il s'est servie pour arriver à ses fins pouvoiristes. Cet homme est déloyal. Comme ces égoïstes qui se servent d'une échelle pour monter sur un endroit difficile d'accès avant de la casser pour en priver les autres, encore en bas. En Wolof, il est pire qu'ingrat, énervé -khounn!   En vérité, il y a de quoi! Après avoir multiplié les magouilles pour corrompre tout ce qui bouge, recruté à tort et à travers les forces sociales sensées lui servir d'oppositions, verrouillé les espaces d'expression publique, notamment par le biais des moyens d'information financés par l'argent du contribuable, et eu recours à sa soldatesque dans la magistrature et la sécurité, pour enfermer quiconque lui pose un souci, trouble son sommeil de tyranneau de village, il se croyait en sécurité. Il avait compté sans cette torche du net qui le traque jusque sur sa chaise anglaise. De ses arnaques sur le dos des partenaires bilatéraux, les multinationales, les institutions financières, comme la Banque mondiale ou le FMI, tout est connu. Il est nu. En sueur, sur sa chaise...   Son ultime recours, c'est ce qui le caractérise en homme ayant des muscles à la place du cerveau, pour reprendre Léopold Sédar Senghor.    Il ne lui reste que ça. Il sait que les moyens financiers qu'il dissipe du trésor public ne suffisent plus à arrêter la houle qui monte vers lui pour l'engloutir, dans un avenir proche. Son dernier réflexe est donc d'en finir avec ses contempteurs, en les privant de leur outil de travail.    Son énervement et sa ruse pour y entraîner le reste du monde, en faisant croire que son malheur s'applique à tous les dirigeants de la planète, ont de quoi faire rire.    Tel est cliqué celui qui croyait pouvoir se servir du net avant de casser la mécanique. Il est malheureux. Les salves ne cessent de le réduire, selon son terme, à sa plus simple expression. On expose ses crimes financiers autour des hydrocarbures du Sénégal. Ses magouilles sur le foncier, jusqu'à y mouiller le Secrétaire-Général de l'Organisation des nations-unies (Onu), Antonio Guterres, rentré avant hier, fâché et honteux de s'être laissé piéger par la bande criminelle de Macky avec Madani Tall, Aminata Niane et les fonctionnaires crapuleux de l'organisation qu'il dirige, sont désormais dans l'espace public.    Tous ses plans, montés dans des officines cachés, avec des alliés, présentés en développeurs, tels Mar Thiam, Yérim et la famille Sow, ou encore les surfacturations sur le TER, le BRT et la réhabilitation du Building administratif, sans compter le détournement des fonds Covid-19 au profit de son fils et ses alliés en crime, ou encore le népotisme qui monte en épingle son frère, Monsieur Pétrotim, son beau-frère, Monsieur Ministre des gros contrats et des fermes privatisés, et son épouse, qui conduit des délégations à Dubaï ou se fait attribuer des places, y compris des noms d'espaces publics, sont autant de signes, non-exhaustifs de sa gouvernance sombre que la peste mondiale des réseaux sociaux a permis de mettre au grand jour. Ses mic-macs pour entraîner le continent africain et les dirigeants du reste du monde dans sa cavalcade d'escroc n'ont plus de secret: le monde le découvre tel qu'en lui-même, dans sa vraie nature, dont il a des raisons d'avoir honte...   Pour être plus précis, ce n'est que la pointe visible d'un immense iceberg dont les secrets commencent à sortir petit à petit qui est livrée.    Les milliards de Taïwan, qu'il avait indûment empochés, sont rappelés par les techtoniciens. Ses avoirs sont traçés aux quatre coins de la planète. Ses abus de droit font tréssaillir les forces républicaines, de la justice et de la sécurité, qui ont osé l'y accompagner. Les garde-pénitentiaires parlent des arrestations injustifiées qu'il a organisées en pensant faire taire ses critiques. Ses complots ad hominem pour détruire quiconque se dresse même avec douceur sur la route de son Césarisme et celle de son rêve éveillé d'une présidence à vie, monarchique, sont aussitôt éventrés qu'ils sont noués.   Plus que l'oeil de Caîn, les réseaux sociaux le mettent nu. L'homo-ivrognicus est démasqué. On dirait un de ces lutteurs d'antan dont le Nguimb, le pagne pour couvrir son intimité, se détachait pour livrer ses balles sous les regards médusés. C'est un homme qui a peur. Il sait son impopularité sans limites. Ses coups tordus, avec l'aide de ripoux tels Milouche, Malick Sall et ses semblables, ou les chefs religieux qu'il embarque dans des prêches de paix après avoir semé le désordre, la chienlit, et les déclarations de ses recrues, comme (m) Oustaz Modou Fall, et les photos de transhumants pour se rassurer, participent d'une même réalité aggrandie par les réseaux sociaux: sa déchéance en téléchargement public.    Les réseaux sociaux sont ici pour y demeurer. Thomas Friedman, le théoricien de la mondialisation et l'un des premiers à comprendre leur portée, avait déjà alerté, dans son ouvrage "Le monde est plat" et dans un autre "Merci d'être en retard", soulignant la rapidité des transformations portées par l'internet, qu'il fallait les adopter ou se faire abréger.    Un professeur de Harvard, Warren McFarland, rencontré à Pékin, m'avait convaincu qu'il fallait s'y mettre sans tarder, tandis que le plus grand spécialiste mondial de la disruption, le concepteur de cette idée, le défunt Clayton Christensen, m'avait fait voir à quel point le monde était entré dans une ère où les acquis les plus solides du passé pouvaient être aisément bousculés.   L'inculte Mackyberg, lui, pense pouvoir arrêter la mer avec ses bras. C'est un être fini. Disrupté. Qui s'en va vers ces réseaux sociaux où il sera enterré. Vivant.    Les techtoniciens l'attendent de pied ferme. Dans une forme éblouïssante. Parce qu'ils ont été dopés par le magique but inscrit hier en coupe d'Europe par le Sadio Mané de la nation tandis que lui s'échine à réveiller les vieilles lunes, révolues, de la dictature contre les vents.   Macky Sall, sache-le, le peuple Sénégalais est déterminé à te régler ton compte et à solder tes méfaits...Les réseaux sociaux sont un don de Dieu.   Adama Gaye*, l'un des premiers, avec d'autres, à utiliser les réseaux sociaux au Sénégal, comme moyen de lutte pour la transformation socio-politique du pays, est un opposant politique en exil après une détention illégale, fruit d'un complot du régime de Macky Sall.   PS: Macky Sall, ni question de troisième Mandat ni de victoire frauduleuse aux Législatives ni d'arrestations de tes critiques. Nous sommes debout pour te faire face. Prêts à tout. La magie du clic avec nous...

