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Alerte à Dakar : Les cimetières au bord de la saturation

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Il n’y a plus de place pour nos morts dans des cimetières complètement saturés, surtout à Dakar.À Rufisque, les cimetières de Thiawlène, Diokoul et Dangou sont submergés.Et, relate L'Observateur, il n’y a plus aucune extension possible. Idem à Pikine où la situation est plutôt alarmante.Le cimetière de la ville a largement dépassé les limites de sa capacité d’accueil.Il n’y a plus d’espaces pour accueillir les dépouilles. Le cimetière est plein à craquer et les enterrements se font parfois de façon anarchique. Des corps sont déterrés pour y inhumer d’autres dépouilles.En effet, le cimetière de Pikine est en train d’être transformé en fosse commune.
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    il y a 3 ans

    incinerons donc  

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    il y a 3 ans

    Il faut tout simplement qu'on interdit les contructions dans les cimetieres.

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    reply_author il y a 3 ans

    Et qu'on arrete aussi le favoritisme car certains " kilifeu" occupent plus de 15 m2 alors que plusieurs pouvaient etre enterrés

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    reply_author il y a 3 ans

    mais t'es con ou quoi ? 

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    reply_author il y a 3 ans

    dou yone 

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    il y a 3 ans

    sdfdsg

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    Sall il y a 3 ans

    La façon dont ils enterrent les morts n'est pas aux conformes sanitaire on sent des odeurs aux alentours . soit saccages par des chiens erreants où le de logements des corps par les gardens pour avoir une place temporaire.cest plein c'est plein ça suffit.

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    il y a 3 ans

    Tout cela est dû, comme toujours à un manque de prévision, un manque de prévention. Les hommes vivent mais ils meurent par conséquent : donc là où l'on prévoit des lotissements, il faut également prévoir des cimetières. Ce qui se faisait dans les villages doit, à plus forte raison , se faire dans les villes . A Pikine par exemple, il y énormément d'espace entre le cimetière actuel et la nouvelle route à 2 voies, qui nécessitent certes beaucoup de travaux de drainage, de remblais, mais il y a beaucoup d'espace à prendre là bas. A Dakar, malheureusement on a laissé faire, et encore une fois sous Ablaye Wade, et tout le foncier à l'Est du Cimetière jusqu'à la grande route à été cédé pour des magasins d'abord puis des habitations ensuite. Les seuls espaces, possibles aujourd'hui, sont sur la façade maritime sur la route qui mènera sur la route qui mènera après Camberene, vers St Louis.  Pour Rufisque, il faut voir maintenant vers Yenne, ou Bambilor. En tout cas, nos morts, doivent être enterrés dignement selon nos religions, nos traditions et les Vvants doivent régler tous leurs problèmes : c'est leur raison d'être.  

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    Volai414 il y a 3 ans

      LE BON BOUT DE LA LORGNETTE ? C’est quoi, au juste, la vraie problématique ? Le manque d’espace dans les cimetières ou l’explosion du nombre de morts ? Si la réponse devait est dans l’augmentation excessive des décès, je dirais que la réponse n’est pas dans les cimetières mais dehors : comment freiner cette croissance galopante !

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    etonné il y a 3 ans

    il se passe ce genre de choses dans nos cimetiéres new tout comme niit est égal aux yeux de Dieu

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    il y a 3 ans

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    Me il y a 3 ans

    Ca montre que le Covid a tue beaucoup de gens au Senegal. Arretez de le negliger

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    il y a 3 ans

    Arrêtez de faire beaucoup d'enfants. 

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    il y a 3 ans

    Il faut que certains se disputent des terrains affectés aux cimetières. Après un immeuble,  chacun aura droit à 2m sur 1 mètre loin  derrière les concessions. Pensons y. 

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    il y a 3 ans

    Il faut que certains se disputent des terrains affectés aux cimetières. Après un immeuble,  chacun aura droit à 2m sur 1 mètre loin  derrière les concessions. Pensons y. 

