Le sommet entre Novak Djokovic et Carlos Alcaraz a tourné à l'avantage du Serbe. L'homme aux 24 couronnes en Majeur s'est imposé, ce mardi, face à l'Espagnol au terme d'un match souvent décousu (4-6, 6-4, 6-3, 6-4). En demi-finales, pour sa 50e dans le dernier carré d'un Grand Chelem, il sera opposé à Alexander Zverev.
C'est peu de dire que la case était cochée sur le calendrier. Dès que le tirage au sort est tombé, cette confrontation entre Novak Djokovic et Carlos Alcaraz (déjà la huitième) faisait figure d'affiche de la deuxième semaine de l'Open d'Australie. Il ne pouvait en être autrement de par le jeu, la personnalité et la rivalité entre les deux hommes. Et par les enjeux qui dépassent ce simple quart de finale.
Pour Novak Djokovic, redescendu au septième rang des têtes de série, il s'agissait de rester dans la course face à une nouvelle génération, certes respectueuse, mais qui n'hésite pas à lui marcher dessus dès que possible. Et puis il y a cette quête du 25e titre du Grand Chelem qui le placerait seul au sommet de l'histoire du tennis. Bref, l'homme est en mission et il a mis toutes les chances de son côté en arrivant tôt en Australie (il a disputé le tournoi de Brisbane) et en intégrant Andy Murray à son équipe. Pour Alcaraz, il s'agissait de viser le Grand Chelem en carrière (à seulement 21 ans) et de performer, enfin, dans un tournoi où il n'a pas encore dépassé les quarts de finale. Tout sauf un match anodin, donc.
Ce contexte et ces enjeux expliquaient probablement l'énorme tension qui pesait sur les premiers jeux, notamment chez un Alcaraz qui peinait à se libérer. D'ailleurs, l'Espagnol ne s'est jamais vraiment installé dans ce match qui est tombé dans l'escarcelle du plus âgé des deux joueurs (37 ans). Dès les premiers échanges, Djokovic a donné l'impression d'être dans sa bulle, sûr de ses coups et de ce qu'il devait faire sur le court. Tout l'opposé d'un Alcaraz qui commençait en faisant de grosses fautes et dont on n'allait jamais voir le schéma tactique, si tant est qu'il y en avait un, se dessiner.
Auteur: lequipe.fr
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Le refus des poisons vaccins covid19 lui porte vraiment bonheur, malgré la tentative d'empoisonnement pour pouvoir faire écrire à des médias qu'il est atteint de covid pour avoir refusé le vaccin. Pendant ce temps, ses différents confrères tennismen continuent de s'écrouler sur le terrain de problèmes cardiaques pour pris le vaccin, et dans le silence total des médias.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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