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    Lib il y a 3 ans

    Mackyberg, l'homme qui veut tuer les réseaux sociaux, par ADAMA GAYE   Il rêve de fermer la page des réseaux sociaux pour être en paix pendant qu'il concocte ses projets antinationaux. Destructeur de valeurs et de mémoire, militant du consensus de cimetière, adepte de la méthode forte, qui tue et emprisonne, architecte de coalitions ethnicistes ou animalières, transhumantes, il ne se sent plus bloqué dans ses calculs funestes que par ces ondes technologiques qu'il avait pourtant identifiées, voici dix ans, mais dont il ne veut plus admettre l'utilité dans la marche des démocraties.    Il est au pied du mur. Coïncé. Malheureux. Impuissant. Gourdin en main, il pense pouvoir rembobiner la courbe ascendante de l'histoire. Son corps massif et sa voix chevrotante détonnent. Pour peu, il inspirerait pitié.   C'est un salaud de première. Découvert. Grâce à ce qui change la face du monde à un rythme jamais envisagé depuis qu'il existe.   De Gutenberg à Zuckerberg, le monde a fait un saut prodigieux dans ce qui est la 4ème révolution industrielle où l'intelligence artificielle, les drônes, les algorithmes, la robotique, et, d'abord, cette techtonique des plaques numériques, foudroyante, ont pris les destinées de l'humanité en mains, pour lui imposer de s'adapter ou d'être disruptée.    L'imprimerie à l'ancienne n'est plus qu'un souvenir. Celle de Gutenberg, l'une des premières avancées de l'être humain à la suite de la première révolution industrielle, voici plus de 4 siècles, autour de la machine à vapeur, n'est plus de saison. Zuckerberg, le rend obsolète.    C'est dire que vouloir détruire la plus significative percée qui fait phosphorer les sociétés humaines est un pari de grande magnitude, mais c'est, sans crainte d'une honte mondiale, ce que veut entreprendre un être surgi du Moyen âge, désireux de fermer tout ce qui relève des progrès scientifiques, technologiques et intellectuelles.    Bienvenue, Mackyberg. Le logiciel Macky est le dernier né d'une furie d'inventions mais c'en est une de malveillante.   Quel revirement il a fallu pour en arriver là....Au commencement, il se flattait d'être l'un des premiers convertis à la puissance du clic, pour faire face au fric et au flic. Son zèle de néophyte était doux à voir alors. Fabuleux même. Tel un chevalier éperonnant un vainqueur des plus grandes courses hippiques, sabre au clair, il faisait beau à voir.    Tout s'éffondrait devant sa mugnificence, et d'abord les électeurs Sénégalais, hommes et femmes confondus, que son panache éblouïssait. Il s'acheminait sans aucune résistance vers les cîmes du pouvoir. Le clic, actionné par des hordes de supporters qui s'étaient enrôlées avec enthousiasme derrière sa cause, faisait des ravages dans le camp d'en face, réduit à constater l'impuissance de son fric et ses flics, ce qui, naguère, furent des armes irresistibles.    Au soir de sa victoire, le 25 mars 2012, qui le portât à la tête du Sénégal, nul n'avait douté un seul instant que les nouvelles autoroutes de l'information y avaient joué un rôle décisif, en plus de s'offrir à sa munificence qu'il semblait dérouler sous les regards d'un monde ébahi par la légende que sa fulgurante ascension politique, masquant ses grands crimes, semblait valider.   Dix ans plus tard, les vents ont totalement tourné. Le clic a laissé la place au crac, sur le chemin inévitable du crash. "Les réseaux sociaux", dit leur défenseur d'un temps guère éloigné, "sont une peste mondiale". "On va y mettre un terme", peste-t-il. "On ne peut pas laisser les gens insulter", précise-t-il dans son français de grand blessé de la première guerre mondiale.   Le revirement est étourdissant. L'homme qui se voulait à la pointe de la modernité retourne brutalement dans les grottes. Et, muni de ses pierres finement taillées, atteint d'une paranoïa proche de la démence, marmonnant à tout vent, le voici qui rêve d'en finir avec ces progrès qu'il ne supporte plus.    Soudain, il ramène en surface ces personnages qui, face aux informations distillées par les premières radios, n'avaient qu'une façon de s'opposer aux flux qui ne leur convenaient pas. Qui était de casser, faisant crasher sur quelque mur, l'appareil radiophonique, c'est-à-dire le messager technologique, de l'information de masse, produit de l'ingéniosité humaine détaché du contenu qu'il portait.    Mackyberg, c'est cet autocrate des temps anciens, d'avant l'acceptation des règles de la diplomatie moderne, dont le réflexe était de capturer, voire tuer, le messager qu'un lointain souverain lui avait envoyé pour lui faire part, avec grâce, de ses intentions de lui déclarer la guerre ou lui faire connaître ses projets envers lui et sa géographie.   Depuis hier, tel Don Quichotte, Mackyberg est déterminé à réduire en poussière cette plateforme moderne dont il s'est servie pour arriver à ses fins pouvoiristes. Cet homme est déloyal. Comme ces égoïstes qui se servent d'une échelle pour monter sur un endroit difficile d'accès avant de la casser pour en priver les autres, encore en bas. En Wolof, il est pire qu'ingrat, énervé -khounn!   En vérité, il y a de quoi! Après avoir multiplié les magouilles pour corrompre tout ce qui bouge, recruté à tort et à travers les forces sociales sensées lui servir d'oppositions, verrouillé les espaces d'expression publique, notamment par le biais des moyens d'information financés par l'argent du contribuable, et eu recours à sa soldatesque dans la magistrature et la sécurité, pour enfermer quiconque lui pose un souci, trouble son sommeil de tyranneau de village, il se croyait en sécurité. Il avait compté sans cette torche du net qui le traque jusque sur sa chaise anglaise. De ses arnaques sur le dos des partenaires bilatéraux, les multinationales, les institutions financières, comme la Banque mondiale ou le FMI, tout est connu. Il est nu. En sueur, sur sa chaise...   