Construction du Mur de clôture : les équipes seront sous pression sur plusieurs fronts au bassin de la Zone de captage
Le temps presse à la Zone de Captage. Dans les tranchées, l’équipe prépare le sol pour la construction du fondement du nouveau mur. Plusieurs ouvriers, techniciens et ingénieurs sont sur le qui-vive. La construction de ce grand mur est à la fois une course de vitesse et de fond. La pluie peut tomber à tout moment. « Nous avons pris un engagement devant le Premier Ministre. Il faut respecter les délais », a insisté le Directeur Général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Mamadou Mamour Diallo.
Le reprofilage de l’ouvrage est entré dans une étape décisive. Il y sera aménagé un canal du Front de Terre par un dalot cadre de 8 m de largeur sur 2, 5 m entre la gendarmerie de Front de Terre et le Bassin de la Zone de Captage sur 595 ml. A cela, il faudra ajouter la sécurisation du bassin par la construction d’un mur de clôture de 2 m en béton armé, le dévoiement de la deuxième conduite de refoulement de la station de pompage Grand-Yoff vers les Niayes de Patte d’Oie. A terme, la capacité de stockage passera de 170.000 m3 à 250.000 m3. L’objectif, c’est d’éviter, au maximum, les risques de débordement. Tout va se jouer dans cette zone car, tout débordement en amont peut avoir des répercussions en aval à savoir le ruissellement des eaux vers l’autoroute d’abord et ensuite vers la Cité Belle Vue où se trouvent d’autres installations stratégiques.
Parallèlement aux travaux de construction du mur, des mesures conservatoires sont prises. A la station, des équipements de pompage sont positionnés. En plus des électropompes, des rouleaux de flexibles sont arrimés à côté de la bâche de pompage. « Il faudra installer les flexibles en attendant la réception des tuyaux anaconda », souffle un ingénieur. Demain, l’équipe technique sera sur le terrain pour déterminer le meilleur tracé de la pose des flexibles et identifier les regards. Ces travaux sont une composante du Projet de drainage des eaux pluviales de la Zone de Captage, la Cité Belle Vue et de Philippe Maguilene Senghor pour un coût global de 24 milliards de francs Cfa.
Auteur: Seneweb-News
Comments
En plein hivernage... bravo!!!
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
gni da nou yebate...aucune vision. Pendant l'hivernage tu fais des travaux
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ca a ete une grave erreur de remblayer et construire cette zone, malheureusement la même bêtise est entrain d'être faite sur la forêt classée dd mbao la zone des filao sur la grande côte ainsi que dans les niayes de patte d'oie
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Ce que le journal relate le manque de sérieux. C'est maintenant que l'on prépare le sol pour les fondement, il y a des délais incompressibles pour que le béton tiennent. Je ne vois pas par quel miracle peuvent ils finir les travaux avant mi-aout. La décision courageuse aurait été de déguerpir cette zone. Il faut quebles ingénieurs disent la vérité en toute circonstance.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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