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    reply_author il y a 3 ans

    WALAYE WAKHATIKO.. AYE KILIFEU.. GATEU KHEL , PROFITEUR SUR TERRE.. ET MEME QUAND ILS SONT MORTS.. SOKHOR TE BONN REKK..  MANN DEY JAI DIT A MON MARI ET MES ENFANTS.. FOU YALA DIEUL SAMA BAKAN SOUL LENN MA FOFOU.. MOUYE MAROC, AMERIQUE, SENEGAL. L'ESSENTIEL TOPOTO BAMA BAKH REKK DIEGEUL MA SAM BOROM.. DIEKHANA

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    Volai414 il y a 3 ans

    Si la réponse devait être....

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    1_TBH 301263_3 DKR il y a 3 ans

    A l'image du pays tout entier , la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument anarchique. L'Etat dout avoir le courage de prendre ses responsabilités. Ce problème ne peu naturellement aller qu'en s'aggravant . Que chacun essaie (sérieusement) de se remuer les méninges et de proposer des solutions potentielles que les autorités afin que les autorités n'aient aucune excuse pour rester inactifs et spectatrices.  Ce problème est très grave et nous concerne tous . Voilà mes idées (quelquefois audacieuses ...) :  0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières Au 40% de la superficie des cimetières es perdue dans la construction. Normalement une tombre peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personnes. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya , il y a trop d'espace entre les tombes 2. Cimetières communaux. Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellment et réservés aux habitants de la commune. La commune doit pouvoir réserver cet espace place autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un espace pour le cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme et l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin) 4. Enterrement sur deux niveaux. Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm 3. Concessions temporairesAujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera prohibitif. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs. 4. Réservation de places. Pour bien gérer les capacités, mettre par famille un système obligatoire et payant de réservation de place (avec loyer mensuel) autrement destiner les personnes décédées à une fosse commune ou un cimetière loin en dehors de la ville Mais comme au Senegal, nous somes un pays extrement conservateur, où l'on cofond absolument le sacré et les traditions populaires, où il ne faut rien changer même quand cela nous porte préjudice, il est certain que ce problème de cimetière va encore durer et que nous allons vivre encore des situations horribles. Je me souviens lors d'une visite à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années , que faute de place, on enterrait les gens à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageaut dans le cimetière une odeur pestilentielle de corps en décomposition, situation absolument iindigne, pénible et insupportable pour les familes pour les familles 

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    1_TBH 301263_3 DKR il y a 3 ans

    A l'image du pays tout entier , la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument anarchique. L'Etat dout avoir le courage de prendre ses responsabilités. Ce problème ne peu naturellement aller qu'en s'aggravant . Que chacun essaie (sérieusement) de se remuer les méninges et de proposer des solutions potentielles que les autorités afin que les autorités n'aient aucune excuse pour rester inactifs et spectatrices.  Ce problème est très grave et nous concerne tous . Voilà mes idées (quelquefois audacieuses ...) :  0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières Au 40% de la superficie des cimetières es perdue dans la construction. Normalement une tombre peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personnes. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya , il y a trop d'espace entre les tombes 2. Cimetières communaux. Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellment et réservés aux habitants de la commune. La commune doit pouvoir réserver cet espace place autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un espace pour le cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme et l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin) 4. Enterrement sur deux niveaux. Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm 3. Concessions temporairesAujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera prohibitif. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs. 4. Réservation de places. Pour bien gérer les capacités, mettre par famille un système obligatoire et payant de réservation de place (avec loyer mensuel) autrement destiner les personnes décédées à une fosse commune ou un cimetière loin en dehors de la ville Mais comme au Senegal, nous somes un pays extrement conservateur, où l'on cofond absolument le sacré et les traditions populaires, où il ne faut rien changer même quand cela nous porte préjudice, il est certain que ce problème de cimetière va encore durer et que nous allons vivre encore des situations horribles. Je me souviens lors d'une visite à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années , que faute de place, on enterrait les gens à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageaut dans le cimetière une odeur pestilentielle de corps en décomposition, situation absolument iindigne, pénible et insupportable pour les familes pour les familles 

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    reply_author il y a 3 ans

