Proposé au poste de directeur technique du Basketball sénégalais, Moustapha Gaye se dit conscient du travail qui l'attend. Il compte sur le soutien de tous les acteurs du Basketball sénégalais pour relever le défi.
« je suis très content que la Fédération sénégalaise de Basketball ait pensé à ma modeste personne pour cette mission tellement importante. Je remercie monsieur Babacar Ndiaye et son staff pour la confiance placée en ma personne. Mon prédécesseur a fait un immense travail, c'est un monument du Basket. Maintenant, c'est le moment, dès les jours à venir, de se concentrer sur ce qu'on doit faire en attendant la confirmation’’, soutien-t-il sur Sud Fm.
Moustapha Gaye est nommé dans un contexte où le basketball sénégalais est en difficulté. Coach Gaye, prudent, préfère en parler plus tard en attendant la confirmation et la lettre de mission du ministre des Sports.
ENCORE LUI ?
Décidément, le moins que l'on puisse dire de la fédération sénégalaise de basket c'est qu'elle est constante dans son entêtement et sa médiocrité. Ils ont viré Adidas pour mettre à la place un gugus qui n'a pas arrêté d'être ridicule sur le banc. Ridicules nous avons été avec lui. Voilà qu'on le promeut DTN en en virant un qui n'est pas un incompétent du tout. Je vois que la politique inspire bien tous les pans de notre société : on met les médiocres devant ! Au moins, avec eux personne ne nous parle d'exigence et encore moins de moyens pour faire avancer le schmiblik. Ah, le Sénégal du basket ! Il faut avoir une mémoire d'éléphant pour savoir ce que cela pouvait dire et surtout longue vie pour avoir la chance de le revoir.
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ENCORE LUI ?
Décidément, le moins que l'on puisse dire de la fédération sénégalaise de basket c'est qu'elle est constante dans son entêtement et sa médiocrité. Ils ont viré Adidas pour mettre à la place un gugus qui n'a pas arrêté d'être ridicule sur le banc. Ridicules nous avons été avec lui. Voilà qu'on le promeut DTN en en virant un qui n'est pas un incompétent du tout. Je vois que la politique inspire bien tous les pans de notre société : on met les médiocres devant ! Au moins, avec eux personne ne nous parle d'exigence et encore moins de moyens pour faire avancer le schmiblik. Ah, le Sénégal du basket ! Il faut avoir une mémoire d'éléphant pour savoir ce que cela pouvait dire et surtout longue vie pour avoir la chance de le revoir.
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