Son ultime recours, c'est ce qui le caractérise en homme ayant des muscles à la place du cerveau, pour reprendre Léopold Sédar Senghor.    Il ne lui reste que ça. Il sait que les moyens financiers qu'il dissipe du trésor public ne suffisent plus à arrêter la houle qui monte vers lui pour l'engloutir, dans un avenir proche. Son dernier réflexe est donc d'en finir avec ses contempteurs, en les privant de leur outil de travail.    Son énervement et sa ruse pour y entraîner le reste du monde, en faisant croire que son malheur s'applique à tous les dirigeants de la planète, ont de quoi faire rire.    Tel est cliqué celui qui croyait pouvoir se servir du net avant de casser la mécanique. Il est malheureux. Les salves ne cessent de le réduire, selon son terme, à sa plus simple expression. On expose ses crimes financiers autour des hydrocarbures du Sénégal. Ses magouilles sur le foncier, jusqu'à y mouiller le Secrétaire-Général de l'Organisation des nations-unies (Onu), Antonio Guterres, rentré avant hier, fâché et honteux de s'être laissé piéger par la bande criminelle de Macky avec Madani Tall, Aminata Niane et les fonctionnaires crapuleux de l'organisation qu'il dirige, sont désormais dans l'espace public.    Tous ses plans, montés dans des officines cachés, avec des alliés, présentés en développeurs, tels Mar Thiam, Yérim et la famille Sow, ou encore les surfacturations sur le TER, le BRT et la réhabilitation du Building administratif, sans compter le détournement des fonds Covid-19 au profit de son fils et ses alliés en crime, ou encore le népotisme qui monte en épingle son frère, Monsieur Pétrotim, son beau-frère, Monsieur Ministre des gros contrats et des fermes privatisés, et son épouse, qui conduit des délégations à Dubaï ou se fait attribuer des places, y compris des noms d'espaces publics, sont autant de signes, non-exhaustifs de sa gouvernance sombre que la peste mondiale des réseaux sociaux a permis de mettre au grand jour. Ses mic-macs pour entraîner le continent africain et les dirigeants du reste du monde dans sa cavalcade d'escroc n'ont plus de secret: le monde le découvre tel qu'en lui-même, dans sa vraie nature, dont il a des raisons d'avoir honte...   Pour être plus précis, ce n'est que la pointe visible d'un immense iceberg dont les secrets commencent à sortir petit à petit qui est livrée.    Les milliards de Taïwan, qu'il avait indûment empochés, sont rappelés par les techtoniciens. Ses avoirs sont traçés aux quatre coins de la planète. Ses abus de droit font tréssaillir les forces républicaines, de la justice et de la sécurité, qui ont osé l'y accompagner. Les garde-pénitentiaires parlent des arrestations injustifiées qu'il a organisées en pensant faire taire ses critiques. Ses complots ad hominem pour détruire quiconque se dresse même avec douceur sur la route de son Césarisme et celle de son rêve éveillé d'une présidence à vie, monarchique, sont aussitôt éventrés qu'ils sont noués.   Plus que l'oeil de Caîn, les réseaux sociaux le mettent nu. L'homo-ivrognicus est démasqué. On dirait un de ces lutteurs d'antan dont le Nguimb, le pagne pour couvrir son intimité, se détachait pour livrer ses balles sous les regards médusés. C'est un homme qui a peur. Il sait son impopularité sans limites. Ses coups tordus, avec l'aide de ripoux tels Milouche, Malick Sall et ses semblables, ou les chefs religieux qu'il embarque dans des prêches de paix après avoir semé le désordre, la chienlit, et les déclarations de ses recrues, comme (m) Oustaz Modou Fall, et les photos de transhumants pour se rassurer, participent d'une même réalité aggrandie par les réseaux sociaux: sa déchéance en téléchargement public.    Les réseaux sociaux sont ici pour y demeurer. Thomas Friedman, le théoricien de la mondialisation et l'un des premiers à comprendre leur portée, avait déjà alerté, dans son ouvrage "Le monde est plat" et dans un autre "Merci d'être en retard", soulignant la rapidité des transformations portées par l'internet, qu'il fallait les adopter ou se faire abréger.    Un professeur de Harvard, Warren McFarland, rencontré à Pékin, m'avait convaincu qu'il fallait s'y mettre sans tarder, tandis que le plus grand spécialiste mondial de la disruption, le concepteur de cette idée, le défunt Clayton Christensen, m'avait fait voir à quel point le monde était entré dans une ère où les acquis les plus solides du passé pouvaient être aisément bousculés.   L'inculte Mackyberg, lui, pense pouvoir arrêter la mer avec ses bras. C'est un être fini. Disrupté. Qui s'en va vers ces réseaux sociaux où il sera enterré. Vivant.    Les techtoniciens l'attendent de pied ferme. Dans une forme éblouïssante. Parce qu'ils ont été dopés par le magique but inscrit hier en coupe d'Europe par le Sadio Mané de la nation tandis que lui s'échine à réveiller les vieilles lunes, révolues, de la dictature contre les vents.   Macky Sall, sache-le, le peuple Sénégalais est déterminé à te régler ton compte et à solder tes méfaits...Les réseaux sociaux sont un don de Dieu.   Adama Gaye*, l'un des premiers, avec d'autres, à utiliser les réseaux sociaux au Sénégal, comme moyen de lutte pour la transformation socio-politique du pays, est un opposant politique en exil après une détention illégale, fruit d'un complot du régime de Macky Sall.   PS: Macky Sall, ni question de troisième Mandat ni de victoire frauduleuse aux Législatives ni d'arrestations de tes critiques. Nous sommes debout pour te faire face. Prêts à tout. La magie du clic avec nous...