    Ce problème est très grave et nous concerne tous .        A l'image du pays tout entier, la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument anarchique. L'Etat dout avoir le courage de prendre ses responsabilités. Ce problème ne peut naturellement aller qu'en s'aggravant . Que chacun se remue les méninges et proposer des solutions potentielles  pour que les autorités sortent de leut léthargie .   Voilà en vrac mes idées :  0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières.        Au moins 40% de la superficie des cimetières est perdue dans la construction. Normalement une tombe peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personnes. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya,  on aurait pu économiser de l'espace entre les tombes 1. Cimetières communaux.       Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellment et réservés aux habitants de la commune. La commune doit pouvoir réserver cet espace place autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un espace pour le cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme et l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin) 2. Enterrement sur deux niveaux.       Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm 3. Concessions temporaires.       Aujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera prohibitif. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs. 4. Réservation de places. Pour bien gérer les capacités, mettre par famille un système obligatoire et payant de réservation de place (avec loyer mensuel) autrement destiner les personnes décédées à une fosse commune ou un cimetière loin en dehors de la ville Mais au Senegal, nous sommes un pays extremement conservateur et peu innovant. En plus, on cofond souvent obligation religieuse et tradition populaire. Souvent, même quand cela nous porte préjudice, nous conservons une pratique sociale.   Ce problème de saturation des cimetières risque de durer longtemps et de nous emmener  encore vers situations horribles. Je me souviens lors d'une visite à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années , que faute de place, on enterrait les gens à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageaut dans le cimetière une odeur pestilentielle de corps en décomposition, situation absolument iindigne, pénible et insupportable pour les familes pour les familles 

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    Teuss il y a 3 ans

    Les cimetières au senegal sont mal fait ca ressemble a meubeuss deposit d'ordure il nous faut une meilleur organisation des cimetières 

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    reply_author il y a 3 ans

    A l'image du pays tout entier , la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument anarchique. L'Etat dout avoir le courage de prendre ses responsabilités. Ce problème ne peu naturellement aller qu'en s'aggravant .Que chacun essaie (sérieusement) de se remuer les méninges et de proposer des solutions potentielles que les autorités afin que les autorités n'aient aucune excuse pour rester inactifs et spectatrices.  Ce problème est très grave et nous concerne tous .Voilà mes idées (quelquefois audacieuses ...) : 0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières Au 40% de la superficie des cimetières es perdue dans la construction. Normalement une tombre peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personnes. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya , il y a trop d'espace entre les tombes2. Cimetières communaux. Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellment et réservés aux habitants de la commune. La commune doit pouvoir réserver cet espace place autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un espace pour le cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme et l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin)4. Enterrement sur deux niveaux. Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm3. Concessions temporairesAujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera prohibitif. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs.4. Réservation de places. Pour bien gérer les capacités, mettre par famille un système obligatoire et payant de réservation de place (avec loyer mensuel) autrement destiner les personnes décédées à une fosse commune ou un cimetière loin en dehors de la villeMais comme au Senegal, nous somes un pays extrement conservateur, où l'on cofond absolument le sacré et les traditions populaires, où il ne faut rien changer même quand cela nous porte préjudice, il est certain que ce problème de cimetière va encore durer et que nous allons vivre encore des situations horribles.Je me souviens lors d'une visite à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années , que faute de place, on enterrait les gens à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageaut dans le cimetière une odeur pestilentielle de corps en décomposition, situation absolument iindigne, pénible et insupportable pour les familes pour les familles  RÉPONDRE +14 -0   Signalier Permalink {comment_ads} Reply_author il y a 7 secondes (15:00 PM) Ce problème est très grave et nous concerne tous .   A l'image du pays tout entier, la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument anarchique. L'Etat dout avoir le courage de prendre ses responsabilités. Ce problème ne peut naturellement aller qu'en s'aggravant . Que chacun se remue les méninges et proposer des solutions potentielles  pour que les autorités sortent de leut léthargie .   Voilà en vrac mes idées :  0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières.        Au moins 40% de la superficie des cimetières est perdue dans la construction. Normalement une tombe peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personnes. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya,  on aurait pu économiser de l'espace entre les tombes 1. Cimetières communaux.       Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellment et réservés aux habitants de la commune. La commune doit pouvoir réserver cet espace place autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un espace pour le cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme et l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin) 2. Enterrement sur deux niveaux.       Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm 3. Concessions temporaires.       Aujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera prohibitif. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs. 4. Réservation de places. Pour bien gérer les capacités, mettre par famille un système obligatoire et payant de réservation de place (avec loyer mensuel) autrement destiner les personnes décédées à une fosse commune ou un cimetière loin en dehors de la villeMais au Senegal, nous sommes un pays extremement conservateur et peu innovant. En plus, on cofond souvent obligation religieuse et tradition populaire. Souvent, même quand cela nous porte préjudice, nous conservons une pratique sociale. 5. Maitriser la croissance demographique Ce problème de saturation des cimetières risque de durer longtemps et de nous emmener  encore vers situations horribles. Je me souviens lors d'une visite à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années , que faute de place, on enterrait les gens à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageaut dans le cimetière une odeur pestilentielle de corps en décomposition, situation absolument iindigne, pénible et insupportable pour les familes pour les familles

