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[100 jours] Bilan : mesures phares et ratés

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À la demande populaire, Bassirou Diomaye Diakhar Faye a été élu à la magistrature suprême. Il a prêté serment le 2 avril 2024. Lors de son discours d’investiture, il a promis un changement systémique en mettant l’accent sur la souveraineté. Depuis ce moment historique, où le plus jeune chef de l’État du Sénégal a prêté serment devant le peuple, plus de 100 jours se sont écoulés, marquant la fin de la période de grâce. C'est l’occasion de dresser le bilan de ses premiers pas en tant que cinquième président de la République.
Les prémices d'une campagne agricole fructueuse
Motivé par la volonté de rendre le Sénégal souverain dans tous les domaines, le nouveau gouvernement souhaite particulièrement mettre l'accent sur l'autosuffisance alimentaire. Sous l’impulsion du président Bassirou Diomaye Faye, un tournant décisif a été pris dans le secteur agricole, un pilier crucial de l’économie sénégalaise. En effet, le budget alloué à la campagne agricole de 2024 a été augmenté de 20 %, atteignant désormais 120 milliards de francs CFA.
Les mesures incluent la distribution améliorée de matériel agricole, de semences, d’engrais et de produits phytosanitaires. Un accent particulier est mis sur la transparence des processus et l’efficacité de la chaîne de distribution. L'intégration de l'armée pour la gestion des semences et des engrais, via la réactivation de la cellule logistique militaire, démontre la détermination du gouvernement à optimiser l'agriculture nationale. Par ailleurs, la digitalisation des distributions d’intrants et des formations sur les nouveaux modèles de financement sont en cours de mise en place.
Assises de la justice : vers une réforme profonde
Ces dernières années ont été particulièrement mouvementées au Sénégal. L'élément déclencheur de ces périodes de troubles est la justice, avec l'affaire Ousmane Sonko/Adji Sarr. Dans le but de restaurer l'image de ce pouvoir et de le réconcilier avec le peuple sénégalais, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a initié les Assises de la Justice. Ces concertations, organisées du 28 mai au 4 juin 2024, ont permis d’identifier deux problèmes majeurs : les failles du service public judiciaire et l'inadéquation des structures judiciaires actuelles face aux évolutions culturelles et technologiques.
Les recommandations issues de ces assises ont été remises solennellement au chef de l'État le jeudi 4 juillet. Elles incluent une révision des principaux codes législatifs, tels que le Code de la famille et le Code pénal, ainsi que la modernisation des chaînes judiciaires pour remédier aux longues détentions provisoires et à l'encombrement des prisons. Un accent particulier a également été mis sur la justice commerciale et administrative, avec des réformes visant une plus grande rapidité et la dématérialisation des procédures.
Le secteur de la justice bénéficiera de recrutements massifs et d'une restructuration du Conseil supérieur de la magistrature pour une gestion plus transparente des carrières. La création de nouvelles institutions, telles qu'une cour constitutionnelle et une Haute Autorité de la Justice, ainsi que l'instauration d'un juge des libertés et de la détention, font partie des recommandations visant à renforcer l'efficacité du système judiciaire sénégalais.
Baisse des prix des denrées de première nécessité
Face à l'augmentation du coût de la vie, le gouvernement a décidé de réduire les prix de plusieurs denrées de grande consommation. Le 21 juin 2024, le conseil national de la consommation a officialisé ces baisses, apportant un soulagement notable aux ménages. Le sucre cristallisé est désormais à 600 FCFA le kilogramme, le riz brisé non parfumé à 410 FCFA, et l'huile raffinée a subi une baisse de 100 FCFA par litre. De plus, la baguette de pain de 190 grammes coûte maintenant 150 FCFA, soit 25 FCFA de moins qu’auparavant.
Ces mesures, bien accueillies par la population, visent à alléger la pression sur le budget des ménages. Toutefois, des défis persistent pour garantir l'application effective de ces réductions de prix et assurer leur pérennité, en particulier en ce qui concerne la régulation des marchés et le contrôle des marges des distributeurs. Afin de garantir l’application de ces nouveaux tarifs, le gouvernement a décidé de mettre en place un dispositif de contrôle. Le ministre du Commerce et de l’Industrie, Dr Serigne Guèye Diop, a annoncé que pas moins de 1 000 volontaires et des forces de l’ordre seront déployés sur le terrain pour surveiller les prix. De plus, le ministre a révélé une série de mesures, dont l'obligation de publicité et d'affichage des prix dans toutes les épiceries.