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    Lib il y a 3 ans

    Mackyberg, l'homme qui veut tuer les réseaux sociaux, par ADAMA GAYE   Il rêve de fermer la page des réseaux sociaux pour être en paix pendant qu'il concocte ses projets antinationaux. Destructeur de valeurs et de mémoire, militant du consensus de cimetière, adepte de la méthode forte, qui tue et emprisonne, architecte de coalitions ethnicistes ou animalières, transhumantes, il ne se sent plus bloqué dans ses calculs funestes que par ces ondes technologiques qu'il avait pourtant identifiées, voici dix ans, mais dont il ne veut plus admettre l'utilité dans la marche des démocraties.    Il est au pied du mur. Coïncé. Malheureux. Impuissant. Gourdin en main, il pense pouvoir rembobiner la courbe ascendante de l'histoire. Son corps massif et sa voix chevrotante détonnent. Pour peu, il inspirerait pitié.   C'est un salaud de première. Découvert. Grâce à ce qui change la face du monde à un rythme jamais envisagé depuis qu'il existe.   De Gutenberg à Zuckerberg, le monde a fait un saut prodigieux dans ce qui est la 4ème révolution industrielle où l'intelligence artificielle, les drônes, les algorithmes, la robotique, et, d'abord, cette techtonique des plaques numériques, foudroyante, ont pris les destinées de l'humanité en mains, pour lui imposer de s'adapter ou d'être disruptée.    L'imprimerie à l'ancienne n'est plus qu'un souvenir. Celle de Gutenberg, l'une des premières avancées de l'être humain à la suite de la première révolution industrielle, voici plus de 4 siècles, autour de la machine à vapeur, n'est plus de saison. Zuckerberg, le rend obsolète.    C'est dire que vouloir détruire la plus significative percée qui fait phosphorer les sociétés humaines est un pari de grande magnitude, mais c'est, sans crainte d'une honte mondiale, ce que veut entreprendre un être surgi du Moyen âge, désireux de fermer tout ce qui relève des progrès scientifiques, technologiques et intellectuelles.    Bienvenue, Mackyberg. Le logiciel Macky est le dernier né d'une furie d'inventions mais c'en est une de malveillante.   Quel revirement il a fallu pour en arriver là....Au commencement, il se flattait d'être l'un des premiers convertis à la puissance du clic, pour faire face au fric et au flic. Son zèle de néophyte était doux à voir alors. Fabuleux même. Tel un chevalier éperonnant un vainqueur des plus grandes courses hippiques, sabre au clair, il faisait beau à voir.    Tout s'éffondrait devant sa mugnificence, et d'abord les électeurs Sénégalais, hommes et femmes confondus, que son panache éblouïssait. Il s'acheminait sans aucune résistance vers les cîmes du pouvoir. Le clic, actionné par des hordes de supporters qui s'étaient enrôlées avec enthousiasme derrière sa cause, faisait des ravages dans le camp d'en face, réduit à constater l'impuissance de son fric et ses flics, ce qui, naguère, furent des armes irresistibles.    Au soir de sa victoire, le 25 mars 2012, qui le portât à la tête du Sénégal, nul n'avait douté un seul instant que les nouvelles autoroutes de l'information y avaient joué un rôle décisif, en plus de s'offrir à sa munificence qu'il semblait dérouler sous les regards d'un monde ébahi par la légende que sa fulgurante ascension politique, masquant ses grands crimes, semblait valider.   Dix ans plus tard, les vents ont totalement tourné. Le clic a laissé la place au crac, sur le chemin inévitable du crash. "Les réseaux sociaux", dit leur défenseur d'un temps guère éloigné, "sont une peste mondiale". "On va y mettre un terme", peste-t-il. "On ne peut pas laisser les gens insulter", précise-t-il dans son français de grand blessé de la première guerre mondiale.   Le revirement est étourdissant. L'homme qui se voulait à la pointe de la modernité retourne brutalement dans les grottes. Et, muni de ses pierres finement taillées, atteint d'une paranoïa proche de la démence, marmonnant à tout vent, le voici qui rêve d'en finir avec ces progrès qu'il ne supporte plus.    Soudain, il ramène en surface ces personnages qui, face aux informations distillées par les premières radios, n'avaient qu'une façon de s'opposer aux flux qui ne leur convenaient pas. Qui était de casser, faisant crasher sur quelque mur, l'appareil radiophonique, c'est-à-dire le messager technologique, de l'information de masse, produit de l'ingéniosité humaine détaché du contenu qu'il portait.    Mackyberg, c'est cet autocrate des temps anciens, d'avant l'acceptation des règles de la diplomatie moderne, dont le réflexe était de capturer, voire tuer, le messager qu'un lointain souverain lui avait envoyé pour lui faire part, avec grâce, de ses intentions de lui déclarer la guerre ou lui faire connaître ses projets envers lui et sa géographie.   Depuis hier, tel Don Quichotte, Mackyberg est déterminé à réduire en poussière cette plateforme moderne dont il s'est servie pour arriver à ses fins pouvoiristes. Cet homme est déloyal. Comme ces égoïstes qui se servent d'une échelle pour monter sur un endroit difficile d'accès avant de la casser pour en priver les autres, encore en bas. En Wolof, il est pire qu'ingrat, énervé -khounn!   En vérité, il y a de quoi! Après avoir multiplié les magouilles pour corrompre tout ce qui bouge, recruté à tort et à travers les forces sociales sensées lui servir d'oppositions, verrouillé les espaces d'expression publique, notamment par le biais des moyens d'information financés par l'argent du contribuable, et eu recours à sa soldatesque dans la magistrature et la sécurité, pour enfermer quiconque lui pose un souci, trouble son sommeil de tyranneau de village, il se croyait en sécurité. Il avait compté sans cette torche du net qui le traque jusque sur sa chaise anglaise. De ses arnaques sur le dos des partenaires bilatéraux, les multinationales, les institutions financières, comme la Banque mondiale ou le FMI, tout est connu. Il est nu. En sueur, sur sa chaise...   