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Dégradation de la route principale de Ngoundiane : Des cas tragiques d'accidents mortels

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Le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye est interpellé sur «l'état alarmant de dégradation de la route principale de la commune de Ngoundiane, qui relie la route nationale n°3 aux carrières de Diack et qui est vitale pour les habitants de cette localité».
En effet, s'offusquent Modou Tine de la plateforme La voix de Ngoundiane et ses camarades, «depuis plusieurs années, cette route se détériore de manière inquiétante. Les nids-de-poule, les fissures et l'érosion de la chaussée rendent la circulation extrêmement dangereuse pour les camionneurs, les automobilistes, les motocyclistes et les piétons». Ils signalent que «des accidents ont déjà eu lieu, certains causant des blessures graves et, dans des cas tragiques, la perte de vies humaines».
L'éducateur spécialisé au ministère de la Justice et doctorant en science politique à l'université Gaston Berger de Saint-Louis estime que «cette situation est d'autant plus préoccupante que cette route constitue un axe essentiel pour le développement économique et social de la commune. Elle est utilisée quotidiennement par des milliers de personnes, qu'il s'agisse de travailleurs se rendant à leur emploi, d'étudiants et d'élèves allant à l'école ou de transporteurs en commun. La dégradation de cette infrastructure affecte directement la qualité de vie des habitants et freine le développement local».
Selon lui, «les initiatives locales pour attirer l'attention des autorités compétentes n'ont malheureusement pas encore porté leurs fruits. Les promesses de réhabilitation se sont succédé, mais à ce jour, aucune action concrète n'a été entreprise pour remédier à cette situation».
Ainsi, il sollicite l'intervention du chef de l'État pour que des mesures urgentes soient prises afin de réhabiliter cette route et garantir la sécurité des usagers. Monsieur Tine rappelle qu'« il est de la responsabilité de l'État de veiller à ce que les infrastructures de transport soient en bon état et accessibles à tous». Il pense que «la réfection de cette route contribuerait non seulement à améliorer la sécurité routière, mais également à dynamiser l'économie locale et à renforcer la cohésion sociale dans cette commune». 
Auteur: Cheikh CAMARA (Correspondant à Thiès)
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Comments

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    Doff bi il y a 8 mois

    Dites à la presse de payer ses impôts pour qu’on puisse construire ce pays

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    Doff bi il y a 8 mois

    Dites à la presse de payer ses impôts pour qu’on puisse construire ce pays

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    doff mo geune shirk il y a 8 mois

    bonne chance à ce regime

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    il y a 8 mois

    ngoudiane et ses environs est la zone ou il y a plus de centrales enrobages dans le pays...il y a même une bonne route.

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    il y a 8 mois

    que dire de la route Kaolack-Diourbel, une vraie catastrophe

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    il y a 8 mois

    que dire de la route Kaolack-Diourbel, une vraie catastrophe

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    il y a 8 mois

    Quel titre!! Encore nos braves "journalistes ". Il y a des accidents mortels qui ne sont pas "des cas tragiques"?

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    Pastef mbour 3 il y a 8 mois

    Cest les camions qui sortent le béton noir des carrières qui dégradent la route. Ils doivent respecter le pesage autorisé. Si vous rouler sur cette route vous allez vous rendre compte que c'est la voie retour qui est plus dégradée que la voie aller. Quand ils vont aux carrières les camions sont vides , donc pas de grief dans le sens aller mais le sens retour est complètement détérioré. Donc c'est juste une question de pesage a respecter

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    Hé! il y a 8 mois

    40 milliards de dettes sur 7 ans, soit 5,71 milliards comme entrée d'argent "fiscale" par an pour la presse. Un km de goudron pour une route à double-sens coûte environ 2 millions d'€, soit 1 milliard 311 millions de francs CFA. Avec toutes les routes qu'il y a à faire (y compris les 2 fois 2 voies), pas sûr qu'il y aura assez d'argent à tirer de la fiscalité des médias. Ceci est la (dure) vérité des chiffres.

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    il y a 8 mois

    Vous n’avez pas vu la dégradation des routes à Diourbel c’est un champ de patates le centre ville et personne ne pipe un mot . Comment les automobilistes vont faire à l’occasion du magal ???

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    il y a 8 mois

    Vous n’avez pas vu la dégradation des routes à Diourbel c’est un champ de patates le centre ville et personne ne pipe un mot . Comment les automobilistes vont faire à l’occasion du magal ???

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    il y a 8 mois

    Vous n’avez pas vu la dégradation des routes à Diourbel c’est un champ de patates le centre ville et personne ne pipe un mot . Comment les automobilistes vont faire à l’occasion du magal ???

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