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    Je prévois que il y a 3 ans

    dans quelques temps, une annonce *fracassante* venant du palais va nous parvenir pour soi-disant réglé le problème. Nous sommes au XXIème siècle et les pratiques d'ensevellissement sont dépassées, des corps mis à même la terre sans protection qu'un linceul devrait être interdit par mesures sanitaires et climatiques.Soit pour le linceul afin de respecter notre religion mais ensuite placer le corps dans un cercueil ou l'incinérer. En milieu urbain on ne peut pratiquer ce genre d'ensevellissement comme avant où nous avions de la place pour cette coutume. C'est juste macabre et désolant de voir les chiens errants tentés de déterrer un cadavre, leur instinct les guide

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    Volai414 il y a 3 ans

    Vos idées sont bonnes et réalistes. Si vous permettez, j'en rajoute une seule: mouiller le maillot pour que l'espérance de vie augmente encore dans notre pays. En 2019, elle était de 66% au Sénégal, 80% en France. On a le droit d'être ambitieux.

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    Volai414 il y a 3 ans

    @1_tbh 301263_3 Dkr Vos idées sont bonnes et réalistes. Si vous permettez, j'en rajoute une seule: mouiller le maillot pour que l'espérance de vie augmente encore dans notre pays. En 2019, elle était de 66% au Sénégal, 80% en France. On a le droit d'être ambitieux.

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    reply_author il y a 3 ans

    Ce problème est très grave et concerne chacun de nous. A l'image du pays tout entier, la gestion de l'espace dans nos cimetières est absolument chaotique. L'Etat devrait prendre avec courage ses responsabilités. La saturation des cimetières ne peut naturellement aller qu'en s'aggravant, surtout au vu de l'explosion demographique et de la concentration urbaine que vit notre pays.  Que chacun  se remue  les méninges et  propose des solutions que les autorités peuvent raisonnablement mettre en place.  Voilà mes propositions : 0. Interdiction et demolition des constructions dans les cimetières.        Au moins 40% de la superficie des cimetières es perdue dans la construction. Normalement une tombe peut tenir en 205 cm x 45 cm  avec un intervalle de 15 cm (epaisseur d'une brique) entre les tombes.  Soit 1,30 m2 par personne. Le nouveau cimetière des mourides à  Touba (Bakhiya ) est l'exemple de ce qu'il faut faire...et encore à Bakhiya , il y a trop d'espace entre les tombes 2. Cimetières communaux.        Au lieu d'un cimetière central ingérable, il faut imposer par commune ou par quartier de petits cimetières gérés professionnellement et réservés aux habitants de la commune. La commune (ou le quartier) doit pouvoir réserver cet espace  autour des lieux de culte (mosquées, églises) en expropriant et dedommageant les riverains.  A Dakar, il est incroyable, qu'il y ait un seul cimetière (hormis Ouakam et Hann) pour une ville de près de 4 millions d'habitants ! Il faudrait que la réservation d'un cimetière soit obligatoire dans les plans d'urbanisme de chaque commune et que l'espace communal soit ré-organisé (cà sera cher mais on en a besoin)4. Enterrement sur deux niveaux.              Rien à que je sache, absolument rien,  n'interdit du point de vue du rite religieux de superposer les tombes. On pourrait par exemple (pour une même famille) avoir un caveau construit où on inhumerait les premiers corps à  2 m de profondeur, on laisserait une hauteur de sable  de 60 cm au dessus des premiers corps pour inhumer les prochains corps à à 80 cm3. Concessions temporaires         Aujourd'hui les concessions sont perpétuelles, on peut occuper une tombe pour l'éternité. Il faudrait comme dans certains pays imaginer un système de concession temporaire avec un délai -par exemple 80 ans, soit 3 generations-  au bout duquel on pourrait exhumer les restes humains et les ranger dans un ossuaire à moins que les familles ne soient prêtes à payer un prix qui sera conséquent. C'est ce que font beaucoup de pays y compris musulmans ou chretiens.  Inspirons nous des bonnes pratiques faites ailleurs.4. Réservation de places.         Pour bien gérer les capacités, mettre par commune un système  réservation de place (avec un "loyer" mensuel raisonnable). Les gens qui n'auraient pas réservé  seraient inhumés en dehors de leurs communes ou dans des cimetières situés en dehors des agglomérations Mais au Senegal, nous sommes un pays extrement conservateur et peu innovant. On confond souvent obligations religieuses et traditions populaires.  Souvent, même quand cela nous porte préjudice,nous ne changeons roen à nos traditions.  il est certain que ce problème de cimetière risque de  durer et de se compliquer si nous restons tous assis en attendant un miracle. Il y a pourtant des situations horribles que beaucoup d'entre nous ont vécues. Je me souviens lors d'une ziarra à l'ancien cimetière de Touba , il y a quelques années!!; Faute de place, les morts étaient enterrés  à très faibe profondeur (superposition sur des tombes deja occupées ??). Il se dégageait des tombes nouvelles une odeur insupportable de corps en décomposition, situation absolument iindigne et pénible  pour les familes. Heureusement que le Khalife a pris les décisions courageuses qu'il fallait Respections nous. respectons nos morts    