Son ultime recours, c'est ce qui le caractérise en homme ayant des muscles à la place du cerveau, pour reprendre Léopold Sédar Senghor.    Il ne lui reste que ça. Il sait que les moyens financiers qu'il dissipe du trésor public ne suffisent plus à arrêter la houle qui monte vers lui pour l'engloutir, dans un avenir proche. Son dernier réflexe est donc d'en finir avec ses contempteurs, en les privant de leur outil de travail.    Son énervement et sa ruse pour y entraîner le reste du monde, en faisant croire que son malheur s'applique à tous les dirigeants de la planète, ont de quoi faire rire.    Tel est cliqué celui qui croyait pouvoir se servir du net avant de casser la mécanique. Il est malheureux. Les salves ne cessent de le réduire, selon son terme, à sa plus simple expression. On expose ses crimes financiers autour des hydrocarbures du Sénégal. Ses magouilles sur le foncier, jusqu'à y mouiller le Secrétaire-Général de l'Organisation des nations-unies (Onu), Antonio Guterres, rentré avant hier, fâché et honteux de s'être laissé piéger par la bande criminelle de Macky avec Madani Tall, Aminata Niane et les fonctionnaires crapuleux de l'organisation qu'il dirige, sont désormais dans l'espace public.    Tous ses plans, montés dans des officines cachés, avec des alliés, présentés en développeurs, tels Mar Thiam, Yérim et la famille Sow, ou encore les surfacturations sur le TER, le BRT et la réhabilitation du Building administratif, sans compter le détournement des fonds Covid-19 au profit de son fils et ses alliés en crime, ou encore le népotisme qui monte en épingle son frère, Monsieur Pétrotim, son beau-frère, Monsieur Ministre des gros contrats et des fermes privatisés, et son épouse, qui conduit des délégations à Dubaï ou se fait attribuer des places, y compris des noms d'espaces publics, sont autant de signes, non-exhaustifs de sa gouvernance sombre que la peste mondiale des réseaux sociaux a permis de mettre au grand jour. Ses mic-macs pour entraîner le continent africain et les dirigeants du reste du monde dans sa cavalcade d'escroc n'ont plus de secret: le monde le découvre tel qu'en lui-même, dans sa vraie nature, dont il a des raisons d'avoir honte...   Pour être plus précis, ce n'est que la pointe visible d'un immense iceberg dont les secrets commencent à sortir petit à petit qui est livrée.    Les milliards de Taïwan, qu'il avait indûment empochés, sont rappelés par les techtoniciens. Ses avoirs sont traçés aux quatre coins de la planète. Ses abus de droit font tréssaillir les forces républicaines, de la justice et de la sécurité, qui ont osé l'y accompagner. Les garde-pénitentiaires parlent des arrestations injustifiées qu'il a organisées en pensant faire taire ses critiques. Ses complots ad hominem pour détruire quiconque se dresse même avec douceur sur la route de son Césarisme et celle de son rêve éveillé d'une présidence à vie, monarchique, sont aussitôt éventrés qu'ils sont noués.   Plus que l'oeil de Caîn, les réseaux sociaux le mettent nu. L'homo-ivrognicus est démasqué. On dirait un de ces lutteurs d'antan dont le Nguimb, le pagne pour couvrir son intimité, se détachait pour livrer ses balles sous les regards médusés. C'est un homme qui a peur. Il sait son impopularité sans limites. Ses coups tordus, avec l'aide de ripoux tels Milouche, Malick Sall et ses semblables, ou les chefs religieux qu'il embarque dans des prêches de paix après avoir semé le désordre, la chienlit, et les déclarations de ses recrues, comme (m) Oustaz Modou Fall, et les photos de transhumants pour se rassurer, participent d'une même réalité aggrandie par les réseaux sociaux: sa déchéance en téléchargement public.    Les réseaux sociaux sont ici pour y demeurer. Thomas Friedman, le théoricien de la mondialisation et l'un des premiers à comprendre leur portée, avait déjà alerté, dans son ouvrage "Le monde est plat" et dans un autre "Merci d'être en retard", soulignant la rapidité des transformations portées par l'internet, qu'il fallait les adopter ou se faire abréger.    Un professeur de Harvard, Warren McFarland, rencontré à Pékin, m'avait convaincu qu'il fallait s'y mettre sans tarder, tandis que le plus grand spécialiste mondial de la disruption, le concepteur de cette idée, le défunt Clayton Christensen, m'avait fait voir à quel point le monde était entré dans une ère où les acquis les plus solides du passé pouvaient être aisément bousculés.   L'inculte Mackyberg, lui, pense pouvoir arrêter la mer avec ses bras. C'est un être fini. Disrupté. Qui s'en va vers ces réseaux sociaux où il sera enterré. Vivant.    Les techtoniciens l'attendent de pied ferme. Dans une forme éblouïssante. Parce qu'ils ont été dopés par le magique but inscrit hier en coupe d'Europe par le Sadio Mané de la nation tandis que lui s'échine à réveiller les vieilles lunes, révolues, de la dictature contre les vents.   Macky Sall, sache-le, le peuple Sénégalais est déterminé à te régler ton compte et à solder tes méfaits...Les réseaux sociaux sont un don de Dieu.   Adama Gaye*, l'un des premiers, avec d'autres, à utiliser les réseaux sociaux au Sénégal, comme moyen de lutte pour la transformation socio-politique du pays, est un opposant politique en exil après une détention illégale, fruit d'un complot du régime de Macky Sall.   PS: Macky Sall, ni question de troisième Mandat ni de victoire frauduleuse aux Législatives ni d'arrestations de tes critiques. Nous sommes debout pour te faire face. Prêts à tout. La magie du clic avec nous...

