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Monday 05 May, 2025
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Dakar : Nouvelle interdiction de circulation des motos

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Le Gouverneur de Dakar a publié un nouvel arrêté interdisant la circulation des motocyclettes. Un arrêté qui prend effet à partir de ce mercredi 31 mai jusqu'au jeudi 1er juin à minuit. Cette décision intervient alors que les tensions politiques sont exacerbées à la veille du verdict du procès Ousmane Sonko-Adji Sarr. Ce mercredi, des élus de l’opposition ont appelé à une grande marche pour aller “libérer” Ousmane Sonko. 
Auteur: Seneweb News
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Comments

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    il y a 1 an

    Prendre vélo 

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    il y a 1 an

    JOTNA guen kham vos droits ! Lisez attentivement Déclarationdes Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ( C'est la même pour tous les peuples du monde) (Source site officiel du Conseil constitutionnel de la France) Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Texte intégral de la Constitution du 4 octobre 1958 en vigueur Charte de l'environnement de 2004 Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.   En conséquence, l'Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les droits suivants de l'homme et du citoyen.   Article 1er Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.   Article 2 Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.   Article 3 Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.   Article 4 La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.   Article 5 La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.   Article 6 La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.   Article 7 Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.   Article 8 La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.   Article 9 Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.   Article 10 Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.   Article 11 La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.   Article 12 La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.   Article 13 Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.   Article 14 Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.   Article 15 La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.   Article 16 Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.   Article 17 La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

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    reply_author il y a 1 an

    JOTNA guen kham vos droits ! Lisez attentivement Déclarationdes Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ( C'est la même pour tous les peuples du monde) (Source site officiel du Conseil constitutionnel de la France) Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 Texte intégral de la Constitution du 4 octobre 1958 en vigueur Charte de l'environnement de 2004 Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.   En conséquence, l'Assemblée nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Être suprême, les droits suivants de l'homme et du citoyen.   Article 1er Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.   Article 2 Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.   Article 3 Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.   Article 4 La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.   Article 5 La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.   Article 6 La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.   Article 7 Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.   Article 8 La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.   Article 9 Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.   Article 10 Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.   Article 11 La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.   Article 12 La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.   Article 13 Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.   Article 14 Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.   Article 15 La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.   Article 16 Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.   Article 17 La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

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    il y a 1 an

    Ce n'est pas pour rien l'ouverture du "dialogues national" à la veille du verdict déjà actée depuis mathusalem du procès de Sonko,toute personne bien informée sait que ce n'est pas le juge qui a pris sa propre décision de condamner Sonko mais elle vient du palais de la république .Seulement le juge a reçu de nombreux millions plus la promesse d'un poste très juteux après le procès et sa famille proche est ultra protégé actuellement ,il a pris la responsabilité sur lui de rendre officiel cette forfaiture.Il faut que tout les sénégalais épris de justice se préparent à se battre demain contre cette décision que va rendre le juge,Sonko ne va même pas bénéficier du doute qui profite à l'accusé il est déjà condamné, c'est pourquoi les fds ont barricadé la maison et Amadou Ba première ministre sans portefeuille en en déjà informé les pseudo Khalif du pays.Que le peuple et la jeunesse prenne ses responsabilités,Sonko n'échappera pas à une condamnation, car le juge va écarter le viol mais va suivre le procureur dans l'autre point '"corruption à la jeunesse " et mandat d'arrêt immédiat,un homme averti en vaut mille 

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    il y a 1 an

    NE BRULEZ PAS LE PAYS LE 1 JUIN

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    il y a 1 an

    Économie au ralenti ☹️☹️☹️

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    il y a 1 an

    Économie au ralenti ☹️☹️☹️

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    reply_author il y a 1 an

    Macky si j'étais à ta place j'allais avoir peur si tous offres facilement. A mon humble avis si Allah t'offre les moyens il faut savoir les utiliser de manière très droit sinon tu seras puni mais sévèrement, pense au Seigneur de l'univers avant qu'il ne soit trop tard. A bon entendeur salut.

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    Fadel il y a 1 an

    Qu'est ce que Macky a fait?

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    foolish il y a 1 an

    Ceux qui manifestent n'utilisent jamais leur moto. Ce gouverneur des motos n'a pas la tête.

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    reply_author il y a 1 an

    plus que économie, tout est au ralenti, même les neuronnes de bcp de gens! le senegal veut la paix alors que ces satans de politiciens nous tiennent en otage! on a rien fait pour mériter cà! MS laisse la place et organise des fais organiser des elections avec tous les candidatset que la voix des urnes s'exprime. on est fatigué way!

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    RTS1 il y a 1 an

    refusons les gars. ils faut aller travailler ça suffit . koulen laal nguen tégal ndèyam. Moi je vais travailler.

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    reply_author il y a 1 an

    tu mens tu vas nul part . tu chies dans ton froque des qu on t interpelle et tu incite les autres a sortir.

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    reply_author il y a 1 an

    Une énième interdiction  de circuler  une privation de liberté de circuler où pour beaucoup  ayant des emplois  dans l informel ne pouvant se déplacer qu en moto! 

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    Chriss il y a 1 an

    Une énième interdiction  de circuler  une privation de liberté de circuler où pour beaucoup  ayant des emplois  dans l informel ne pouvant se déplacer qu en moto! 

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    reply_author il y a 1 an

    Un imbécile avec un stylo de 100 F dans un bureau interdit à une partie de la population de circuler librement. Exceptionnellement ça peut se comprendre, mais ça devient reccurent

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    Moussa NDONG il y a 1 an

    J'attire l'attention de l'autorité sur les dates et heures de cet Arrêté 0108 /GRD du 30-05-2023 portant interdiction de circulation des motos. Il ressort de la lettre de ce texte que l'interdiction commence ce 31 Mai 2023 à 00H et se termine le 1er Juin 2023 à 00H. Donc, depuis 00H 00 ce 31 Mai 2023, l'interdiction est en vigueur. Selon cet arrêté, l'interdiction a déjà commencé. Elle prend FIN aujourd'hui à 23H59 mn 59sec.  Parce que, tel qu'il ressort de la lecture de ce texte, l'interdiction s'arrête ce 1er juin à 00H 00 c'est à dire, dans 12Heures de temps. Ce qui est peu être une erreur car, certainement, c'est la journée de demain qui est ciblée si on s'en tient à l'esprit au texte. Conséquence: D'honnêtes citoyens seront illégalement arrêtés demain lorsqu'ils vaqueront à leur occupation. J'espère que l'autorité me lira pour rectifier pendant qu'il et temps.

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