Les ratés : confrontation avec la presse et défis institutionnels
Les relations entre le gouvernement et la presse ont atteint des niveaux de tension dignes des meilleures intrigues politiques. La pièce maîtresse de ce mélodrame n’est autre qu’Ousmane Sonko. Le Premier ministre aux allures de chef d’orchestre dont le discours enflammé au Grand Théâtre a donné l’impression d’une représentation dramatique.
Lors de son apparition, le dimanche 9 juin, Ousmane Sonko a décidé de jouer une partition en avertissant les journalistes sur un ton des plus menaçants. « On ne permettra plus aux médias d’écrire ce qu’ils veulent sur des personnes, au nom d’une soi-disant liberté de la presse, sans aucune source fiable », a-t-il proclamé devant un auditoire de jeunes enthousiastes de son parti, le Pastef. Il réagissait aux informations survenues dans la presse concernant « les dessous » de l’affectation du général Kandé en Inde. Une déclaration qui a eu l'effet d'une bombe dans le paysage médiatique et a provoqué des remous.
La réplique ne s'est pas fait attendre. Mamadou Ibra Kane, président du Conseil des éditeurs de presse du Sénégal, a saisi l'occasion pour exprimer son désarroi. « Je considère que ce n’est pas le Premier ministre qui s’est exprimé hier. C’est plutôt un leader de parti politique qui a pris la parole. Nous nous prononçons donc sur la posture de l’homme politique et sa compréhension très simpliste des médias. Nous estimons que l’homme politique Ousmane Sonko n’a pas une vision prospective des médias, qui sont un secteur stratégique et névralgique pour le Sénégal », a-t-il déclaré sur les ondes de la TFM, visiblement agacé par ce qu'il perçoit comme une attaque en règle contre la liberté de la presse.
Comme si cela ne suffisait pas, la presse sénégalaise doit désormais faire face à une autre menace : la pression fiscale. Plusieurs comptes de médias, dont ceux du groupe Avenir Communication, dirigé par Madiambal Diagne, et ceux du Groupe Futurs Médias (GFM), ont été gelés. Une véritable douche froide pour ces institutions qui peinent déjà à garder la tête hors de l’eau dans un environnement économique difficile. Et comme pour enfoncer le clou, une circulaire du Premier ministre a été envoyée aux ministres, les enjoignant à « rationaliser les dépenses de l’État ». Dans cette missive, Sonko exige la transmission de documents détaillés et ordonne de « s’abstenir de conclure toute convention jusqu’à nouvel ordre ». Cette mesure est largement perçue comme une tentative de couper les vivres à certains médias qui dépendent de ces fameuses conventions pour leur survie financière.
Déclaration de politique générale : débat sur le lieu !
C’est le sujet qui enflamme la scène politique ces derniers jours. La déclaration de Politique Générale (DPG) d'Ousmane Sonko suscite des débats intenses et pourrait devenir encore plus polémique dans les jours à venir. Le Premier ministre a précisé que la présentation de sa DPG devant l’Assemblée nationale dépend de la mise à jour des dispositions réglementaires liées à son poste, rétabli en 2021. Si aucune modification n'est apportée d'ici au 15 juillet 2024, Sonko envisage de présenter sa DPG devant une assemblée composée de citoyens sénégalais et de partenaires internationaux. Cette perspective a provoqué une vive agitation au sein de la classe politique.
Dans une conférence de presse tenue  mardi 2 juillet, Thierno Bocoum a rappelé l'obligation pour le Premier ministre de présenter sa DPG devant l'Assemblée nationale. « S'il choisit de le faire en dehors de l'hémicycle, il commet un coup d'État institutionnel et ne pourra plus exercer en tant que Premier ministre du Sénégal. Il s'agit d'une exigence constitutionnelle, et cela témoignerait d'un manque de respect envers les institutions », a déclaré le président du mouvement AGIR.
Ainsi, les cent premiers jours de la présidence de Bassirou Diomaye Faye montrent une volonté de réforme et d'innovation dans plusieurs domaines clés, notamment l'agriculture, la justice et le coût de la vie. Toutefois, les défis institutionnels et les tensions avec la presse démontrent la complexité de la tâche qui attend le chef de l’Etat pour assurer une gouvernance stable et efficace.
Auteur: Moustapha TOUMBOU
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Comments