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    Lib il y a 3 ans

    Mackyberg, l'homme qui veut tuer les réseaux sociaux, par ADAMA GAYE   Il rêve de fermer la page des réseaux sociaux pour être en paix pendant qu'il concocte ses projets antinationaux. Destructeur de valeurs et de mémoire, militant du consensus de cimetière, adepte de la méthode forte, qui tue et emprisonne, architecte de coalitions ethnicistes ou animalières, transhumantes, il ne se sent plus bloqué dans ses calculs funestes que par ces ondes technologiques qu'il avait pourtant identifiées, voici dix ans, mais dont il ne veut plus admettre l'utilité dans la marche des démocraties.    Il est au pied du mur. Coïncé. Malheureux. Impuissant. Gourdin en main, il pense pouvoir rembobiner la courbe ascendante de l'histoire. Son corps massif et sa voix chevrotante détonnent. Pour peu, il inspirerait pitié.   C'est un salaud de première. Découvert. Grâce à ce qui change la face du monde à un rythme jamais envisagé depuis qu'il existe.   De Gutenberg à Zuckerberg, le monde a fait un saut prodigieux dans ce qui est la 4ème révolution industrielle où l'intelligence artificielle, les drônes, les algorithmes, la robotique, et, d'abord, cette techtonique des plaques numériques, foudroyante, ont pris les destinées de l'humanité en mains, pour lui imposer de s'adapter ou d'être disruptée.    L'imprimerie à l'ancienne n'est plus qu'un souvenir. Celle de Gutenberg, l'une des premières avancées de l'être humain à la suite de la première révolution industrielle, voici plus de 4 siècles, autour de la machine à vapeur, n'est plus de saison. Zuckerberg, le rend obsolète.    C'est dire que vouloir détruire la plus significative percée qui fait phosphorer les sociétés humaines est un pari de grande magnitude, mais c'est, sans crainte d'une honte mondiale, ce que veut entreprendre un être surgi du Moyen âge, désireux de fermer tout ce qui relève des progrès scientifiques, technologiques et intellectuelles.    Bienvenue, Mackyberg. Le logiciel Macky est le dernier né d'une furie d'inventions mais c'en est une de malveillante.   Quel revirement il a fallu pour en arriver là....Au commencement, il se flattait d'être l'un des premiers convertis à la puissance du clic, pour faire face au fric et au flic. Son zèle de néophyte était doux à voir alors. Fabuleux même. Tel un chevalier éperonnant un vainqueur des plus grandes courses hippiques, sabre au clair, il faisait beau à voir.    Tout s'éffondrait devant sa mugnificence, et d'abord les électeurs Sénégalais, hommes et femmes confondus, que son panache éblouïssait. Il s'acheminait sans aucune résistance vers les cîmes du pouvoir. Le clic, actionné par des hordes de supporters qui s'étaient enrôlées avec enthousiasme derrière sa cause, faisait des ravages dans le camp d'en face, réduit à constater l'impuissance de son fric et ses flics, ce qui, naguère, furent des armes irresistibles.    Au soir de sa victoire, le 25 mars 2012, qui le portât à la tête du Sénégal, nul n'avait douté un seul instant que les nouvelles autoroutes de l'information y avaient joué un rôle décisif, en plus de s'offrir à sa munificence qu'il semblait dérouler sous les regards d'un monde ébahi par la légende que sa fulgurante ascension politique, masquant ses grands crimes, semblait valider.   Dix ans plus tard, les vents ont totalement tourné. Le clic a laissé la place au crac, sur le chemin inévitable du crash. "Les réseaux sociaux", dit leur défenseur d'un temps guère éloigné, "sont une peste mondiale". "On va y mettre un terme", peste-t-il. "On ne peut pas laisser les gens insulter", précise-t-il dans son français de grand blessé de la première guerre mondiale.   Le revirement est étourdissant. L'homme qui se voulait à la pointe de la modernité retourne brutalement dans les grottes. Et, muni de ses pierres finement taillées, atteint d'une paranoïa proche de la démence, marmonnant à tout vent, le voici qui rêve d'en finir avec ces progrès qu'il ne supporte plus.    Soudain, il ramène en surface ces personnages qui, face aux informations distillées par les premières radios, n'avaient qu'une façon de s'opposer aux flux qui ne leur convenaient pas. Qui était de casser, faisant crasher sur quelque mur, l'appareil radiophonique, c'est-à-dire le messager technologique, de l'information de masse, produit de l'ingéniosité humaine détaché du contenu qu'il portait.    Mackyberg, c'est cet autocrate des temps anciens, d'avant l'acceptation des règles de la diplomatie moderne, dont le réflexe était de capturer, voire tuer, le messager qu'un lointain souverain lui avait envoyé pour lui faire part, avec grâce, de ses intentions de lui déclarer la guerre ou lui faire connaître ses projets envers lui et sa géographie.   Depuis hier, tel Don Quichotte, Mackyberg est déterminé à réduire en poussière cette plateforme moderne dont il s'est servie pour arriver à ses fins pouvoiristes. Cet homme est déloyal. Comme ces égoïstes qui se servent d'une échelle pour monter sur un endroit difficile d'accès avant de la casser pour en priver les autres, encore en bas. En Wolof, il est pire qu'ingrat, énervé -khounn!   En vérité, il y a de quoi! Après avoir multiplié les magouilles pour corrompre tout ce qui bouge, recruté à tort et à travers les forces sociales sensées lui servir d'oppositions, verrouillé les espaces d'expression publique, notamment par le biais des moyens d'information financés par l'argent du contribuable, et eu recours à sa soldatesque dans la magistrature et la sécurité, pour enfermer quiconque lui pose un souci, trouble son sommeil de tyranneau de village, il se croyait en sécurité. Il avait compté sans cette torche du net qui le traque jusque sur sa chaise anglaise. De ses arnaques sur le dos des partenaires bilatéraux, les multinationales, les institutions financières, comme la Banque mondiale ou le FMI, tout est connu. Il est nu. En sueur, sur sa chaise...   