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ASAINISSEMENT, SANTE, INFRASTRUCTURES… : PACASEN soulage les populations de certains quartiers de Tivaouane

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Dans la ville sainte de Tivaouane, le partenariat paraphé entre la Mairie et le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (Pacasen) a permis aux populations de certains quartiers de la commune de pousser un ouf de soulagement. Cette coopération qui concerne différents domaines (assainissement, santé, infrastructures) est largement vantée par le maire Demba Diop Sy.
Des réalisations significatives accueillies avec fierté par l’édile de la ville.  A Tivaouane, le partenariat paraphé entre la Mairie et le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (Pacasen) a changé le quotidien des habitants de certains quartiers de la ville sainte.
le PACASEN a injecté un budget total de 743 millions de FCfa depuis 2018. Selon lui, il était donc nécessaire d'utiliser cette somme pour financer certains investissements prioritaires. Pour le maire, cela représente une opportunité qui a aidé la commune à réaliser des investissements  à fort impact. 
Ainsi, la municipalité a sélectionné les domaines cruciaux comme celui de la santé. Il n'existait qu'un seul centre de santé àTivaouane. « Il était donc essentiel de construire un autre centre de santé qui a coûté  environ 100 millions de FCfa », souligne M. Diop.
En ce qui concerne les infrastructures, l'édile de la ville a également pris en compte la rénovation d'un stade dégradé où, pendant 5 ans, personne n'y avait joué. C'est la raison pour laquelle nous avons décidé de refaire le stade. « Le coût a atteint près de 200 millions FCFA », affirme Demba Diop Sy.
Par rapport à l’assainissement, qui constitue l’autre défi de la ville, avec l’aide du PACASEN, la maire s’est engagé à abréger la souffrance des populations. Le programme d’assainissement, sous la houlette du programme, a permis de faire face aux inondations dans certains quartiers de Tivaouane. « Pendant l’hivernage, il y avait beaucoup d’inondations. C’était un véritable problème pendant la période du Gamou. Sur ce point, on s’est dit qu’il faut faire quelque chose dans le cadre de l’assainissement et ça s’est fait », souligne Diop Sy.
Pour ce dernier, avec le budget du Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal, de nombreuses réalisations sont possibles dans les domaines de la santé, du sport et de l’assainissement. « On a pu régler les problèmes qui étaient les plus sensibles pour les populations. On a réfectionné le stade qui est maintenant fonctionnel, on a réglé le problème de santé car on a déjà réceptionné le centre de santé. Pour l’assainissement aussi, on a fait le maximum pour lutter contre les inondations. Nous remercions le PACASEN qui, par ce budget, nous a permis de répondre aux besoins populations », indique le maire de Tivaoune. 
Grâce au PACASEN, Demba Diop Sy dit ressentir une « satisfaction exceptionnelle » parce que le programme a permis de « réaliser certains investissements, dans la ville, en moins d’un an ». Des actions concrètes qui comptent beaucoup pour la communauté.  MAÏMOUNA DIEYE, CHEFFE DE QUARTIER FOGNY 1  « Nous prions le PACASEN de continuer d’accompagner les maires »Depuis plus de cinq ans, PACASEN soutient la mairie de Tivaouane. Aujourd'hui, cette collaboration a permis de soulager les populations de ce quartier datant de l'époque coloniale. A Fogny 1, l’investissement dans le programme d'assainissement a toujours constitué un problème avant l'arrivée dudit programme.  Selon Maïmouna Dièye, cheffe du quartier, les eaux pluviales envahissaient, chaque hivernage, le quartier. Mais avec le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal, cette crainte est sur le point de devenir un mauvais souvenir. Avec la quantité d'eau cumulée lors de chaque saison des pluies, il y avait, renseigne-t-elle, des inondations, ainsi qu'un véritable problème de mobilité. Pour soulager, les habitants coincés dans les eaux, des campagnes de dons étaient fréquemment tenues. « Le maire Demba Diop Sy s'attelle, depuis son élection, à sortir ce quartier des eaux, comme il le fait dans d'autres quartiers. Nous prions Pascasen de continuer d'accompagner les maires », avance la cheffe de quartier de FOGNY 1MAMADOU LY, HABITANT AU QUARTIER NDIANDAKHOUM « Nous sommes satisfaits »Ndiandakhoum, abritant le mausolée de Serigne Cheikh Tidiane Sy Al Maktoum, fait partie des quartiers phares de Tivaoune, qui ont eu à bénéficier de ce programme d'assainissement, fruit d'un partenariat entre la Mairie et PACASEN. Pendant l’hivernage, note Mamadou Ly, habitant du quartier, l’eau de pluie avait tendance envahir cette partie de la ville et d’y stagnait pendant des mois. Mais aujourd’hui, soutient-il, avec le programme d’assainissement mis en place, elle disparait très vite. « Nous prions beaucoup pour la mairie et PACASEN. Nous sommes satisfaits. Aujourd’hui, c’est un sentiment de soulagement qui nous anime », fait comprendre M.Ly.
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    Amadou Ba président il y a 7 mois

    Amadou ba, amadou ba, aaamadou ba, aaamaadou ba, aaamaaadouu baaaa aaamaaadouuu baaaaa….

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    Kebsou il y a 7 mois

    PACASEN guestoul wa cité Taco et Dabakh Rufisque. Aucune voie d'accès pendant l'hivernage.L'ancien régime avait lancé le projet Sortie 9 Youssou Mbargane avec EIFAGe et je pense que l'état c'est la continuité.

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    MIKE il y a 7 mois

    Rien que des inepties, Tivaouane ne dispose toujours que d'un seul CS.

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    il y a 7 mois

    Kidou Amadou ba,Amadou Ba Amadou Ba,j’espère qu’il a déposé son œuvre à la Sodav pour ses droits d’auteur.

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    reply_author il y a 7 mois

    c’est pareil pour la ZAC de MBAO, On ne comprend plus ce que ces régimes font vivre aux populations. Sans infrastructures digne de ce nom les inondations ne seront jamais réglées. S'il vous plait il faut une politique de proximité pour savoir ce que les populations endurent. Nous avons l'impression que l'Etat est absent dans certaines zones du territoire national. ZAC MBAO debout. Notre carte électeur à notre meilleur allié.

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    reply_author il y a 7 mois

    c’est pareil pour la ZAC de MBAO, On ne comprend plus ce que ces régimes font vivre aux populations. Sans infrastructures digne de ce nom les inondations ne seront jamais réglées. S'il vous plait il faut une politique de proximité pour savoir ce que les populations endurent. Nous avons l'impression que l'Etat est absent dans certaines zones du territoire national. ZAC MBAO debout. Notre carte électeur à notre meilleur allié.

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