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    Xorom-Sukeur il y a 9 mois

    En cent jours de pouvoir à part cette diminution de 25f du prix du pain, dites moi en toute franchise quels jalons ont-ils posé cette paire d'andouilles au profit des gorgorlus que nous sommes?Billahi wallahi, des jeunes continuent de mourir par.centaines sur les routes de l'Europe et pendant ce temps notre vénéré seydina est entrain de faire du setsetal dans les recoins du pays. Billahi wallahi, je ne cesse de répéter que quand on est malade durant thiouthiou on l'est forcément de la tête. Aythieu Rekk billahi on en a pas fini avec la mythomanie de ce mythomane gros pervers sexuel amateur de massage féminin. La mythomanie c'est quand on le culot de regarder droit les sénégalais dans les yeux pour leur affirmer tout de go :je ce que ressens,je suis le seul à le savoir, je suis allé chez khady ndiaye j'ai salué comme d'habitude et j'ai fait appel à deux masseuses. Je leur ai dit de que je suis pressé j'ai pas de temps à perdre que chacune prenne un côté pour le massage. Haha haha haha haha billahi wallahi à chaque fois que je me remémore ces propos, je rigole à pisser dans mon froc.

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    reply_author il y a 9 mois

    Entièrement d'accord avec toi. Sonko est une pure calamité, un défi du diable lancé à la morale et à la logique. Mais, dites-moi, n'est-ce pas le monde qui est malade ?: des gens comme biden, Trump, macron et attal l'homo, comme zelenski et nataniahou sont arrivés par coup de pouce du démon. Mais, Dieu y fera bon ordre bientôt

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    @Xorom Sukeur il y a 9 mois

    Señal naan bissap bou sedd!!! Sinon tu vas avoir un arrest cardiaque. Nous sommes contents du travail de Diomaye/Sonko

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    papa il y a 9 mois

    ce n'est pas le 2 aout mais 2 avril

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    reply_author il y a 9 mois

    Pour être honnête disons qu'ils on nommé beaucoup de personnes Ils ont inauguré des projets de Macky Sall (merci Macky) Grâce à eux le Sénégal et tous les sénégalais sont entrain d'être insultés de tous part par des débiles panafricanistes et surtout par les citoyens du Burkina, du Mali et du Niger On doit ces insultes au fait que Sonko en tant que panafricanistes n'a pas tenu ses promesses faîtes a ces débiles panafricons Il semblerait que Sonko et Diomaye avaient promis de sortir le Sénégal de la CEDEAO pour rentrer dans cette association de merde qu'on appelle AES qui est née de la frustration de trois soldats putchistes qui sont entrain de mener une révolution débile que Sonko avait applaudi et approuvé, raison pour laquelle Diomaye est parti les rencontrer pour valider leurs âneries. Donc en gros Diomaye et Sonko nous ont surtout foutu la honte en promettant a des idiots de les rejoindre dans leurs délires

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    FOCUS 2050 il y a 9 mois

    Le mesure phare sa d’établir les cartes de séjour pour limiter l’envahissement ndéng.Ces énergumènes ont voulu chiper le pouvoir aux sénégalais lors des dernières élections présidentielles. Ils se multiplient d’une façon exponentielle et compte revenir en levant une armée dans 15 ans contre les autochtones. C’est le syndrome Israël Palestine qui guette le Sénégal avec la venue en masse de ndring

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    reply_author il y a 9 mois

    Tu es bête! Au lieu d'argumenter, vous n'avez rien d'autre à offrir que ces phrases vides de sens. Ay nanal ndokh. Trop bête!

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    reply_author il y a 9 mois

    La réduction du prix du pain n'est pas vraiment de 25f. Si le poids était 210g, la réduction réelle est de 9f

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    reply_author il y a 9 mois

    TU AS FINI ? JE PENSAIS QUE TU N'ALLAIS PAS T'ARRETER D'INSULTER LES GENS.....