Son ultime recours, c'est ce qui le caractérise en homme ayant des muscles à la place du cerveau, pour reprendre Léopold Sédar Senghor.    Il ne lui reste que ça. Il sait que les moyens financiers qu'il dissipe du trésor public ne suffisent plus à arrêter la houle qui monte vers lui pour l'engloutir, dans un avenir proche. Son dernier réflexe est donc d'en finir avec ses contempteurs, en les privant de leur outil de travail.    Son énervement et sa ruse pour y entraîner le reste du monde, en faisant croire que son malheur s'applique à tous les dirigeants de la planète, ont de quoi faire rire.    Tel est cliqué celui qui croyait pouvoir se servir du net avant de casser la mécanique. Il est malheureux. Les salves ne cessent de le réduire, selon son terme, à sa plus simple expression. On expose ses crimes financiers autour des hydrocarbures du Sénégal. Ses magouilles sur le foncier, jusqu'à y mouiller le Secrétaire-Général de l'Organisation des nations-unies (Onu), Antonio Guterres, rentré avant hier, fâché et honteux de s'être laissé piéger par la bande criminelle de Macky avec Madani Tall, Aminata Niane et les fonctionnaires crapuleux de l'organisation qu'il dirige, sont désormais dans l'espace public.    Tous ses plans, montés dans des officines cachés, avec des alliés, présentés en développeurs, tels Mar Thiam, Yérim et la famille Sow, ou encore les surfacturations sur le TER, le BRT et la réhabilitation du Building administratif, sans compter le détournement des fonds Covid-19 au profit de son fils et ses alliés en crime, ou encore le népotisme qui monte en épingle son frère, Monsieur Pétrotim, son beau-frère, Monsieur Ministre des gros contrats et des fermes privatisés, et son épouse, qui conduit des délégations à Dubaï ou se fait attribuer des places, y compris des noms d'espaces publics, sont autant de signes, non-exhaustifs de sa gouvernance sombre que la peste mondiale des réseaux sociaux a permis de mettre au grand jour. Ses mic-macs pour entraîner le continent africain et les dirigeants du reste du monde dans sa cavalcade d'escroc n'ont plus de secret: le monde le découvre tel qu'en lui-même, dans sa vraie nature, dont il a des raisons d'avoir honte...   Pour être plus précis, ce n'est que la pointe visible d'un immense iceberg dont les secrets commencent à sortir petit à petit qui est livrée.    Les milliards de Taïwan, qu'il avait indûment empochés, sont rappelés par les techtoniciens. Ses avoirs sont traçés aux quatre coins de la planète. Ses abus de droit font tréssaillir les forces républicaines, de la justice et de la sécurité, qui ont osé l'y accompagner. Les garde-pénitentiaires parlent des arrestations injustifiées qu'il a organisées en pensant faire taire ses critiques. Ses complots ad hominem pour détruire quiconque se dresse même avec douceur sur la route de son Césarisme et celle de son rêve éveillé d'une présidence à vie, monarchique, sont aussitôt éventrés qu'ils sont noués.   Plus que l'oeil de Caîn, les réseaux sociaux le mettent nu. L'homo-ivrognicus est démasqué. On dirait un de ces lutteurs d'antan dont le Nguimb, le pagne pour couvrir son intimité, se détachait pour livrer ses balles sous les regards médusés. C'est un homme qui a peur. Il sait son impopularité sans limites. Ses coups tordus, avec l'aide de ripoux tels Milouche, Malick Sall et ses semblables, ou les chefs religieux qu'il embarque dans des prêches de paix après avoir semé le désordre, la chienlit, et les déclarations de ses recrues, comme (m) Oustaz Modou Fall, et les photos de transhumants pour se rassurer, participent d'une même réalité aggrandie par les réseaux sociaux: sa déchéance en téléchargement public.    Les réseaux sociaux sont ici pour y demeurer. Thomas Friedman, le théoricien de la mondialisation et l'un des premiers à comprendre leur portée, avait déjà alerté, dans son ouvrage "Le monde est plat" et dans un autre "Merci d'être en retard", soulignant la rapidité des transformations portées par l'internet, qu'il fallait les adopter ou se faire abréger.    Un professeur de Harvard, Warren McFarland, rencontré à Pékin, m'avait convaincu qu'il fallait s'y mettre sans tarder, tandis que le plus grand spécialiste mondial de la disruption, le concepteur de cette idée, le défunt Clayton Christensen, m'avait fait voir à quel point le monde était entré dans une ère où les acquis les plus solides du passé pouvaient être aisément bousculés.   L'inculte Mackyberg, lui, pense pouvoir arrêter la mer avec ses bras. C'est un être fini. Disrupté. Qui s'en va vers ces réseaux sociaux où il sera enterré. Vivant.    Les techtoniciens l'attendent de pied ferme. Dans une forme éblouïssante. Parce qu'ils ont été dopés par le magique but inscrit hier en coupe d'Europe par le Sadio Mané de la nation tandis que lui s'échine à réveiller les vieilles lunes, révolues, de la dictature contre les vents.   Macky Sall, sache-le, le peuple Sénégalais est déterminé à te régler ton compte et à solder tes méfaits...Les réseaux sociaux sont un don de Dieu.   Adama Gaye*, l'un des premiers, avec d'autres, à utiliser les réseaux sociaux au Sénégal, comme moyen de lutte pour la transformation socio-politique du pays, est un opposant politique en exil après une détention illégale, fruit d'un complot du régime de Macky Sall.   PS: Macky Sall, ni question de troisième Mandat ni de victoire frauduleuse aux Législatives ni d'arrestations de tes critiques. Nous sommes debout pour te faire face. Prêts à tout. La magie du clic avec nous...

