Dons de kits alimentaires à Mollé Walo et Odobéré, des associations de la Mauritanie et du Sénégal au chevet à des sinistrés des inondations
Une organisation dénommée '' Maayo Vona Kerol'', le fleuve n’est pas une frontière qui sépare, regroupant près de 18 associations de développement et de la société civile de la Mauritanie et du Sénégal, a procédé hier à une distribution de kits alimentaires à des familles sinistrées des inondations des villages de Mollé Walo dans l'arrondissement des Agnam , et Odobéré de l' arrondissement de Ouro Sidi.
Ces dix huit associations qui ont mutualisé leur force, ont dans un élan de solidarité rassemblé du riz, du sucre, de l’huile , des produits détergents et des vêtements au profit d’une centaine de famille, impactant plus de 1530 personnes. « Au Sénégal comme en Mauritanie, les crues du fleuve ont été à l’origine de beaucoup de dégâts qui ont conduit à une vulnérabilité des populations riveraines du cours d’eau », rappelle Moussa Abou Niang le coordonnateur de l’organisation « Maayo Vona Kerol ».
Expliquant, « qu'en guise de solidarité, des associations de développement et de la société civile, ont construit cette aide humanitaire, pour assister, les localités qui, du fait de leur enclavement, n’ont pu bénéficier d’une assistance ». Une solidarité agissante, que le chef de village de Mollé Walo, Djiby Diallo a magnifié avant de féliciter et remercier les donateurs. Dans cette localité qui fait face à Kaédi, la capitale régionale du Gorgol (Mauritanie), les dégâts causés par les inondations sont allés au-delà de la destruction partielle ou total de plus d’une dizaine d’habitations. Car, les inondations ont également endommagés deux puits sur les trois qui étaient utilisés par les populations.
Le paradoxe, voulant que le village qui abrite pourtant un poste frontalier (police, douane), n’ait jamais bénéficié, d’une source d’eau potable, les eaux du puits ou du fleuve, étant utilisées par les populations, comme le souligne le chef du village.
Dans cette tournée de solidarité, le groupement des associations a aussi visité la commune de Odobéré pour apporter son appui à une soixantaine de familles sinistrées.
Auteur: Mactar NDIAYE
Comments
La saison des pluies est derrière nous, il faut tourner la page et retourner chez soit que de continuer à jouer les victimes. Combien de familles ont été impactées par les inondations à cause des pluies Dakar, Touba. Kaolack etc quelques exemples et ces gens sont retournés à leurs activités habituelles, mais comme ici des moyens financiers ont été préposés pour paraît à l'urgence, certaines individus continuent à lorgner dessus pour les capturer en ne voulant pas que cette page du crues saisonniers du fleuve soit tournée. C'est peine perdue l'urgence n'est plus là-bas grâce à l'intervention efficace et prompt des services de l'état et le pays est passé aujourd'hui à autres choses au traitement d'autres urgences avec nos précieux et rares ressources.
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
Je suis sur que tu es un casamançais , membre actif du PASTEF, qui a une haine viscérale pour les populations du NORD . Sinon , comment comparer les crues du fleuve aux inondations causées par les pluies, qui d'ailleurs ont été rares cette année, grace aux réalisations remarquables de Macky dans ce domaine . Après, on nous parlera de nedo ko bandoum! Il est vrai que l'on prête toujours aux autres ses propres sentiments, opinions et convictions . Saches que les populations du FOUTA n'attendent rien de vos gourous incultes, nullards et ethnicistes et continueront à se débrouiller toutes seules en comptant sur leurs dignes fils .
Le fait d'avoir cédé à la demande insensée des députés d'alors pour donner des passeports diplomatiques à leurs épouses a ouvert la porte à toutes les dérives. Et cela risque de décridibiliser davantage le passeport
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