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    Bibi il y a 9 mois

    Ousmane Sonko est le principal problème du Sénégal. Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye doit s'en débarrasser le plus vite possible pour que la paix revienne dans les cœurs et les esprits

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    reply_author il y a 9 mois

    En 10 ans Diomaye a tout fait pour élire SONKO sans jamais n'y arriver en 10 jours Sonko est arrivé a faire de Diomaye président de la république. Votre diviser pour mieux régner ne passera. Même SONKO avait choisi Yawou Dial il aurait gagné les ndring et les neddo bandoum ne digérent pas SONKO

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    il y a 9 mois

    Ils n'ont pas diminué le prix du pain de 25 Franc. Ils ont diminué le poids du pain. Quand on fait le rapport poids/prix, on est a une baisse du 8,4 francs.

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    Pape Pierrot NDIAYE il y a 9 mois

    Setal sa rew ou folklore mensuel Prenez le temps de salir durant tout un mois et nous en une demi-journée, nous rendrons le pays aussi propre que Genève ou Kigali! De qui se moque-t-on? Le ci-devant Yaya DIAME a fait mieux. Pour lui son set setal c’était chaque fin de semaine. Ce folklore mensuel version Diomaye-Sonko est d’un très mauvais goût et n’augure rien de Dieu. Mieux vaut passer à autre chose.

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    Djaraf il y a 9 mois

    PR, il faut envoyer les IGE à l'ANSD où lors du premier passage de Ababacar Sedikh Beye c'était la bamboula. Les honnêtes personnes comme moi étaient au frigo. Il procèdait à des donations tout azimut à son association de femmes chiffres et coeur: séjours d'hôtel, argent etc Parlons maintenant du dernier recensement, il ya eu tromperie sur les tablettes au lieu des tablettes de marque Huawei, ils ont acheté des no name à 80000 l'unité. Sur le marché sénégalais ces tablettes ne coûtent qu'entre 25000 et 30000. Il est bien de préciser que le Chef de délégation pour négocier les tablettes en Chine était l'actuel Dg Abdou Diouf il y a eu une surfacturation de 50000 francs Les IGE ne doivent pas oublier le matériel c'est-à-dire les voitures garées à la CNQP de marque Toyota où le moteur coûte plus de 2000000. La grande majorité n'ont plus de moteur. Il faut entendre le Chef de parc Samb qui en plus de ces forfaits sur matériel de l'ANSD a recruté comme chauffeurs deux de ses enfants alors qu'ils ont profité du mois de Décembre pour libérer des chauffeurs qui étaient là bas de plus de 10 et 2 ans. De plus tous les jeunes qui savent conduire dans son village sont mis sur les projets. IGE mérite une attention particulière sur le bras armé de Beye sa directrice de communication qui les fournisseurs appellent Mme pourcentage qui donne des marchés moyennant un pourcentage. Je vais revenir sur les forfaitures d'autres responsables qui se sucent sur les comptes de lANSD d'abord sur la plateforme Jubanti ensuite envoyer les documents au PM en attendant cerise sur le gâteau la loi qui protège les lanceurs d'alertes.

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    Revolté il y a 9 mois

    Et la nomination de pape alé niang à la rts une grosse erreur

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    il y a 9 mois

    Parmi les raté, vous avez parlé de relations heurté avec la presse, vous citez les propos tenus par Sonko, c'est tellement évident une presse responsable ne devrait pas dénigrer, des affirmations sans preuves... Vraiment lamentable si c'est cela les raté.

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    il y a 9 mois

    Parmi les raté, vous avez parlé de relations heurté avec la presse, vous citez les propos tenus par Sonko, c'est tellement évident une presse responsable ne devrait pas dénigrer, des affirmations sans preuves... Vraiment lamentable si c'est cela les raté.

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    reply_author il y a 9 mois

    Ils sont tous bêtes les pastebinebinefiens, aucun pour rattraper l'autre

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    Diversion il y a 9 mois

    Il faut mettre fin a l'exil de Cellou Dallein Diallo chef de la mafia ndréng au Sénégal

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    reply_author il y a 9 mois

    Si on le compare avec la gouvernance de Macky, c’est presque kif-kif

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    il y a 9 mois

    Une urgence : traduire en justice les prédateurs économiques déjà épinglés par les rapports d’audit

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    il y a 9 mois

    Reduction du prix du pain et réduction parallèle du grammage du pain. Les badolos n'ont rien a ce tour de passe passe.