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    il y a 3 ans

    it's doesn't matter  il faut introduire un recours pour alléger les sanctions ensuite personne n'a encore donner réponse a ma question. la suspension concerne seulement l'stade Abdoulaye Wade de Diamniadio où c'est l'ensemble des stades du Sénégal 

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    il y a 3 ans

    Le président de la FSF à été trop passif concernant ce dossier. Pendant que l’Egypte préparait son dossier, lui et ses acolytes étaient entrain de se partager, comme des hyènes, l’argent généré par la CAN et la qualification à la coupe du monde. Ils devraient payer les sanctions financières de leur poche et nous foutre la paix. Je demande toujours à quoi sert cette fédération.

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    reply_author il y a 3 ans

    Mais où sont les avocats des sénégalais ??? Fi diplomatie amoul fi une sérieuse bataille judiciaire s'impose avec un pool d'avocats renommés.  Il faut porter plainte contre l'Égypte pour l'aller ET faire appel de la décision de la fifa. Que fout la fédération sénégalaise ???? Ani ministre bi ??!!!!! Vous regardez notre victoire se faire salir comme ça ? Vous vous laissez faire alors qu'il y aurait eu même des insultes racistes des Egyptiens à l'allée !! Ce qui est plus grave que des lasers. So len gagner woul bi combat les Sénégalais vous en voudront. 

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    il y a 3 ans

    Recours ou cotisations des supporters des sanctions disproportionnées pour plaire à l Égypte qui se cache derrière cette plante pour masquer l échec de même que l Algérie battu devant tout le monde la Var qui a refuse des buts litigieux que l arbitre avait accordé ils doivent changer de comportement quand les équipes viennent jouer la bas car tout le monde va faire comme eux ils ont tellement fait mal en club et autres le mal accueil c est leurs habitudes pour gagner de vrai manipulateurs 

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    il y a 3 ans

    il faut récuperer les 50 Millions offerts gracieusment à chacun des membres de la fédération lors de la victoire du Sénégal à la CAN pour payer la sanction imposée par la FIFA qu'il faudra impérativement diminuer. 1/5 de ce montant, nous pourrions sans nul doute  nous acquitter.    Cependant la somme récoltée en billéterie lors du match Sénégal  vs Egypte peut payer l'amende infligée par la FIFA

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    il y a 3 ans

    LOGIQUE POUR ARRETER LES DERIVES

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    reply_author il y a 3 ans

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    reply_author il y a 3 ans

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    Hé! il y a 3 ans

    J'espère que le commentateur d'une radio qui appelait à l'utilisation des lampes lasers est content!!    Aussi, construire ce stade sous ce format, c'est une erreur. Notre population est trop indisciplinée pour se tenir correctement. Et c'est pas fini!  Vous verrez quand les 2 roues envahiront la voie exclusivement réservée au BRT. 

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    reply_author il y a 3 ans

    C'est une sanction donc ca concerne tous les stades, le huis clos y sera appliqué. Le principe de base d'une sanction.

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    reply_author il y a 3 ans

    C'est une sanction donc ca concerne tous les stades, le huis clos y sera appliqué. Le principe de base d'une sanction.

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    il y a 3 ans

    Je ne comprends pas cette fédération. Gouverner, c'est prévoir elle aurait dû porter plainte à l'Égypte des la fin du match à l'aller. Maintenant voilà les conséquences 

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    MFALL il y a 3 ans

    D'accord avec vous ce dossier n'a pas été pris au sérieux par la FSF .Au lieu de préparer leur dossier comme l'Égypte l'a fait la fédération à laissé le champ libre aux égyptiens d'argumenter leurs leur dossier. Voilà le résultat !!

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    il y a 3 ans

    Suspension en quoi ? Vraiment Seneweb, vous êtes nuls en communication. Rien n'est clair sur cette information.

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    Supporter il y a 3 ans

    Moi je pense qu'il faut mettre des grillages autour du terrain comme ça existe dans beaucoup de Stade de ce Format en Europe.

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    Supporter il y a 3 ans

    Moi je pense qu'il faut mettre des grillages autour du terrain comme ça existe dans beaucoup de Stade de ce Format en Europe.

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    il y a 3 ans

    Cette suspension vaut le coup d'aller en coupe du monde. Notre mauvais comportement ce jour là sera retenu par tous les supporters qui s'aventureraient à nous manquer de respect aux matchs aller

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    reply_author il y a 3 ans

    Bon idée

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    il y a 2 ans

    B­o­­­n­­j­­­o­­­u­­r, j­­e m'a­p­­p­­­e­lle Alisia, j'ai 21 ans) Dé­­bu­­­t du mo­­­dèle S­­­E­­­X­E 18+) J'a­­ime êt­re photo­­­grap­­­hiée n­u­e) Veuil­­­lez noter me­­s phot­­os à l'adr­­esse su­­­iva­nte >> W­­­W­­­W­­.­­X­2­1.­­F­­­U­N

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    il y a 2 ans

    B­­o­­n­j­­­o­­u­­r, j­­e m'a­­p­p­­e­­­lle Alissia, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­bu­­­t du mo­dè­­­le S­­E­­­X­­E 18+) J'a­­ime êt­re pho­to­­­grap­­­hi­ée n­­­u­e) V­­e­­u­i­l­­­lez no­ter me­s phot­os à l'adr­­­esse su­i­­va­­nte ->>> W­­W­W­.­­X­­­2­1.­­F­U­N id04502257

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