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    MUSTAPHA HIHIHIHI il y a 3 ans

    Tiens je croyais que la covid avait fait peu de victimes...hahahhahah

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    il y a 3 ans

    Je me plains à chaque fois de l'état de nos cimetières  un vrai désordre ,à chaque enterrement ont marché sur des tombes ,pire encore ont déterrent des corps pour enterré d'autres et ça ne choque personne  le manque de cimetière doit être l'affaire de tous ,pensons a aménagé un cimetière dans chaque nouveau quartier car nous y reposeront tous un jour pour l'éternité 

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    il y a 3 ans

    Meme avis que Mustapha ... les décès liés à la Covid sont largement sous estimés ; beaucoup de personnes considèrent cette maladie comme "honteuse" et donc ne se déclarent pas et les tests PCR ne sont pas accessibles au plus grand nombre. Le systeme de santé sénégalais est totalement défaillant pour aider la population et notamment les plus pauvres ; c'est une médecine qui soigne le symptome à tarif prohibitif sans chercher à en connaitre la cause 

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    Consultant gratuit il y a 3 ans

    Vu que nos autorités n'ont aucune culture civilisationnelle, encore moins une compétence utile à la vie nationale, Je conseille au ministre de l'urbanisme de se rapprocher de l'ambassadeur d'Iran afin que les autorités iraniennes lui partage leur expérience du grand cimetière Behesht-e Zahra de Téhéran. Un tel projet peut être réalisé en 6 moins dans le région de Thiès et génèrerait un écosystème d'emploi artistique et artisanal sur le Marbre. Ah oui, j'oubliais. Ne facturez pas le projet à plus de 2 milliards hors taxes. 800 millions auraient largement suffient mais puisqu'on se connait.... Soyez raisonnables. 

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    reply_author il y a 3 ans

    Ya meuneu doule...

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    reply_author il y a 3 ans

    Ça c'est vrai les morts cachés du corona. Il faut faire comme les indiens. 

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    reply_author il y a 3 ans

    Ça c'est vrai les morts cachés du corona. Il faut faire comme les indiens. 

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    reply_author il y a 3 ans

    Ça c'est vrai les morts cachés du corona. Il faut faire comme les indiens. 

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    reply_author il y a 3 ans

    Mon frère t'as parfaitement raison, un cimetière qui se dit musulman ☪ on voit des maisons bien construite, vraiment c'est pathetic 

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    reply_author il y a 3 ans

    Une des solutions c'est que chacun soit enterré dans son village d'origine

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    reply_author il y a 3 ans

    Une des solutions c'est que chacun soit enterré dans son village d'origine

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