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    il y a 9 mois

    Reduction du prix du pain et réduction parallèle du grammage du pain. Les badolos n'ont rien a ce tour de passe passe.

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    Vous allez souffrir il y a 9 mois

    Vous allez souffrir doucement lentement et longuement jusqu’à la fin votre jour car vous refusez la volonté d’Allah Sonko sera là Inshallah pendant 5 ans ou 20 ans Allah fait ce qu’il veut sans votre avis restez digne puisque chaque pouvoir a une fin ILs savent très bien qu’ils quitteront un jour restez patients

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    reply_author il y a 9 mois

    que des aneries de ce genre: digen soneu dé, abalma sa xol ma tangal café ! le pastef et le porozet" c'est un ramassis de crétin et de crétinisme !

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    Vous allez souffrir il y a 9 mois

    Vous allez souffrir doucement lentement et longuement jusqu’à la fin votre jour car vous refusez la volonté d’Allah Sonko sera là Inshallah pendant 5 ans ou 20 ans Allah fait ce qu’il veut sans votre avis restez digne puisque chaque pouvoir a une fin ILs savent très bien qu’ils quitteront un jour restez patients

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    il y a 9 mois

    Honnêtement, le bilan du Gouvernement pour cent jours est plus que satisfaisant, et il suscite encore plus d'espoir n'en déplaise aux contradicteurs. Les sénégalais ont découvert une équipe gouvernementale engagée, honnête, sincère, percutante, explosive avec des ministres intelligents, smart, qui mouillent le maillot et qui sont au service des populations et de leur pays jour et nuit. Ils ont effectué et ont engagé en très peu de temps beaucoup de changements majeurs impactant beaucoup de domaines majeur et pour cela, ils méritent notre respect. Une équipe comme on en a jamais vue au Sénégal. Franchement, je leur tire le chapeau et les encourage, ils méritent notre respect et nos encouragements et le soutien de tout le pays pour continuer sur cette voie qui la bonne et à ce rythme. Ne lâchez rien vous êtes sur la bonne voie et vous avez tout notre respect et nos encouragements.

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    il y a 9 mois

    Le PM Oussou Sonko et l 'absence de POROZET sont les 2 grands ratés de ce nouveau système

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    il y a 9 mois

    Zéro Projet, un président qui souffre de la maladie du sommeil et un premier ministre arrogant nul, superficiel, menteur et manipulateur. Voici le bilan des 100 jours. Il n'y aura pas de changement, il y aura des nouveaux riches ( président, premier ministre, ministres et DG) et une population encore plus pauvre. Pape Allé Niang 5 millions de salaire, Toussaint Manga 6 millions, le directeur du port 7 millions. Ces gens n'avaient même pas 600 000/ mois. Voici le changement de système tant chanté par Sonko le plus grand menteur manipulateur nullard du Sénégal

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    il y a 9 mois

    parlant "des ratés" je trouve très subjectif et non fondé les explications servies ; en quoi dire aux journalistes habitués à diffuser des informations mensongères de revenir à l orthodoxie de leur métier en publiant vrai avec des sources ou preuves irréfutables est un raté ? en quoi demander à la presse de payer ses impôts comme toutes les entreprises est un raté ? en quoi exiger de l assemblée nationale génitrice des lois de ne pas être hors la loi en mettant à jour son règlement intérieur est un raté ? sauf à vouloir chercher à, tout prix des poux sur un crane rasé ( les pseudos ratés ) il n y a vraiment pas de quoi fouetter un chat

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    il y a 9 mois

    Kidal dou president

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    Kothie il y a 9 mois

    Adji Sarr décide de porter plainte contre le gouvernement de Macky pour non respect des engagements écrits après son rôle dans le complot contre SONKO LES CHAROGNARDS VENEZ FAITRE VOTRE BOULOT

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    Kothie il y a 9 mois

    Adji Sarr décide de porter plainte contre le gouvernement de Macky pour non respect des engagements écrits après son rôle dans le complot contre SONKO LES CHAROGNARDS VENEZ FAITRE VOTRE BOULOT

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