Le ministre de la Justice fête ses enfants. L’arbre de Noël organisé samedi dernier, à la salle 4 du Palais de Justice, a été marqué par d’intenses moments de communion entre les enfants du personnel du ministère de la Justice. Sous l’œil des parents, les enfants ont dansé à côté du Père Noël. Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Malick Sall a été représenté par le Dage de son département, Abdoulaye Sy. Ce dernier a transmis les vœux de santé et de bonheur du Garde des Sceaux aux enfants et à leurs parents. « Ces magnifiques et nombreux cadeaux que vous recevez aujourd’hui, sont l’expression du profond amour des parents en vous, mais aussi le couronnement d’une année vécue avec eux et marquée du sceau de la discipline, la sagesse et un comportement honorable partout où avez été », a affirmé M. Sy. Il a aussi réitéré la détermination de l’Etat à assister les enfants. « L’Etat, garant de notre sécurité, veille particulièrement sur vous, chers enfants, dans vos aires de jeu et de récréation afin que vous soyez à l’abri de toute situation de danger », a rassuré le Dage du ministère de la Justice.La présidente de l’Amicale des femmes du ministère de la Justice a adressé ses remerciements à Me Malick Sall qui, selon elle, n’a ménagé aucun effort pour rendre la fête belle et heureuse. « Votre contribution a été de taille et soyez en infiniment remercié », a dit Mme Seynabou Mbaye Ndiaye. La présidente a estimé qu’il est tout à fait heureux que la journée soit dédiée aux enfants.« Quoi de plus juste après une année consacrée essentiellement à nos tâches professionnelles respectives dont l’exécution nous éloigne souvent de nos familles et engendre un déficit d’affection et de chaleur chez nos enfants. Il est tout à fait heureux que nous leur dédions cette matinée récréative pour leur manifester notre amour, notre affection et notre attachement », a dit la présidente. Et Mme Ndiaye d’ajouter : « chers enfants, sachez que Papa et Maman vous aiment et vous chérissent même s’il est vrai qu’il arrive que vos parents rentrent souvent tard à la maison, sachez que leur conscience professionnelle, leur goût du travail bien fait et leur sens des responsabilités leur interdisent de rentrer et de laisser en instance un devoir impérieux ».
Auteur: Seneweb News
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